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Le plaisir Sexuel au masculin

Le plaisir Sexuel au masculin.

  

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Pénis, ce que veulent les femmes

Trop petit, trop large, trop long… Beaucoup d'hommes restent d'éternels insatisfaits du pénis. Mais quelle est la taille idéale pour les femmes ? Selon une étude, point trop n'en faut, les préférences se situant quelques centimètres au dessus de la moyenne.

Messieurs, rassurez vous ! Les femmes ne cherchent pas la démesure. Pour elles, la taille idéale d'un pénis se situe légèrement au dessus de la moyenne : environ 16 centimètres de longueur et 12 de circonférence, en érection. Ces mensurations émanent d'une étude californienne menée sur 75 femmes auxquelles ont été proposés des modèles de pénis en érection, imprimés en trois dimensions.

Les participantes étaient invitées à choisir leurs préférences parmi les 33 ersatz de sexes en plastiques. Résultat : le pénis "parfait" n'a rien de spectaculaire ; il est proche de la moyenne. En France, la longueur moyenne d'un pénis en érection se situe autour de 13,5 centimètres.

Autre découverte plus étonnante : les envies des participantes seraient nuancées en fonction du type de relation sentimentale entretenue avec le propriétaire du pénis. Ainsi, elles préfèrent que le sexe de leur mari (ou petit ami) soit plus petit que celui du partenaire d'un soir. Cependant, la différence de taille de tient qu'à un fil : de 16 cm de longueur pour un partenaire régulier à 16,25 pour un partenaire ponctuel.

La circonférence passe quant à elle de 12,2 cm dans les cas d'un homme "pour la vie", à 12,7 pour un partenaire d'une nuit. Pour expliquer cet écart ténu, les chercheurs émettent l'hypothèse qu'une femme opterait plus facilement pour le confort physique d'un pénis moyen quand la relation paraît stable dans le temps.

La taille : une appréhension pour beaucoup d'hommes

La méthode inédite de mesure se révèle rassurante. Selon les scientifiques, les chiffres émanent souvent d'automesures du sexe, "étonnamment faibles", qui ne reflètent pas forcément la réalité.  D'autre part, dans beaucoup d'études, le choix des femmes s'appuient généralement sur des photos, au repos. Difficile alors de bien évaluer ses préférences, d'autant plus qu'un pénis au repos ne permet pas forcément de prédire l'aspect en érection… Les modèles 3D ont, quant à eux, l'avantage de s'approcher plus finement de la réalité et des diversités masculines.

La taille du pénis préoccupe trois quarts des hommes, devenant parfois une réelle souffrance. Pourtant, bien souvent, les hommes surestiment la taille "normale" d'un sexe. Peur du rejet, de la moquerie ou de la déception, 25% des hommes s'inquiètent de l'apparence de leur sexe. Car ce complexe, s'il en est un, est différent des autres caractéristiques physiques, comme la taille ou le poids : il n'est pas visible au premier abord. D'autant plus que la forme du pénis est immuable. "Aucune pilule, régime alimentaire ou exercice physique ne peut augmenter la taille", expliquent les chercheurs.

Les préférences féminines en terme de pénis sont-elles liées à l'esthétisme ou au plaisir ? Difficile à dire… Petit, grand, moyen, jusqu'alors aucune étude ne montre clairement un lien entre taille et intensité du plaisir.

Quelles sont les tailles moyennes ?

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Sexe : ce que les préliminaires révèlent

Une injonction féminine, les préliminaires ? Pas si simple. Moments complices de sensualité, ils cachent des secrets insoupçonnés et peuvent concentrer à eux seuls les enjeux du couple. Avec leurs malentendus et leurs attentes…

Les yeux pétillent. Les joues s’empourprent… Nathalie, 31 ans, évoque ces moments intimes avec gourmandise : « Me cambrer sous ses caresses, entendre son souffle qui accélère, trouver sa peau sous les étoffes, sentir ses mains qui me cherchent, me serrent, me pétrissent. L’explorer avec ma bouche, humer son odeur devenir plus forte et fondre sous sa langue. Lui dire des mots crus et le voir s’emporter… » Les images défilent, plus sensuelles les unes que les autres. Sujet chaud, pour celui qui raconte comme pour celui qui écoute.

Sexualité : des femmes décomplexées Les conclusions de l'enquête menée par Philippe Brenot, auprès de 3 000 femmes, sur leur rapport au désir, au plaisir, aux pratiques sexuelles. Une fascinante plongée dans la vie intime féminine (...).

Préparation sensorielle à l’amour, les préliminaires attisent l’imagination et les désirs de certains, et soulèvent, pour d’autres, de grandes inquiétudes. Moment de la rencontre des corps et de l’expression du désir, « ils concentrent les enjeux relationnels du couple. Grandioses quand le désir circule librement. Réfrigérants lorsque les difficultés, les frustrations et les récriminations s’en mêlent », observe Brigitte Martel, gestalt-thérapeute. Si bien que, dans les cabinets de psys, les préliminaires font souvent l’objet des premières plaintes. « Elle n’a jamais envie », « Il n’est pas assez tendre »… Un regret que l’on imagine plus féminin. À raison : l’enquête menée par le psychiatre et anthropologue Philippe Brenot sur la sexualité montre qu’ils constituent, pour les femmes, le moment préféré de l’amour. Mais 67 % des hommes de plus de 50 ans et 48% des trentenaires admettent s’y adonner d’abord pour leur compagne. Peut-être par méconnaissance de leurs bienfaits.

Axel, 36 ans, en couple depuis deux ans, y voit « l’éveil des sens, l’abandon des défenses et l’ouverture à une réceptivité qui n’est pas celle de la vie de tous les jours ». Sas parfois indispensable pour couper du quotidien et faire monter le désir, ils ne sont pour autant pas toujours nécessaires. « Lorsque l’envie est là, elle est impérieuse », confie Maxence, 43 ans, marié depuis treize ans. C’est aussi, pour Martine, 46 ans, divorcée, « le moment pendant lequel nous nous mettons en harmonie » ; qui donne, complète Axel, « la tonalité de la relation sexuelle : joueuse, bestiale, tendre… ».

Les préliminaires sont en effet l’expression de notre désir d’union. Ils nous échauffent, ouvrent les zones érogènes et mettent les corps en résonance. « Selon la tradition chinoise taoïste, le désir de la femme s’ouvre au coeur, tandis que celui de l’homme prend sa source au niveau de son sexe, explique Danièle Flaumenbaum, gynécologue, acupunctrice et auteure de Femme désirée, Femme désirante (Payot, “Petite Bibliothèque”, 2011). Les caresses, les paroles et les baisers font donc descendre les énergies féminines, dont l’excitation est plus intellectuelle, sentimentale, et monter celles de l’homme, lui permettant de s’ouvrir au désir. » En unifiant ainsi les corps, les préliminaires autorisent un plaisir global, moins centré sur les zones génitales.

Les préliminaires, un condensé de notre histoire

« Ils me permettent de fuir une sexualité plus fougueuse, dont je crains qu’elle ne soit acceptée par mes partenaires, avoue Victor, 49 ans, et me plongent en même temps dans une grande vulnérabilité. » Un moment parfois inquiétant pour les hommes, inconsciemment travaillés par l’angoisse de castration. « Selon la théorie freudienne, lorsque le petit garçon prend conscience de la différence des sexes, il est saisi de peur : si les filles n’ont pas de pénis, il imagine qu’il peut perdre le sien », rappelle le sexothérapeute et psychanalyste Alain Héril.

Avec, en plus, un conditionnement culturel à prouver leur virilité par leur capacité à pénétrer. Mais lorsque cette contrainte de performance est lâchée, « profiter des préliminaires, c’est aussi profiter de ce que nous n’avons pas et honorer la différence des sexes », affirme Danièle Flaumenbaum. Les prémices nous laissent le temps de nous regarder, de nous sentir, de nous goûter et, chemin faisant, de glorifier le corps de l’autre en lui montrant combien il est désirable. Ils nourrissent alors la confiance en soi et en sa capacité à répondre au désir de l’autre.

Des caresses enveloppantes, une perte de repères, « chacun retrouve, de manière inconsciente, sa peau de bébé, celle du corps éveillé au plaisir sur toute sa surface. Et, bien sûr, les sensations connues lorsqu’il était nourrisson dans les bras de sa mère », souligne Danièle Flaumenbaum. Parce que les préliminaires remettent en jeu la communication sensitive d’avant le langage, lorsque nous ne nous savions pas séparés de ceux qui s’occupaient de nous… Mais aussi parce que nous y revivons l’essentiel de notre développement, « un condensé de notre histoire, annonce Alain Héril. La façon dont nous acceptons d’être regardés, caressés raconte qui nous sommes, comment nous avons été accueillis par nos parents ».

Par la bouche, notamment, nous avons connu nos premières satisfactions. « Avec les baisers mouillés, nous retrouvons les sensations du foetus avalant le liquide amniotique, puis du bébé tétant sa mère, connaissant ainsi, pour le garçon, ses premières érections, et pour la fille, ses premières contractions de l’utérus », décrypte Danièle Flaumenbaum. Plaisir du liquide chaud venant nous nourrir, de succion autant que de satiété, plaisir sexuel…

Les préliminaires, un espace de régression

Sexe oral, entre plaisir et dégoût  Dans les sondages, tout le monde dit aimer cela. Dans la réalité, cunnilingus et fellation provoquent toujours chez certain(e)s une vraie répulsion. D’où vient ce malaise ? (...).

« Les préliminaires constituent un formidable espace de régression. Pourquoi s’en priver ? C’est le bac à sable ! » s’amuse Alain Héril. Nous jouons à explorer le corps de l’autre, à être soumis ou dominateur, actif ou passif. Ils sont d’autant plus transgressifs que nous nous autorisons ce qui fut longtemps considéré comme des pratiques dégradantes – fellation, cunnilingus. À condition de se laisser aller à des pensées que nous jugeons parfois honteuses, incompréhensibles ou qui nous effrayent. Car « ici plus qu’ailleurs dans la sexualité, nous faisons remonter les parties sombres et inavouées de nous-mêmes, reprend le sexothérapeute et psychanalyste. Les fantasmes, donc l’inconscient, s’y expriment de façon ludique, déchargeant ses pulsions. En cela, ils ont, à l’instar du rêve, une fonction compensatrice pour l’équilibre psychique ».

Quand commencent et finissent les préliminaires ?

Tout cela annoncerait l’extase, si nous arrivions à nous mettre d’accord sur ce que sont les préliminaires. Car, pour les amants comme pour les psys, le mot même entraîne des malentendus. Quand commencent-ils ? Au lit ou bien avant ? Pour Maxence, c’est « un regard coquin, une caresse appuyée, qu’il y ait, ou pas, passage à l’acte ensuite ». Pour Nathalie, c’est bien plus que cela : « Les rires partagés, les petites attentions… Tout ce qui permet la confiance, la complicité. »

Car attention, prévient Alain Héril, « nous ne pouvons nous contenter de gestes techniques pour stimuler l’envie. Les préliminaires, c’est la circulation du désir, dès que les amants se le disent et se le montrent », poursuit-il, incluant donc la phase de séduction : porter de la lingerie sexy, érotiser un dîner au restaurant, s’envoyer des « sextos » de plus en plus chauds. Quand finissent-ils ? Là encore, les avis divergent. Selon Danièle Flaumenbaum, c’est le prélude à la pénétration. Si la femme a appris, petite, que son sexe se prolongeait à l’intérieur de son corps et qu’il était fait pour recevoir celui de l’homme, « être pénétrée est le signe d’une sexualité adulte assumée. Sinon, elle reste ignorante de sa capacité d’accueil, comme une poupée qui n’a pas de vagin », ajoute-t-elle.

Aimez-vous les préliminaires ?  Véritables révélateurs de votre personnalité érotique, ils en disent long sur votre rapport à la sexualité. Faites le test pour découvrir quel est votre profil dominant (...).

« Bien sûr, la pénétration est importante, modère Alain Héril, mais elle n’est plus une fin en soi. Nous sommes revenus de la vision freudienne de la sexualité, selon laquelle seul vaut l’orgasme vaginal, qui n’a d’ailleurs de vaginal que la localisation de la sensation. Car ce sont les bulbes vestibulaires du clitoris, descendant le long de la paroi du vagin et gorgés de sang, qui font toute la sensation orgasmique. » D’après Brigitte Martel, « réduire les préliminaires à une étape avant le coït met les amants dans l’attente, dans la pression de la suite, avec l’incapacité de vivre pleinement le moment présent ». Pour Victor, la définition est large : « Il m’arrive de faire un cunnilingus avant comme après le coït. Je n’ai pas de plan d’action, sauf que je suis plus détendu après le premier orgasme de ma partenaire. Débarrassé de la pression de la faire jouir, je suis plus présent à mes sensations et aux siennes. C’est peut-être là, pour moi, la fin des préliminaires…

Les préliminaires, un langage en soi

Tout le jeu consiste alors à en profiter comme d’un espace d’échange émotionnel. Grand moment de communication lorsqu’ils sont investis à leur juste valeur, ces prémices peuvent aussi cristalliser les conflits du couple. Car ce que nous faisons ou pas, à cet instant-là, dit beaucoup de nos difficultés. Comment entrons-nous en relation avec l’autre ? Qu’aurions-nous envie qu’il nous dise pour que nous nous sentions considéré ? Lui disons-nous ces besoins ? Sommes-nous à l’écoute des siens ? « C’est aussi le moment de toutes les ouvertures », analyse Brigitte Martel, qui conseille à ses patients en difficulté de prêter attention à ce qui s’y joue. Une responsabilisation difficile… mais indispensable pour en prendre tout le bénéfice. Moment d’apprivoisement, d’harmonisation des désirs, c’est celui de l’élan vers l’autre, de l’intimité, mais aussi de l’écoute de soi. Pour tout cela, les préliminaires nourrissent le lien amoureux… bien au-delà de la chambre à coucher.

 

Les 8 temps de l'acte amoureux

Le sexologue Charles Gellman (ancien président de la Société française de sexologie clinique, coauteur des Thérapies sexuelles (ESF, 1983)) a élaboré le « cycle de la réponse sexuelle », qui décrit les huit étapes de l’acte amoureux.

Les étapes 
L’intérêt pour la sexualité ; le désir pour quelqu’un ; l’excitation physique ; le plateau (phase de forte excitation) ; l’orgasme ; la résolution (phase de détente), parfois concomitante à la période réfractaire (où les stimulations peuvent être désagréables) ; l’élaboration psychique (intégration de l’expérience). 
 

Le principe 
Les préliminaires concernent les quatre premières étapes. Pour les améliorer, Brigitte Martel, gestalt-thérapeute, propose de les « revisiter au ralenti afin que chacun puisse repérer et nommer plus précisément ses difficultés ».

Les questions à se poser 
Est-ce que j’interromps le cycle ? Est-ce que je continue alors que je n’en ai pas envie ? Quelles croyances me poussent à le poursuivre (« Ne pas être une allumeuse », etc.) ? Suis-je en écho avec le cycle de mon partenaire ? « La bonne santé sexuelle, c’est la capacité à parcourir les étapes selon ses désirs, ou à les interrompre sans culpabiliser »

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14 choses que vous ne saviez pas sur le sexe masculin

Peu importe le nombre d'hommes que vous avez connu au cours de votre vie, vous en savez certainement bien moins que vous le pensez sur le sexe masculin ! Voici donc 14 faits insoupçonnés sur le pénis.

1. Fumer pourrait réduire la longueur du pénis jusqu’à deux centimètres.

Les érections demandent une bonne circulation sanguine, ce qui est affecté par la cigarette. Donc, si votre homme ne se soucie pas de ses poumons, présentez-lui donc cet argument !

2. Les prépuces de nouveaux-nés circoncis peuvent faire pousser de la peau.

Les médecins ont trouvé la façon de générer jusqu’à 23 000 mètres carrés de peau pour les grands brûlés à partir de prépuces. Rien que ça...

3. L’orgasme masculin dure en moyenne 6 secondes.

Alors que l’orgasme de la femme dure en moyenne 23 secondes, celui des hommes ne dure que six secondes ! Par souci d’égalité des sexes, il faudrait donc que notre partenaire atteigne quatre orgasmes pour nous égaler.

4. Un prépuce circoncis peut être reconstruit.

La peau enlevée sur le sexe masculin lors de la circoncision peut « repousser » artificiellement. La méthode ne semble toutefois pas très agréable : la peau du pénis est tirée vers le gland et mise en place avec un ruban adhésif. Plus tard, les médecins appliquent des anneaux en plastique et des poids pour stimuler la pousse… Un processus qui peut prendre des années !

5. Un homme sur 400 peut se donner du plaisir oral.

Seulement (?) un homme sur 400 est suffisamment flexible pour se donner lui-même une fellation… On estime aussi que les 399 autres ont tout de même essayé de le faire une ou quelques fois !

6. Il existe deux types de pénis : les showers et les growers.

Les growers se dilatent et s’allongent lors de l’érection. Les showers, eux, sont de plus grande taille au repos, mais ils ne gonflent pas beaucoup lors de l’érection. Inutile, donc, de fixer le pantalon de monsieur en tentant de déterminer la taille de son sexe : tout ce joue lorsqu’il est excité !

7. Il y a plus de growers que de showers.

Une enquête sur la santé masculine révèle que 79 % des hommes sont des growers, et seulement 21 % d'entre eux sont des showers.

8. La taille moyenne d'un pénis est de 9,16 cm au repos.

Une étude réalisée aux États-Unis auprès de 15 000 hommes en est venue à la conclusion que la taille moyenne du sexe masculin est de 9,16 cm au repos, et de 13,12 cm en érection.

Pour s'éclater avec un petit zizi...

 

 20 positions pour petits zizis

 

9. La taille importe vraiment !?

Plus long est le sexe de l’homme, meilleure est la circulation de son sperme, selon des chercheurs de l’Université de New York. Cela fait en sorte que lors de rapports sexuels, le sperme d’un homme qui a un pénis plus long saurait mieux rivaliser avec du sperme concurrent. Cela reste toutefois à confirmer...

A nous les gros zizis

 

 Positions pour grand zizi

10. Un pénis pour 37 800 femmes.

Entre 1770 et 1784, le roi Fatefehu de Tonga aurait dépucelé 37 800 vierges, à raison de sept vierges par jour. Il obtient ainsi que titre de pénis qui a connu le plus grand nombre de femmes...

11. Les hommes les plus attirants ont le meilleur sperme.

Des chercheurs espagnols ont demandé à des femmes de choisir l’homme qu’elles préféraient entre des mâles au sperme de bonne, moyenne et de mauvaise qualité. Dans la plupart des cas, les femmes ont choisi des hommes au sperme de grande qualité.

12. Pas besoin du cerveau pour éjaculer.

La science nous révèle que le cerveau n’est pas nécessaire à l’éjaculation. En effet, il s’agit d’un réflexe au niveau de la moelle épinière. Il est donc possible (quoique complexe) de trouver cette partie sensible et de la stimuler pour causer l’orgasme chez l’homme. (À ne pas essayer chez vous !)

13. Un pénis, c'est beaucoup plus flexible qu'on ne le croit.

Une étude de l'Université de Stanford a analysé des couples en plein ébat et ont découvert que le sexe de l'homme prend la forme d'un boomerang durant la position du missionnaire !

14. Le sperme est faible en calories.

L'éjaculation moyenne est d'une cuillère à café, ce qui représente à peu près 20 calories. La quantité dépend de l'âge de l'homme, du temps depuis sa dernière éjaculation et de la durée de son excitation avant l'orgasme.

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Orgasme : anatomie du plaisir sexuel

Même si ce n’est pas toujours le cas, le plaisir sexuel mène souvent à l’orgasme. Comment expliquer que cette stimulation mène à une sensation d’intense plaisir ? Voici la réponse.

L’orgasme est le phénomène qui correspond à l’instant ultime de l’excitation sexuelle. Provoqué par les rapports sexuels, il peut aussi être atteint par la masturbation. Lorsqu’un homme atteint l’orgasme, il éjacule. Au moment de l’orgasme, chez l’homme comme chez la femme, l’organisme produit de la prolactine et de l’ocytocine, des hormones du plaisir et de l’attachement.

Orgasme clitoridien

Le clitoris constitue une partie des organes génitaux féminins. Sa partie visible se présente sous la forme d’un petit gland au sommet des petites lèvres. En réalité, cette partie ne représente que la partie émergée de l’iceberg. En effet, sa partie interne – les corps caverneux – mesure entre 12cm et 15cm. L’orgasme clitoridien, le plus fréquent semble-t-il, correspond à celui obtenu par stimulation de la partie émergée de l’organe.

Lorsqu’il se produit, le clitoris érigé par l’excitation préalable, se retire alors sous le prépuce clitoridien, et les petites lèvres deviennent plus foncées et s’épaississent. Le vagin diminue de volume (environ 30%), et se gorge de sang. Les muscles de l’utérus se contractent. Ensuite, l’utérus, le vagin et les muscles du bassin subissent une série de contractions musculaires. La lubrification naturelle du vagin est alors intense.

Orgasme vaginal

L’autre type d’orgasme féminin est qualifié de vaginal. Il est lié à la stimulation de l’intérieur du vagin. Le nerf qui intervient ici est le système ilio-hypogastrique. Les manifestations physiologiques de cet orgasme s’apparentent à celles de l’orgasme clitoridien.

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Les films X augmentent le désir pour son conjoint

Les films pornographiques ne seraient pas responsables des troubles de l'érection. Ils augmenteraient même le désir sexuel des hommes pour leur conjointe.

Les films pornographiques sont-ils responsables des troubles érectiles chez l'homme ? Selon de nombreuses études, oui. Mais une nouvelle étude, publiée dans le journal Sexual Medicine vient de montrer le contraire. D’après ces travaux des Universités de Californie et de Montréal, les images explicites des films porno ne seraient pas responsables des dysfonctionnements sexuels chez les hommes.

Entre 0 et 25 heures par semaine
280 volontaires ont participé à l’étude. Parmi eux, 127 étaient en couple. Les chercheurs leur ont demandé le temps qu’ils passaient par semaine à regarder des films pornographiques. Les réponses allaient de 0 à 25 heures par semaine. Ils devaient également répondre à un questionnaire afin de mesurer leur libido. Ensuite, un test en laboratoire a été réalisé. Tous les participants ont dû regarder un film montrant un rapport sexuel vaginal entre un homme et une femme et évaluer leur niveau d'excitation.

« En analysant les résultats, nous avons découvert que les hommes qui regardent beaucoup de films à la maison étaient plus excités quand ils regardaient les films en labo », indique Nicole Prause, auteure principale de l’étude et chercheuse en psychiatrie à l’Université de Californie à Los Angeles.

Porno et libido
Par ailleurs, les chercheurs ont montré que le nombre d’heures passées à regarder des films érotiques n’influençait pas négativement le désir sexuel des hommes ayant une vie sexuelle active. Les participants étaient également excités par une relation sexuelle avec leur partenaire. Les contenus pornographiques ne désensibiliseraient donc pas les hommes.

« Les participants de cette étude sont représentatifs des hommes qui regardent habituellement des contenus pornographiques. Et le fait que les films pornographiques augmentent leur désir doit amener les sexologues et les médecins à revoir leur position sur ce type de contenus », déclare Jim Pfaus, co-auteur de l’étude et professeur de psychologie à l’Université Concordia au Canada.
 

Outre les effets sur le désir, les scientifiques ont également évalué l'impact des films pornographiques sur la fonction érectile des participants. Et ils concluent que ces contenus ne sont pas néfastes. « Alors que beaucoup de personnes pensent que la pornographie altère la vie sexuelle, notre étude suggère le contraire : les troubles de l’érection sont principalement causés par l’anxiété de la performance, une mauvaise santé cardiaque ou des effets secondaires liés à une consommation de drogue », affirme le psychologue.

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10 attitudes qui la rendent plus attirante

Au quotidien, il y a un tas de petits trucs qui vous rendent plus attirante. Comme le fait d’être toujours très féminine, de savoir rire de soi-même, de prendre des initiatives diverses et variées…Zoom sur 10 attitudes qui font craquer les hommes.  

1 – La féminité  

Rien de tel qu’une femme qui reste attirante en toutes circonstances. Cela implique d’avoir de jolies mains, des collants non filés et de parler distinctement, de ne pas dire de gros mots. 

2 – Inviter son homme  

Les hommes ne s’y attendent tellement pas que cela leur fait extrêmement plaisir. Cela lui montre que vous tenez à lui et que vous ne vous faites pas entretenir puisque vous aussi vous lui faites des cadeaux. 

3 – Savoir bricoler 

Là encore, une femme qui sait bricoler montre qu’elle est indépendante, qu’elle peut vivre par elle-même et qu’elle ne dépend de personne. Rien de plus sexy ! 

4 – L’autodérision  

Les femmes susceptibles qui se vexent à la moindre remarque, c’est la débandade. A l’inverse, une femme qui sait rire d’elle-même, c’est ultra sexy. 

5 – La prise d’initiatives 

Les hommes aiment les femmes qui prennent leur destin en main et qui leur font des surprises sans attendre que cela vienne d’eux. 

6 – Savoir se tenir 

Les hommes aiment les femmes qui savent se tenir en public. Qui restent discrètes, ne parlent pas trop fort et ne cherchent pas à se faire remarquer outre mesure. Il faut savoir qu’ils détestent la vulgarité. 

7 – La culture 

Une femme un minimum cultivée, c’est toujours excitant pour un homme. Eux aussi aiment qu’on leur fasse découvrir des choses. 8 – Une chemise  Oui, ils nous trouvent hyper sexy quand on leur pique une chemise pour traîner à la maison. 

9 – La fragilité  

S’ils aiment les femmes qui savent se débrouiller seules, ils apprécient aussi qu’on leur demande de l’aide car cela réveille leur côté viril. 

10 – Savoir se renouveler au lit 

Quand une femme sait se renouveler au lit, qu’elle propose sans cesse de nouveaux moyens de pimenter la relation, l’homme est aux anges. 

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La masturbation, mode d'emploi

Trouver l’orgasme, connaître son corps ou encore atteindre le plaisir sexuel, la masturbation féminine comme la masturbation masculine permet de découvrir le plaisir solitaire. Comment se masturber ? Comment pratiquer la masturbation ? Quelles sont les techniques de masturbation ? À quoi sert la masturbation ou encore peut-on atteindre l’orgasme avec la masturbation ? Au masculin ou au féminin.

« La masturbation, c'est faire l'amour avec quelqu'un qu'on aime ». Signée Woody Allen, cette petite phrase résume assez bien cet acte pratiqué, selon une enquête de 1993 sur les comportements sexuels des Français, par plus de 80% des hommes contre 50% des femmes. Pourquoi nos chers et tendres vouent-ils un amour indéfectible à la branlette, même lorsqu'ils sont heureux et satisfaits en amour ? Faut-il s'inquiéter de le voir rester si longtemps sous sa douche tous les matins ? A-t-on raison d'être furieuse lorsqu'on le surprend en plein acte d'onanisme ? Se masturber, c'est un peu tromper, ou bien ?

La masturbation, c'est le premier acte sexuel d'un garçon

Et oui les filles, si de notre côté on n'est pas encore toujours super libérées de la branlette, les garçons, eux, semblent comprendre dès la naissance qu'il n'y a pas de mal à se faire du bien.

Il suffit de garder deux heures un petit garçon pour se rendre compte que se tripoter la nouille est aussi banal pour lui que de se curer le nez. Quand aux érections, à deux heures de vie, certains vous brandissent déjà sous le nez leur sabre laser.

Forcément, plus il grandit et plus le petit garçon comprend que ce cadeau que le ciel lui a fait – leur pénis – est non seulement un objet de fierté mais aussi et surtout, un objet de plaisir.

Quand la puberté s'en mêle, cela donne les fameuses cartes de France dans les draps le matin et de looooongues, très longues sessions de lecture hyper sérieuses aux toilettes.

Bien qu'agaçant pour leur môman, c'est pourtant signe de bonne santé et que l'enfant s'ouvre à la sexualité. Il découvre son corps et son fonctionnement et c'est grâce à cela qu'il aura, plus tard, des relations équilibrées et saines avec ses chéri(e)s.

Les garçons se masturbent pour se détendre

Philippe Brénot, sexologue souligne dans son dernier ouvrage le pouvoir anxiolytique de la masturbation. Les endorphines libérées par l'éjaculation sont aussi bénéfiques qu'un antidépresseur ou un verre d'alcool.

Entre nous, à choisir entre un loulou qui se paluche de temps à autre pour se calmer et un autre qui picole pour faire retomber le stress, vous prenez lequel ? Sans compter que pour beaucoup d'insomniaques, se branler permet aussi de s'endormir sans cachetons.

Ceci étant dit, un homme qui ne peut pas s'empêcher de se faire jouir plusieurs fois par jour – ça existe, si si – devrait peut-être en parler à son médecin ou à un psy.

Parce que si la masturbation est réputée pour ses vertus apaisantes, y avoir recours de manière exagérée et compulsive dénote peut-être une hyper nervosité ou un tempérament anxieux.

Dans ce cas, se branler devient peut-être un symptôme de mal être qu'il ne faut pas sous estimer.

Les garçons se masturbent parce qu'ils sont frustrés

On ne va pas se voiler la face les filles, à priori, les garçons n'en ont jamais assez. Toujours dans l'enquête de Philippe Brenot, on apprend qu'ils sont 63 % à trouver que la fréquence de leurs rapports sexuels n'est pas suffisante.

Heureusement pour eux – et pour nous d'une certaine façon -, leur main droite – ou gauche – n'est pas prête, elle, d'avoir la migraine. De la même façon que s'astiquer le pipo détend les hommes, cela leur permet également de satisfaire leur désir que notre refus vient de contrarier.

Quelque part, si on veut aller plus loin, c'est une façon pour eux de supporter le fait qu'on ait moins envie qu'eux, sans pour autant aller voir ailleurs.

Les garçons se masturbent parce que c'est bon

Parfois, les hommes se masturbent juste pour le plaisir. Pas parce qu'ils sont frustrés, pas parce que leur boss les a fait suer toute la journée et pas non plus parce que le sommeil tarde à venir.

En gros, la masturbation est dans ces cas là une sorte de sexualité parallèle, en « plus » de celle qu'ils ont avec leur compagne. Une façon d'arriver vite au plaisir, de la manière qu'ils connaissent le mieux, sans avoir à s'occuper de l'autre, sans objectif de performance.

Vous savez quoi les filles ? Vous devriez essayer. Peut-être est-ce la meilleure façon de les comprendre, finalement, non ?

La masturbation, dangereuse pour la santé ?

« ça va te rendre sourd », « ça donne le cancer », « à force de trop le faire on devient impuissant »... Ces menaces ont souvent contribué à salir l'image de l'onanisme, considéré au mieux comme un péché, au pire comme un acte susceptible d'être dangereux pour la santé.

Or non seulement il n'en est rien – aucune étude sérieuse n'a mis en évidence ce prétendu lien entre la surdité et la branlette – mais en plus, il semblerait même que se masturber protège du cancer de la prostate.

C'est en tout cas ce qu'affirment des chercheurs australiens. Sans avoir de certitudes absolues, ils expliquent ainsi que se branler limiterait l'accumulation de liquide séminal et donc de certains composés de ce fluide constituant du sperme (potassium, zinc, fructose, acide citrique ainsi que du 3-methylcholanthrene pour les fumeurs).

Ce sont ces composants qui pourraient avoir des propriétés cancérigènes en cas de stagnation dans les canaux de la prostate.

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Les hommes ont-ils plus de « besoins sexuels » que les femmes ?

On entend souvent dire que les hommes ressentent plus souvent l'envie de faire l'amour que les femmes. Comme si nos chers et tendres étaient naturellement lubriques, et nous, accros aux pétales de roses et aux sentiments... Qu'en est-il vraiment ?

Les Français convaincus d'une différence dans les besoins sexuels entre femmes et hommes

Si l'on en croit la grande enquête nationale « Contexte de la sexualité en France » (CSF 2006) : 73 % des femmes et 59 % des hommes adhèrent à l'idée selon laquelle « par nature, les hommes ont plus de besoins sexuels que les femmes ». Cette croyance l'emporte dans toutes les générations, y compris chez les plus jeunes, dans la tranche des 18-24 ans, surtout chez les femmes. Dans chaque génération, hommes et femmes les plus diplômés adhèrent moins à cette vision différentialiste et sexiste.

Les conséquences de cette "conception du monde"

Les femmes estimant qu'elles ont des besoins sexuels plus modérés vont habituellement moins souvent « voir ailleurs » et prennent moins souvent le risque de concevoir hors mariage. Selon les psychologues évolutionnistes (aux théories souvent controversées), les femmes se contentent d'accepter la « protection du mâle », tandis qu'eux, les mâles, vont chercher à répandre au maximum leurs gênes avec le plus grand nombre de partenaires.

Que penser de tout ça ?

Il y a fort à parier que la culture, l'éducation, l'histoire personnelle et le petit bagage génétique, interviennent sur le fait d'être porté ou pas sur le sexe. Dans le même ordre d'idées reçues, on dit souvent que les hommes ne pensent qu'au sexe et les femmes à l'amour.

Vrai ou faux ?

Il n'existe aucune loi psychologique gravée dans le marbre ! Les hommes avec un grand H, entreprenants, hypersexualisés, actifs voire dominateurs, et les femmes passives, à l'écoute, tendres, accueillantes et bienveillantes, si tout cela était aussi évident, ça se saurait. On peut toutefois dégager un « style » masculin ou féminin, qui tient avant tout à l'usage de la parole. Les femmes sont davantage dans l'affectif et l'échange d'émotions, les hommes dans l'action et l'échange d'informations. Pour ces derniers, ce qui est souvent en jeu, explique l'andrologue et psycho­somaticien Sylvain Mimoun dans « Sexe et sentiments » (éd. Albin Michel), « c'est l'obsession d'être à la hauteur, capables, réellement virils. Ils sont dans l'évaluation permanente, consciente ou inconsciente, sexuelle ou pas. Et cela tient à cette matérialité capitale, à une évidence naturelle : ils ont un sexe externe, visible, éloquent, un sexe qui résume leurs émotions, bien intégré dans leur schéma corporel et mental. Ça va, ils bandent, ça ne va pas, ils débandent. Ils sont à nu. Les femmes qui ont un sexe caché, intime, mystérieux, sont bien loin de ce type de raisonnement. »

Pour les hommes, le sexe est un moyen idéal de se retrouver sur l'oreiller. Qu'ils soient inquiets, agressifs, stressés ou bien heureux, l'amour leur permet de décompresser, de se retrouver, de se recharger, de se montrer viril et de montrer concrètement leurs sentiments. Les femmes, elles, ont souvent besoin du meilleur des mondes pour s'abandonner, estime le médecin. Pour faire l'amour, elles ont d'abord besoin d'aimer ou plus exactement de créer une connivence et une complicité.

Et les sentiments dans tout ça ?

49 % des hommes sont d'accord avec l'idée qu'on peut avoir des rapports sexuels avec quelqu'un sans l'aimer, contre 26 % des femmes. 

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Une certitude : le plaisir sexuel de l'homme n'a rien à voir avec celui de la femme.  Comment faire plaisir à son homme. Que signifie l'orgasne au masculin.


Jouissance, orgasme, tous ces termes parlent de la sexualité heureuse de l'homme, mais parlent-ils de la même chose ?
A ce sujet, les hommes sont moins prolixes et leur sexualité (au regard de celle des femmes) paraît plus simple, comme s'il suffisait d'une pénétration pour ressentir du plaisir et d'une éjaculation pour jouir. En réalité, cela n'est pas si simple…...

L'homme est centré sur le (bon) fonctionnement de son pénis. Ce qui fait jouir les hommes…

La jouissance sexuelle correspond à une intense circulation énergétique qui provient du contact des muqueuses .Mais au-delà de cette expérience commune, le plaisir de l'homme ne trouve et ne partage, ni la même origine, ni la même expression que celui de la femme.

L'homme est centré sur le (bon) fonctionnement de son pénis

Pour des raisons en partie biologiques, l'homme recherche avant tout l'orgasme dans la sexualité. L'érection est la première manifestation de son désir et instinctivement celle-ci représente une mise sous tension dont l'homme va chercher à se libérer au travers de la relation sexuelle avec, pour aboutissement, une éjaculation. Cette focalisation du désir et de l'excitation au niveau de leur pénis explique la raison pour laquelle ils attendent rapidement de leur partenaire qu'elle les caresse aux endroits les plus sensibles dont le pénis fait partie, alors que les femmes ont besoin de caresses préliminaires, souvent en dehors de leurs zones génitales.

Ce qui fait jouir les hommes…

Si la jouissance sexuelle est souvent décrite avec les mêmes mots par les uns ou les autres, ce qui les fait jouir ne comporte souvent aucune logique. Certains sont attirés par les gros seins, d'autres par les petits ou encore les talons aiguilles . Et le pénis n'est pas forcément le seul organe érogène de l'homme. Pour certains, par exemple, la pointe du mamelon, pour d'autres, l'anus sont des zones qui procurent une jouissance extrême.

La jouissance des hommes aussi… est d'abord dans la tête

Il ne faut pas s'y tromper. Si la jouissance résonne dans le corps, « elle n'en dépend pas moins des fantasmes qui la gouvernent ».
Autrement dit, pour l'homme (comme pour la femme), le premier organe sexuel est d'abord… le cerveau !
Pour un homme, la jouissance s'apparente surtout à une délivrance qui survient après une phase de tension sexuelle. Et, quel que soit le degré d'amour que lui porte sa partenaire, c'est à l'instant précieux de l'orgasme qu'un homme peut le mieux recevoir cet amour.

Un livre sur ce sujet : La sexualité masculine de Didier Dumas Livre de Poche environ 8 € .

Description de l'ouvrage : La sexualité de l'homme est-elle moins mystérieuse que celle de la femme ? Comment se construit la virilité ? Quelle est la place des parents dans la construction de la sexualité du jeune homme ? D'où viennent les fantasmes qui animent le désir masculin ? Quel rôle y joue la féminité ? A partir de cas cliniques, Didier Dumas, dans la lignée de Françoise Dolto, dévoile les ressorts inconscients de la sexualité masculine, avec une grande liberté de ton, dans un langage simple, où les références psychanalytiques sont connues de tous.

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Des idées de jeux érotiques pour varier les plaisirs

Les règles du jeu 
 

Pas besoin de pousser la porte d’un club échangiste ou de virer SM pour pimenter sa vie sexuelle ! Avec un peu d’imagination, vous pouvez vivre des corps à corps torrides et amusants. 
Pour cela, il suffit de vous glisser dans la peau d’un ou d'une autre, le temps d’une soirée. Voici donc 10 idées pour un jeu sexuel à savourer encouple, des scénarios coquins à interpréter avec votre amoureux pour booster votre désir et augmenter votre plaisir... 
Choisissez quel jeu sexuel sera le vôtre et laissez monter la température !
 

1 - Préparez votre scénario...
Pour jouer à un jeu de rôle, vous pouvez décider de prévoir très en détail votre scénario. Connaissant votre rôle, vous vous sentez plus sûre de vous ! Il est même possible d'écrire les dialogues à l'avance.

 

2 -...Ou improvisez
Certains préfèrent improviser sur une trame. Avec un peu de pratique, vous vous sentirez de plus en plus libre et à l’aise.

 

3 - Faites le point avant
Prévoyez aussi de parler de ce que vous ne voulez pas. Cela reste un jeu, vous ne devez jamais vous sentir manipulée ou forcée à faire quelque chose qui vous déplaît.

 

4 - Trouvez un compromis
Quel jeu choisir ? Un scénario qui vous plaise à tous les deux. Ce n'est pas forcément facile, parce que personne n'a le même imaginaireérotique. L'idéal, c'est de trouver un jeu qui soit à l'intersection de vos deux imaginaires !
 

5 - Soyez attentifs aux désirs de l'autre

Ce qui le (ou la) fait fantasmer, rêver, ce sont peut-être des petits détails qui pour vous n'ont pas d'importance mais qui pour lui (ou elle) sont capitaux !
 
6 - Ne vous mettez pas la pression
Ne pensez jamais que vous devez être à la hauteur sexuellement. Ici, le but, c'est de s'amuser ensemble.
 
7 - Ne vous dispersez pas
Ne cherchez pas forcément à varier les jeux, à tous les essayer. Si vous en trouvez un qui vous plaît à tous les deux, vous pouvez le répéter des dizaines de fois avec toutes sortes de variantes.
 
8 - Pensez aux accessoires
Vous pouvez mettre en scène de manière grandiose : vêtements adaptés, lieu choisi, décor approprié... Mais vous pouvez aussi faire plus sobre et jouer chez vous en tenue habituelle. Ce qui compte, c'est de stimuler l'imagination. Pour ça, les accessoires sont utiles, mais pas forcément indispensables ! 

A vous de jouer !

Bien d'autres encore
Bien sûr, ce ne sont que des propositions, vous pouvez tout à fait imaginer votre propre scénario. Laissez libre cours à vos fantasmes

  • "je suis le loup et toi le petit chaperon rouge"
  • "je suis le maître et tu es mon esclave"
  • "tu es totalement paralysé et tu me laisses faire tout ce que je veux pour te donner du plaisir",
  • "et si on jouait au docteur ?"
  • "je suis la patronne et tu es mon secrétaire"
  • "je suis une inconnue qui te drague dans un bar"
Dans le jeu, tout est permis !
 
Attention
Plus le jeu comporte de violence mise en scène, plus l’entente doit être profonde entre les partenaires. Une certaine agressivité jouée peut être stimulante, mais uniquement si l'on se sent totalement en confiance. Choisissez quel jeux pour couple ressemble le plus à votre duo et...A vous de jouer !

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Sexe : Le plaisir masculin

Les zone érogènes de l'homme : le pénis etc.

Si la verge, et plus particulièrement le gland, constitue la zone érogène primaire de l'homme, les zones érogènes dites secondaires sont présentes sur toute la surface du corps. Ainsi, vous pouvez stimuler les testicules, le périnée, les contours de l'anus. Plus simplement, le visage, la nuque, les mamelons, le ventre, les fesses, l'intérieur des cuisses sont des zones qui, lorsqu'elles sont stimulées, provoquent des sensations agréables. Il est bien évident que chaque homme réagit en fonction des zones érogènes qui lui font le plus d'effets. Cosmo vous en a assez dit, pour le reste c'est à vous de le découvrir.

Votre langue sur ses mamelons

Si l'intensité de ce plaisir varie selon les hommes, une chose est sûre : caresser ses mamelons avec votre langue ne pourra que faire monter son désir. Les mamelons sont particulièrement sensibles. Caresses, petits mouvements circulaires avec votre langue, il y a de grandes chances pour que votre homme ait une érection.

Prendre les choses en main

Si vous voulez vraiment exciter votre homme, il faut savoir prendre les choses en main. Si le gland est une partie du pénis assez sensible qu'il ne faut pas brutaliser, la tige, elle, peut être prise sérieusement en main. Inutile d'y aller par quatre chemins, vous saisissez le pénis fermement. Dans ces moments là, il faut savoir y aller franchement.

Accepter la masturbation

Chez l'homme, la masturbation est un vrai besoin physique. On a beau le savoir, quand on est en couple et que son homme se masturbe, on ne peut s'empêcher de penser que c'est parce qu'on ne fait pas assez souvent (ou pas assez bien ?) l'amour. Et pourtant, cela n'a rien avoir avec vous (en général). Qu'il soit célibataire ou non, la masturbation est une nécessité biologique : il faut faire de la place au nouveau sperme produit. Alors oui, c'est un moyen efficace et rapide de parvenir à l'orgasme, mais non, ce n'est pas parce qu'il ne vous désire plus.

Le laisser vous regarder

Si vous avez tendance à éteindre la lumière avant de faire l'amour, laissez la allumer pour voir. Les hommes s'excitent naturellement en regardant les femmes, donc qui plus est en vous regardant. 

La première excitation des hommes vient des yeux. Voilà enfin une bonne raison pour laquelle les hommes sont friands de magazines ou de films pornographiques. Vous regarder toute nue est aussi (et heureusement) ce qui lui donne le plus de plaisir.

Votre homme a une panne sexuelle, vous êtes parfaite

Lorsqu'un homme a une panne sexuelle, ce n'est pas à cause de vous, tout du moins pas directement. Il se peut qu'il soit fatigué, contrarié, préoccupé. Ou bien, c'est la première fois, avec vous, vous l'impressionnez, il a la pression et n'arrive pas à se laisser aller. Il contrôle tout, trop bien, à tel point que tout d'un coup il ne se passe plus rien. Dans cette situation, vous devez être la femme parfaite qui comprend et qui ne cherche pas à tourner le couteau dans la plaie. 

Ne lui dites pas dix fois que "ce n'est pas grave", n'essayez pas non plus de lui dire que "ça arrive à tout le monde" et ne tentez pas un "essaie encore". Parlez d'autre chose (évitez peut-être la pluie et le beau temps), comme si il n'y avait pas de problème. Câlinez-vous, riez et la partie repartira de plus belle.

Sois belle et tais toi ? 

Il y a les pipelettes qui adorent raconter un tas de choses, d'autres qui ferment les yeux et qui se concentrent sur ce qu'elles ont de mieux à faire. Si beaucoup d'hommes apprécient d'être guidés dans le déroulement des opérations, peu d'entre eux aiment les longs discours pendant l'acte. Le mieux pour faire plaisir aux hommes est de trouver le juste milieu. Lui parler, montrer votre satisfaction (si satisfaction il n'y a pas, il reste la simulation), le tout est de motiver votre homme, de le valoriser. Car , il adore.

L'orgasme masculin ne passe pas forcément par l'éjaculation

Et vice versa. L'orgasme et l'éjaculation ne sont pas nécessairement corrélés. Un homme peut éjaculer sans éprouver du plaisir et peut avoir un orgasme sans éjaculer, vous me suivez ? Inutile donc de vouloir que votre homme éjacule à tout prix. Tout ne s'arrête pas après l'éjaculation. Bien au contraire, un homme éprouve plus de plaisir s'il parvient à se retenir (un peu) pour que cela dure plus longtemps, plutôt que s'il enchaîne les éjaculations toute la nuit. Incroyable mais vrai.

Retenir l'éjaculation pour plus de plaisir

Pour que le plaisir dure plus longtemps, on pratique la méthode du "stop and go". En retardant l'éjaculation, la femme prolonge non seulement le plaisir de son homme, mais aussi le sien ! Pour se faire, lorsque votre homme atteint le point de non-retour, vous devez arrêter les stimuli et exercer une pression sur le frein du pénis jusqu'à ce que l'envie d'éjaculer disparaisse. Il est important de retenir que la pression est "légère" si vous ne voulez pas mettre un terme définitif à vos ébats sexuels.

La méthode pour atteindre le plaisir

Le miracle n'existe pas ! Pas de méthode parfaite, ni de recette valable pour que votre homme soit le plus heureux des hommes. Le "bon coup" est une illusion que les hommes se sont inventés pour nous faire porter le chapeau. Même si cela peut paraître un peu vieux jeu, l'amour se fait à deux. Vous rencontrez quelqu'un, tombez sous le charme, pensez même un instant que c'est l'homme de votre vie. Et puis, c'est le désastre total, aucune alchimie, la cata. Pourtant vous étiez totalement sûre d'en avoir envie. 

De même, l'explosion sexuelle ne se prévoit pas. Elle ne vient pas de vous, ni de lui, mais de votre union. L'union fait la force oui oui. En tous les cas, on a beau connaître les 9 points du plaisir masculin : "quand ça veut pas, ça veut pas". 

Mais la bonne nouvelle c'est qu'il y a des hommes avec qui ça va très bien.

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Erection : 76 % des hommes inquiets

93 % des hommes jugent l’érection "fondamentale" dans le couple, révèle une étude. La femme aussi, mais pas pour les mêmes raisons.

Erection : "fondamentale" dans le couple

Alors que près d’un homme sur 3 est atteint de troubles de l’érection après 40 ans, la panne sexuelle reste un sujet très difficile à vivre chez les hommes qui en souffrent. Les hommes n'osent pas évoquer leurs troubles de l'érection, c’est ce que pensent plus de trois quarts des sondés d’une étude Ifop pour le laboratoire Lilly présentée ce jeudi 10 mai.
La gent masculine confirme : en cas de difficulté sexuelle, "76 % des hommes s’inquiètent et auraient tendance à taire ce problème au lieu d’en parler".
Pas étonnant que les hommes mettent en moyenne "trois ans à réagir" pour résoudre cette dysfonction érectile, constate Catherine Solano, médecin-sexologue à l’Hôpital Cochin.

Pourquoi un tel blocage ? L’étude Ifop/ Lilly met en lumière une sorte de paradoxe dans la perception de la masculinité dans la société d’aujourd’hui. D’un côté, la conception des hommes de l’acte sexuel a changé ces dernières années et ne se résume plus à la simple pénétration et à la performance. Les relations sexuelles reflètent davantage le partage, la satisfaction et la tendresse. Un avis globalement partagé par les deux sexes puisque pour 47 % des personnes interrogées par l’étude, faire l’amour est l’occasion de "partager un moment d’intimité". Après le partage, l’acte sexuel est synonyme de "satisfaction" et de "tendresse".
"Les hommes ont changé, ils ont investi le domaine de la sensibilité, analyse le Dr Solano. La libération sexuelle a libéré les hommes du carcan de dominateur dans le couple".

 
 

 Autre signe de cette nouvelle sensibilité masculine, là où les hommes des générations passées étaient jugés "patriarches et machos", les hommes d’aujourd’hui sont vus comme des "partenaires attentionnés" pour 47 % des sondés. 45 % des femmes pensent même que les hommes constituent de "bons pères de famille".

Erection : une perception homme-femme différente

Mais ce regard masculin se trouve d’un autre côté contrebalancé par une vision inflexible des hommes sur leur érection. 93 % des hommes jugent l’érection "fondamentale" pour se sentir un homme. Chez les hommes, l’érection est importante "pour se sentir rassuré dans son identité masculine et aller vers le rapport sexuel", remarque le Docteur Gilbert Bou Jaoudé, sexologue et président de l’Association pour le Développement de l’Information et de la Recherche sur la sexualité (Adirs).

Si elle est performance et réussite sexuelle chez l’homme, l’érection témoigne chez la femme du désir de son conjoint, de ses sentiments envers elle. Cette dimension affective est telle que les femmes sont plus nombreuses que les hommes à estimer que l’érection de leur partenaire est importante.

Cette différence de perception de l’érection explique pourquoi il est d’autant plus important pour le couple de parler de leur sexualité en cas de troubles de l’érection. Et éviter des incompréhensions dans le couple.

Trouble de l’érection : bien réagir
Comment réagir ? "Pour une femme il est important de ne pas culpabiliser et de ne pas se remettre en cause", conseille Catherine Solano. On évite ainsi pensées du type "il ne me désire plus", "il me trompe".

 L’érection ayant besoin d’être stimulée au fur et à mesure qu’on avance dans l’âge, la femme peut tenter d’aller vers son partenaire en lui demandant quelles caresses il aimerait qu’elle lui fasse. Elle peut également l’inciter à consulter un médecin en lui suggérant "de faire un bilan de santé", une formule plus rassurante pour l’homme.

L’homme qui souffre de trouble érectile doit avant tout "prendre conscience de ce problème sans culpabiliser ni douter de sa masculinité", suggère le Docteur Gilbert Bou Jaoudé. L’essentiel est de "ne pas subir la situation et de décider s’il souhaite de l’aide ou non". Cette aide peut revêtir différentes formes : une demande d’informations, une consultation, un traitement médicamenteux.

 Pour aider les hommes à faire face aux troubles de l'érection, le laboratoire Lilly propose le livret "Etre un homme et avoir des troubles de l'érection", à télécharger sur le site Internet Vivresoncouple.com.

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