Lancé en 2016 en Grande-Bretagne, OnlyFans est un service de contenu par abonnement qui fait de plus en plus d'émules, en particulier les travailleurs et travailleuses du sexe. Les internautes peuvent y partager leurs photos, vidéos, musiques, textes et créations, auxquels le public peut accéder moyennant un abonnement. Un service qui n'est pas sans rappeler MySpace, et qui attire de plus en plus d'adeptes. Zoom sur un nouveau phénomène qui ne fait que monter en puissance.
Après avoir fait son petit bonhomme de chemin de manière plutôt discrète, le site OnlyFans a connu une véritable médiatisation à l'occasion du confinement. Privées de leurs revenus à cause de la crise sanitaire, de nombreuses personnes ont décidé de tenter leur chance sur cette plateforme qui permet de vendre du contenu, grâce à un système d'abonnement. Et plus précisément : de vendre du contenu à caractère sexuel, puisque les travailleurs et travailleuses du sexe y sont particulièrement présents.
Un bon moyen de reprendre le contrôle sur son image
Les sites sur lesquels il est possible de diffuser de la nudité ou du contenu à caractère pornographique sont rares, et risquent de l'être encore plus si les nouvelles lois sur le porno finissent par passer. Pendant longtemps, des travailleurs et travailleuses du sexe (TDS) ont utilisé des sites tels que Patreon, qui proposaient des systèmes d'abonnement, pour vendre du contenu érotique. Mais les conditions d'utilisation générales ont évolué, et interdisent désormais la pornographie. Il en va de même sur Instagram, toujours prompt à censurer le moindre petit téton.
La solution ? Twitter, pour beaucoup, puisque le réseau social à l'oiseau bleu est aujourd'hui le seul à ne pas censurer les photos et vidéos dénudées, y compris à caractère pornographiques. Seulement voilà : Twitter est un réseau social public, et le risque est donc de voir son contenu être volé, diffusé à son insu sur des sites pornos, utilisé comme revenge porn par des individus mal intentionnés.
De tous temps et en tous lieux, médecine et religion ont bridé le plaisir solitaire des femmes
Au XIXe siècle, la masturbation féminine est associée à de nombreuses pathologies. Dénigrée voire diabolisée, cette pratique est longtemps restée taboue. Jusqu'à aujourd'hui.
Il était une fois, John Harvey Kellogg. Inscrit en lettres rouges sur fond blanc, son patronyme barre la moitié de nos boîtes de céréales. Mais l'héritage du médecin américain ne s'arrête pas à l'invention des corn flakes. Au milieu du XIXe siècle, l'idéologue mène une croisade violente contre la masturbation.
D'après le docteur en philosophie David Simard, qu'il soit féminin ou masculin, l'onanisme a longtemps été prohibé. Mais les manoeuvres pour empêcher les femmes de toucher leur sexe ont fait couler beaucoup d'encre et c'est pour ça qu'on s'intéresse au docteur Kellogg.
Dans l'histoire des femmes, son nom est associé à une pratique terrible: la prescription d'acide carbolique (phénol) sur le clitoris afin de calmer les ardeurs des femmes. «Depuis les années 1860, cet acide fait office d'antiseptique lors des opérations chirurgicales», indique le chercheur. Mais pourquoi empêcher les femmes de se donner du plaisir?
Installé dans le Michigan, le médecin tient la masturbation féminine comme responsable de tous les maux: cancer de l'utérus, crise d'épilepsie, folie. Dans la bande dessinée L'origine du monde (parue en 2016), l'autrice Liv Strömquist le hisse à la septième place du classement intitulé «Ces hommes qui se sont un peu trop intéressés à ce qu'on appelle les organes féminins».
Ablation ou brûlure au fer rouge
Combien de femmes ont été mutilées? C'est très difficile à dire selon David Simard. À l'époque, John Harvey Kellogg est un homme influent et perçu comme «l'un des protagonistes de l'utilisation et d'une certaine représentation de la santé sexuelle», selon le chercheur. Entre 1876 et 1906, le docteur Kellogg dirige le sanitarium de Battle Creek -un lieu où les gens apprennent à être en bonne santé. À son acmé, le centre pouvait accueillir plus de 1.200 patient·es. Entre 1906 et 1931, il dirigea un deuxième sanitarium qui pouvait recevoir 7.000 personnes.
La mère spirituelle de Kellogg n'est autre qu'Ellen White, cofondatrice de l'Église adventiste du septième jour -qui prône la pureté du corps afin de pouvoir accéder au paradis. Son appartenance à cette congrégation religieuse influence ses recherches.
Dans le cadre de la santé sexuelle du protestantisme américain, les médecins étaient unanimes: «La masturbation était un vice moral qui portait atteinte à la santé globale et sexuelle», souligne David Simard. Il explique d'où vient cette haine pour le plaisir solitaire: «Ces médecins -dont Kellogg- ont une représentation du vivant comme vigueur et vitalité. Il y a un fond vitaliste dans leur représentation du vivant avec une physiologie développée par ces docteurs protestants qui repose sur l'idée d'énergie vitale. Donc, la masturbation est considérée comme induisant une perte d'énergie, un épuisement.»
De l'autre côté de l'Atlantique, les médecins européens combattent aussi l'onanisme. Si cette lutte était une compétition, le gynécologue anglais Isaac Baker Brown remporterait la palme d'or. Considéré comme le père de la clitoridectomie, il pratique l'ablation du clitoris chez les jeunes filles pour éviter qu'elles se touchent. Des centaines d'Anglaises auraient été excisées entre 1865 et 1980.
Dans les pays voisins, on peut évoquer le médecin belge Jules Guérin qui brûlait le clitoris des jeunes femmes au fer rouge, comme le rappelle Marie-Rose Galès dans son livre Endo & Sexo - Avoir une sexualité épanouie avec une endométriose (paru en 2019). Comment expliquer une telle diabolisation de la masturbation outre-Atlantique et en Europe?
Plaisir à visée procréative
Le corps médical s'empare de la question de la masturbation à la fin du XVIIIe siècle. L'onanisme mettrait en danger la procréation qui «conduirait à l'épuisement de l'élixir, soit le liquide séminal», complète Scarlett Beauvalet, professeure d'histoire moderne à l'Université de Picardie . Durant cette période, les rapports sexuels se réduisent à «faire de beaux enfants».
En Europe, les racines de ce discours médical ne sont pas religieuses. L'Église tient des propos différents mais aboutissant aux mêmes conclusions. «Pour l'institution religieuse, la procréation est indissociable du mariage. En dehors de ce cadre, c'est de la sexualité contre-nature», éclaire Scarlett Beauvalet.
Si la masturbation féminine est taxée de vice moral, elle est aussi associée à de nombreuses maladies. «Par exemple, l'hystérie est liée à l'organe féminin, il faudra attendre Freud au XXe siècle pour comprendre que cette maladie touche aussi bien les hommes que les femmes», poursuit Scarlett Beauvalet.
À cette époque, on colle à la compagne l'étiquette d'un être totalement passif lors des rapports sexuels: «Depuis Aristote, on parle tout de même de "femme réceptacle"; en fait, elle fait office de vase! Perçue comme une séductrice, la femme non mariée est dangereuse. C'est pour cela qu'on doit la canaliser, notamment à travers le mariage.»
Des femmes passives qui -dans l'idée générale- arriveraient ignorantes dans le lit conjugal. «Ça doit être l'homme qui initie son épouse à l'activité sexuelle. C'est un dogme», raconte Sylvie Chaperon, historienne du féminisme et des mouvements des femmes.
Et le plaisir féminin dans tout ça? Quand on en parle, il est souvent abordé sous le prisme de la procréation. Dès l'Antiquité, les savants pensent que le plaisir de la compagne est nécessaire à la fécondation. «Il y avait aussi l'idée que l'utérus ne s'ouvrait qu'au moment où la femme jouissait», rappelle l'universitaire.
2017, «cunnilingus» sort spontanément
Au XIXe siècle, on observe à l'aide du microscope des ovules et des spermatozoïdes. «On découvre l'ovulation spontanée, qui n'est pas liée à un orgasme mais à un cycle, relate la chercheuse. Cependant, les médecins continuent de voir le plaisir comme indispensable -notamment dans le maintien des liens matrimoniaux. «À la fin du XIXe siècle, le discours change: certains spécialistes estiment que le plaisir féminin n'est pas si fréquent ou important», constate Sylvie Chaperon. Elle cite en exemple le médecin Pierre Garnier qui remet en question le clitoris comme siège du plaisir féminin.
La sexualité de la femme serait rattachée à la procréation ou bien au maintien des liens conjugaux. Elle ne peut donc être solitaire! Alors que la masturbation masculine se normalise au début du XXe siècle, son équivalent féminin reste encore très mal vu. «On a longtemps considéré que les femmes n'avaient ni désir, ni plaisir. Si elles se masturbaient, cela démontrait une forme de perversité. Une femme, ça doit se tenir, rester discrète et réservée alors qu'on pousse les hommes à exprimer leur pouvoir, leur volonté et surtout leurs envies», analyse Janine Mossuz-Lavau, sociologue et autrice du livre La Vie sexuelle en France paru en 2018. Les femmes auraient moins de besoins sexuels et cette pensée résiste jusqu'à la Seconde Guerre mondiale.
«Aujourd'hui, les différences entre sexualité féminine et masculine perdurent encore, mais la masturbation féminine n'est plus un tabou», note la spécialiste qui a mené en 2000, puis en 2017, la même enquête sur l'intimité des Français·es. «En 2017, les femmes abordent la question de la masturbation spontanément. Avant, il fallait que je lance le sujet», commente-t-elle.
Janine Mossuz-Lavau a rencontré des femmes qui connaissent mieux leur corps et affirment davantage leurs désirs. D'ailleurs, la sociologue remarque l'utilisation d'un terme encore peu présent, il y a dix-sept ans, dans la bouche des femmes: «cunnilingus». Une pratique longtemps jugée humiliante et inutile -pour les hommes, évidemment.
Pas de plan cul pour eux, ils préfèrent les "plans dodo"
Ils cherchent des partenaires avec lesquels partager leur sommeil plutôt que des ébats sexuels. Les trois personnes que nous avons interrogées sont adeptes des plans dodo. Et une chose est sûre, il n'est pas facile pour elles d'imposer leur style à l'ère du trash dating.
Lorsqu'elle était célibataire, Zélie ressentait parfois le besoin d'avoir un homme à ses côtés durant la nuit. Elle n'hésitait alors pas à partager son lit avec certains de ses amis masculins, sans qu'il ne se passe rien sexuellement : “Ce n’était jamais très régulier. Mais c’était sympa d'avoir une présence masculine à côté de soi sans se sentir obligée de coucher comme dans un plan cul”.
Malgré sa jeunesse au moment des faits, Zélie faisait preuve de prudence. Elle ne proposait cette expérience qu'à ceux en qui elle avait une totale confiance et avec lesquels il n'y avait aucune once d'ambiguïté : “Si j’avais eu le moindre doute sur leurs sentiments à mon égard, je n'aurais pas dormi avec”, explique-t-elle. A quoi ressemblaient ces nuits entre amis de sexes opposés ? A celles d'un vieux couple répond la jeune femme, qui décrit plusieurs heures passées à “papoter, rigoler et dormir”. Et l'après ? “Absolument rien n'a changé dans nos relations”, affirme Zélie, coupant court aux idées reçues à ce sujet.
“On m'a déjà dit que ma demande était égoïste, voire déplacée”
Malgré son désir secret de s'endormir dans les bras d'un homme et se faire cajoler, Gaëlle, elle, ne s'imagine pas demander à ses amis de sexe masculin de répondre à ce besoin. Par peur de susciter une forme d'ambiguïté mais aussi par crainte de ne pas savoir se laisser aller. “Je n'ai jamais été tactile avec mes amis, alors me retrouver d'un seul coup dans leurs bras, je n'apprécierais pas ! Je serais hyper gênée et n'arriverais vraiment pas à en ressentir les bienfaits”, explique-t-elle. La trentenaire célibataire ne souhaite pas non plus se mettre en couple dans l'immédiat. Entourée par une famille très présente et de nombreux amis, elle ne se sent pas spécialement seule et le sexe ne lui manque pas.
Le seul recours qu'elle envisage pour obtenir de l'affection ? Rencontrer des hommes sur des applications de dating, et tâcher de les convaincre de dormir avec elle sans coucher. Un projet qui n'a pour l'instant pas vraiment porté ses fruits. “Il m'est arrivé d'inviter à l'hôtel des mecs rencontrés quelques jours plus tôt en leur disant qu'il ne se passerait rien. L'un d'entre eux s'est vexé, persuadé que j'essayais de le tester. Certains percevaient ma demande comme égoïste et limite déplacée”. La trentenaire se retrouve dans une impasse, incapable de satisfaire son besoin d'affection, qui dit-elle, n'a rien d'un “caprice”. Et pour cause, le contact physique est réellement important. Comme démontré par de nombreuses études, les câlins ont des effets bénéfiques sur le corps et la santé. Être pris dans les bras pendant minimum 20 secondes permet la sécrétion d'ocytocine, hormone du bonheur, et renforce le système immunitaire.
“Les filles me trouvaient bizarre et finissaient par disparaître”
Karim aussi a dû faire face à de nombreux jugements lors de sa période “plans dodo”. Alors qu'il travaillait dans le monde de la finance depuis deux ans, le jeune homme s'est senti écoeuré par la “fausseté” des relations interpersonnelles qu'il observait autour de lui. “J'avais l'impression que tout le monde utilisait tout le monde et cela concernait aussi le niveau sexuel”, se souvient le trentenaire. A tel point qu'il ne souhaitait plus être en couple, ni entretenir de liaisons. Juste dormir de temps à autre avec des filles qui lui plaisaient, “sans aucune autre intention”. Mais tout ne s'est pas passé comme prévu : “Souvent elles acceptaient au début, passaient deux ou trois nuits avec moi, puis elles commençaient à me trouver bizarre de ne rien tenter et finissaient par disparaître..”.
S'il n'était pas aujourd'hui en couple, Karim serait certainement ravi que la technologie puisse l'aider à lui organiser des plans dodo en bonne et due forme. D'autres en revanche peuvent en profiter.
Une appli pour trouver un partenaire de sommeil
Une application, Hugmify, s'est en effet emparée du créneau, en proposant à ses utilisateurs de se rencontrer pour dormir ensemble. “Ne laisse plus le sexe gâcher ta première rencontre !”, peut-on lire dans l'audacieux descriptif de cette application, qui a de quoi surprendre. “On passe souvent par des systèmes où pour avoir de l'affection, de la chaleur humaine, il faut avoir des relations sexuelles. On voulait créer une appli de slow dating, pour apprendre à connaître les gens d'une autre façon”, explique Phrenel, l'un des co-fondateurs. Il n'en reste que partager son sommeil avec une personne jamais rencontrée, dont on ne connaît ni l'odeur ni les manières, a de quoi rebuter.
Certains n'y voient que des inconvénients, - ronflements, manque de place, bruits suspects -, ayant de grandes chances de mettre à mal leur sommeil. Selon une étude de l’Institut National du Sommeil et de la Vigilance datant de fin 2016, 40 % des Français vivant en couple font d'ailleurs le choix délibéré de dormir dans des lits séparés. Sans compter que pour beaucoup, l'étape est perçue comme le comble de l'intimité. Alors pourquoi prendre le risque de la partager avec un inconnu ? “Contrairement à un ami qui peut garder un certain frein dans l'affection qu'il donne en se posant trop de questions, l’inconnu aura moins de retenue. Et il n'y a pas de contrepartie à donner. On peut très bien ne plus le voir après...”, répond Phrenel. Ajoutons que rien n'oblige non plus ceux qui se rencontrent par ce biais à... dormir ensemble le premier soir !
6 hommes sur 10 ont connu des pannes d'érection selon une étude, et "c'est normal"
Six hommes sur dix en France reconnaissent avoir déjà eu des pannes d'érection dans leur vie, un sur trois dans l'année écoulée, selon une enquête Ifop* réalisée pour le compte de la start-up Charles.co. Que 60% des hommes déclarent avoir déjà eu des troubles de l'érection ne signifie pas qu'ils sont plus nombreux qu'avant, mais ils le déclarent plus qu'avant, une tendance que notent les sexologues depuis plusieurs années.
"C'est normal que 60% des hommes aient déjà eu une panne dans leur vie, ça n'en fait pas des troubles de l'érection, ce n'est pas une maladie", a réagi mercredi 22 mai sur franceinfo Philippe Brenot, psychiatre, anthropologue, directeur d’enseignement en sexologie à Paris-Descartes et auteur du livre Pourquoi c’est si compliqué l’amour.
Y a-t-il une différence entre avoir une panne d'érection et des problèmes récurrents ?
Philippe Brenot : Il faut dédramatiser. Je pense qu'un sondage comme celui-là est intéressant parce qu'il montre un fait qui existe. Le chiffre de six hommes sur dix, en définitif, est normal. Le problème, c'est que nous n'avons pas d'information sur la sexualité, nous n'avons pas d'éducation à la sexualité. Notre sexualité, elle est socialement construite. C’est-à-dire que les images de la société vont fabriquer nos comportements. Le porno sur internet a modifié non pas la sexualité de nos adolescents, mais notre sexualité à tous et cela a donné l'idée de l'homme infaillible. C'est normal que 60% des hommes aient déjà eu une panne dans leur vie, ça n'en fait pas des troubles de l'érection, ce n'est pas une maladie.
Donc il ne faut pas culpabiliser ?
Ça, c'est plus compliqué. Aujourd'hui, et notamment au sein du couple, il est vrai que la sexualité occupe une grande place et quelques fois, sur le modèle des feuilletons américains, on se sépare sur une défaillance affective sexuelle. Effectivement, il faudrait le prendre en compte mais en dédramatisant, parce que si on laisse traîner une panne émotionnelle, c'est-à-dire quelques chose qui est de l'ordre de la relation, très vite, cela peut devenir un trouble qui va déstabiliser le couple.
Les causes sont plutôt psychologiques, physiologiques ou un peu des deux ?
C'est un peu des deux parce que si j'ai une panne psychologique, je vais ensuite avoir une angoisse d'anticipation, c’est-à-dire que j'ai peur à l'avance, inconsciemment, que ça revienne. Et je peux alors avoir un trouble. Le phénomène est assez courant, et pourtant les hommes consultent peu. 20% à peine de ceux qui ont un trouble récurrent vont consulter un médecin. Ça s'améliore peu parce que la sexualité est un domaine qu'on n'ose pas aborder. En premier lieu avec sa partenaire, par peur qu'elle le prenne mal. Pourtant, les femmes dramatisent beaucoup moins un trouble de l'érection pour une raison simple, c'est qu'elles attribuent l'érection à un problème de désir mais elles savent très bien qu'elles-mêmes ont un désir variable. Ce sont les hommes qui vont beaucoup plus dramatiser leurs troubles.
Est-ce qu'à défaut d'en parler, on préfère se réfugier vers des produits, des médicaments ? La dérive est-elle dangereuse ?
L'auto-prescription, ça ne fonctionne pas et ça peut être dangereux. Il peut y avoir des contre-indications, donc il faut que ce soit un médecin qui prescrive. Par contre, il est important de dédramatiser, c’est-à-dire que les hommes puissent consulter, si le trouble dure, des médecins formés à cela ou des psychologues formés. Mais il faut surtout ne rien acheter en dehors de la pharmacie, il y a sur internet des produits qui sont dangereux.
SEXE : POURQUOI LES HOMMES CROIENT-ILS QUE LUBRIFICATION ET DÉSIR SONT LIÉS ?
Tu mouilles pas, t’as pas envie de moi ?". Faux. Les femmes qui souffrent de sècheresse vaginale ne sont pas asexuelles, encore moins frigides. Une réalité que certains hommes ne saisissent toujours pas…
"Je suis sèche comme le désert du Sahara. Quand je me retrouve nue devant un homme, je sais déjà que quelle que soit mon excitation, ça va être une bonne galère" raconte Laurène au cours d’un petit-déjeuner entre copines. Elle n’est pas la seule. Un grand nombre de femmes souffrent de sécheresse vaginale et rencontrent des difficultés dans leurs rapports hétérosexuels.
Le problème ? Quand un homme sent que vous "mouillez", il se dit "excitation maximale/la voie est libre/go-go gadgeto." Dans le cas d’un manque de lubrification, il en déduira que vous n’avez pas envie de lui parce que "toutes les filles avant mouillaient vachement plus que toi" (on parle des hommes car on suppose qu’une femme fera preuve de plus de compréhension). Ce malentendu, pour ne pas dire ce malaise, peut-être très handicapant pour les femmes. Beaucoup vont choisir de serrer les dents et attendre que Monsieur soit dans la place (l’intérieur du vagin est naturellement plus lubrifié). Lui est content, il a forcé un petit peu jusqu’à ce que ça rentre, et vous, vous avez morflé.
Pourtant, quand vous dites que vous êtes sèche même quand vous êtes excitée, la terre entière à du mal à vous croire, le mec en pleine érection qui vous fait face, encore plus. C’est nier que le corps ne répond pas toujours à l’excitation que vous ressentez. Penser qu’une femme excitée est une femme mouillée, c’est les prendre pour des machines, et c’est terriblement culpabilisant.
Mais de quoi se parle-t-on exactement ? En théorie, quand une femme ressent du désir, les glandes de Bartholin produisent de la cyprine qui lubrifie les petites lèvres et le vagin. L’afflux de sang généré par l’excitation se traduit aussi par un gonflement du clitoris et des grandes lèvres, qui peuvent devenir plus rouges. Outre le manque d’excitation qui peut effectivement perturber la lubrification, un tas d’autres causes existent : anxiété, dépression, traitement hormonaux, tabac, fatigue, alcool etc. Donc oui, on peut être chaude comme la braise et rester sèche. A l’inverse, être mouillée ne signifie pas forcément que vous avez envie d’un rapport sexuel...
La meilleure des choses à faire reste de communiquer. Lui expliquer qu’il doit passer plus de temps à vous caresser ou carrément que, sans lubrifiant, il y a peu de chances que vous alliez plus loin. On sait, en pleine action, on a vu plus sexy. Mais vous n’avez aucune raison de supporter d’avoir mal. Encore une fois, le seul indicateur fiable de votre envie de faire l’amour, c’est vous, pas le degré de lubrification de votre vagin. Et encore une fois, le consentement se demande, il ne se lit pas sur les lèvres.
J'ai rencontré mon mec sur un site de rencontre et tout va bien, merci
Les sites et les applications de rencontre ont mauvaise réputation. Pourtant, de plus en plus célibataires s'y inscrivent dans l'espoir de décrocher un rendez-vous d'un soir ou d'une vie. Car oui, il est totalement possible de trouver l'amour sur Tinder, Happn et les autres. Et c'est loin d'être "honteux".
"Vous vous êtes rencontrés comment ?". Si vous venez de vous mettre en couple, c'est la question (un peu agaçante) que l'on va forcément vous poser. Comme si le plus important dans une relation amoureuse, c'était la rencontre. Alors que, soyons honnête, non, on s'en fout un peu du moment que 1) vous êtes heureuse, 2) votre relation se passe bien et 3) votre mec est génial.
Le pire, c'est si vous avez rencontré ce garçon sur une application ou un site de rencontre. Loin des rencontres romantiques au travail, en soirée ou à un mariage, les coups de foudre via Happn, Tinder ou Bumble sont de plus en plus fréquents.
La preuve, je suis actuellement en couple avec un garçon rencontré sur Happn, depuis près de 3 ans. Et franchement, tout va bien, merci, mis à part les réactions bizarres et culpabilisantes que suscitent encore ce "nouveau" type de rencontre.
La mauvaise réputation des sites de rencontre
Mais d'où vient cette aversion pour les sites de rencontre ? Même si le côté zapping à outrance peut faire peur, ces applis sont tout de même bien pratiques pour aller droit au but (c'est-à-dire rencontrer THE personne qui fera battre notre petit coeur).
Certain.e.s les utilisent pour autre chose, et alors ? Plan cul, coup d'un soir, appelez ça comme vous voulez, il n'empêche que si les envies de chacun sont établies à l'avance, tout le monde y trouve son compte.
L'application Fruitz a d'ailleurs établi un système très simple pour rencontrer des personnes qui souhaitent la même chose que vous. En vous connectant, vous sélectionnez le fruit qui vous convient : une cerise "pour trouver sa moitié", du raisin pour "du sérieux sans prise de grappe", une pastèque pour "des câlins récurrents sans pépins" et une pêche pour "une envie de pêcher avec toi". Clair et net.
Il faut simplement arrêter d'associer les applications de rencontre à un lieu de débauche sans fin. Ce sont justement ces préjugés qui m'ont fait douter de la véracité des propos de mon mec, dès que le premier soir. Oui, il avait envie de me revoir. Sauf qu'au lieu d'être contente (puisque j'avais très envie de le revoir aussi), j'ai commencé à psychoter et à me poser mille questions. Notamment, a-t-il vraiment envie de me revoir ou veut-il seulement me mettre dans son lit ?
Sur les sites de rencontre, il est certes possible de trouver le plan d'un soir, mais l'amour, le vrai est aussi au rendez-vous. La preuve : selon une récente étude, sur 14 000 couples sondés, 19% ont déclaré s'être rencontrés grâce à un site ou à une application, 17% par l'intermédiaire d'amis, 15% à l'école, 12% au travail et 2% grâce aux réseaux sociaux. Autant dire que les sites de rencontres sont en train de devenir les Cupidons modernes. De quoi rabattre le caquet aux mauvaises langues qui n'y voient qu'un vivier un peu sordide.
Une rencontre moins romantique ?
Alors oui, d'accord, l'histoire de rencontre de nos grands-parents et même de nos parents est sûrement bien plus mignonne. Mais au fond, est-ce vraiment le plus important ? Au final, s'inscrire sur un site de rencontre pour trouver l'amour revient à sortir dans un bar ou en boîte : il peut y avoir coup de foudre, mais vous avez aussi le risque de tomber sur le mauvais garçon, ou bien... rentrer bredouille. L'amour peut donc nous tomber dessus à n'importe quel moment et tant pis (ou tant mieux) si c'est sur internet. L'histoire d'amour ne sera pas moins romantique ou moins jolie à vivre et à raconter.
Pour être honnête, j'ai mis du temps à avouer à mes parents la véritable histoire de notre rencontre. J'avais principalement peur qu'ils me jugent et surtout, qu'ils jugent rapidement mon nouveau copain. Au final, le principal, c'est évidemment de me savoir heureuse. Et cela devrait fonctionner pour tout le monde !
Par exemple, vous vous demandez quoi raconter à vos enfants (si un jour vous en avez) ? Vous pourrez simplement leur relater le super premier (ou deuxième ou troisième) rendez-vous que vous avez eus tous les deux et toutes les autres belles choses qui vous sont arrivées depuis. Et c'est bien ce qui compte, non ?
Si certaines personnes vivent bien leur célibat, d’autres se battent quotidiennement contre une solitude intense. Trentenaire, célibataire, avec une belle carrière mais surtout atrocement seul/e : on en connaît tous forcément un ou une, si ce n’est soi-même. Voici donc quelques trucs pour sortir la tête du vide.
D’après Sonia Lebreuilly, éducatrice en santé sexuelle, deux premiers axes sont à privilégier pour commencer à faire bouger les choses : prendre soin de soi et s'accorder du temps de loisirs, de détente.
« Être en capacité de s'ouvrir aux autres, c’est important aussi ! Cette curiosité vous poussera peut-être à rencontrer et, pourquoi pas, à vivre une histoire sympa sans chercher à tout prix le grand amour ! », ajoute la spécialiste.
C’est vrai, allez-y doucement mais sûrement. Rien ne presse (même si la société a l’air de vous dire le contraire), inutile de vous mettre la pression. Premier petit effort qui peut faire partie de votre temps de loisirs : les applications de rencontres. On y trouve de tout, certes, mais aussi des ami(e)s, voire des amours-amitiés ou carrément le grand amour (j’ai testé pour vous). Mais on le sait, vous n’en êtes pas encore là, et on croit savoir pourquoi.
Bien souvent, celles et ceux qui sont en tête à tête régulier avec Dame solitude ne sont ni plus ni moins que leurs propres ennemis et ne pensent pas forcément à mettre toutes les chances de leur côté. Si c’est votre cas, passez à l’action en suivant ces quelques règles.
Acceptez-vous
Règle numéro 1 : acceptez-vous. Arrêtez de chercher à incarner cet être parfait qui n’existe pas et dont personne ne rêve (même pas vous). Qu’est-ce que vous vous reprochez au final ? Faites une liste. S’il y a des aspects de votre personnalité/physique qui vous empêche encore d’avoir confiance en vous, n’attendez plus pour les changer. Ça a assez duré ! Ne repoussez plus au lendemain ce qui pourrait vous faire du bien au cœur et au corps tout de suite. Prenez-le ce rendez-vous chez le coiffeur ou appelez ce coach ou ce psy qui deviendra vite votre meilleur ami. Lâchez-vous.
Ne baissez pas les bras
Règle numéro 2 : ne baissez pas les bras, gardez le moral. C’est bête à dire, mais difficile de trouver la perle rare en pleine dépression. Ce qui se passe à l’intérieur se voit à l’extérieur. Votre attitude en retrait et vos cernes parlent pour vous. D’autant qu’on a tendance à attirer les énergies qui nous ressemblent : essayez d’être stimulant/e et devenez celui ou celle que vous aimeriez draguer. Allez-y, mettez-vous à la place de l’autre, et jugez-vous. Oui, vous avez le droit de parler à votre miroir ou à votre animal de compagnie. Au revoir tristesse.
Faites le tri dans vos relations
Règle numéro 3 : arrêtez de vous en vouloir et de culpabiliser sur le temps qui passe. Vous n’y pouvez rien, et rien n’est écrit (jusqu’à preuve du contraire). Ce n’est pas parce que tonton Roger ou mamie Gertrude vous rabâchent que vous allez finir vieille fille ou vieux garçon qu’ils ont raison. Les gens qui vous parlent de la fameuse horloge biologique ? Et si vous vous débarrassiez d’eux ? Ça peut paraître radical, mais l’heure est venue de connaître vos priorités et de soigner vos fréquentations. Vous valez mieux que ce que vous croyez. En diminuant vos relations "remparts" ou factices, vous ferez davantage de place aux rapports plus porteurs et plus constructifs. Bref, fermez des portes et rouvrez-en d’autres. La vie est un courant d’air, après tout.
Croyez en vous et en vos projets
Règle numéro 4 : sachez ce que vous voulez, soyez sûr/e de vous. Facile à dire ? À faire aussi ! Commencez par lister vos envies. Pas d’à peu près ici, on veut savoir exactement ce que vous voulez, donc ce que vous cherchez et qui en particulier. Le meilleur moyen de vaincre votre solitude, peu importe sa nature, c’est de croire en vous et en vos projets. Comment ça, vous n’avez pas de projets ? Relisez la règle numéro 2 de ce pas. Fini le charisme d’endive, place au charme ravageur et au sourire qui croque la vie à pleines dents. Oubliez que c’est impossible, faites-le.
Quand il s'agit de sexe, faut-il adopter une vitesse proche de l'épreuve du 100 mètres olympique ou plutôt de celle du marathon ? Certaines études prétendent avoir trouvé la durée optimale d'un rapport sexuel satisfaisant. De l'aventure rapide aux exploits tantriques, combien de minutes faut-il vraiment afin d'atteindre le septième ciel ?
Sortez les chronomètres ! D'après certaines études, il existerait une durée idéale du rapport amoureux. Selon des scientifiques américains de la Society for Sex Therapy and Research, il faudrait moins de temps pour avoir un rapport sexuel satisfaisant que pour faire cuire une casserole de spaghetti al dente : les deux partenaires pourraient trouver le bonheur en sept minutes chrono. Ce chiffre date de 2016, et la même équipe avait déjà estimé que cette durée idéale se situait entre sept et 13 minutes en 2012. De quoi tordre le coup au cliché de la jouissance atteinte au bout d'une longue nuit torride et d'ébats durant des heures.
Une méthode de calcul limitée
Si d'autres études établissent le même ordre de durée, elles ne se concentrent cependant que sur une partie bien précise de l'acte sexuel : du début de la pénétration vaginale à l'orgasme. Par ailleurs, elles ne s'intéressent qu'aux couples hétérosexuels, et ne peuvent donc être considérées comme empiriques pour toute une autre partie de la population. Le sexologue Yves Ferroul relativisait ainsi ces données dans un article de l'Obs datant de 2015 : "Ces chiffres peuvent laisser perplexes beaucoup de monde, en précisant des durées qui vont apparaître comme ridiculement brèves pour certains, affreusement longues pour d'autres ou même qui n'évoqueront rien de leur sexualité pour plusieurs". Se concentrer sur la seule pénétration vaginale en oubliant tout le reste n'apparaît donc pas comme la meilleure façon de quantifier un rapport sexuel optimal. C'est encore plus vrai pour les femmes qui sont plus sensibles à la stimulation clitoridienne, et pour qui l'excitation pourrait retomber lors de la pénétration.
De l'importance des préliminaires
Ce qui ressort souvent des études menées, c'est l'importance des préliminaires pour de nombreuses personnes. Un sondage réalisé récemment par une entreprise de sextoys britannique a révélé qu'une majorité de participants estimaient que 30 minutes étaient idéales pour un rapport sexuel satisfaisant complet, mais que la durée moyenne réelle était plus proche des 20 minutes, avec plus de la moitié du temps dédié aux préliminaires. Interrogé par le Journal de Montréal en 2016, Ian Kerner, le thérapeute et auteur du livre "She comes first", expliquait ainsi : "J'encourage toujours les couples à investir du temps dans les préliminaires avant de passer au plat principal. En savourant, le plaisir augmente chez votre partenaire et vous avez donc plus de chance de lui faire atteindre l'orgasme (et vous aussi par le fait même)". Bien se connaître ainsi que son partenaire et ses désirs reste sans doute la meilleure méthode afin d'atteindre le plaisir à deux !
Pratique appréciée par beaucoup d'hommes, la sodomie est encore taboue, voire inimaginable pour certaines femmes. Pourquoi fait-elle fantasmer ? Faut-il se forcer ? Quel plaisir peut-elle procurer ? Comment essayer en douceur ? Les conseils de notre spécialiste.
Est-ce une pratique normale ?
La sodomie n'est plus taboue aujourd'hui mais reste une pratique minoritaire : "Environ 5% des couples seulement la pratiquent régulièrement, ce qui est peu" rappelle Alain Héril, sexothérapeute. Aucune raison donc de culpabiliser ou de se penser anormale si ça ne fait pas partie de votre sexualité.
Pourquoi le fait-elle fantasmer ?
L'idéal reste de le lui demander : "Il est important de discuter avec son partenaire et de savoir ce qui est excitant pour lui dans l’idée de la sodomie. C’est une manière de montrer que l’on s’intéresse à ses fantasmes et son désir mais aussi d’exprimer ses éventuelles réticences", conseille Alain Héril. Pour le sexothérapeute, le plaisir physique éprouvé par l'homme durant cette pratique s'accompagne souvent d'un plaisir très cérébral : "La sodomie est liée chez les hommes à des fantasmes de domination, à une homosexualité refoulée qui s’exprime ainsi de manière plus « acceptable » (ce qui ne veut pas dire qu'il est homosexuel, attention !) et au fait que cet acte sexuel n’est absolument pas lié à la procréation."
Pourquoi bloque-t-elle les femmes ?
"La peur principale des femmes est liée à la douleur éventuelle qu’elles pourraient ressentir. Il peut y avoir aussi un sentiment d’être réduite à un objet voire à une idée d’animalité dérangeante et dégradante", explique le sexothérapeute. En effet, l'acte a une connotation brutale et peut être vécu comme une tentative de domination. La sodomie est aussi souvent perçue comme "sale", même s'il faut se rassurer : il ne reste normalement rien dans le rectum après avoir été aux toilettes...
Dans tous les cas, parler de vos réticences avec votre partenaire est indispensable.
Est-ce que ça vaut le coup d'essayer ?
"Bien entendu, une femme peut éprouver du plaisir à la sodomie" assure Alain Héril. Le canal anal est tapissé de terminaisons nerveuses et se gorge de sang sous l'effet de l'excitation (comme la verge ou le clitoris). Si vous êtes détendue et en avez vraiment envie, les sensations de plaisir peuvent être intenses et mener à l’orgasme. L'étroitesse de la zone augmente aussi le plaisir du partenaire. "La sensation est différente de celle ressentie dans une pénétration vaginale mais ce qui compte avant toute chose c’est le plaisir cérébral que l’on peut éprouver : l'idée de la sodomie doit plaire à la femme pour qu'elle y trouve du plaisir", ajoute le spécialiste.
Comment y venir en douceur ?
Alain Héril tient d'abord à un rappel : "La sodomie ne doit jamais être douloureuse, c’est pour cela que c’est un acte qu’il vaut mieux effectuer avec lenteur, sensibilité et écoute attentive de l’autre…". L'anus a en effet tendance à se contracter et à se resserrer par réflexe et est une zone moins élastique que le vagin, rendant difficile la pénétration. Il faut donc y aller très progressivement pour ne pas causer de douleur. Il est important de maintenir l'excitation, donc la dilatation de l'anus, par exemple en stimulant aussi le clitoris, la vulve... En pratique : Votre partenaire doit chercher à "apprivoiser" lentement et progressivement cette zone, d'abord en caressant l'anus puis en introduisant un bout du doigt puis son pénis, étape par étape, et arrêter en cas de douleur pour reprendre plus tard. Il faut toujours utiliser un gel lubrifiant (de longue durée, à base de silicone) pour enduire la zone anale et le sexe de l'homme car il n'existe pas de lubrification naturelle à cet endroit pour favoriser la pénétration. Le sexothérapeute ajoute un dernier conseil : "Il est préférable que la sodomie, surtout les premières fois, se pratique avec la femme sur l’homme. Cela donne la possibilité à la femme de guider le rythme des mouvements et la profondeur de la pénétration masculine."
Faut-il se forcer ou pas ?
"Surtout pas, pratiquer la sodomie essentiellement pour faire plaisir à son compagnon est inconcevable", tranche le spécialiste. Il faut accepter uniquement si vous avez envie d'essayer, par curiosité, excitation... En vous forçant, vous risquez d'avoir mal (car vous ne serez pas suffisamment détendue) et de provoquer un blocage durable.
Le retrait furtif de préservatif pendant l'acte sexuel, la dangereuse pratique qui inquiète
Le «stealthing» fait l'objet d'une étude
Il fait de plus en plus parler. Le « stealthing » (en français, « furtivité »), une pratique sexuelle consistant pour l’homme à retirer son préservatif lors d’un rapport sexuel sans prévenir sa ou son partenaire, est au cœur d’une enquête publiée il y a quelques jours dans le Columbia Journal of Gender and Law.
A l’origine de cette étude, Alexandra Brodsky, juriste au National Women’s Law Center. Elle a commencé à s’intéresser au phénomène il y a quatre ans, alors qu’elle était étudiante en fac de droit, après avoir appris que de telles pratiques se déroulaient sur son campus.
Des craintes de grossesses et de maladies
Fondée notamment sur des témoignages, l’étude montre que si les expériences vécues sont diverses, des points communs demeurent entre les victimes. En particulier la crainte de « grossesses non désirées et de maladies sexuellement transmissibles ».
Ensuite, « elles et ils ont fait l’expérience d’une violation claire de leur autonomie corporelle et de la confiance placée, à tort, dans leur partenaire », affirme l’étude. Pourtant, la plupart des victimes du « stealthing » peineraient à se reconnaître comme telles.
Une pratique parfois encouragée sur Internet
L’auteure souhaite d’ailleurs qu’une nouvelle régulation soit mise en place aux Etats-Unis pour que ces pratiques puissent être répertoriées au rang des violences sexuelles, au lieu d’évoquer simplement « une expérience sexuelle décevante ».
Car, si sur Internet des forums rassemblent les victimes, d’autres communautés en ligne encouragent largement la pratique, au nom d’un « instinct naturel masculin », procurant même des conseils pour berner son ou sa partenaire. Le « stealthing » y est notamment présenté comme un droit pour les hommes de « propager leur semence ».Le phénomène ne serait cependant pas réservé à la gent masculine. En effet, selon Alix Fox, experte en Sexe et relation chez Durex citée par le Huffington Post (en anglais), les femmes n’hésiteraient pas à compromettre « l’efficacité des préservatifs, en les perçant avec des trous difficiles à voir avec des aiguilles ou en les secouant/écrasant secrètement, afin de tomber enceintes ».
Se lever une demi-heure plus tôt le matin : le secret des couples heureux
Lorsqu’on se rencontre, on s’envoie mille et un textos tout au long de la journée, on passe des nuits entières à se découvrir, des soirées à refaire le monde et se partager l’essentiel. Puis les années passent, les enfants arrivent, les réunions s’enchaînent et on finit par s’envoyer « pain » sans un bonjour avant de s’effondrer le soir venu ou de discuter avec énervement du bulletin du petit ou de la facture du plombier.
Le « couple miracle morning »
Matt Fugate, coiffeur professionnel, et Laura Gammel, son épouse, ont décidé que cela suffisait. En 2017, ils se sont lancé un défi, le #365DayHairChallenge. Le concept ? Se lever chaque matin une demi-heure plus tôt pour passer du temps exclusivement tous les deux. Afin de donner corps à ce moment de détente, ils ont choisi que pendant ce temps, Matt coifferait Laura (laquelle arbore depuis des coupes incroyables qu’elle poste sur Instagram). Votre mec n’a pas la fibre capillaire ? Optez pour l’activité que vous souhaitez (sortir le chien, méditer, peindre, ou faire du yoga à deux), le tout étant de partager dans le calme un moment en duo, où l’on n’évoque rien d’angoissant ni de logistique. Une sorte de « couple » pour se recentrer sur l’essentiel : le bien-être de l’autre.
« On a des agendas de dingue, on travaille tous les deux très dur et on ne se voyait guère plus que pour aller se coucher », raconte Laura à Women's Health Magazine. Cette nouvelle routine du matin les a aidés à retrouver une symbiose un peu érodée. Laura ajoute que si, certains matins, il n’est pas forcément facile de se lever une demi-heure plus tôt, cela vaut vraiment le coup car c’est à ce moment de la journée qu’on est le plus frais et dispo pour l’autre (et que le reste du foyer dort si on a des enfants). Pendant ces rancards de l’aube, le couple mais aussi ses envies, ses rêves, ses projets à deux.
Combien de temps doit durer un acte sexuel ? J’aurais envie de répondre un certain temps.
Dans la nature, les mâles jouissent bien plus vite que les femelles, dont la jouissance reste assez aléatoire. Quant aux hommes, leur capacité à retenir leur orgasme est acquis car nul doute qu’à l’origine de l’humanité, nos ancêtres masculins éjaculaient après à peine quelques va et vient. Quant à la jouissance des femmes, pour la reproduction, elle n’est pas indispensable. La nature se préoccupe de la survie de l’espèce pas de notre plaisir…
Jouissance après cinq à sept minutes
Selon les études sur la sexualité humaine, lors d’un coït, les femmes ont besoin d’une dizaine de minutes pour arriver à l’orgasme. Or, selon les enquêtes, la plupart des hommes éjaculent au bout de cinq à sept minutes. Pas simple donc de se satisfaire mutuellement !
Pourtant, d’après ces mêmes enquêtes, pour qu’un rapport soit satisfaisant pour les partenaires des deux sexes confondus, un rapport doit durer 7 à 12 minutes en moyenne, préliminaires inclus. Mais ça, c’est les enquêtes et dès qu’il s’agit de sexe, elles sont souvent à prendre avec une extrême prudence. Néanmoins, cela montre bien que ni hommes ni femmes n’attendent d’un rapport sexuel une performance sur la durée.
Les hommes apprécient de profiter du spectacle mais doivent entendre que les femmes n’ont pas envie que cela dure trop longtemps, mais que ce soit bien fait.
Méfions-nous tout de même des normes et des chiffres qui sont calculés grâce à des moyennes. La durée d’un rapport sexuel dépend de nombreux paramètres. Par exemple, une femme qui est uniquement clitoridienne ne tient pas spécialement à ce que le coït dure plus de dix minutes en revanche, celle qui est multi-orgasmique, avec des jouissances vaginales intenses, aimera que la relation sexuelle dure plus longtemps.
Le maître-mot : la communication
Il n’y a pas de temps idéal mais, chaque partenaire doit pouvoir accéder à son plaisir. De plus, le temps du rapport peut aussi dépendre des circonstances. Un petit coup vite fait a parfois son charme, d’autres fois, les amants auront plaisir à prendre plus de temps.
La seule solution pour que chacun soit satisfait, pour être sûr d’être sur la même longueur d’onde, est de communiquer.
Voilà néanmoins quelques chiffres intéressants :
Un homme qui éjacule au bout de moins de deux minutes ne peut pas satisfaire sa partenaire.
Pour obtenir un orgasme clitoridien, une femme a besoin d’au moins cinq minutes de stimulation et au moins dix minutes pour un orgasme vaginal
Bien sûr, comme toujours il peut toujours y avoir des exceptions.
Pour en savoir plus :
Enquête sur la sexualité en 2006 de Nathalie BAJOS et Michel BOZON
Philippe BRENOT : Les femmes, le sexe et l’amour ou Les hommes, le sexe et l’amour aux éditions Les Arénes
Sur plus de 3 000 Françaises interrogées, un tiers avoue avoir déjà été infidèles. La cause ? En tête du podium des meilleures excuses, l'"attirance physique" (pour 62%), puis "sentiments pour cette personne" (pour 55%) et, enfin, l'envie de "transgression" et le "manque d'attention du partenaire" (pour 50%). L'étude Ifop précise que, jugé trop "longtemps tabou", l'adultère conjugué au féminin "fait l'objet d'un sentiment d'opprobre social encore plus fort que l'infidélité masculine". Une des raisons pour lesquelles sa hausse "lente mais continue" est flagrante ces 50 dernières années : le pourcentage ayant triplé depuis 1970. Ah oui, dernier chiffre qui pourrait vous intérésser : 4% des sondées trompent actuellement leur partenaire. Par extension, il y a 1 357 200 Français trahis à cet instant-même. À bon entendeur, cocu !
La question du désir est récurrente. C’est sans doute la première cause de consultation auprès des sexothérapeutes. Mais, le désir ? De quoi s’agit-il ?
Une pensée, certainement pas. Ce n’est pas non plus un sentiment, une émotion peut-être. Même si, il est peu souvent évoqué lorsqu’on évoque nos émotions. Si le désir est si complexe à définir c’est justement parce qu’il est très volatile. Il arrive sans qu’on l’ait convoqué et il part sans qu’on puisse le retenir. Les amants n’y comprennent rien car dans une relation, chacun compte toujours sur son partenaire pour maintenir son désir. Alors, il y a les sexologues positifs comme Sylvain MIMOUN qui ne cessent de nous répéter qu’il faut avoir du plaisir lorsque nous faisons l’amour et que ce plaisir maintiendra le désir. Je dirais plutôt l’envie d’avoir envie.
“Ce désir fort et intense existe au début de la relation, faire l’amour est indispensable, c’est notre drogue.”
D’accord, désirer son partenaire peut signifier avoir toujours envie de faire l’amour avec lui. Seulement voilà, ce n’est pas un désir intense qui nous entraine charnellement. Ce besoin irrésistible de vouloir à tout prix s’unir sexuellement dans une jouissance partagée. Ce désir fort et intense existe au début de la relation. J’espère que vous l’avez connu au moins une fois dans votre vie. Dans ces circonstances, faire l’amour est indispensable, c’est notre drogue. Or, ce désir-là (ces effets sont aujourd’hui mieux connus grâce aux neurosciences et aux découvertes des effets de nos hormones) il semble qu’il n’existe que dans certaines circonstances.
Dans la passion par exemple ou encore dans des crises particulières comme suite à la découverte d’un adultère ou d’obstacles qui éloignent les amants. Lors d’une rencontre, les amants s’attirent et en faisant l’amour, ils se remplissent d’ocytocine, la fameuse hormone de l’attachement. Et puis, après quelques mois de vie commune, cet attachement rassure, renforce la tendresse et peu à peu, puisqu’on se sent en sécurité, le désir intense et irrésistible s’éteint peu à peu.
“Mais si ce désir intense, cette boule dans le ventre qui nous fait faire des kilomètres pour retrouver notre amant va s’éteindre, il reste l’autre désir.”
Tout ça pour vous expliquer qu’il est normal que le désir au fil du temps s’émousse. Mais si ce désir intense, cette boule dans le ventre qui nous fait faire des kilomètres pour retrouver notre amant va s’éteindre, il reste l’autre désir. Celui d’être dans l’envie, ou plutôt en vie. Celui-là nous appartient. Faire l’amour est notre meilleur antidote contre la déprime, la maladie. Et la meilleure manière de maintenir notre relation en bonne santé. Seulement voilà, il dépend d’abord de vous. C’est à vous de cultiver votre désir.
Comment ? Tout d’abord en continuant à vous accorder des plaisirs personnels. Puis, en nettoyant tous les paramètres toxiques dans votre couple qui nuisent au désir comme ces rancoeurs, ces conflits larvés, ces critiques, ces non-dits, ces insatisfactions durant les rapports sexuels. En restant un couple d’amants aimants capables de s’amuser et de s’accorder des moments à soi.
Et si vous voulez entretenir le désir chez votre partenaire, continuez à le séduire, surprenez-le, privilégiez le compliment à la critique oui je sais ça c’est difficile. Et enfin, à manier avec précaution, instaurez encore une zone de mystère. Car les philosophes l’avaient dit bien avant les psychanalystes, le désir se nourrit du manque. Alors faites l’amour souvent mais laissez toujours votre partenaire un peu sur sa faim…
Un tiers des Françaises avoue avoir trompé son partenaire
Une Française sur trois confesse avoir au moins trompé une fois son partenaire au cours de sa vie, selon une étude Ifop publiée ce mardi.
Si cette proportion reste égale à un précédent sondage du même type déjà réalisé par l'IFOP, en 2014, elle demeure largement supérieure à celle de 1970 (10%) et de 2001 (24%), constate l’institut. Dans le détail, 41% des femmes chefs d'entreprise confient avoir déjà eu un rapport sexuel avec une autre personne que leur partenaire du moment. Un chiffre qui tombe à 32% chez les salariées du public et 31% chez les salariées du privé.De même, l'infidélité semble avoir une corrélation avec l'inclinaison politique des sondées. Dans la même catégorie, elles sont ainsi 40% à reconnaître une proximité avec... le Front de Gauche ! L'électorat centriste paraît, lui, plus sage (30%), comme celui des Républicains (33%). Autre information : elles sont une majorité (60%) à s'être tournée vers une expérience purement homosexuelle lorsqu'elles ont trompé leur conjoint.
Plus d'infidélité dans le sud de la France
La situation géographique pourrait également jouer un rôle : les régions du sud de la France seraient aussi particulièrement propices à l'infidélité. 45% des femmes résidant dans le Languedoc-Roussillon et 41% en PACA, ont déjà trompé une fois. Elles ne sont que 23% en Haute-Normandie. Néanmoins, les hommes sont bien plus volages que les femmes. En effet, près d’un homme sur deux (49%) reconnaissait en 2016 être aller voir ailleurs au moins une fois dans sa vie.
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Les formes d’infidélités expérimentées par les Françaises varient. Il y a le simple baiser sur la bouche pour 46% d’entre elles, le rapport sexuel (33%) ou carrément la relation extra conjugale (21%). Parmi les réponses aux questions posées par l’IFOP aux 3.406 Françaises ayant participé à l’étude, 4% (soit 650.000) d’entre elles reconnaissaient avoir trompé leur actuel compagnon. Autre constatation, 23% des sondées ne cachent pas qu’elles pourraient, à l’avenir, être infidèles à leur partenaire actuel. Les raisons invoquées sont l’attirance physique (62%), le sentiment pour cette personne (55%), et le manque d’attention ou d’affection de leur conjoint (50%). Et pour dégoter l’amant idoine, 42% privilégieraient un site de rencontres.
Pourquoi un rapport sexuel peut-il être douloureux ?
Un rapport sexuel peut parfois être douloureux lors de la pénétration. Il s'agit de la dyspareunie, une pathologie qui touche les femmes de tout âge.
Au moment de la pénétration des doigts ou du pénis de votre partenaire, vous avez mal. Rien à faire, c'est une sensation de brûlure, d'échauffement, d'irritation ou de coupure qui vous prend à l'entrée du vagin ou dans le bas du ventre. C'est une douleur inhabituelle, qui, peut-être pour la première fois, vous empêche de continuer. Pourtant vous en avez envie, mais votre corps ne suit pas.
C'est ce que le corps médical appelle la dyspareunie, une pathologie qui est très fréquente, qui touche des femmes de tout âge et qui peut découler de nombreux facteurs. La dyspareunie n'est pas seulement féminine, elle peut aussi survenir chez l'homme mais c'est plus rare. Ces douleurs peuvent être chroniques ou ponctuelles et se manifester à n'importe quel moment de la pénétration. La dyspareunie est très handicapante et rend la relation sexuelle très inconfortable, voire impossible, pour une femme.
Des causes variées
Les causes de la dyspareunie peuvent être aussi bien d'ordre psychologique que d'ordre organique. Il se peut que la douleur soit une manière, pour votre corps, de vous faire comprendre que vous n'en avez finalement pas autant envie que vous le pensiez. Cette douleur peut aussi intervenir pour des causes banales : vous n'étiez pas assez excitée avant la pénétration, donc pas assez lubrifiée ou vos muscles du bas-ventre n'étaient pas assez détendus. Des pratiques hygiéniques excessives, comme les douches vaginales - fortement déconseillées - peuvent assécher le vagin et donc le rendre plus sensible à la douleur.
Les causes organiques sont multiples. Il peut s'agir d'une dyspareunie infectieuse due à une mycose, une cystite ou de l'herpès. La douleur peut aussi être provoquée par une pathologie plus importante et qui touche l'utérus, comme l'endométriose. La douleur peut aussi avoir une cause hormonale : un déficit en oestrogènes, naturel ou à cause d'une contraception, peut créer une sécheresse vaginale ou même une atrophie (les parois du vagin deviennent minces et fragiles).
La dyspareunie peut aussi être la conséquence d'un mal-être psychologique comme un dégoût de soi, des ressentiments envers son/sa partenaire ou une culpabilité pour tout ce qui touche à la sexualité. Elle peut également se manifester à la suite d'un abus sexuel ou d'une agression.
Des douleurs différentes
La dyspareunie est différente du vaginisme. Dans le cas du vaginisme, le vagin se contracte dès que vous essayez d'y introduire quelque chose et toute pénétration devient impossible. La dyspareunie ne rend pas impossible la pénétration, elle la rend douloureuse et elle peut prendre plusieurs formes. Il existe la dyspareunie primaire, lorsque la douleur apparaît au début de la vie sexuelle d'une femme et la dyspareunie secondaire, quand la douleur arrive après des années de relations sexuelles satisfaisantes et sans problème.
La douleur peut apparaître avant même qu'il n'y ait une pénétration profonde, c'est la dyspareunie superficielle. La vulve, le clitoris ou le vagin sont douloureux pendant le rapport. Si la douleur apparaît plus tard au moment du rapport on parle de dyspareunie profonde, lorsque le pénis ou les doigts sont complètement dans le vagin. Il arrive que la douleur se manifeste seulement dans certaines positions, elle peut être permanente ou intermittente.
Des traitements possibles
Avoir une vie sexuelle épanouissante est important et la dyspareunie peut être très handicapante. Il est primordial de la soigner, en s'adressant à un médecin. Généraliste, gynécologue, sexologue, peu importe, un professionnel en qui vous avez confiance et qui vous aidera à aller mieux. En vous posant des questions sur votre vie sexuelle passée et présente et en vous faisant passer un examen gynécologique, il saura trouver la cause de la dyspareunie. Le spécialiste peut également vous préscrire des examens complémentaires comme un frottis, une échographie ou une prise de sang.
Si votre dyspareunie est liée à un mal-être psychologique ou un traumatisme, votre médecin pourra vous orienter vers un psychologue qui saura vous écouter, vous épauler et vous permettre de retrouver une sexualité épanouie.
Le terme “impuissance” n’est pratiquement plus utilisé. Aujourd’hui, on parle davantage de pannes d’érections. Considérant évidemment qu’une panne n’est pas définitive. Ce qui est presque vrai à 100 pour cent puisqu’aujourd’hui, il existe de multiples remèdes contre les pénis en berne.
L’impuissance concerne aussi les femmes
Evidemment, l’impuissance ne concerne que les hommes mais elle gêne considérablement la libido des femmes. Une femme qui a un amant ayant des pannes à répétition se sent moins désirable et se met à douter d’elle-même et par conséquence, à plus ou moins long terme, elle se désintéresse de la sexualité. Ce souci n’est donc jamais à prendre à la légère. Si une panne se produit une fois, inutile de s’en inquiéter, tout se passera bien la prochaine fois. Cela probablement dû à la fatigue, à une petite anxiété. Mieux vaut néanmoins ne pas évoquer le sujet. La femme doit rassurer son partenaire sans pour autant dire : « C’est pas grave » car justement, c’est souvent vécu de manière assez dramatique pour lui. Quant à l’homme, mieux vaut passer à autre chose car s’acharner à retrouver une érection risque d’augmenter l’angoisse de performance. La prochaine fois, tout risque en revanche de rentrer dans l’ordre.
La difficulté d’en parler
En revanche, lorsque les pannes se reproduisent, les hommes, bien souvent, ont tendance, au lieu d’évoquer le sujet, d’espacer les rapports par peur de renouveler l’échec. Alors pourquoi les hommes n’osent-ils pas encore en parler facilement à leur compagne et à leur médecin ?
Leur partenaire très souvent se sent visée, responsable (ce qui peut être le cas certes mais c’est loin d’être systématique) et donc réagit mal. Ils aborderont plus facilement la question face à un médecin qui n’est pas leur médecin traitant.
Ne restez pas avec une verge molle
Ce silence est vraiment regrettable car plus l’impuissance s’installe, plus elle provoque des dégâts dans le couple. Tous les hommes ou presque connaissent ou connaîtront des pannes. Et après la soixantaine, il est presque normal de ne plus avoir la même vigueur, c’est le cas pour tous nos organes sans exception.
Ainsi l’impuissance reste tout de même un vrai problème de nos jours et c’est bien dommage.
Alors adaptez votre sexualité sans penser à la performance mais ne restez pas avec une verge molle car c’est dévalorisant pour votre estime de vous-même et il y a toujours une solution adaptée.
Voici quelques conseils pour éviter cette panne :
Si vous vous sentez particulièrement anxieux lors d’un premier rapport avec une nouvelle partenaire, prenez le temps de flirter et ne passez pas à l’acte obligatoirement les premiers soirs. Cet apprivoisement des corps suffira à vous redonner confiance.
Si vous êtes sur le point d’avoir un rapport sexuel et que vous n’avez finalement pas très envie, faites fonctionner votre imaginaire fantasmatique et n’hésitez pas à vous aider de votre main pour retrouver toute votre vigueur.
Si vous commencez à sentir que votre rigidité est moins présente, augmentez le temps de préparation, appelé à juste titre les préliminaires. Et respectez votre temps réfractaire. Ce temps de latence entre deux rapports sexuels qui chez l’homme s’allonge au fil des années.
Enfin si vous avez vraiment des pannes, consultez.
Aujourd’hui, il existe des solutions à toutes, ou presque toutes, les pannes masculines. Même les impuissances totales peuvent se résoudre grâce aux implants péniens devenus très efficaces et discrets. Et bien sûr , les pilules (Viagra, Levitra, Cyalis et Spectra ) sont capables de redonner à l’homme toute sa vigueur à la moindre panne.
10 rendez-vous originaux pour le ou la faire succomber
Et changer du plan ciné-resto !
Dans 99,99% des cas, les premiers rendez-vous d'un couple se font souvent au ciné, au resto, ou dans le bar branché du centre-ville. Du coup, même si les hommes avec qui on passe ce premierrencard changent, on a un peu l'impression de revivre toujours les mêmes choses.
Heureusement, pour casser la routine, on nous a trouvé 10 rendez-vous originaux pour le faire succomber !
Une promenade dans la forêt
Pour changer des sempiternels rendez-vous en ville dans des lieux bondés, les rencards en forêt ou dans les bois sont top : on peut contempler la nature main dans la main, faire des batailles de feuilles, mais aussi graver nos prénoms dans un arbre... so romantic !
Une soirée DVD spéciale nanars
Les nanars, ce sont ces films tellement pourris qu'ils en deviennent hilarants. Pour dédramatiser un peu le côté « on fait un ciné pour notre premier rendez-vous », rien de tel que de proposer à notre rencard de se faire un marathon de DVD avec comme thème « les nanars » !
Retomber en adolescence
Parce que les premiers rencards sont souvent stressants et qu'on se retrouve souvent comme un(e) ado mal à l'aise, pourquoi ne pas jouer la carte de l'ado-attitude à 100% ? On prévoit des activités comme : jouer aux jeux vidéo dans une salle d'arcades, se faire un McDo, aller traîner un peu au centre commercial, et faire un Twister en rentrant !
Le dîner fractionné
Voici une idée qui permet de complètement dépoussiérer le rencard au restaurant : le dîner fractionné. Le principe est très simple : on prend l'entrée dans un resto A, le plat dans un resto B, le dîner dans un resto C, et les boissons dans un resto D. La soirée sera mouvementée et agitée, garantie sans temps mort !
Prendre un cours en duo
De cuisine, de danse, de théâtre, de peinture, peu importe ! Noyés au milieu d'autres personnes,on aura moins la pression ! Et puis ce genre de cours est souvent propice à la rigolade... et à la création d'une toute nouvelle complicité. Surtout les cours de danse, où l'on doit se toucher !
Une activité musclée
Comme le karting, l'accrobranche, l'escalade, le paint-ball... Non seulement il va nous trouver très courageuse et unique en notre genre, mais en plus, ça lui permettra aussi de frimer et de mettre en avant son côté viril...
Jouer aux touristes qui ne parlent pas français
Un bon moyen pour passer un bon moment, apprendre des choses et rire aux éclats ? Proposer à notre rencard d'aller visiter... notre propre ville. Parce que même si on y habite depuis des années, il y a sans doute plein d'endroits et de lieux qu'on ne connaît pas. Alors on achète une carte, et zou, on part en expédition. Le must : dès que l'on s'arrête dans un café, on doit commander en anglais !
Faire une virée en voiture, avec interdiction de tourner à droite
On va chercher notre rencard devant chez lui, et on lui dit qu'on peut aller n'importe où, mais qu'on ne peut qu'aller tout droit, ou tourner à gauche ! Peu importe où l'on va atterrir, le plus important, c'est qu'on va bien rigoler, et arriver dans des endroits improbables... pour des premiers souvenirs mémorables !
Aller à un spectacle d'impro
Ce rendez-vous est top : il est original, pas prise de tête, et en plus, un spectacle d'impro, ça fait intello, mais sans le côté barbant que peut (parfois) avoir le théâtre ! Sans oublier que ce rencard est propice au rire. Et comme dit le dicton, homme qui rit...
Se donner rendez-vous à l'aube
Et lui demander de ramener un plaid, pour attendre le lever du jour avec nous. On pense à ramener un thermos de café aussi, au cas où, ce serait dommage qu'il nous entende ronfler pour notre premier rendez-vous...
Pratique bien courante aux États-Unis, les détectives privés sont appelés à vérifier si un conjoint est infidèle... ou non. Selon une étude du renommé Kinsey Institute for Research in Sex, Gender, & Reproduction en 2011, 19% des femmes ainsi que 23% des hommes avaient admis avoir été adultère. Admis est ici le mot clé. De plus, la définition d'adultère d'une personne à l'autre semble être assez nébuleuse... sur cette question même Bill Clinton acquiescerait. N'empêche. Peggy Vaughn, l'auteure du livre The Monogamy Myth, affirme que 60% des hommes et 40% des femmes auront une aventure sexuelle hors union, et ce, au moins une fois dans leur vie. Une étude de l'Université de Washington démontre que 62% des hommes et 46% des femmes ayant trompé leur conjoint l'ont fait avec un ou une collègue de travail. Vive le télétravail! Néanmoins, ces chiffres sont inquiétants. Avez-vous parfois des doutes sur la fidélité de votre partenaire ? Voici quelques propos recueillis en toute confidentialité de détectives privés qui ne sont que trop familiers avec le modus operandi des partenaires infidèles. De façon générale, certains indices ne mentent pas. Les voici.
Une personnalité narcissique et égoïste
Son leitmotiv ? "MOI, ENCORE MOI ET RIEN QUE MOI". Si votre tendre moitié est le portrait type du narcissique, attention ! Car ce genre de personne n'est pas reconnu pour rester stoïque devant les tentations. La personne est-elle vaniteuse, a un besoin constant de compliments? C'est un trait non négligeable.
Un changement d'attitude
Tout changement d'attitude soudain est suspect. Vous receviez 20 messages de votre Jules et soudainement le nombre de messages chute dramatiquement ? Chérie rentre plus tard, commence le boulot plus tôt, se met à faire du sport, a un nouveau passe-temps avec des amis qui vous sont inconnus ? Votre partenaire devient plus distrait, vous prend la tête ou au contraire, démontre une bonne humeur générale non expliquée ? Votre concubin se met à vous faire l'amour différemment ? Attention. Car si cela n'est bien sûr pas une preuve en soi, un changement comportemental est l'un des premiers signes d'une infidélité.
Une vie sexuelle insatisfaisante
Chez les infidèles, c'est une intimité insatisfaisante, déficiente, la frustration qui en résulte, un besoin de vitalité et de passion au lit qui sont souvent cités. Si votre conjoint se dit moyennement satisfait de vos rapports, tenez-le pour dit. On l'entend souvent, l'insatisfaction sexuelle serait le berceau de l'infidélité... (dixit une étude du Washington Post en 1999, 65% des infidèles blâment une sexualité décevante). De plus, très peu d'hommes et de femmes quittent leur mariage ou font mention de leur infidélité, car ils considéreraient leur comportement comme une façon de préserver leur couple en allant chercher ailleurs ce que leur relation ne peut leur procurer. Le mensonge le plus fréquent lorsque l'infidèle est pris en flagrant délit ? "J'étais justement sur le point de t'en parler..."
Le secret électronique
Un mot de passe sur le téléphone portable. Un second mot de passe sur le téléphone après cinq minutes d'inactivité. Un mot de passe sur des périphériques, sur la connexion à l'ordinateur lui-même et le moteur de recherche. La personne n'accède à son compte Facebook que lorsque vous n'êtes pas à ses côtés. Ne conserve pas ses courriels. Filtre et ne conserve pas son historique d'appels. Se fait poster sa facture téléphonique directement au bureau – et non au domicile. Cette personne n'accède pas à ses courriels personnels devant vous.... Si vous surprenez la personne et que celle-ci cache son écran en réaction à votre présence, c'est mauvais signe. Très mauvais signe, à moins que votre douce moitié ne soit agent double. Cette personne ne vous laisse pas utiliser son ordi. Le portable de votre amoureux(euse) n'est jamais laissé seul et va jusqu'à accompagner la personne dans la salle de bain. Très suspect.
Attention, on ne peut pas improviser un câlin n'importe, où sous peine de se faire très mal ou de récolter une amende.
On aurait tort de le penser : mais il existe vraiment des endroits "dangereux" pour un câlin. Et parfois, il n'y a pas besoin d'aller très loin pour s'en rendre compte. Un lavabo, une gazinière... des objets ou des lieux de notre quotidien peu adaptés aux corps qui bougent et s'échauffent. Vous pouvez en rire maintenant, mais sur le coup, on récolte surtout des bobos ou une grosse frousse. Et oui, il faut savoir "jauger" son environnement avant de se lancer pour un moment passionné, qui, certes, changerait du lit.
En couple, on a souvent besoin de bousculer la routine. Jeux coquins, massages sensuels... et même nouveaux lieux pour faire l'amour. Cependant, il faut éviter de le faire n'importe où. Certaines zones ne sont pas sans risques et il vaut mieux les connaître avant de s'y aventurer. Que ce soit dans un lieu public ou privé, il y a certains détails à prendre en compte. Même si vous avez très envie de votre chéri(e) et que là tout de suite maintenant vous vous en fichez des détails. Prudence quand même....
1. Le balcon
Alors oui, on peut se laisser tenter par l'adrénaline. Mais, là, il vaut mieux éviter. D'abord parce qu'on est pas à l'abri d'une chute, même si le balcon est hyper protégé et que vous ne mettez pas une partie de votre corps dans le vide. Difficile de garder l'équilibre quand le désir vous embrase, alors proche du vide, on ne veut pas imaginer les risques ! Sans oublier vos voisins qui pourraient en profiter pour vous observer derrière leurs rideaux... Glauque et suffisant pour vous convaincre de prendre un apéro (avec des douceurs aphrodisiaques) sur le balcon et filer ensuite à l'intérieur.
2. Le lavabo
La salle de bains, pièce idéale pour avoir un peu d'intimité, lorsque votre famille est à la maison. Cela marche aussi avec votre partenaire (pour changer de la chambre). Alors, devant le miroir, on peut se laisser aller, à deux. Caresses, longs baisers, pour finalement s'accrocher au lavabo. Seulement, le lavabo n'est pas censé être un objet pour soutenir deux corps. On ne dit pas que vous pesez une tonne, mais reconnaissez que le lavabo n'est pas censé porter quoique ce soit à part une petite armoire de salle d'eau. Donc, pour éviter un bruit du tonnerre suivi d'une belle casse, on zappe le lavabo.
3. La gazinière
Comme le lavabo, la gazinière n'est pas faite pour un câlin. Sans compter qu'avec les corps qui bougent, on peut déclencher le bouton qui ouvre le gaz. Ou avoir mal aux fessiers : les embouts des plaques sont un peu piquants et donc peu confortables. Et si vous n'êtes pas seuls dans la maison, il y a de fortes chances pour qu'on découvre, la cuisine étant l'un des lieux les plus fréquentés d'un maison.
4. La douche (ou la baignoire)
Envie d'un câlin aquatique ? Sachez que c'est loin d'être comme dans les films. Le savon pique les yeux et les parties intimes, et la pénétration n'est pas plus facile avec de l'eau. Sans oublier les glissades dans les cas où le sol est rempli d'eau et/ou de savon. Bien entendu, si on prend son temps et qu'on s'appuie là ou cela est possible, le câlin peut être un peu plus "facile". Mais il faut éviter d'être complètement dans l'eau si vous êtes dans une baignoire, car la pénétration peut être délicate et douloureuse pour certaines.
L'hormone de l'amour, l'ocytocine, éveille aussi à la spiritualité
Des chercheurs américains ont cherché à décupler les effets bénéfiques prouvés de la méditation sur le bien-être et la santé en général. Ils ont découvert que l'ocytocine, l'hormone de l'attachement amoureux, pouvait accroitre les émotions positives liés à la spiritualité, comme la gratitude. Derrière la magie d'un coup de foudre, ou la sécurité d'une relation ou encore l'attachement à un enfant se cache une hormone produite naturellement par le corps, l'ocytocine. Produite dans le cerveau au niveau de l'hypothalamus, elle s'active également pendant l'accouchement, l'allaitement chez les femmes et les relations sexuelles. De récentes recherches ont mis en évidence le rôle possible de l'ocytocine pour booster l'empathie, la confiance, le lien social et l'altruisme. Confortés par ces résultats, des chercheurs américains de la Duke University ont fait concrètement l'expérience de donner de l'ocytocine à un groupe d'hommes et un placebo à un autre panel d'hommes.
D'après les résultats, ceux qui ont reçu de l'ocytocine ont déclaré avoir un sens de la spiritualité plus développé dans leur vie, lui donnant une signification plus forte. Ils ont rapporté se sentir davantage connectés aux autres. Sur la base d'un questionnaire, ils ont par exemple noté avec des scores élevés des affirmations comme "toute la vie est connectée" et "il y a un niveau de conscience supérieur ou une spiritualité qui lie tous les êtres humains". Après une séance de méditation, le "groupe ocytocine" a confié avoir éprouvé des émotions plus positives pendant la méditation, y compris la crainte, la gratitude, l'espoir, l'inspiration, l'intérêt, l'amour et la sérénité. À l'issue de cette expérience, les chercheurs ont constaté que l'ocytocine n'agissait pas de manière égale chez tous les individus. Son effet sur la spiritualité était plus fort parmi les personnes porteuses d'une modification du gène CD38, un gène qui régule la libération d'ocytocine dans le cerveau. "La spiritualité est complexe et comprend beaucoup de facteurs", nuance le Dr Van Cappellen, auteur de l'étude. "Cependant, l'ocytocine semble vraiment modifié la manière dont nous percevons le monde et nos propres croyances", conclut la spécialiste.
Vous vous désirez, vous avez envie l’un de l’autre… la vie sexuelle est bien connue pour renforcer l’intimité du couple et l’estime personnelle. Mais abuser des bonnes choses ne serait – a priori – pas nécessaire ! Selon des chercheurs américains, un seul et unique rapport sexuel par semaine serait la fréquence idéale pour se sentir heureux.
S’il n’existe évidemment pas de règles en matière de plaisir, le lien entre sexe et bonheur intrigue la science. Ainsi, des chercheurs ont suivi 30 000 Américains pendant 40 années. Résultat, « les couples ayant en moyenne un rapport sexuel par semaine sont considérés comme les plus épanouis », révèlent des scientifiques de la Society for Personality and Social Psychology. « Le plus important est de maintenir une bonne connexion intime avec son partenaire. Les relations sexuelles quotidiennes ne sont pas nécessaires pour maintenir cette proximité, source de bonheur », explique le Pr Amy Muise, auteur de l’étude.
Un détail, tous les volontaires inclus dans l’étude étaient en couple. « Ce lien entre bonheur et fréquence des rapports sexuels ne vaut pas pour les célibataires ». Lesquels sont plus enclins aux rencontres qu’à la stabilité émotionnelle. Mais que l’on soit en couple ou non, pourquoi le sexe rend-il heureux ?
Faire l’amour libère les hormones du bonheur
Juste avant l’orgasme, le taux d’ocytocine – hormone de l’amour – est 5 fois plus important comparé au niveau de sécrétion normal. Les effets de cette hormone retentissent sur nos émotions. Soit notre capacité à les ressentir et à les exprimer. Ces sensations de plaisir et de proximité accrues avec votre partenaire sont donc aussi spontanées que chimiques !
Pendant l’orgasme, l’excitation sexuelle se traduit ensuite par la libération de sérotonine, hormone du plaisir, et de DHEA. En plus de booster le système immunitaire, cette dernière stimule les fonctions cognitives et favorise aussi la production de collagène. Une protéine à l’origine de l’élasticité de la peau… d’où votre bonne mine dans les heures ou le lendemain suivant les ébats. Le sperme contient lui plusieurs hormones largement impliquées dans la régulation de l’humeur : la testostérone, les œstrogènes, les endorphines, mais aussi l’hormone lutéinisante, la prolactine et les prostaglandines.
Parce qu'un ego de mâle blessé ne pardonne pas, voici le top 10 des phrases à ne surtout pas dire à un mec.
1 - Et tes cheveux c'est en option ?
Il ne faut jamais attaquer un homme sur sa calvitie débutante. C'est LE sujet qui fâche, et leur plus grand complexe avec la taille de leur sexe.
2 - Ah, c'est déjà fini ?
Au lit... Bon, c'est vrai qu'il n'a pas duré très longtemps et que vous n'avez pas eu le temps de jouir mais il y a une autre façon de le dire...
3 - Tu sais, mon ex...
Ne jamais comparer un mec avec votre ex. C'est le meilleur moyen de le blesser et de l'énerver. Il a besoin de croire qu'il est le meilleur, celui que vous attendiez...
4 - Oh non, on va encore voir ta mère !
Même si vous n'appréciez pas beaucoup sa mère, défense de la critiquer ouvertement devant lui ! Vous risquez de le perdre car sa maman, personne n'a le droit d'y toucher.
5 - J'ai couché avec 60 mecs avant toi
Même si ce n'est pas une honte d'être très libérée sexuellement, un homme aime croire qu'il est LE Dieu du sexe qui vous emmène au septième ciel comme aucun autre...
6 - Euh, t'es dedans là ? Je ne te sens pas...
Bon ok, il n'a pas été très gâté par la nature à ce niveau-là mais croyez-le, il en est conscient et il n'a pas envie que vous le complexiez davantage !
7 - Je suis plus grande que toi en fait
Sous-entendu, vous l'attaquez encore sur un complexe de taille !
8 - Ah tu fais du sport ?
On ne dirait pas pourtant Ne jamais dire à un homme qu'il n'est pas assez musclé !
9 - Il est canon ton cousin !
Sous-entendu, il est mieux que toi. Rien de tel pour heurter sa fierté !
10 - Je ne veux plus voir ton pote Mathieu, il me saoule
Les potes, pour un mec, c'est comme sa mère, on n'a pas le droit de s'en prendre à eux !
La simulation de l’orgasme concerne une proportion importante de femmes, avec une fréquence très variable évidemment. Pourquoi font-elles semblant ?
« Les recherches suggèrent que la simulation de l’orgasme par la femme s’inscrit dans une stratégie de rétention du partenaire », explique cette équipe américaine (Oakland University). Mais plus précisément, à quelles attentes de leur compagnon répondent-elles de cette manière ? Les chercheurs ont interrogé un panel de femmes âgées en moyenne d’une trentaine d’années, en leur demandant de citer toutes les raisons d'avoir déjà simulé. Un premier tri a permis d’identifier une centaine de composants, soumis à un autre groupe de femmes, ce qui a conduit à isoler trois raisons principales.
• Le plaisir du partenaire. Sans surprise, la simulation vise à augmenter la satisfaction sexuelle de l’homme.
• La déception et la manipulation. Eviter que le partenaire soit déçu et/ou assurer sa satisfaction afin d’obtenir des avantages (matériels ou non d’ailleurs) au sein du couple.
• La dissimulation. L’intention consiste à masquer un manque d’excitation, voire un désintérêt sexuel, et épargner au partenaire un sentiment de frustration.
Ces éléments ne sont pas exclusifs, ni cloisonnés, et ils peuvent se recouper, sachant qu’ils intègrent chacun des nuances importantes. Et de fait, le sujet est loin d’avoir été entièrement exploré...
A condition d’y croire, l’astrologie est un moyen de savoir si l’on est compatible ou non avec le signe de sa moitié, quant à la numérologie, c’est en fonction des prénoms que vous découvrez si votre relation est prometteuse… Mais qu’en est-il côté psycho ? Découvrez les clefs de la compatibilité amoureuse avec notre spécialiste.
Qui se ressemble s’assemble ? Ou ce sont plutôt les contraires qui s’attirent ? Il semblerait que ce soit un peu plus compliqué que ça… décryptage avec la psychothérapeute Elisabeth Couzon.
Pour la spécialiste, pour qu’un duo fonctionne, il est important de s’entendre sur certaines valeurs. Si les deux personnes ne sont d’accord sur aucune de ces valeurs, le couple aura du mal à tenir. « Il y a des choses toutes simples auxquelles on ne pense pas forcément mais qui peuvent parfois en dire long sur l’avenir de la relation… », explique Elisabeth Couzon.
Les valeurs personnelles
« J’aime la liberté », ou au contraire « je suis plutôt possessif », « je suis généreux », « j’apprécie particulièrement la tolérance ». Une personne tolérante avec une personne qui manque justement de tolérance risque de créer de nombreux clash, une femme qui a un grand besoin de liberté avec un homme possessif va se sentir étouffée…
Les valeurs en rapport aux autres
Le respect, l’amitié, la bienveillance, etc… « Quelqu’un qui aime recevoir des amis à la maison qui vit avec un casanier, va avoir tendance à sentir que l’on envahit son territoire, pourtant l’autre a besoin de ces moments avec ses amis pour se sentir épanoui. », explique la psychothérapeute.
Les valeurs de vie sociale
L’ambition, le besoin de richesse… « Typiquement, on aura des difficultés dans un couple où l’une des personnes a une grande ambition professionnelle, a un besoin d’argent plus grand pour se faire plaisir comme il le souhaite, alors que l’autre se contente du minimum pour vivre, n’a besoin de gagner financièrement que juste de quoi vivre. »
Le style de vie
L’envie de vivre en ville ou à la campagne, est un point important dans un couple. Aussi, notre horloge biologique peut ne pas être la même : on peut être plutôt du matin ou du soir. L’un peut être du matin, être en pleine forme dès le réveil et le soir se coucher relativement tôt, tandis que l’autre peut avoir du mal à démarrer le matin, et n’arriver à s’endormir que plus tard dans la nuit. Difficile dans ce cas de partager des choses en semaine par exemple, lorsque les deux travaillent…
Avoir envie d’avoir un enfant ou pas, avoir envie d’engagement (mariage, emménagement à deux). Pour avancer sereinement, il faut regarder dans la même direction, avoir les mêmes envies pour plus tard.
« Il est important de pouvoir explorer ces axes en début de relation, d’en parler et d’identifier les éventuels points sur lesquels vous ne seriez pas d’accord. Observez comment ces valeurs se manifestent, car une valeur n’est pas simplement une idée, ça s’incarne au quotidien. », explique Elisabeth Couzon.
Peut-on être « trop différents » pour être ensemble ?
Les différences ne sont pas des freins à condition d’avoir assez de choses à partager ensemble. Certaines particularités qui viennent de la personnalité comme le fait d’être calme ou colérique par exemple, le fait de prendre facilement des décisions ou au contraire d’attendre de l’autre qu’il les prenne, d’être dynamique ou passif, peuvent se travailler pour vivre ensemble de manière harmonieuse.
« Les complémentaires s’attirent comme le + et le – d’une pile car l’autre va compléter. Mais attention à ne pas provoquer de frustrations : par exemple la femme est dynamique, l’homme passif, pendant des années elle organise les vacances, puis un jour elle commence à en avoir marre de toujours gérer ça toute seule, elle aimerait que son compagnon s’y mette, mais compliqué de s’y mettre… », précise la psychologue.
On peut ne pas avoir la même personnalité, mais lorsque les deux personnes sont rigides, il peut y avoir des difficultés de compatibilité. Il faut une certaine souplesse des deux côtés pour que cela fonctionne, mais c’est possible !
Côté comportement aussi il peut y avoir des différences, que l’on peut atténuer avec un brin de bonne volonté : une personne perfectionniste avec un bordélique, au quotidien ce dernier va exploser à force qu’on lui impose le fait de ranger constamment, et le perfectionniste va sans cesse être agacé. Si la personne perfectionniste est rigide dans ce cas ça ne marchera pas au quotidien… Encore une fois, il faut de la souplesse des deux côtés pour trouver un juste milieu. Mais deux perfectionnistes ensemble fonctionneront très bien !
On peut aussi parfois constater de l’incompatibilité au niveau de la communication. Un introverti avec une extravertie fonctionne dans un sens : les introvertis sont souvent attirés par leur contraire, mais l’autre va en avoir marre de celui qui ne parle pas. L’extraverti a besoin d’échange, il dira souvent « je ne sais pas ce qu’il pense », il a besoin d’entendre les choses de la bouche de son partenaire. Dans ce cas, la psychothérapeute conseille de travailler sur la communication, pour que chacun puisse trouver sa place et s’exprimer.
Les clefs de la compatibilité amoureuse
La complicité, le rire, et la joie lorsqu’on est ensemble facilitent grandement la compatibilité. Si deux personnes ont la capacité d’échanger dans l’humour joyeux (et non pas sarcastique !), cela donne une légèreté face aux aléas de la vie. Au lieu de se reprocher ses défauts, il faudrait dans l’idéal en rire ensemble. Parler des choses qui ne vont pas, sans attendre d’exploser. Dans ce cas-là le conflit ne peut pas prendre…
« Il faut arriver à se focaliser sur ce qui est vraiment important, ne pas être centré sur ses problèmes, partager des talents, se focaliser sur ce qui rend heureux, sur les petits bonheurs. », conseille Elisabeth Couzon.
Lors d’un premier rendez-vous par exemple, on a tendance à se focaliser sur les similitudes mais on oublie de regarder du côté des différences. Se poser la question « En quoi il est différent de moi ? », aidera à poursuivre la relation avec une plus grande clairvoyance, pour éviter les désillusions. On se rend souvent compte après coup des différences, on voit ce qu’on n’avait pas voulu voir, et on se déchire.
Comme nous l’explique la psychothérapeute, être capable de donner à l’autre ce dont il a besoin, cela s’apprend : « être à l’écoute de l’autre, être dans l’échange, identifier ses besoins, comprendre ce qui est important pour lui, savoir exprimer ce qui fait souffrir, et toujours avoir de la bienveillance...»
Faut-il en arriver jusqu’à changer l’autre ? « Bien sûr que non. Ce qui rend une relation impossible c’est la rigidité. Il faut de la tolérance, de la flexibilité, de l’ouverture à l’autre. Surtout, ne pas être dans le « j’ai raison, tu as tort »… », ajoute-t-elle.
Et si il y a des désaccords sur les valeurs déclenchent des disputes ? Pour Elisabeth Couzon, l’importance est d’arriver à en parler, une dispute peut tout à fait être constructive comme nous l’explique la spécialiste : « Il faut alors faire appel aux différents outils de la communication, on évite le « tu » qui « tue », on parle plutôt de son ressenti, on demande ce que l’autre en pense ? ce qu’il est possible de faire ? Parlez de vos besoins, exprimer vos émotions, ouvrez la discutions. Et pour entretenir cette compatibilité et cette complicité, le couple doit faire des projets ensemble, partager des moments à deux ou avec des proches… »
Sexe oral : les hommes plus à risque de cancer que les femmes
De récents travaux soulignent l'augmentation de risques de cancers oropharyngés liés au sexe oral. Un phénomène qui touche particulièrement les hommes.
Les hommes courent deux fois de plus risques que les femmes de développer des cancers de la bouche et la gorge, via une infection au virus HPV16, contracté par le biais du sexe oral (cunnilingus, fellation). Ce sont les résultats des travaux du Pr Gypsyamber D’Souza, de l’université Johns Hopkins, présentés à la conférence annuelle de l'American Association for the Advancement of Science (AAAS).
Les hommes blancs et d'âge moyen représentent la population la plus touchée. Par ailleurs, il a été démontré selon le Pr D'Souza que plus les hommes ont de partenaires bucco-sexuels, plus les risques d’infection augmentent. Chez les femmes en revanche, le nombre de partenaires ne semble pas avoir d'incidence.
L’étude du Pr D’Souza démontre même que les femmes ayant des partenaires pour des relations sexuelles vaginales présentent moins de risques d’infection au papillomavirus. Cela s’explique par une forte réaction immunitaire qui survient après une première exposition au virus, ce qui protège la femme lors des relations bucco-sexuelles.
22% des cancers liés au sexe oral
À nombre égal de partenaires sexuels, les femmes sont donc deux fois moins exposées que les hommes. « Non seulement, les hommes s’exposent à plus de risques que les femmes de contracter le virus, mais ils mettent aussi beaucoup plus de temps à l’évacuer, car leur réponse immunitaire est beaucoup plus faible », explique le Pr D’Souza.
Si la plupart des personnes atteintes du papillomavirus guérissent au bout d’un an ou deux ans, le virus peut cependant conduire, dans 22% des cas, à des cancers de la bouche et de la gorge. Des chiffres qui ont augmenté de 225% au cours de ces 20 dernières années, selon une étude publiée dans le JAMA en 2012.
Rupture : comment retrouver une sexualité épanouie ?
La fin d’une belle histoire a souvent des conséquences importantes sur la vie sexuelle. Au point que se reconstruire relève parfois du parcours du combattant. Explications et conseils d’Alain Héril, psychanalyste et sexothérapeute.
La rupture, vécue comme un deuil
Deuil : le mot peut sembler fort et, pourtant, c’est souvent ainsi qu’est vécue la rupture amoureuse. Pour peu que l’on ait investi la relation, tous les espoirs et les attentes s’effondrent, comme après la perte d’un être cher. « Il y a un vécu commun, toute une matière émotionnelle extrêmement forte, surtout quand la relation a été longue. Et lorsque tout cela s’arrête, il faut pouvoir abandonner ses souvenirs et renoncer à cet amour qui n’est plus », explique Alain Héril. La blessure est encore plus douloureuse quand la séparation est à l’initiative de l’autre. Elle se teinte d’incompréhension et de sidération. « Certes, on vit dans un monde où le divorce s’est banalisé, mais on pense toujours que ça n’arrive qu’aux autres. » Il faut donc du temps pour accepter la fin d’une histoire, tourner définitivement la page et se préparer à une nouvelle rencontre.
Des étapes nécessaires
« Ce laps de temps où tristesse, chagrin, colère et incompréhension minent tout un chacun est incontournable et retentit souvent sur la sexualité. Certains vont connaître une absence totale de libido. Pour eux, c’en est fini de leur vie intime et amoureuse », poursuit-il. D’autres vont en revanche multiplier les aventures « pansements » pour se prouver qu’ils peuvent toujours séduire. « Mais quand on sort d’une rupture, l’estime de soi a généralement été sérieusement mise à mal et il est nécessaire d’avoir un temps de réflexion et d’introspection pour se reconstruire émotionnellement avant d’aller vers les autres », conseille le spécialiste. En effet, les rencontres éphémères, à moins qu’elles ne soient réellement sans aucun investissement affectif – ce dont il faut être bien conscient pour ne pas se projeter dans l’avenir – peuvent elles aussi être destructrices. « On a la quantité, mais pas la qualité, et les réveils sont parfois douloureux. »
L’habitude de l’autre
De plus, on ne tire pas un trait du jour au lendemain sur une relation qui a duré. « On a pris l’habitude du corps de l’autre, d’une forme de sexualité et d’un lien charnel chargés d’émotions où l’on a ses propres repères. Quand tout cela disparaît, il n’est pas facile de s’abandonner à nouveau dans des bras étrangers », insiste Alain Héril. Pour autant, cette traversée douloureuse et difficile ne signifie en rien la fin de la vie amoureuse, et ce, quel que soit son âge, car chacun a en soi la possibilité de retrouver un nouveau ou une nouvelle partenaire.
Mais encore faut-il s’en donner les moyens. « Le rapport au corps est très important, précise le psychanalyste. Il faut faire un effort pour ne pas se laisser aller et rester dans un espace de séduction et de désir. » Prendre soin de soi, recommencer à s’aimer, à se faire confiance, c’est aussi se reconstruire, se donner une chance de retrouver l’âme sœur et de vivre une sexualité épanouie. Quitte, quand la blessure est trop profonde et qu’on ne parvient pas à remonter la pente seul, à se faire aider. La phase de reconstruction passe alors par la case thérapeute.
Transmission de Zika par voie sexuelle: faut-il s'inquiéter?
La communauté scientifique considère que les cas de transmission sexuelle de Zika ont un faible impact sur la progression du virus. Pour autant, leur prise en compte est importante à plus d'un titre. Explications.
Des cas à ne pas négliger mais un phénomène à ne pas surestimer. Alors que l'on pensait qu'il était essentiellement propagé par les moustiques, un cas de transmission intra-humaine du virus Zika a été rapporté mardi au Texas.
Selon le docteur Tom Frieden, directeur des Centres fédéraux américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), "un voyageur qui s'était rendu au Venezuela est rentré aux Etats-Unis et a développé des symptômes d'infection tout comme la personne avec laquelle il a eu des relations sexuelles et qui n'a pas elle quitté le territoire américain".
Les précédents
Avant le cas enregistré au Texas, deux autres transmissions par voie sexuelle du virus Zika avaient été enregistrés. "En 2008, un scientifique américain en voyage au Sénégal avait été infecté par Zika. Il aurait contaminé sa femme lors d'un rapport sexuel à son retour à la maison", explique le docteur Ed Wright, de l'université britannique de Westminster. Un second cas a été rapporté en 2015 "avec une mise en évidence de Zika dans le sperme d'un patient de Polynésie où l'épidémie a sévi fin 2013/début 2014", ajoute professeur Jean-François Delfraissy, directeur de l'Institut immunologie, inflammation, infectiologie et microbiologie à l'institut français Inserm.
L'impact sur la propagation du virus
En dépit du cas texan, la communauté scientifique estime que la propagation intra-humaine reste "rare". Suffisamment "pour avoir un faible impact sur la propagation de l'épidémie", explique Matthew Baylis, professeur à l'université britannique de Liverpool.
"(Ce) n'est pas à nos yeux un facteur important en terme de santé publique", confirme le professeur Delfraissy. Reste à déterminer ses conséquences sur l'organisme. "En dehors de la femme enceinte, Zika n'est pas grave", observe le Pr Delfraissy. "Le coeur de notre action est la femme enceinte. Il faut à tout prix la protéger par toutes les mesures de précaution et de prévention possibles", dit-il. Car Zika est fortement soupçonné de causer des microcéphalies chez les foetus, de graves malformations crâniennes.
Le port du préservatif recommandé
Comme ses confrères, Jean-François Delfraissy recommande l'utilisation du préservatif lors de rapports sexuels chez les femmes enceintes dans les pays touchés. "Il faut s'assurer que tous les hommes des pays touchés (par l'épidémie) et les voyageurs de sexe masculin revenant de ces mêmes pays utilisent des préservatifs, en particulier, s'ils présentent des maux susceptibles d'être associés à Zika tels que fièvre, maux de tête, douleurs musculaires, arthrite, éruption cutanée ou conjonctivite", renchérit Nathalie MacDermott de l'Imperial College London.
Les autorités sanitaires irlandaises ont quant à elles recommandé ce mercredi le port du préservatif pendant un mois aux personnes revenant des zones touchées, et pendant six mois aux patients présentent des symptômes.
Par ailleurs, le service public de santé britannique (NHS) a décidé ce mercredi d'interdire aux personnes revenant des pays touchés par l'épidémie de donner leur sang ou leurs organes pendant 28 jours, par "mesure de précaution".
Beaucoup d'incertitudes demeurent
Le phénomène "souligne la nécessité de recherches sur la présence de Zika dans le sperme et la durée de cette présence après l'infection", commente le docteur MacDermott. En toile de fond, plusieurs interrogations se dessinent. "Quel est le degré du risque de transmission par voie sexuelle? La majorité des cas des infections étant asymptomatiques, y a-t-il un risque de transmission par des personnes n'ayant pas de symptôme? Toutes ces questions soulignent notre ignorance du virus et le besoin urgent d'une réponse et d'une recherche coordonnée", estime Peter Horby, de l'université britannique d'Oxford.
La littérature ne manque pas concernant les difficultés qui accompagnent la ménopause. Mais qu’en est-il du déclin sexuel chez les hommes et, au-delà de cette limite, le ticket n’est-il plus valable, comme l’affirmait Romain Gary dans le titre d’un de ses romans ? De nombreuses idées reçues circulent à ce sujet. Le point avec Mireille Bonierbale.
Sexualité masculine après 50 ans : le vrai-faux
Le désir sexuel baisse Faux. Le désir est toujours présent. Moins violent, plus nuancé sans doute, mais bel et bien réel. C’est également un âge où d’autres critères entrent en ligne de compte. « Dans un couple pérenne, les facteurs d’attractivité se sont stabilisés. Parfois modulés par les obligations de la vie quotidienne et la routine. Ainsi, avec le temps et l’habitude, la réactivité peut diminuer. Mais un homme seul à la recherche d’une nouvelle relation peut parfaitement retrouver un désirpuissant et le vivre comme un élixir de jouvence et de renouveau », explique la sexologue.
Les préliminaires appartiennent au passé Faux. L’homme de plus de 50 ans est davantage porté sur les préliminairescar ceux-ci vont l’aider à stimuler une excitation qui peut survenir plus lentement. « La différence, c’est qu’au lieu de s’attacher à caresser sa partenaire comme auparavant, il attend davantage des caresses centrées sur ses organes sexuels. C’est cela qui va lui permettre de replonger dans les sensations et le cycle de ses réponses sexuelles. Il revient donc à sa compagne de prendre en compte ce changement de cap dans leur intimité, mais toutes ne le comprennent pas, surtout si elles n’y étaient pas habituées. » Or c’est souvent, notamment chez les couples stables, un tournant de la vie sexuelle où l’homme a besoin d’un petit coup de pouce.
L’érection décline Vrai. Le corps vieillit, les tissus et la musculature sont moins toniques. « C’est l’âge où les facteurs de risque liés à l’obésité, à la sédentarité et à l’hygiène de vie, sont plus fréquents et peuvent avoir une incidence sur la sexualité. Accepter les changements physiologiques, c’est savoir aussi s’adapter et en cela y remédier. » Tout homme passé la cinquantaine se connaît bien et sait exactement ce qu’il apprécie. Se laisser aller, favoriser le peau à peau, prendre son temps, sont des moyens pour réussir à passer ce cap et à poursuivre, à son rythme, une sexualitéépanouie et sereine.
L’éjaculation faiblit Vrai. Avec le temps, le volume du sperme et la force du jet diminuent. « Ce phénomène survient plutôt aux alentours de la soixantaine. Il faut aussi savoir qu’il peut être accentué par une carence de l’hydratation et une hypertrophie bénigne de la prostate, fréquente à cet âge. Mais cela n’a aucune incidence sur la vie sexuelle, sauf si cela devient un facteur d’anxiété qui, lui, peut perturber et retentir in fine sur le bon déroulement des rapports », précise Mireille Bonierbale.
Garder le contrôle devient difficile Vrai. Parfois, quand les hommes sont tendus, anxieux à l’idée de ne plus avoir une réponse toujours aussi « virile », il arrive qu’une éjaculation plus rapide se produise. « Dans le feu de l’action, trop centrés sur le fait de devoir être performants, ils ne maîtrisent plus rien », explique la sexologue.
Le plaisir n’est plus ce qu’il était et l’orgasme laisse à désirer Faux. « Le plaisir change, mais il est plus global et tout aussi fort. Et la sensualité augmente souvent en intensité », souligne Mireille Bonierbale. A une condition : ne pas être focalisé sur ses performances physiques. Il est donc conseillé, là encore, de se faire confiance et de lâcher prise en privilégiant le contact des corps, la tendresse et la complicité dans la rencontre. Pour peu que ces préalables soient respectés, l’orgasme sera bel et bien au rendez-vous, comme par le passé.
L’andropause est une fatalité Faux. Il existe encore une grande confusion entre la ménopause et l’andropause. Ce sont deux phénomènes totalement différents. Chez la femme, c’est un passage obligé qui signe l’arrêt définitif de sa fertilité. Chez l’homme, il n’en est rien. Il peut en effet être père jusqu’à un âge très avancé. « Certes, avec les années, son taux de testostérone diminue progressivement, sans pour autant signifier une perte de l’activité sexuelle. Mais cette diminution en hormones mâles ne touche pas les hommes de façon égale : obésité, alcool, stress et dépression peuvent l’accentuer. C’est donc lorsque ce taux descend au-dessous des variations normales de la testostéronémie* et qu’il s’accompagne d’un ensemble de symptômes – troubles du désir et de l’humeur, fatigue, insomnies – que l’on peut vraiment parler d’andropause ou de Dala (déficit androgénique lié à l’âge). Il est alors possible, sur prescription médicale, de suppléer en testostérone par voie orale, patch ou injection, en contrôlant les bienfaits physiologiques et biologiques. »
* Les limites inférieures des variations normales de la testostéronémie sont de 7 nmol/l de 40 à 60 ans, de 3,5 nmol de 60 à 75 ans et de 0,40 nmol au-dessus de 75 ans.
Quels sont les sept meilleurs sites de rencontres en France?
Face à la multitude des sites de rencontre, il est parfois difficile de faire son choix ! Pour vous épargner la tâche fastidieuse de tous les tester un par un, nous avons sélecionné les dix meilleurs en France. Il y a fort à parier que vous trouverez (littéralement) votre bonheur dans cette liste !
Elite rencontre se positionne comme LE site de rencontre de qualité. Les profils, généralement ceux de célibataires aisés, sont vérifiés manuellement ce qui évite les mauvaises surprises. Si vous voulez un site de rencontre orienté CSP+. Visitez Elite Rencontre >>
Numéro 1 en Europe, Meetic est un site de rencontre généraliste comptant des millions d'inscrits. De bonne facture, le site est destiné à ceux qui veulent avoir du choix, beaucoup de choix. Soucieux de se démarquer pour garder son avance, Meetic innove en proposant des soirées thématiques partout en France. Visitez Meetic >>
Lancé en 2007, Attractive World s'est rapidement taillé une solide réputation avec son slogan « Site de rencontre pour célibataires exigeants ». Ce site impose sélection à l'entrée pour garantir un bon niveau des profils. Attractive World organise également des événements qui attirent des centaines de célibataires. Visitez Attractive World >>
Comme pour certains sites de recrutement, eDarling demande dès l'inscription de remplir un (très) long questionnaire de personnalité. Double intérêt, il décourage les moins motivé(e)s et permet d'affiner les recherches. Ainsi, eDarling possède probablement l'outil de matchmaking le plus performant. Visitez eDarling >>
De tous les sites de rencontre listés ici, Zoosk est probablement celui qui offre l’expérience utilisateur la plus intéressante. La part belle est donnée aux photographies, donc pensez à vous mettre en valeur quand vous postez vos clichés. Visitez le site de Zoosk ! >>
9 réponses aux questions que l’on se pose sur l’orgasme.
Mais quelle est donc cette tempête qui nous transporte par-delà les cieux ? Le docteur Sylvain Mimoun répond à nos questions. Et bouscule quelques idées reçues.
ll y a des questions pour lesquelles on voudrait enfin une réponse : clitoridien ou vaginal ? Des curiosités qui rendent perplexes : le point G, vraiment vous y croyez ? Quelques idées reçues auxquelles on voudrait tordre le cou : las la pénétration profonde ! Et une ou deux vérités revigorantes qui font les matinées belles : vieillir n’empêche pas de jouir, au contraire. Bref, l’orgasme mérite qu’on l’observe et le décrive avec attention. Le détail avec le docteur Sylvain Mimoun, andrologue, gynécologue et psychosomaticien, auteur entre autres, de L’Univers masculin (Le Seuil) et Des maux pour le dire (J’ai lu).
Un orgasme : comment ça marche ?
Quelles que soient les stimulations initiales – caresses du corps ou de l’esprit : fantasmes, rêves, etc. – il faut passer par le cerveau pour que l’orgasme survienne. Plus précisément le cerveau des émotions, c’est-à-dire le système limbique. Ce centre de l’orgasme va, par le biais de nombreux neurotransmetteurs, véritables molécules du plaisir (endorphines, dopamine, acétylcholine, etc.), donner cette sensation de bien-être et d’euphorie tant recherchée.
Au niveau du corps, la peau rougit ; la respiration s’accélère, provoque une suroxygénation du sang ; les battements du cœur varient entre 110 et 180 pulsations par minute ; le visage se déforme sous l’effet des contorsions ; le sphincter rectal se contracte de deux à cinq fois tandis que le vagin et quelquefois l’utérus le font, au même rythme, jusqu’à quinze fois. Les sensations éprouvées, plaisir aigu ou plus diffus, varient selon les individus.
La pénétration suffit-elle à provoquer l’orgasme ?
Certaines femmes peuvent parvenir à l’orgasme par la pénétration vaginale uniquement, à condition que lubrification et excitation soient suffisantes. Cela dit, ce que l’on appelle les préliminaires ont pour but de faire monter l’excitation, de stimuler toutes les zones érogènes, en particulier le clitoris, et donc de favoriser la venue de l’orgasme.
Tomber amoureux, c’est un peu comme prendre une dose de cocaïne ! Les deux expériences affectent le cerveau de manière similaire en déclenchant une sensation semblable d'euphorie. Car votre cœur n’est pas le seul organe qui s’emballe quand vous tombez amoureuse ! L’explication ? Lorsque vous êtes in love, votre cerveau produit deux substances chimiques : la dopamine et la noradrénaline. En clair, tristesse et anxiété disparaissent, et vous êtes envahie de sentiments grisants ! Pas étonnant que l’on soit capable d’autant de choses sous le coup de la passion ! Évidemment, il est préférable d’être accro à sa moitié plutôt qu’à une drogue dure. L’amour est une addiction bonne pour la santé, sans effets secondaires (ou presque).
2. Amour et chocolat ont un point commun
Véritable hormone du "coup de foudre", la phényléthylamine est une molécule proche des amphétamines. Lorsque vous êtes amoureuse, la machine s’emballe, et votre cerveau en produit davantage. On la trouve également, à petites doses, dans le chocolat. C’est d’ailleurs grâce à cette molécule qu'il est connu pour être un antidépresseur naturel. Ce n’est pas une coïncidence si en période de célibat, on se rue sur le chocolat pour compenser le manque…
3. L’amour favorise la croissance des cellules nerveuses
Au cours de la première année d’une love story, il n'est pas rare d'observer une augmentation du "facteur de croissance des nerfs". Il s’agit d’une protéine indispensable au développement des neurones, qui contribue également au bien-être. C’est une raison supplémentaire, s'il en fallait, pour tomber amoureuse !
4. C’est l’adrénaline qui vous donne des papillons dans le ventre
Dès que votre chéri entre dans votre champ visuel, vous avez l’impression que des papillons ont envahi votre ventre ? On connaît toutes cette sensation que l’on éprouve aux premiers émois d’une relation amoureuse. En réponse au stress que vous éprouvez à ce moment-là, votre cerveau déclenche la production de l’adrénaline. Celle-ci chasse le sang de votre ventre, et c’est comme ça que vous ressentez des picotements. Un feeling magique, même si l’explication l’est beaucoup moins !
5. Vos pupilles se dilatent lorsque vous regardez votre amoureux
La science a prouvé que lorsque l’on regarde quelqu’un (ou quelque chose) qui nous attire, nos pupilles se dilatent. D’ailleurs, sous l’effet de l’excitation, vos pupilles peuvent atteindre une taille quatre fois supérieure à leur taille normale. Donc si en plongeant son regard dans le vôtre, ses yeux s’assombrissent, c’est qu’il est accro ! C’est la science qui le dit !
6. Les conjoints peuvent avoir un ADN similaire
Vous pensez que vous avez choisi votre conjoint parce qu’il vous ressemble ? Vous ne croyez pas si bien dire ! Une étude américaine a démontré que les personnes qui ont un ADN similaire ont plus de chances de se mettre en couple.
7. Amour et TOC se ressemblent
Complètement obnubilée par votre nouveau boyfriend, vous le harcelez à coup de textos ? Il y a une explication scientifique à cela ! Des universitaires italiens ont démontré que le cerveau d’une personne qui vient de tomber amoureuse et celui d’une personne souffrant de TOC fonctionnent quasiment de la même façon ! Ceci est dû à une baisse du taux de sérotonine. Pour le romantisme, on repassera…
8. Votre Jules est un antidouleur efficace
On sait désormais que faire l’amour aide à soigner de nombreuses maladies. Mais une étude menée par des psychologues de l'université de Californie démontre aussi les effets apaisants de l’amour. En effet, prendre votre Jules par la main aiderait à soulager la douleur physique. Dans certains cas, le simple fait de regarder sa photo suffit !
9. On peut être ivre d’amour, littéralement
Des scientifiques anglais ont révélé que le sentiment amoureux a, sur le cerveau, des effets similaires à la consommation d'alcool. C’est l'ocytocine, l’hormone de l’amour et de l’attachement, qui en est responsable. Elle désinhibe et booste la confiance en soi. Mais elle peut aussi provoquer jalousie et agressivité, tout comme l’alcool.
La partie du corps qui complexe une grande majorité de Français
Un sondage réalisé pour le site de rencontre Meetic révèle qu'une grande majorité de Français sont complexés par leur corps, et une zone précise remporte la majorité des voix chez les femmes aussi bien que les hommes. Pourtant, beaucoup d'entre eux se disent prêts à l'assumer, signe de confiance en soi.
Si garder la pratique d'un sport pour garder la ligne est un objectif pour beaucoup de Français, il n'empêche qu'une grande majorité n'est pas très à l'aise avec son corps. Selon un sondage Yougov mené pour le site de rencontres Meetic, beaucoup se sentent en effet complexés par leur physique et ne se font pas prier pour pointer du doigt les défauts qu'ils aimeraient bien gommer. Ce dernier montre que près de 7 Français sur 10 (67%) déclarent ne pas aimer un ou plusieurs éléments de leur silhouette avec, en tête, le ventre (39%).
Plus précisément, ce petit défaut est cité en premier (39%), devant les poignées d'amour (31%) et le nez (19%). Les plus insatisfaites de leur silhouette sont de loin les femmes, plus promptes à se reconnaître des défauts. Ainsi, 29% des sondées n’apprécient pas leurs cuisses, par rapport à seulement 4% des hommes. Plus de 1 Français sur 2 n'hésite pas alors à cacher leurs imperfections au quotidien, une proportion qui atteint 72% chez les femmes interrogées. Plus l'occasion est importante, plus cette tendance se renforce.
Assumer ses complexes rend attirant
De fait, lors d’un événement où ils pourraient faire de nouvelles rencontres, 56% des Français cachent leurs petits défauts. Cette petite habitude atteint même 60% chez les célibataires lorsqu’ils se rendent à un premier rendez-vous. Les réseaux sociaux ne sont pas épargnés, puisque considérés comme un "lieu" où "les diktats de perfection sont toujours présents", explique le site, qui décrypte le sondage. Seulement très peu de personnes interrogées (24%) affirment y poster des photos mettant en scène leurs défauts, et elles sont encore moins nombreuses (14%) à l'assumer.
Un phénomène encore plus poussé chez les 25-34 ans, qui sont 30% à choisir une meilleure photo de profil si un rendez-vous amoureux se profile. Pour autant, les mots-clés qui recueillent le plus d'avis favorables sur Internet s'ils devaient être utilisés pour décrire leurs imperfections sont #natural et #jassume (15%), suivi de #notperfect (14%) et #authentique (13%). Car c'est là que se trouve tout le paradoxe : les sondés sont encore plus nombreux à estimer que les imperfections donnent du charme, et que les assumer rend encore plus attirants.
"56% des Français interrogés reconnaissent qu’ils n’ont pas besoin d’avoir l’air d’être parfaits pour plaire", précise le site. D’ailleurs, près d’un tiers (32%) d’entre eux va plus loin, et estime qu’assumer ses imperfections ajoute au charme d’une personne. Mieux vaut donc assumer ses petits défauts puisque cela peut souvent être bien perçu par autrui : une majorité de sondés (57%) estime qu'il s'agit d'un signe de confiance en soi, tandis que 37% l’associent au naturel et 28% à l’authenticité. Bref, personne n’est parfait et les Français en sont conscients.
Quel est le meilleur moment pour faire l’amour en fonction de votre âge ?
Le matin au réveil, après une dure journée ou en plein après-midi, il y a forcément un moment où notre libido culmine. Et que ce soit en fonction de notre rythme de vie ou simplement de nos petites habitudes, chacun est différent.
Le Docteur Kelley, expert du sommeil à l’université d’Oxford (au Royaume-Uni) a expliqué sa théorie au Daily Mail. Notre horloge biologique change tout au long de notre vie : dormir, manger, faire du sport et avoir des relations sexuelles, il y a un temps pour tout, qui varie à chaque décennie. Alors, qu’elle est la meilleure heure pour s’adonner aux pratiques charnelles ?
À 20 ans : 15h
L’âge où la libido est certainement la plus flexible, mais le Dr Kelley conseille le début d’après-midi pour son pic d’énergie.
À 30 ans : 8h20
Une vie active intense, des enfants en bas âge... Mieux vaut donc s’y adonner le matin au réveil, et commencer la journée du bon pied. ###twitter###
À 40 ans : 22h20
L’heure à laquelle les effets de votre partie de jambes en l’air a le plus de chance de vous relaxer. La libération d’ocytocine (l’hormone de l’amour) favorise le repos. De bonnes nuits en perspective.
À 50 ans : 22h
Un peu plus tôt qu’à la quarantaine. Avec des journées tout de même bien remplies, le corps a besoin de se revigorer.
À 60 ans et plus : 20h
À la retraite, les journées sont décalées. On se lève plus tôt, on se repose l'après-midi et en on profite, juste avant ou après le dîner (léger).
Sexualité : ce que les Français font sous la couette
Sexualité : ce que les Français font sous la couette
Une étude Ipsos pour le compte du site Amorelie vient de se pencher sur les pratiques sexuelles des Français en réalisant un sondage sur 1 005 personnes.
On y découvre tout d'abord que, si le nombre moyen de partenaires sexuels au cours de sa vie est de 9,5, les disparités sont importantes selon les catégories. Ainsi, les hommes ont 11 partenaires sexuels, les femmes seulement 8. Les habitants d'Ile-de-France 16, contre 8 pour les provinciaux. Ou encore, les moins de 35 ans 6, pour 11 chez les 35 ans et plus. Mieux vaut donc être un homme de plus de 35 ans et francilien si on veut multiplier les conquêtes !
Le sondage s'est aussi penché sur la notion du plaisir, parmi ceux ayant eu un ou plusieurs partenaires. Si 39 % estiment avoir pris du plaisir avec «tous ou presque»,, ils sont quand même 19 % à n'en avoir pris qu'avec «moins de la moitié» ou «aucun».
Tout bon sondage sur la sexualité des Français interroge sur les pratiques, des plus courantes au plus inavouables. Sans surprise, la fellation et le cunnilingus sont les pratiques sexuelles (hors pénétration classique) les plus répandues avec 70 % de pratiquants et 3 % qui aimeraient bien le faire un jour. Suivent sur le podium, la sodomie (36 % l'ayant déjà fait et 6 % qui aimeraient bien) et l'amour dans un lieu public (29 % et 10 %). A l'inverse, l'échangisme recueille le plus d'opinions défavorables (89 % ne le pratiqueront jamais). Mais comme le dit le proverbe, chacun prend son plaisir où il le trouve.
Orgasme féminin: 10 mythes auxquels on croit encore
10 mythes sur l'orgasme féminin auxquels on croit encore
Le corps de la femme est complexe et mystérieux, surtout en matière de sexe et d'orgasme. Bon nombre de femmes ne comprennent pas leur propre anatomie ou leurs stimuli sexuels, il n'est donc pas étonnant de voir que leurs partenaires aient autant de difficultés à les satisfaire.
Et avec tous les mythes et légendes qui circulent sur le sujet, la situation n'est pas près de s'arranger.
Succomber au plaisir de la chair, c’est bon pour le moral mais aussi pour plein d’autres raisons. Entretenir son cœur, garder la ligne, réduire le stress ou tout simplement être heureuse… Fourchette & Bikini vous donne 10 bonnes raisons de faire l’amour plus souvent.
1. Brûler des calories
Pourquoi se fatiguer à courir et à faire du fitness quand on peut brûler des calories en faisant l’amour, franchement ? En faisant l’amour debout, on perd près de 600 calories. Alors, pourquoi s’en priver ?
2. Avoir une belle peau
Lorsque l’on fait l’amour, on transpire et produit plus d’œstrogènes qu’en temps ordinaire. Quand les hormones se déchainent cela purifie notre peau et la rend plus éclatante.
3. Entretenir son cœur
Les hormones sollicitées quand on fait l’amour font travailler le cœur. Des études ont même démontré que plus on fait l’amour régulièrement, plus on diminue les risques cardiovasculaires.
4. Mieux dormir
Rien de tel qu’un bon orgasme pour dormir comme un bébé. Le cocktail d’hormones libéré à ce moment-là est détonnant ! Il procure une incroyable sensation de bien-être qui nous pousse tout droit dans les bras de Morphée.
5. Réduire le stress
Les endorphines, hormones du bien-être, sont libérées en grande quantité pendant nos ébats. Cela a pour conséquence de réduire le stress tout en boostant notre bonne humeur. Oubliez le yoga, faites l’amour plus souvent !
6. Prévenir certains cancers
Faire l’amour plusieurs fois par semaine renforce nos défenses immunitaires puisque l’on fabrique des anticorps qui nous protègent des infections. Conserver sa santé tout au long de sa vie en se faisant du bien, on dit oui !
7. Rendre plus intelligent
Incroyable mais vrai ! Faire l’amour régulièrement favoriserait la connexion entre les neurones. Laissez vos bouquins en plan et allez vite retrouver chéri sous la couette !
8. Être heureuse
Non seulement on se sent belle et désirée, mais en plus, les hormones interviennent pour vous rendre tout simplement heureuse. La dopamine est antidépressive, les endorphines réduisent l’anxiété et l’ocytocine, hormone de l’attachement, possède un effet antistress !
9. Renforcer les liens
Eh oui, il n’existe pas d’autre manière pour être plus proche de quelqu’un. L’ocytocine, hormone de l’attachement, est libérée en grande quantité. Résultat : plus on fait l’amour, plus on s’attache à son partenaire et plus on est heureux !
10. Soulager la douleur
Le sexe permet de soulager les douleurs. Très efficace pour détendre nos muscles et combattre la migraine notamment ! Et puis, entre nous, quand on a des soucis, il n’y a rien de mieux qu’une partie de jambes en l’air pour se changer les idées…
Certains signes ne trompent pas pour savoir si vous êtes amoureux. Vous êtes en couple mais doutez de vos sentiments pour votre femme ? C'est normal. Et cela ne signifie surtout pas que vous ne l'aimez plus !
De nombreux hommes se posent la question : "Comment savoir si j’aime encore ma femme ?" Et vous en faites peut-être partie. Il est vrai qu’après de nombreuses années passées ensemble, il n’est pas toujours simple de différencier les sentiments de l’affection.
Vous aimeriez savoir quels sont les signes qui ne trompent pas et qui prouvent que vous êtes encore amoureux ? Comment mettre des mots sur ce que vous ressentez réellement pour votre partenaire ? Quelles sont les différents moyens de mesurer ses émotions sentimentales ?
La vie amoureuse est le moteur principal de votre quotidien. Lorsque vous êtes dans une vie de couple qui vous rend heureux, alors c’est toute votre vie qui s’égaie. En revanche, quand la passion des premières années s’amenuise et que la routine commence à pointer le bout de son nez, de nombreuses questions se bousculent dans votre tête.
Pour autant, il est nécessaire de ne pas se focaliser uniquement sur le négatif car, en réalité, vous ne voyez plus votre bien-être qui est pourtant bien présent !
Les habitudes peuvent tromper vos sentiments réels
La première explication à l’arrivée de cette fameuse question "Comment savoir si j’aime encore ma femme ?", se trouve dans le fait qu’en tant qu’être humain, nous recherchons continuellement à créer des habitudes.
C’est ainsi que tout ce que votre femme faisait par le passé de positif – comme se faire belle pour votre sortie du samedi soir, prendre plaisir à vous passer la main dans les cheveux devant un film, vous caresser le dos ou tout simplement vous mijoter des bons petits plats – ne sont devenues que de simples habitudes. En somme, tout ce qui était "génial" est devenu "normal" ou "commun".
Et pourtant, prenez bien le temps de considérer que si vous êtes tombé amoureux de cette femme en particulier, c’est qu’il existe une multitude de raisons qui vous y ont poussé.
Tout cela pour vous dire que si vous doutez de vos sentiments à son égard, il est temps de refaire le fil de votre couple et de reprendre les habitudes que vous avez créées et qui vous surprenaient autrefois.
Est-ce un problème général ou simplement lié à votre femme ?
Dans un deuxième temps, on se rend compte qu’au fil du temps, deux partenaires peuvent évoluer vers des visions différentes du futur, de leur choix de vie ou tout simplement de l’éducation des enfants. Il n’est jamais facile d’être sur la même longueur d’onde et ces différences vous font peur. "Pourquoi n’arrivons plus à parler comme à notre habitude ?", "Pourquoi ma femme ne me fait plus vibrer dans sa vision de la vie ?" ou encore "Je ne ressens plus la même attirance physique parce qu’elle se néglige".
Si vous souhaitez prendre le temps d’étudier votre femme, vous devez également être en accord avec vous-même. Vous ne pouvez pas demander à votre partenaire d’être la femme idéale si vous n’êtes pas vous-même l’homme que vous avez toujours voulu être.
Alors, un bon moyen de savoir si vous aimez encore votre femme est de tout faire pour devenir vous-même l’homme que vous souhaitez être afin de ne pas mélanger un quotidien morose qui ne vous rend pas heureux et votre situation amoureuse.
Pourquoi les sentiments s’estompent dans un couple ?
Pour savoir si vous aimez encore votre femme, il est nécessaire de regarder quelles sont vos envies au quotidien. Avez-vous un désir ardent de lui faire plaisir ? De la surprendre ? De la chérir ? Si ce n’est pas le cas, alors demandez-vous simplement pour quelles raisons aujourd’hui vous avez perdu la flamme. En règle générale, il y a deux réponses à cette question.
Soit vous considérez votre femme comme acquise et vous avez laissé l’un et l’autre la routine s’installer. Cela ne signifie pas que vous ne l’aimez plus mais vous avez perdu dans un sens goût à la vie.
Dans un autre cas, vous êtes étouffé par une attitude oppressante de votre femme basée sur de la jalousie et la peur de vous perdre. Vous ne savez plus comment réagir et vos sentiments diminuent de jour en jour. Pour savoir si vous l’aimez, vous devez surtout arrêter de la protéger, c’est le meilleur moyen pour qu’elle prenne conscience de votre malaise et qu’elle essaie de vous aider à retrouver vos sentiments en modifiant son comportement.
Il n’est jamais simple de se poser des questions sur ses propres sentiments, jamais facile non plus de faire face à un manque d’amour pour la femme que vous avez aimée de tout votre cœur. Pour autant, le meilleur conseil que je puisse vous transmettre est de ne pas chercher à la protéger et de dire les choses comme vous les ressentez, tout en sélectionnant les mots adéquats afin de transmettre votre message.
Je vous souhaite le meilleur dans votre vie amoureuse, et faites bien attention à ne pas mélanger manque de sentiments et vie de couple moins trépidante.
Les hommes préfèrent-ils vraiment les femmes épilées ?
L’épilation intégrale du maillot, c’est dépassé ?
Si de plus en plus d’hommes sont adeptes de l’épilation, avouez, messieurs, que vous êtes aussi sensibles à la façon dont madame s’épile le maillot...
Pendant de nombreuses années, les femmes ont eu l'impression qu'il fallait être aussi imberbe que les actrices de films X pour plaire à la gent masculine. Or, il semblerait que le naturel revienne au galop et que ces messieurs ne soient pas contre.
Un buisson plus naturel et vintage pour Gwyneth Paltrow
Certaines célébrités, et pas des moins sexy, n'hésitent pas à opter pour un buisson plus naturel. Ainsi, en septembre dernier, l'actrice Gwyneth Paltrow a expliqué sur le plateau du Ellen Degeneres Show « afficher un look assez années 70 au-dessous de la ceinture ».
Taille « soignée », triangle des Bermudes et ticket de métro
Sur le même sujet, le Telegraph britannique s'est fait l'écho il y a quelques jours d'un sondage mené auprès de 1870 femmes britanniques par le site en ligne UK Medix. Il a montré que 51% des personnes interrogées « ne taillent pas leurs poils pubiens », et 45% ont reconnu « qu'elles en avaient marre de s'en occuper ». Mais qu'en pensent les hommes ? 62% de ces mêmes femmes ont expliqué que leur partenaire « préférait le style naturel ».
En avril 2013, la marque de cire à épiler Nads avait interrogé un millier d'hommes pour connaître leurs préférences en matière de pilosité pubienne chez leurs partenaires et les résultats étaient comparables. Ces messieurs disaient aimer en majorité une taille « soignée », on est donc loin de l'épilation intégrale qu'arborent les stars du porno.
43% des hommes interrogés ont expliqué préférer les femmes les plus naturelles possibles affichant un « triangle des Bermudes ». 17% disaient préférer le ticket de métro, et seulement 12% l'épilation intégrale.
Et vous, comment préférez-vous voir une femme épilée sous la ceinture ?
Sexe : ces autres parties du corps qui excitent les hommes
Quelles sont les parties du corps féminin les plus excitantes, d'un point de vue purement masculin ? Au-delà des fesses et des seins, un peu trop classiques, certaines zones moins conventionnelles peuvent aussi provoquer l'excitation.
Fantasme : les seins et les fesses
C'est bien connu, ce que les hommes regardent en premier chez nous c'est nos seins et nos fesses. Les parties les plus sexuées de la femme attisent le désir masculin. Rien de plus classique. Mais c'est oublié qu'en sexualité, il n'y a pas de règles. Et en matière d'excitation, nous ne sommes pas égaux.
Les hommes peuvent également être attirés par des parties de l'anatomie féminine auxquelles on ne pense pas spontanément.
Pour les uns, ce sera la vue d'une nuque féminine dégagée par un chignon relevé ou une coupe au carré. Pour d'autres, l'attirance passera par la beauté des pieds : une paire de talons aiguilles suffira pour monter le degré d'excitation. Ou des grains de beauté placés au coin de la bouche qui donneront envie à certains de nous embrasser.
Des fantasmes pour tous les goûts
Les cheveux, la bouche, le regard, les mains… la liste des zones qui stimulent nos hommes est infinie." L'imaginaire sexuel et érotique peut s'accrocher à toutes les parties du corps voire des objets extérieurs", confirme Joëlle Mignot*, psychologue et sexologue clinicienne.
Dans l'érotisme, l'imagination ne connaît pas de limites. Ainsi Salvador Dali est-il tombé amoureux de sa muse Gala en tombant en admiration devant son dos.
Sans être un artiste, notre quotidien est aussi matière à fantasme. La sexologue Catherine Solano raconte : "J'ai un patient pour qui la simple vue d'une cheville dans le métro le fait fantasmer". Ou encore cet homme qui adore les bouches fines tout en trouvant "monstrueux" la mode des bouches pulpées au collagène.
Aussi divergentes qu'elles soient, ces attirances remontent toutes à une histoire personnelle. "Elles sont toujours liées au passé de celui qui les éprouve. Certaines images ou des expériences vécues laissent des empreintes dans notre vie sans qu'on s'en aperçoive", explique Catherine Solano*. Notre amoureux des lèvres fines se rappelle que lorsqu'il était enfant sa mère avait une amie dont la bouche fine l'a toujours fasciné.
A contrario, quand les souvenirs ne sont pas bons, ils peuvent devenir de véritables répulsions. " Une patiente m'a avoué que dans le visage de son mari, quelque chose la dérangeait et qui la bloquait au niveau désir". Ici, l'aversion pour ce qui apparaît comme un détail peut s'avérer totalement rédhibitoire dans un couple en tuant tout désir et relation charnelle. Le fantasme fonctionne de la même façon : il peut nous jouer des tours voire devenir un handicap s'il sort de notre imaginaire pour rejaillir sur nos actions. Le fantasme est bon pour la libido, mais à condition de savoir le doser et le relativiser.
Russie : quand la chute du rouble devient (très) sexy
La fréquentation du site Ruszen.ru a explosé depuis la chute du rouble... et depuis qu'il propose des photos de jeunes filles légèrement vêtues
Un site russe affiche en temps réel les taux du rouble par rapport au dollar et à l'euro en incrustation sur des vidéos très explicites de jeunes femmes.
Depuis lundi dernier, les Russes ont les yeux braqués sur le cours du rouble. La monnaie russe s'est effondrée lundi de pratiquement 10 %, puis de 7 % mardi. Mais est-ce bien les courbes du rouble qui les intéressent ? Sur le site ruszen.ru, les internautes ont accès, en direct, à la dégringolade de leur monnaie. Mais, à la différence des sites classiques, les cours s'affichent sur des images de femmes fort peu vêtues, et dans des positions qui peuvent faire oublier la réalité économique... À droite le cours du rouble par rapport au dollar, au centre par rapport à l'euro, à gauche par rapport au prix du baril (en dollars). Les chiffres s'affichent en temps réel. Quant aux bimbos lascives, il suffit de cliquer sur l'écran pour en changer.
Accédez au site internet, Ruszen.ru
Ce site existe depuis décembre en Russie. Il a d'abord été illustré par des cheminées et des méduses. Mais, depuis l'arrivée d'accortes jeunes filles, il est devenu en quelques heures l'un des plus populaires sur la Toile russe. Le premier jour, 160 000 visiteurs uniques ont été fascinés par les aléas monétaires...
Pour les personnes peu sensibles aux postures de ces jeunes femmes, le site se décline aussi dans des versions moins "osées". Il est ainsi possible d'illustrer les taux en direct par des paysages paradisiaques ou des vagues. Le tout accompagné par une musique zen et douce pour pouvoir se relaxer en voyant le rouble s'effondrer.
Sexo : les clichés véhiculés sur la sexualité féminine
Les hommes et les femmes ont des désirs et des besoins différents en matière de sexualité. Pourtant, il pèse sur les femmes le lourd passif de l'éducation et des idées sexistes véhiculées par une société foncièrement machiste. Les femmes ne sont pas plus romantiques que les hommes qui ne sont pas tous des machos avides de pornographie. En réalité, les hommes et les femmes ont et besoin d'amour et besoin de sexe, parfois en même temps et parfois pas. Marie Minelli, auteur de « Les filles bien n'avalent pas et autres clichés... » tente de rétablir la vérité sur la vie sexuelle des filles.
Quelles sont les idées reçues les plus ancrées dans notre société ?
Que les femmes ont une sexualité différente de celle des hommes: plus douce, plus tendre, plus basée sur les sentiments.... tandis que les hommes seraient des gros bourrins. Partant de ce principe, tout est décliné à travers une suite d'idées reçues, de clichés voulant que les femmes aiment le sexe rose et propret, et que les hommes désirent uniquement rejouer des scènes de films pornos. Dans la vie, on peut être une femme et adorer les images pornographiques, ou un homme et avoir envie d'un missionnaire dans des draps frais. Et si la vie n'était pas aussi manichéenne ? Et si la sexualité des hommes comme celle des femmes étaient un panaché de ressentis, d'émotions, de désirs et de fantasmes.
Qui véhiculent les idées reçues sur la sexualité féminine ?
Tout le monde: vous, moi... Bien sûr les magazines féminins et leur discours sur la sexualité; mais aussi la majorité des médias plus traditionnels. L'éducation porte aussi sa part de responsabilité.
Quels avantages pour vous y a-t-il à ne plus être une fille « bien » ?
Il n'y a pas d'intérêt particulier à se cataloguer fille bien ou fille pas bien. L'idée que je défends est simplement la suivante: les femmes ont le droit de vivre la sexualité de leur choix, de leurs envies... On ne juge pas une personne sur sa sexualité. Même si bien évidemment, j'adore cette phrase: "Les filles bien vont au Paradis. Les mauvaises filles vont où elles veulent !"
Et les garçons, ils préfèrent les filles « bien » ou les filles « pas bien » ?
Dire que "les garçons préfèrent les filles comme ci... ou comme ça..." ce serait valider une idée reçue, généraliser à l'ensemble d'un des deux sexe. Il existe des hommes qui n'aiment pas la sodomie. Qui n'aiment pas les filles qui couchent facilement. Il y a des hommes qui aiment qu'on leur marche sur les mains avec des talons aiguilles ou qu'on leur fasse pipi dessus, et il y a des hommes qui aiment mettre des fessées au lit pendant qu'ils crient "Marceeeeel c'est bon" à leur partenaire (qui s'appelle Emilie). L'essentiel reste que la rencontre fonctionne, se fasse entre deux personnes qui ont envie des mêmes choses.
L’échangisme intéresse de plus en plus de Français
Les coquins d’abord! Emmenés par Dodo la Saumure et sa passion pour les clubs libertins, les Belges sont les seuls à devancer les Français en matière d’échangisme. C’est une très sérieuse enquête menée par l’institut Ifop et publiée vendredi pour le compte du site de rencontres Netechangisme.com qui l’affirme.
Alors qu’ils n’étaient que 2,6% en 2006, les Français sont aujourd’hui 7% à affirmer avoir «déjà fréquenté un lieu échangiste au cours de [leur] vie». Si les Belges sont donc 9% à affirmer la même chose, les Britanniques affichent un taux de 6%, devant les Allemands et les Italiens (5%).
Les hommes bien plus nombreux que les femmes
Comme souvent en matière de sexualité, les hommes sont moins pudiques ou plus vantards que les femmes sur le sujet. Ainsi, 11% des hommes français affirment avoir déjà fréquenté ce type de club contre 3% pour leurs alter ego féminins.
Et la libération de la parole sur le sujet concerne, a priori, toutes les pratiques possibles. 5% des Français interrogés (hommes et femmes réunis) affirment en effet avoir «déjà pratiqué l’échange de partenaires entre couples» dans ce type de club, contre 2% seulement en 2010. Même tendance pour ce qui est des rapports sexuels: 6% des personnes interrogées reconnaissent avoir des rapports lors de ce type de sorties alors qu’ils n’étaient que 1,4% en 2006.
Si l’on imagine le sexe féminin comme un nid que le pénis va visiter pour y faire sa place et laisser son empreinte, on comprend mieux que la femme, plus que l’homme, ait besoin d’établir une relation de confiance. Rien de tel, donc, que la tendresse, et plus encore l’amour et la curieuse idée de connaître l’autre parfaitement au nom de ce sentiment, pour se sentir en sécurité à la perspective du coït.
S’ajoute à cela l’interdit séculaire du désir féminin, suspecté d’être vorace et insatiable. La société s’est appliquée à le circonscrire, à le réduire à l’expression d’un devoir conjugal bienveillant. Ce qui permet à l’homme d’oser sans crainte fréquenter sa partenaire.
Au nom de l’amour, sentiment noble plébiscité par la société, la femme s’autorise à désirer, refoulant ce qu’elle craint de pulsionnel et d’animal en elle. Tout à son sentiment bienveillant, elle s’assure la sérénité masculine, la pérennité de la relation, voire la poursuite de ses projets de maternité. C’est donc au nom de l’amour que la femme s’offre, et non de son désir et ce qu’il révèle de fantasmes tapis dans l’ombre. Mais ne se piège-t-elle pas elle-même ?
L’histoire devient cocasse lorsque celle qui est envisagée sans ambition sexuelle personnelle commet une infidélité. Comme au Scrabble, elle voit son sacrilège compter double puisqu’elle est à la fois désirante et enamourée. Dans la même situation, son partenaire arguerait que « cette histoire ne compte pas » et serait considéré comme plus excusable.
Décidément, le désir féminin n’en finit pas d’être coupable ! Faut-il que la femme soit réduite et se réduise à sa vocation altruiste – répondre aux besoins de l’homme, à ceux de ses enfants – pour imaginer qu’elle ne puisse ambitionner son seul plaisir sexuel ? La femme désirante, curieuse de ses capacités érotiques, serait-elle une mauvaise mère ? Coupable, donc. À défaut d’une « maman », une putain ?
Pourtant, désirer est l’expression d’une curiosité, et faire l’amour, celle d’un élan personnel qui tend avant tout vers l’autre pour soi et non vers l’autre pour l’autre. Il en va naturellement ainsi pour les hommes comme pour les femmes, sans qu’on puisse y entendre une quelconque malveillance ou agressivité. C’est au contraire dans la quête, chacun de son plaisir, que l’un et l’autre se donnent le plus de chances d’avoir matière à offrir, se rencontrer et se guider l’un vers l’autre.
Catherine Blanc est l’auteure de La sexualité des femmes n’est pas celle des magazines (Pocket, “Évolution”).
S’il est curieux de n’envisager le désir féminin que sous sa forme amoureuse, il est tout aussi étrange de penser que la sexualité ne donne pas naissance à des sentiments. Le rendez-vous réussi de corps enlacés révèle les émotions que suggère le plaisir ressenti.
N’ayons pas peur de nos désirs, pas plus que de nos sentiments. Nul besoin de l’un pour justifier l’autre, les deux sont conviés à l’aventure de la rencontre. Désir et amour parlent de nous et nous révèlent dans notre humanité.
Sexe et seins : 5 choses que vous ne saviez pas sur la poitrine
Les seins et le sexe, une formule encore difficile à résoudre. Pour les hommes surtout et encore plus pendant l’amour : peut-on obtenir un orgasme en les touchant ? Comment amadouer une petite poitrine ? Ou un bonnet D ? Pourquoi durcissent-ils ? Prenez des notes, on vous dit tout, tout ce que vous ne saviez pas ou n’avez jamais osé demander.
Les seins peuvent gagner 25% de volume pendant l’amour
A condition qu’ils soient excités par un partenaire assez doué. Les symptômes avant la prise de volume ? La poitrine rougit, les tétons durcissent, le souffle est court… c’est cet instant oùl’orgasme vient. Alors la poitrine gonfle. Et là écoutez bien mesdames, vous pouvez gagner un bonnet supplémentaire. Plaisir et seins plus gros naturellement : qui dit mieux ?
Les tétons ne sont pas des joysticks
Mesdames et messieurs amateurs de seins pendant le sexe, faites attention à ce que vous faites. Comme le clitoris, la poitrine est une petite chose sensible qui se manie en douceur. Inutile de triturer les tétons, ça ne donnera pas de plaisir à votre partenaire. Au contraire. Les stimuler veut dire y aller en douceur, comme si vous vouliez manier un oeuf mollet sans le casser ou une mozzarella burrata sans qu’elle ne s’éventre (Oui, on a tout le temps faim chez Puretrend : l’univers impitoyable de la mode). En un mot : de la douceur. Et beaucoup d’amour.
L’orgasme par les seins existe vraiment
Ce qui peut fortement booster votre vie sexuelle. On appelle ça l’orgasme mammaire. Comme l’explique Alain Héril psychanalyste et sexothérapeute à Doctissimo : “D’un point de vue anatomique, le téton est un organe érectile, comme le clitoris ou encore le sexe masculin… et c’est une zone érogène primaire chez les femmes“. Vous vous demandez comme on y arrive ? Si la caresse manuelle peut exciter, il semblerait que la succion de seins soit votre meilleur allié pour déclencher la jouissance. Celle-ci entraîne la production d’ocytocine, hormone de l’orgasme, et de prolactine, une hormone fabriquée au niveau du cerveau. De quoi vous propulser au pays du plaisir.
La taille des seins a-t-elle un impact sur le plaisir ?
Selon une étude menée par l’Université de Vienne, les petits seins sont plus sensibles que les gros. Et donc plus faciles à stimuler. Ce qui induit que les 85B peuvent espérer atteindre plus facilement l’orgasme mammaire que les gros bonnets. En voilà une bonne nouvelle !
Et les hommes, ils préfèrent quoi ?
Selon plusieurs études, les hommes financièrement indépendants et stables préféreraient les petits gabarits. Les poitrines plantureuses feraient quant à elles la joie des “macho men”. L’explication ? Leur idée de la féminité…
Les tribus urbaines, "une nouvelle façon d'être ensemble"
Spécialiste du lien social, le sociologue français Michel Maffesoli, à qui l'on doit l'expression de "tribus" urbaines, voit dans l'émiettement de notre société en communautés l'avènement d'une "nouvelle façon d'être ensemble".
QUESTION: Quelle est votre définition des "tribus urbaines" ?
REPONSE: Ce sont des groupes humains qui se constituent par affinités à partir de la moitié du XXe siècle et des grandes révoltes juvéniles, comme 1968. Leurs membres partagent les mêmes goûts, les mêmes orientations sexuelles ou religieuses ou encore la même façon de consommer. Difficile d'en faire une liste mais il suffit d'aller dans les grandes mégapoles, d'ouvrir les yeux et de regarder autour de soi pour les voir.
Q: Pourquoi ce phénomène de "tribalisation" apparaît-il précisément à ce moment-là de notre histoire?
R: Par un phénomène d'usure du modèle social précédent basé sur l'individu. En 2000 ans d'histoire, on constate que les sociétés évoluent par cycles d'environ trois siècles et demi. En bout de cycle, le modèle de société se fatigue, un peu comme une machine. Ainsi le Moyen-Age a-t-il laissé la place à la Renaissance qui a elle-même laissé la sienne à la modernité et ainsi de suite. C'est ce qu'on appelle la crise. Cette crise qu'aujourd'hui tout le monde réduit à sa dimension économique mais qui, en réalité, est dans nos têtes, dans notre façon de penser, de nous organiser. Le sociologue américain, Pitirim Sorokin, utilise le terme de "saturation" pour décrire ce phénomène. C'est un peu comme lorsqu'on rajoute du sel ou du sucre dans un verre d'eau et que, jusqu'au dernier grain, on ne voit pas que l'eau est saturée.
Q: Vous qualifiez ces tribus de "post-modernes", pourquoi ce terme ?
R: La modernité commence au XVIIe siècle avec Descartes qui nous dit +Je pense dans la forteresse de mon esprit+ et signe ainsi l'acte de naissance de l'individu maître de lui-même. La modernité se poursuit au XVIIIe, où se conforte notre manière de penser, puis au XIXe où se constituent les systèmes sociaux, avant de se perdre au milieu du XXe siècle. C'est alors que commence ce que j'appelle la "post-modernité", dont le tribalisme est l'une des manifestations. C'est-à-dire non plus une société unifiée, mais une mosaïque de communautés réunies par affinités.
Q: Le mot "tribu" lui aussi pose question. Il fait référence au passé plutôt qu'à la modernité.
R: J'ai choisi d'utiliser le mot +tribu+ en 1988 (année de parution du "Temps des tribus", NDLR), un peu par provocation. Je voulais montrer que l'on assistait à un retour de ce que l'on croyait dépassé. Lorsqu'ils parlent de tribus, les ethnologues se réfèrent à la manière dont on se protégeait dans la jungle contre l'adversité, d'où qu'elle vienne. Et bien aujourd'hui, dans les jungles de pierre que sont nos mégapoles contemporaines, il y a nécessité de se serrer les coudes, d'où la création de communautés qui partagent les mêmes goûts. La différence des tribus post-modernes réside dans la synergie entre l'archaïque et le technologique. Aujourd'hui, 70% du trafic internet correspond à des rencontres communautaires, érotiques, philosophiques ou religieuses. C'est d'ailleurs le propre de la post-modernité que d'associer des choses opposées. D'un côté, le corporel, l'envie de jouir de la vie, et de l'autre, le spirituel comme le montre l'avènement des New Age contemporains, de l'hindouisme, du tantrisme ou du yoga.
Q: Comment ce phénomène peut-il évoluer ?
R: "Nous sommes en train de concocter une autre façon d'être ensemble, qui ne se reconnaît pas dans la société officielle. Ce qui est hors-la-loi aujourd'hui, sera la règle demain. On voit bien comment les petites communautés musicales, sexuelles, culturelles des années 60 sont devenues des formes de références aujourd'hui. De même que les poètes maudits du XIXe siècle sont des références universitaires. C'est, je crois, une loi humaine. Mais l'intelligentsia, les journalistes, les universitaires ou les politiques sont déphasés face au phénomène et restent sur des schémas sociaux traditionnels.
La bouche est l'antichambre de votre âme et du plaisir. Douxpréliminaire, le baiser est révélateur de sentiments, d'intentions et de suaves promesses. Chaste et subtile ou mâle et viril, il en dit long sur l'homme que vous êtes au lit !
Le french kiss, c'est bon...
- En embrassant avec la langue, vous faites travailler 29 muscles, labiaux et linguaux
- Une minute de baiser vous fait dépenser à peu près 100 calories
- La bouche est une des zones les plus érogènes du corps
- Le baiser fait durer les couples ! Lors d'un baiser, l'hypophyse produit une hormone (l'ocytocine) à profusion, qui renforce l'attachement.
- Le baiser, ça fait saliver et la salive, c'est bon contre les caries ! Tout un art
Véritable mise en bouche érotique, le baiser en dit long sur l'amant que vous êtes.
La souplesse, le bon tempo des mouvements et de la respiration sont requis dans l'art du baiser. A vous de trouver le bon rythme !
La position du visage et des membres, la pression exercée par les lèvres et la gestuelle participent également aux variations du baiser et du plaisir provoqué. Du baiser volé au jeu de langues, le Kama Sutra expose quelques façons de faire grimper votre partenaire au 7e Ciel.
Que peut-on faire à quatre lèvres et deux langues ?
Titiller la lèvre inférieure de votre partenaire avec votre langue ou vos dents par exemple ; mordiller légèrement les lèvres de votre partenaire accélère les préliminaires et marque son appartenance ; le Baiser Direct qui se pratique face à face exprime une passion franche. A l'équerre, les visages permettent une prise plus directe et plus intense entre les lèvres : c'est le Baiser Incliné.
Sortez les mains de vos poches
Si vous ne savez pas quoi faire de vos bras, tenez les mains de votre partenaire pendant que vous l'embrassez en signe d'attachement. Prenez son visage à deux mains pour lui montrer votre affection, ou enlacez la carrément pour un baiser plus passionné. Un doigt posé sur sa bouche jusqu'à ce que vos lèvres se rejoignent pour marquer votre tendresse profonde, il s'agit du Baiser Appuyé.
Par contre, on dit non !
- Au « baiser fleuve » qui inonde la bouche de votre partenaire de salive
- La « grosse langue molle »
- La « langue fureteuse » qui donne l'impression de passer un examen dentaire. Et si vous n'êtes pas un pro du baiser, sachez que rien ne vaut un baiser fougueux et passionné.
Etre une bête de sexe, ça n’est pas de tout repos !
Certaines études sont surprenantes ! C’est notamment le cas de la dernière enquête de SexyAvenue, qui s’est amusé à analyser le coup de rein des Français.
Selon une enquête menée par le site de shopping pour adultes SexyAvenue.com, les Français débiteront en moyenne 2 milliards de coups de reins par jour. L'été promet décidément d'être chaud ! Un gadget pour compter les à-coups. Grâce au Sex Counter Ring, un gadget équipé d'un compteur d'à-coups durant les ébats coquins, SexyAvenue.com a comptabilisé une moyenne de 300 va-et-vient rénaux dans un rapport sexuel. La boutique de produits érotiques a multiplié ce chiffre par le nombre de Français à la sexualité potentiellement active (21 millions de personnes âgées de 20 à 64 ans selon les chiffres de l'INSEE), puis par le nombre de rapports que les Français comptent avoir cet été.
Plus de 700 milliards de coups de rein cet été ! SexyAvenue.com a anticipé un total de 725 407 500 117 à-coups partagés cet été en France, soit 2 milliards par jour. Dans ce sondage, près d'une personne interrogée sur deux compte avoir au moins un rapport quotidien. 35% prévoient d'en avoir trois dans la même journée contre un petit 5% des internautes privilégiant le repos avec seulement un rapport par mois envisagé. Entre siestes câlines, aventures estivales et grandes passions effrénées, les Français devraient bien profiter de leur été. Sea, sex and sun : un programme alléchant.
Près des trois quarts des femmes ont déjà simulé un orgasme avec leur mari . De nombreux hommes (66%) avouent être incapables de savoir si leur conjointe a atteint l'orgasme lors de leur dernier rapport sexuel. Et ils ont bien raison de se poser des questions, puisque 73% de ces dames disent clairement avoir déjà simulé, indique une étude du site de rencontres extra-conjugales AshleyMadison.com.
L'orgasme féminin demeure un mystère pour les hommes selon 85% des femmes qui estiment que leurs maris sont incapables de savoir si elles ont atteint le niveau de l'extase. Une proportion à mettre en regard avec les 66% d'hommes interrogés qui partagent le même avis.
Mais la question de l'orgasme deviendrait plus limpide lorsqu'un homme ou une femme a une aventure extra-conjugale. 67,3% de ces messieurs pensent en effet que leur maîtresse a bel et bien joui lors de leur dernier ébat sexuel, tandis que 77,2% des femmes qui trompent leur mari ont bien eu un orgasme avec leur amant.
Ce sondage a été réalisé auprès de 41 967 membres du site AshleyMadison.com.
Qui n’a pas entendu parler, dans son adolescence, de ce scénario catastrophe, d’une « bête à deux dos » emmenée sur un brancard aux urgences afin de libérer monsieur de l’étreinte ? Le phénomène a même un nom (penis captivus) et un traitement. Catherine Blanc, sexologue et psychanalyste, revisite ce préjugé. Mais sur quoi s’appuie cette idée du penis captivus ? Pour ceux qui ont eu des chiens, ils n’auront pas manqué de noter, à l’occasion de certaines copulations, le départ précipité de la femelle alors que le mâle restait accroché. D’un seau d’eau froide, l’affaire était réglée ; mais, si les yeux chastes s’en trouvaient soulagés, les fantasmes, eux, allaient bon train.
Pourtant, ce qui est vrai pour le chien – appelé amarrage ou nouage – ne l’est pas pour l’homme, tant sa physiologie pénienne est différente. Chez l’animal, l’extrémité libre et visible du pénis est essentiellement formée par son gland, dont la particularité est d’avoir un bulbe érectile sur sa partie arrière qui, une fois gonflé, fixe le gland dans le vagin de la femelle pour la saillie. Convenons que nous ne sommes pas des chiens et revenons à notre histoire humaine. Souvenons-nous de notre première fois, de cette inquiétude à l’idée d’oser contracter notre vagin, de tenter d’aspirer et, qui sait, de coincer ce pénis si nouveau. Quant aux hommes, se souvenant par exemple d’avoir, gamins, passé la tête entre des barreaux sans pouvoir se dégager, nombreux sont ceux à s’inquiéter d’être pris au piège lors de ce premier coït.
Par ailleurs, si rôde le risque, que n’imagine-t-on du traitement ! La solution consisterait d’abord à se déhancher jusqu’à votre téléphone afin d’appeler les pompiers. À attendre ensuite qu’ils arrivent, enfoncent la porte, vous embarquent dans l’ambulance, puis vous retransfèrent sur la table de consultation d’un hôpital, le tout alors que vous êtes toujours scotchés l’un à l’autre. Attendre encore qu’un médecin expérimenté décide de mettre son plus petit doigt… Où ? Dans l’anus de madame, prétendument pour détendre le muscle releveur de l’anus, supposé contracté involontairement, et ce pendant un temps infini, alors que toutes les crampes que connaît le corps, y compris d’origine épileptique, durent généralement moins d’une minute. Quelle merveilleuse construction tout droit sortie de l’imaginaire ! Elle attire une fois de plus l’attention sur la crainte de l’homme et de la femme quant à la possible voracité féminine. Sur ce vagin qui, telle une bouche, pourrait enserrer et mordre tant son désir serait insatiable.
Faire l’amour nécessite aussi de sortir du champ familial pour aimer ailleurs, ce qui génère, chez certains, un sentiment de culpabilité qui renforce la crainte de cette première fois et fait fantasmer la fatale sanction. Mais rendons-nous à l’évidence de l’impossibilité d’une telle situation : avez-vous déjà réussi à garder le sexe de votre conjoint en vous sans l’enserrer de vos jambes alors qu’il ne le voulait pas ? Et vous, monsieur, avez-vous connu beaucoup d’érections en situation d’angoisse ?
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2.Témoignage de retour immédiat de mon marie Rituel pour devenir riche en 3 joursTel/whatsapp : +22997816957 (site web)22/08/2022
Bonjour chères frères et sœurs
Je m'appelle Florane Masoli
Je fais ses témoignages pour témoigner la compétence d'un vieux vraiment formidable.
Cela fait un mois j'ai vue sur internet une dame qui parlais d'un homme spirituel répondant au nom de SYLLA qui la aider a faire revenir son mari étant dans le même problème j'ai décider d'en parler a ce même maître mais avant j'ai faire des recherche sur ce maître car j’étais septique a ces genres de choses.bref après une semaine de séance de travaux spirituel j’étais a la maison avec mes enfants quand quelqu'un frappais a la porte avec force j'y croyait pas a mes yeux mon mari qui était partis est revenu au complet depuis ce jour j'affirme ma satisfaction totale. Je fais ce témoignage pour remercier ce maître et pour lui de me pardonner d'avoir douté de lui au début des travaux car j’étais impatient de voir mon homme revenu a la maison. Si vous aussi vous êtes dans le même problème veillez le contacter il peut aussi vous aider.
Son spécialités sont les suivantes;
- consultation
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médecine( cancer , l'impuissance sexuel, paralysie)
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- trouver du travail
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ball, artistes etc...
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La puissance d'un féticheur est de travailler pour le
client et au client de voir la satisfaction.
CONTACTS
Tel / whatsapp +22997816957
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3.diane09/01/2022
Bonjour on m'appelle diane mère de deux jolie filles cela fait un mois j'ai vue sur internet une dame qui parlais d'un homme spirituel répondant au nom de maitre zokli qui la aider a faire revenir son mari étant dans le même problème j'ai décider d'en
parler a ce même maître mais avant j'ai faire des recherche sur ce maître car j’étais septique a ces genres de choses. Bref après 7jours de séance de travaux spirituel j’étais a la maison avec mes enfants quand quelqu'un frappais a la porte avec force j'y
croyait pas a mes yeux mon mari qui était partis est revenu au complet depuis ce jour j'affirme ma satisfaction totale. Je fais ce témoignage pour remercier ce maître et pour lui de me pardonner d'avoir douté de lui au début des travaux car j’étais impatient
de voir mon homme revenu a la maison. Si vous aussi vous êtes dans le même problème veuillez le contacter il peut aussi vous aidez.il intervient dans les domaines suivants
* Retour de l' être aimée
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* Magie rouge, Magie blanche, Magie noire pour l'amour
* Jeter un sort pour le retour de l'amour perdu
* Médium Marabout, rencontrer l'amour
* Mage spécialiste de l'amour
* Envoutement, desenvoutement d'amour
* Retour d'affection rapide et sans délais
* Rituel pour faire regretter quelqu'un suite à un acte posé ou dispute
* chance pour gagné le jeux de hasard
* grossir son pénis en 7jours par la pommade
adresse mail : maitrezokli@hotmail.com
SiteWeb: https://www.retouraffectif-zokli.com/
https://www.youtube.com/watch?v=SvTsoynMEkk
https://www.youtube.com/watch?v=SqXawS_LhMc
https://www.youtube.com/watch?v=d2pk9zCj4kE
vous pouvez l'appeler directement ou l'Ecrire sur whatsapp au +229 61 79 46 97
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Bonjour on m'appelle diane mère de deux jolie filles cela fait un mois j'ai vue sur internet une dame qui parlais d'un homme spirituel répondant au nom de maitre zokli qui la aider a faire revenir son mari étant dans le même problème j'ai décider d'en
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Bonjour on m'appelle diane mère de deux jolie filles cela fait un mois j'ai vue sur internet une dame qui parlais d'un homme spirituel répondant au nom de maitre zokli qui la aider a faire revenir son mari étant dans le même problème j'ai décider d'en
parler a ce même maître mais avant j'ai faire des recherche sur ce maître car j’étais septique a ces genres de choses. Bref après 7jours de séance de travaux spirituel j’étais a la maison avec mes enfants quand quelqu'un frappais a la porte avec force j'y
croyait pas a mes yeux mon mari qui était partis est revenu au complet depuis ce jour j'affirme ma satisfaction totale. Je fais ce témoignage pour remercier ce maître et pour lui de me pardonner d'avoir douté de lui au début des travaux car j’étais impatient
de voir mon homme revenu a la maison. Si vous aussi vous êtes dans le même problème veuillez le contacter il peut aussi vous aidez.il intervient dans les domaines suivants
* Retour de l' être aimée
* Rapprochement affectif
* Magie rouge, Magie blanche, Magie noire pour l'amour
* Jeter un sort pour le retour de l'amour perdu
* Médium Marabout, rencontrer l'amour
* Mage spécialiste de l'amour
* Envoutement, desenvoutement d'amour
* Retour d'affection rapide et sans délais
* Rituel pour faire regretter quelqu'un suite à un acte posé ou dispute
* chance pour gagné le jeux de hasard
* grossir son pénis en 7jours par la pommade
adresse mail : maitrezokli@hotmail.com
SiteWeb: https://www.retouraffectif-zokli.com/
https://www.youtube.com/watch?v=SvTsoynMEkk
https://www.youtube.com/watch?v=SqXawS_LhMc
https://www.youtube.com/watch?v=d2pk9zCj4kE
vous pouvez l'appeler directement ou l'Ecrire sur whatsapp au +229 61 79 46 97
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