Flirter au travail : Qui des femmes ou des hommes en abusent le plus ? Sexe et Flirt au bureau.Les hommes aussi ont leur site internet.
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Les 7 phases d’une aventure amoureuse au bureau
En vous baladant dans les couloirs, il vous arrive de soupçonner certains flirts entre collègues et vous vous demandez comment cela peut arriver ? La réponse : une romance au travail commence très naturellement, car on ne s’y attend pas généralement, et une fois que l’on en prend conscience, il est déjà trop tard
Quant à vous, en matière de flirt, vous vous dites : « moi, on ne m’y prendra pas ! Je veux pouvoir gérer toute aventure, surtout au travail, ne pas perdre le contrôle. Cela pourrait être nocif à mon équilibre personnel, et professionnel ». Si vous avez envie d’anticiper, il vous sera utile d’appréhender le modèle sur lequel la plupart des romances de bureau se déroulent.
- Le courant passe
On a chacun un ou une collègue avec qui on aime travailler. Vous aimez ses idées, vous formez une bonne équipe, vous vous complimentez sur la nouvelle cravate de l’un ou la nouvelle coupe de cheveux de l’autre. Bref, le courant passe entre vous.
- Papillons
Vous avez des papillons dans le ventre quand vous croisez cette personne dans les couloirs ? Vous dirigez-vous en même temps vers la machine à café pour prendre votre pause ? Bien sûr, tout cela est rationnellement explicable. Dans un coin de votre tête, il y a bien cette petite alerte rouge qui clignote mais vous faites tout pour ne pas la voir.
- La lutte
Vous y pensez sans cesse. Comment l’autre s’exprime, comment l’autre rit. Vous rentrez de plus en plus tard à la maison. Pour une bonne raison : vous n’attendez qu’une chose croiser «par hasard» l’élu(e) de votre cœur dans le couloir...
- Le jeu peut commencer
Ca y est, vous êtes tombés « par accident » dans les bras l’un de l’autre. Maintenant, à vous de décider de la prochaine étape. Et de mener habillement ce jeu de poker et étaler au moment opportun, vos quatre as sur la table.
- Aller trop loin
Bon, là, vous êtes embarqués dans l’aventure. Félicitations ! Le retour en arrière est désormais devenu impossible, car vous avez dépassé avec votre collègue les frontières de ce qui raisonnablement admis. Vous êtes allé trop loin tant au niveau physique qu’émotionnel. Mais on ne vous apprend rien, n’est-ce pas ?
- Réfléchir avant d’agir
Si vous êtes célibataire, une amourette de bureau n’est pas en soi un problème. Pour autant que l’autre le soit aussi, c’est plus équilibré au moins. Veillez à rester professionnel et à gérer vos émotions en adulte : ce n’est sans doute qu’un simple flirt. Vous n’êtes pas célibataire ? Admettez alors que vous jouez non seulement avec vos sentiments, mais également ceux de votre partenaire et de votre collègue. Si vous jouez à ce jeu-là, faites-le de manière équitable.
- La main dans le sac !
Vous voulez que votre relation reste secrète ? Ce n’est pas chose facile... Car les émotions se cachent difficilement.
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Ces signes qui montrent que vous lui plaisez
Vous ne cessez de penser à lui, votre cœur s’emballe dès qu’il passe à vos côtés, vous scrutez le moindre signe de sa part… Cette fois c’est sûr, Venus s’empare insidieusement de vous. Mais ces sensations sont-elles réciproques ? Comment savoir si la personne convoitée éprouve la même attraction pour vous ? Décryptage des signes les plus évocateurs.
La puissance du langage corporel. Pour connaître à minima les intentions d’une potentielle attirance, voire d’un futur amour, devenez experte en décryptage du langage corporel. Il n’existe bien sûr pas de schéma type de l’approche séduisante. Mais bien souvent, la gestuelle révèle les émotions. Plusieurs signes distinctifs peuvent en effet laisser transparaître une alchimie… plus ou moins palpable. Froncement de sourcil, sourires, visage détendu, croisement de jambes… En matière de séduction et d’attirance, notre corps parle de lui-même. Et tout se joue de manière inconsciente.
L’homme convoité cligne des yeux quand vous lui parlez ? Cela signifie qu’il est attentif à ce que vous lui dites. Il sourit dès que vos regards se croisent, il s’arrange pour exposer discrètement son corps face à vous, vous frôle d’un peu trop près. Ces signes sont extrêmement puissants… et révélateurs, sachez les repérer. Autre mimique, il touche régulièrement son visage face à vous, passe (trop de fois ?) sa main dans ses cheveux et sa nuque ? Là encore, il envoie des signaux. D’autant plus s’il se met à jouer avec ses lèvres, en les effleurant par exemple. Une façon de dérober ses charmes en toute discrétion qui sous-tend un message clair : la disponibilité physique, une manière d’être avenante… autant le dire, un parfum d’ouverture vers l’autre embaume l’atmosphère.
Le comportement, arme fatale. Pour savoir si un homme est intéressé, c’est aussi son comportement d’approche qui servira de baromètre. S’il revient souvent dans votre environnement, s’il parle beaucoup, vous lui plaisez. Il use et « abuse » de l’humour. Il cherche à vous faire rire. Il n’y a aucun doute, il tente de vous séduire, même si certains par timidité n’épousent pas cette approche. Tout comme sa maladresse non consciente trahit ses émotions. Il tentera également de pénétrer votre intimité tout en douceur, d’instaurer un premier contact physique en prétextant par exemple une légère perte de l’équilibre pour entrer en contact avec votre corps. Les comportements d’écoute prolongée sont également le signe, chez certains hommes, d’un intérêt intense, de même que les compliments appuyés et bien amenés. A l’évidence, un homme séduit ne reproduira pas forcément l’ensemble de ces signes.
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Amour au travail : 3 conseils pour gérer une relation
Rencontrer l'amour dans un mariage ? L'idée est très romantique certes, mais la réalité nous dit que c'est là où nous passons le plus de temps que nous allons tomber amoureux. Ne nous étonnons donc pas que 12% des ménages se soient formés au bureau. 3 conseils aux collègues-amoureux pour gérer cette relation.
Le secret : bonne ou mauvaise idée ?
Quand une relation démarre, on a très souvent envie de garder les choses pour soi. Comme si le fait de partager ça avec d'autres allait porter préjudice à ce que nous sommes en train de vivre. Que ce soit les amis de lycée, les parents ou les collègues, on pense : « Il ne faut pas que ça se sache ». Mais ne nous voilons pas la face, même si cette situation est rassurante ou excitante au début, elle n'est pas tenable dans la durée. À moins que vous ne viviez sur une île déserte, les autres finiront forcément par le savoir, alors, autant l'annoncer vous-même.
Restez professionnels !
Donc oui, à court ou moyen-terme, tout le monde au bureau saura que vous êtes en couple avec Roger. Certains de vos collègues auront même, peut-être, assisté à la naissance de votre relation. C'est mignon sans doute, mais attention toutefois, à ne pas rendre les choses trop intimes. Il est délicat, surtout au début, dans la joie des commencements et sous la pression de vos collègues/copines, de ne pas raconter trop de détails. C'est à ce moment qu'il est bon de vous souvenir que, même si tout le monde s'entend bien et que l'ambiance est idéale, vous êtes sur votre lieu de travail. Racontez donc un peu, mais pas trop et surtout, restez classe.
Ne mélangez pas tout !
Si rester professionnel vous garantit un environnement de travail vivable, de petites précautions sont également nécessaires pour préserver votre relation dans la sphère personnelle. Comment, par exemple, échapper au traditionnel dîner où vous allez parler... du bureau ? Mettez en place des règles qui permettront à la relation de s'épanouir entre la sphère personnelle et la sphère professionnelle. Si vous avez les mêmes horaires, évitez, dans la mesure du possible de faire le trajet ensemble. Ou au contraire faites-le et décidez qu'une fois à la maison, vous passez à autre chose. Vous pouvez aussi discuter boulot au déjeuner et jamais au dîner. Les possibilités sont nombreuses !
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Comment flirter au bureau sans s'attirer d'ennuis
La question
“Est-il acceptable de flirter ouvertement au bureau, ces temps-ci ? Je croyais que non. J’ai fait mon possible et plus pour traiter de manière professionnelle les femmes de mon équipe. Je ne les complimentais jamais sur leur apparence, je ne faisais jamais de remarque sexiste. Je découvre maintenant qu’un nouveau collègue s’obstine à flirter comme un fou avec presque tout le monde, est aimé, et devrait progresser rapidement dans l’organisation. Est-ce que je me suis trompé depuis le début ?”
La réponse
Oui, vous avez tout faux. Flirter est une méthode efficace et bien connue pour faire avancer votre carrière. C’est aussi une méthode risquée, avec ses propres règles compliquées qu’il vous faut respecter. Sinon, vous risquez de vous retrouver à la porte, et au tribunal.
Votre collègue a de toute évidence compris la règle numéro un : la séduction doit être étalée largement et en couche fine. Si vous flirtez avec seulement une personne, c’est non seulement peu professionnel, mais une très mauvaise idée, pour des raisons que, j’espère, je n’aurai pas à expliquer.
Votre problème est qu’il est très difficile d’apprendre à flirter. Étant donné que vous paraissez ne pas avoir cette inclination naturelle, je vous conseille de réfléchir à deux fois avant de tenter ce qui suit.
Règle numéro deux : peaufinez votre technique de flirt pour la rendre tolérable sur le lieu de travail. Les plus grands séducteurs savent qu’ils doivent pratiquer différemment au travail et ailleurs. Le flirt au bureau doit pencher plus du côté badinage que main aux fesses. En effet, il ne devrait jamais être sexuellement menaçant, ou maladroit, ou même le plus légèrement vulgaire. Les sous-entendus et les clins d’œil ne sont pas du meilleur effet à la photocopieuse. Dire à une collègue qu’elle est jolie, d’accord, mais il est primordial de ne pas assortir le compliment d’un regard concupiscent.
La règle suivante concerne le flirt et l’échelle hiérarchique. Flirter avec des personnes de la même condition que vous est relativement simple. Flirter avec des personnes de rang inférieur ou supérieur dans l’organigramme est réservé à la classe dirigeante, et uniquement à elle.
“règle numéro un : la séduction doit être étalée largement et en couche fine”
Pour réussir sans anicroches, vous devez être non seulement né séducteur, mais être par ailleurs respecté pour votre travail et considéré comme moralement impeccable par vos collègues. Là, les femmes ont un énorme avantage. C’est parce qu’elles ne traînent pas le fardeau de siècles de comportements prédateurs.
Il est vrai qu’une femme qui flirte peut passer parfois pour une bimbo, ce qui rend le flirt stratégiquement moins intéressant pour les femmes qui débutent. Mais si la femme en question a une carrière bien établie, elle ne paraîtra pas idiote quand elle flirtera. Elle sera irrésistible.
Je peux citer deux dirigeantes pour qui flirter est l’arme la plus puissante. Elles flirtent avec absolument tout le monde, hommes ou femme, de la réceptionniste au directeur.
Cette technique est profondément manipulatrice, mais n’en est pas moins efficace pour autant. Tout le monde les adore. Et le plus irritant, ce n’est pas la rapidité avec laquelle ces personnes progressent dans l’entreprise, mais c’est qu’elles semblent toujours obtenir ce qu’elles veulent, tout le temps.
Les conseils
Ou vous savez flirter, ou bien vous ne savez pas. L’âge et le statut marital n’ont rien à y voir, c’est quelque chose que vous apprenez à un jeune âge ou pas du tout. Donc, si vous ne pouvez pas le faire, il vous reste un créneau. Vous remarquerez que les séducteurs ont tendance à flirter tout le temps. Ils sont bloqués sur un seul rôle, alors que vous pouvez adapter votre comportement à la situation. Vous pouvez aussi être une figure paternelle, un voisin sympa, un pote pour aller boire un verre. Donc, apprenez à jouer un rôle, essayez-en plusieurs et amusez-vous.
J’ai dépassé les 60 ans, je suis marié depuis 39 ans et je complimenterai toujours les femmes avec qui je travaille quand je pense qu’elles sont à leur avantage : une nouvelle coiffure, une jolie robe, etc., et je sais que c’est accepté comme un compliment sincère. Mais je ne flirte pas, parce que c’est s’aventurer en terrain miné. Par ailleurs, comme je suis professeur d’université, je ne dis jamais à mes étudiantes qu’elles sont jolies. Je suis dans une position de pouvoir (c’est moi qui attribue les notes) et cela pourrait passer pour des avances.
Homme, universitaire, la soixantaine
“Flirter avec des personnes de la même condition que vous est relativement simple. Flirter avec des personnes de rang inférieur ou supérieur dans l’organigramme est réservé à la classe dirigeante, et uniquement à elle”
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Comment savoir si une femme vous drague ?
Où l’on reparle de l’importance du langage corporel en séduction
Pourquoi les hommes seraient-ils les seuls à vouloir séduire ? Aujourd’hui, les femmes n’hésitent pas à mener le jeu de la séduction…
Vous rencontrez une fille en soirée, le courant passe bien, et il vous semble même qu’elle vous fait quelques appels de phares discrets. Mais si aujourd’hui les femmes sont à leur tour entrées dans le jeu de la séduction, elles envoient toutefois des signaux assez subtils. Alors, comment être certain qu’une femme vous drague ? Quelques astuces pour vous éviter une méchante déception.
Son corps vous parle
Si vous avez regardé les séries The Mentalist ou Lie to Me, vous avez déjà compris deux ou trois trucs sur le langage corporel. On récapitule : si elle s’assoit très près de vous, se penche un peu pour vous parler ou vous touche fréquemment le bras ou l’épaule, l’affaire est entendue. Par contre, si elle se tient bras et jambes croisés, n’insistez pas trop !
Regardez-la dans les yeux
Les spécialistes sont formels : le désir se traduit par des pupilles dilatées. C’est un indice discret, mais qui ne trompe pas. Faites aussi attention à son regard. Elle vous fixe intensément et soutient votre regard pendant votre conversation ? C’est toujours un bon point. Et on insiste sur le fait de la regarder dans les yeux et pas directement dans le décolleté…
« Femme qui rit... »
On vous l’accorde, ce vieil adage est un peu kitsch, mais si elle rit à toutes vos blagues et vous sourit franchement le reste du temps, les chances sont grandes pour qu’elle soit effectivement tombée sous votre charme et qu’elle apprécie beaucoup votre compagnie.
Enfin, un dernier bon indicateur, évident celui-ci : elle vous dit que vous lui plaisez et vous donne son numéro de téléphone. Parce que, oui, ça peut arriver aussi !
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Le flirt au bureau, pas une si bonne idée ?
Qui dit flirter, dit grande montée d’adrénaline mais aussi… grand danger. Le flirt au bureau a certes du bon : Tout est prétexte pour se parler, pour se faire des compliments, pour se faire les yeux doux. C’est un jeu très sensuel et chaque matin, on n’a qu’une hâte : se rendre au boulot ! Les phrases à double sens n’ont plus de secrets, on se sent bien dans sa peau. Et puis, il faut le dire, on est beaucoup plus performant au travail quand monte la tension sexuelle. Mais il y a aussi des conséquences désastreuses : avec notamment les disputes de couple, et cela arrivera. Ces huit heures vous sembleront alors, au final, très très longues. Conséquence : votre vie professionnelle en pâtira également. Les choses seront pires si vous cherchiez l’âme sœur et que, lui, voulait passer du bon temps, voire vous ajouter à sa longue liste de victimes. Alors que tous vos collègues sont au courant de votre « idylle ».
Anishta et son fiancé Deven ainsi que Nathalie et Dominic ont bien voulu nous raconter leurs aventures ou mésaventures au bureau.
«Quand je suis arrivée dans cette société après mon HSC, j’ai adoré l’ambiance. La boîte était remplie de jeunes qui, comme moi, n’avaient plus les parents sur le dos, gagnaient de l’argent – et pas mal d’argent – pour la première fois et qui, bien sûr, avaient envie de s’amuser. Dès le premier jour, j’ai senti le regard de mon superviseur sur moi et honnêtement, cela me flattait beaucoup qu’un ‘homme’ fasse attention à moi. Au début, il y avait des sourires, puis des petites conversations dans la kitchenette autour d’un café et ensuite le déjeuner. On s’est mis ensemble au bout de deux semaines. Le hic, c’est qu’il était très secret et, en dehors du travail, je le voyais et lui parlais rarement. Jusqu’au jour où j’ai appris qu’il était marié et père d’une petite fille et que je n’étais pas sa première victime. J’ai donné ma démission sans un regard en arrière. J’avais le cœur en miettes», raconte Nathalie. Anihshta et Deven, âgés de 24 et 25 ans, se sont mariés depuis six mois. «Elle était ma chef.» C’est la première chose que lance Deven avec un petit sourire tendre pour sa bien-aimée. Anishta et Deven se sont connus sur leur lieu de travail et cela a été le coup de foudre. Comme Anishta était son chef hiérarchique, ils ont pris deux ans avant de se lancer dans une histoire d’amour. Ils voulaient être sûrs de leurs sentiments avant tout. «Nous travaillons toujours dans le même département, confie Anishta. Nous faisons attention de séparer vies professionnelle et amoureuse. Même si nous avons eu une dispute, au bureau cela ne se voit pas.» Deven, lui, avoue qu’il leur arrive de parler boulot une fois à la maison. Mais ils essayent de le faire le moins possible. «Je suis un Don Juan dans l’âme. Depuis l’école maternelle, je charme les femmes. Sauf que quand j’ai commencé à jouer au charmeur avec A., elle l’a mal pris. Au début, elle me répondait et idiot comme je suis, je croyais qu’elle flirtait aussi avec moi mais elle était furieuse. Un matin, on m’a appelé dans le bureau des Ressources humaines pour m’annoncer que la demoiselle m’accusait de harcèlement sexuel», confie de son côté Dominic. Ce dernier explique qu’il a essayé de se défendre mais elle avait enregistré une conversation sur son téléphone. «Pas de défense possible avec cette conversation tirée de son contexte. J’ai dû donner ma démission et, depuis cet épisode, je fais très attention à mes plaisanteries à qui je parle. Cela aurait pu être beaucoup plus grave», ajoute le jeune homme. C’est vrai la drague au boulot a un petit côté interdit qui excite les sens. Mais avant de se lancer dans une aventure, il faut bien peser le pour et le contre. Un petit flirt peut facilement tourner au vinaigre mais aussi peut devenir votre plus belle histoire d’amour…
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Flirter au boulot, bonne ou mauvaise idée ?
Une chose est sûre : vous passez la majorité de votre temps sur le lieu de votre travail. Ce qui induit un investissement en terme de temps mais aussi en terme de relation. Les personnes que vous y côtoyez tous les jours prennent de la place dans votre existence. Depuis quelque temps, vous passez de longues, très longues journées avec votre collègue Marc et vous commencez à ressentir plus que de la sympathie à son égard. Dès lors, vous vous demandez : « Flirter au boulot, est-ce une bonne ou une mauvaise idée ? »
Flirter au boulot : un jeu séduisant
Premièrement il y a une telle diversité de personnes que vous êtes amené à rencontrer qu’il est possible voire facile de croiser la personne qui vous fera battre le cœur. Deuxièmement, le contexte du lieu de travail joue en notre faveur au niveau des aparences puisque là, nous sommes apprêtés, et à notre avantage : nous essayons de nous montrer sous notre meilleur jour, en étant courtois avec nos collègues et supérieurs. Nous jouons un rôle en quelque sorte. Troisièmement, les éléments déclencheurs de passion s’y trouvent à leur paroxysme. Flirter sur un lieu de travail a un goût d’interdit et l’interdit attise le feu de la passion, tout comme le manque et la frustration d’ailleurs. Cette relation naissante au travail, imprévue, qui sort du cadre, qui doit rester discrète a un parfum d’autant plus délicieux qu’elle est censée être interdite. La petite peur qui tenaille parce qu’on a peur de se faire prendre est également excitant. Ca a des allures de jeux d’enfants. Un flirt au boulot a quelque chose de surréaliste qui est grisant.
Flirter au boulot : un jeu dangereux
Ca y est vous et votre collègue vous rapprochez de plus en plus. Vous vous envoyez plusieurs mails dans la journée, vous déjeunez ensemble. Vous êtes sur votre petit nuage pendant quelques semaines jusqu’au jour où vous commencez à réaliser que vous vous attachez à lui. Aussi, vous commencez à vous demander sérieusement ce que signifie votre relation pour votre collègue-amant. Vous aimeriez aller plus loin avec lui. Ca fait déjà trois mois que vous tournez autour du pot et vous aimeriez bien qu’il se jette à l’eau. Par ailleurs, vous avez appris par inadvertance que monsieur a une copine. Ca bien sûr il vous l’avait caché. Vous vous demandez alors pourquoi continue t’il ce jeu de séduction avec vous, des mois durant ? Si il voulait juste un « coup », il ne se serait pas compliqué la tâche en s’évertuant à vous faire la cours tous les jours, en vous écrivant des mots doux et des poèmes. Il serait allé droit au but. C’est ce que vous vous imaginez.
A votre inssue, vous avez glissé d’un jeu léger à un jeu grave. Vous avez flirté et ça vous a fait du bien, tellement de bien que vous n’arrivez plus à vous détacher de la situation dans laquelle vous vous êtes engouffrée. Vous vous êtes laissés piégés par votre propre jeu. Vous ne vouliez qu’un flirt et vous êtes tombés amoureux. Sans avoir pris de précaution, sans avoir cherché d’abord à savoir si cet homme était bien disponible. Idem de son côté ; il ne voulait qu’un flirt pour revivre la passion éteinte dans son couple et il s’est épris de vous. Chaque action a ses conséquences. On ne badine pas avec l’amour. Désormais il ne sait plus comment gérer la situation. Il est amoureux de vous mais ne peut pas se décider à quitter sa conjointe. Il ne joue pas avec vos sentiments mais il est perdu dans les siens. Il est tiraillé : il n’a qu’une envie : vous faire l’amour mais en même temps, il est attaché à sa copine et ne pourrait supporter la culpabilité qu’engendrerait un tel acte. La solution qui lui paraît être la meilleure est de maintenir votre relation dans un état un peu flou, en continuant de vous séduire tout en vous mettant à distance. Il est actuellement dans l’incapacité de choisir entre vous et sa copine.
Cette situation vous fait souffrir.
Le danger de flirter au boulot est que vous ne connaissez pas vraiment la personne qui est avec vous. Vous ne pouvez rien savoir sur sa vie sentimentale, sur ses amis, sur ses activités extra-boulot. Vos collègues ne vous montrent que ce qu’ils veulent bien montrer. Il est donc facile de s’imaginer pleins de choses et l’idéalisation s’ensuit. Un autre danger : si vous vous fâchez ensemble et que vous rompez en de mauvais termes, si il était la seule personne avec qui vous étiez proche, vous vous retrouverez toute seule. De plus, il peut casser du sucre sur votre dos si il est rancunier ou mauvais perdant. Personne ne pourra vous soutenir. En conclusion : avant de vous compliquer la vie, avec soi-disant un petit flirt sans conséquences, attention à vous ! Soyez sûre de flirter avec un homme célibataire et essayez de le voir ailleurs qu’au boulot.
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Flirter au travail, est-ce vraiment une bonne idée ? Si près d'un couple sur trois se forme au boulot, il y a tout de même quelques petites règles à suivre pour que tout soit parfait. Et ce n'est pas forcément celui que l'on croit qui démarre la drague...
"No zob, in job". Cette maxime bien connue dans le monde du travail qui stipule qu'il ne faut pas mélanger plaisir charnel et plaisir professionnel parait logique. Mais c'est mal connaître l'homme et sa propension à faire ce qu'on lui interdit. "72,6 % des hommes et 61 % des femmes ont déjà eu envie de flirter avec l'un ou l'une de leur collègue", révèle un sondage réalisé auprès de 1790 internautes d'un site de rencontres. Les hommes en parlent, les femmes le font Des chiffres parlants qui font que près de 3 hommes sur 4, et 2 femmes sur 3, se disent prêts à dragouiller au bureau. Mais entre les intentions et les actes, il y a parfois un monde. Et c'est là qu'on se rend compte que les plus coquines... sont les femmes. En effet, si les hommes sont "38,9% à avoir déjà franchi le pas, les femmes, elles sont 41,8%", poursuit l'analyse. D'autres chiffres montrent que si les hommes y pensent plus, ce sont les femmes qui agissent. Près de 7 hommes sur 10 (69,7%) des hommes ont déjà fantasmé sur l'une de leurs collègues alors que pour les femmes c'est à peine plus de la moitié (55,3%). En revanche, au moment de franchir le pas, la tendance s'inverse. 34,7% des femmes l'ont fait contre 31,8% pour les mâles. Mais finalement ces chiffres ne sont pas si étonnants. En effet, "près d'un tiers des Français et des Françaises (31%) disent avoir eu une relation amoureuse au travail", précisait t'on en 2011, s'appuyant sur un sondage . Des chiffres corroborants ceux d'un journal qui expliquent que 30% des couples européens se forment au travail. Le milieu du travail est tout simplement aphrodisiaque. Pourquoi sommes nous attirés par un collègue ? C'est la grande question. Pourquoi sommes-nous parfois attiré par un ou une collègue ? Il y a plusieurs raisons logiques à tout cela. Tout d'abord, vous partagez avec vos collègues des thématiques communes, parfois un diplôme ou un domaine de compétence similaire, et surtout... beaucoup de temps. La proximité (voire parfois la promiscuité) accroît le désir. Si à cela on ajoute les nombreuses occasions de flancher (séminaires, pots de départ, déjeuners...), on trouve tous les ingrédients pour une petite escapade charnelle. Nous passons la majorité de notre temps sur notre lieu de travail, et c'est également l'endroit où nous fréquentons le plus de personnes dans une proximité quotidienne, il est donc normal que cette intimité puisse dériver vers des relations sortant du cadre professionnel, ajoute un psychologue. On peut également ajouter que le fait de flirter au travail permet un gain en efficacité. C'est en tout cas ce qu'en pensent les premiers concernés. La gent féminine considère à hauteur de 16,7 % que le flirt booste la productivité (contre 15,4 % des hommes), poursuit le sondage. Vos potentialités de séduction augmentent lorsque vous êtes manager, responsable des ressources humaines, dirigeant, formateur, consultant... C'est la théorie du 'je réussis donc je séduis' Est-ce dangereux ? Normalement non. Les entreprises ne peuvent interdire à leurs salariés d'avoir une aventure, ni les muter ou les licencier pour cette raison, depuis 1982 et les lois Auroux, du nom de l'ancien Ministre du Travail sous le gouvernement socialiste de Pierre Mauroy. En revanche, n'espérez pas pouvoir faire un câlin autre que pendant la pause déj, vous risquez d'avoir des problèmes, non pas parce que vous embrassez votre collègue, mais parce que vous serez en train de vaquer à vos occupations personnelles sur votre temps de travail. Finalement, la meilleure des solutions est certainement de la jouer discrète. C'est d'ailleurs ce que préconisent les "flirteurs" qui ont une autre maxime bien connue: "Pour vivre heureux, vivons caché".
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Selon une étude mondiale de Monster, 58% des salariés estiment qu’amour et travail ne font pas bon ménage, mais près d’un Français sur deux serait prêt à prendre le risque…
Les Français, leur romantisme, leur goût du libertinage… Alors que le récent déballage sur la vie privée du président de la République a remis au goût du jour les bons clichés sur nos mœurs prétendument légères, voilà un nouveau sondage qui entend en remettre une couche.
Palme de la transgression
A l’occasion de la Saint-Valentin, le site de recherche d’emploi Monster vient en effet de publier un baromètre mondial sur les relations amoureuses au travail* qui conclut que «les salariés français détiennent la palme des plus libertins». A première vue, ce n’est pas faux.
Alors qu’au niveau international, 39 % des répondants estiment que fricoter avec un collègue est trop dangereux pour tenter le coup, et 19 % seulement sont prêts à prendre le risque, en France, le goût du frisson et de la transgression l’emporte largement: 23 % seulement des sondés excluent toute relation pour ne pas menacer leur carrière alors que 49 % déclarent que «oui, cela est dangereux, mais je pourrais avoir une liaison avec un/une collègue de travail (surtout si nous sommes attirés l’un par l’autre)».
L’échantillon français de 276 répondants en ligne ne permet certes pas de tirer de grandes conclusions mais la comparaison internationale est tout de même éloquente: c’est de loin la plus forte proportion parmi les pays que jugent qu’une relation amoureuse au travail nuit à la carrière. «Ce résultat est deux fois supérieur à l’Allemagne qui occupe pourtant la seconde place du romantisme insouciant avec 24 % de répondants qui passeraient à l’acte malgré les risques», note Monster dans son communiqué, alors qu’à l’autre bout du spectre les Américains sont les plus prudents: 52,3 % assurant exclure toute relation au travail en raison des risques encourus.
Toutefois à y regarder de plus près, en matière de vie amoureuse au travail, les pays de l’Europe de l’Est et du Nord, apparaissent de loin les plus décomplexés. Alors que seulement 19,2 % des Français interrogés pensent qu’une relation amoureuse au travail est sans danger pour la carrière, ils sont 41,8 % en Finlande, 44,2 % en Suède et même 51 % en Autriche. Alors, c’est qui les plus libertins?
*Sondage en ligne administré auprès des visiteurs du site Monster du 6 au 20 Janvier 2014.qui a obtenu 5 100 réponses dans le monde dont 276 en France. Un internaute ne peut voter qu’une seule fois.
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Un Français sur trois flirte (ou plus) au bureau
L'amour n'est pas que dans le pré. On peut aussi le trouver au bureau. Selon un sondage réalisé par Opinion Way pour les Éditions Tissot sur « la sexualité, les Français et le travail », un Français sur deux considère l'environnement professionnel comme propice au flirt et à la rencontre amoureuse et un sur trois a eu une relation (amoureuse, sentimentale ou sexuelle) avec une personne rencontrée dans le cadre de son travail (collègue, client, prestataire, fournisseur...). « Le coup de foudre amoureux peut survenir sur le lieu de travail et la "sauvagerie du désir" transgresser les règles et les conventions », analyse le sociologue Ronan Chastellier. Certains secteurs, compte tenu de la durée du temps passé dans l'entreprise, de l'aspect festif du management comme les séminaires... favorisent ce type de rencontres (milieu hospitalier, monde de la communication et de la presse, etc). Aujourd'hui, « on a besoin d'ensauvagement dans le monde du travail, c'est le jeu de l'amour et du travail », poursuit le sociologue qui qualifie l'entreprise de bon « opérateur » de la rencontre. Car l'aventure au travail en général ne dure pas. Peut-être d'ailleurs parce que l'un des deux partenaires est déjà engagé ailleurs... le questionnaire ne le dit pas.
Relations furtives
Quoi qu'il en soit, 63% des salariés interrogés évoquent ainsi une relation furtive, tandis que 36 % entretiennent une relation durable. La coprésence des amants dans l'entreprise n'est pas simple à gérer : si 6 % d'entre eux vivent leur histoire au grand jour, 8 % préfèrent être discrets dans l'entreprise et 2 % préfèrent la quitter. Si la possibilité de séduction existe dans l'entreprise, la limite apparaît vite avec le harcèlement sexuel, considéré comme un « comportement bestial régressif », remarque Ronan Chastellier. Le sondage montre également que 67 % des Français estiment qu'il n'y a pas de place pour l'amour dans l'entreprise. Parmi les plus rétifs à une idylle au travail figurent les jeunes et les femmes.
À noter que 9% des Français utilisent Internet sur leur lieu de travail pour flirter. Pour le sociologue, cette pratique est « sous-évaluée, compte tenu du tabou et de l'absence de contrôle réel ». Enfin, 55 % des salariés considèrent qu'être amoureux a un impact positif sur leur travail. Mais, 14 % considèrent que l'amour a un aspect négatif sur leur efficacité au travail.
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L’amour au travail nuit gravement à la carrière, et alors?
Flirt au bureau: mode d’emploiImpossible de le nier: le flirt dans les lieux de travail est tout sauf un mythe. Du regard coquin aux compliments audacieux, les collègues dragueurs s’en donnent à cœur joie au bureau. Comment réagir lorsqu’ils proposent d’aller prendre un verre? En l’absence d’intérêt, faut-il tout de même accepter par politesse? Comment répondre avec tact? Le monde de l'entreprise ne serait pas étanche aux sentiments, puisque près d'un tiers des Français et des Françaises disent avoir déjà vécu une relation amoureuse au travail et 55% considèrent qu'être amoureux a un impact positif sur leur efficacité professionnelle, selon un sondage. La même proportion d'hommes et de femmes (31%) disent avoir vécu une relation sentimentale, amoureuse et/ou sexuelle. Les personnes qui font cet aveu sont plus nombreuses (35%) dans la tranche d'âge des 35-49 ans et plus que dans celle des 18-24 ans (22% seulement). La relation a pu s'établir dans l'entreprise avec un ou une collègue, ou bien à l'extérieur avec un client, un fournisseur ou un prestataire. La moitié des personnes interrogées estime que l'environnement de travail est propice "au flirt, à la drague ou à la rencontre amoureuse", la proportion étant la plus forte (53%) chez les plus de 50 ans. Pour 36% des répondants, la relation amoureuse existe encore au moment de l'enquête, surtout chez les plus jeunes (58% des 18-24 ans).
Un impact positif sur l'efficacité?
D'une manière générale, 55% des personnes interrogées considèrent qu'être amoureux a un impact positif sur leur efficacité au travail, surtout chez les femmes (56%) et les plus jeunes (61% des 18-24 ans). Le sondage, réalisé les 11, 12, 18 et 19 mai auprès d'un échantillon de 1001 salariés du privé et des entreprises publiques (méthode des quotas), interrogé en ligne, ne donne pas de détails sur les lieux privilégiés où se développent les relations. Internet -courriel, messagerie instantanée, site de rencontre et réseau social- est toutefois utilisé "pour flirter" par 9% des répondants, surtout des hommes (13%) et plutôt dans la tranche d'âge des 25-34 ans (14%). A l'inverse, 78% des salariés - et 81% des femmes- estiment que leur vie professionnelle peut avoir une influence négative, voire destructrice sur leur vie privée. Un quotidien qui a dévoilé le sondage, précise enfin que 63% des salariés interrogés évoquent une relation furtive, tandis que 36% entretiennent une relation durable. Ces liaisons semblent également difficiles à gérer puisque seuls 6% des sondés vivent leur histoire au grand jour. 8% préfèrent être discrets dans l'entreprise et 2% choisissent de la quitter.
Le monde de l'entreprise ne serait pas étanche aux sentiments, puisque près d'un tiers des Français et des Françaises disent avoir déjà vécu une relation amoureuse au travail et 55% considèrent qu'être amoureux a un impact positif sur leur efficacité professionnelle, selon un sondage OpinionWay pour les éditions Tissot.
La même proportion d'hommes et de femmes (31%) disent avoir vécu une relation sentimentale, amoureuse et/ou sexuelle. Les personnes qui font cet aveu sont plus nombreuses (35%) dans la tranche d'âge des 35-49 ans et plus que dans celle des 18-24 ans (22% seulement). La relation a pu s'établir dans l'entreprise avec un ou une collègue, ou bien à l'extérieur avec un client, un fournisseur ou un prestataire.
La moitié des personnes interrogées estime que l'environnement de travail est propice "au flirt, à la drague ou à la rencontre amoureuse", la proportion étant la plus forte (53%) chez les plus de 50 ans. Pour 36% des répondants, la relation amoureuse existe encore au moment de l'enquête, surtout chez les plus jeunes (58% des 18-24 ans).
Un impact positif sur l'efficacité?
D'une manière générale, 55% des personnes interrogées considèrent qu'être amoureux a un impact positif sur leur efficacité au travail, surtout chez les femmes (56%) et les plus jeunes (61% des 18-24 ans). Le sondage, réalisé les 11, 12, 18 et 19 mai auprès d'un échantillon de 1001 salariés du privé et des entreprises publiques (méthode des quotas), interrogé en ligne, ne donne pas de détails sur les lieux privilégiés où se développent les relations.
Internet -courriel, messagerie instantanée, site de rencontre et réseau social- est toutefois utilisé "pour flirter" par 9% des répondants, surtout des hommes (13%) et plutôt dans la tranche d'âge des 25-34 ans (14%). A l'inverse, 78% des salariés - et 81% des femmes- estiment que leur vie professionnelle peut avoir une influence négative, voire destructrice sur leur vie privée.
Le quotidien La Tribune, qui a dévoilé le sondage, précise enfin que 63% des salariés interrogés évoquent une relation furtive, tandis que 36% entretiennent une relation durable. Ces liaisons semblent également difficiles à gérer puisque seuls 6% des sondés vivent leur histoire au grand jour. 8% préfèrent être discrets dans l'entreprise et 2% choisissent de la quitter.
En savoir plus sur http://lexpansion.lexpress.fr/carriere/un-francais-sur-trois-flirte-au-travail_256931.html#tMdOPVXqjOKAAAQ7.99
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Est-ce que les hommes seraient plus francs ou moins gêné d’avouer avoir été tenté de cruiser/consommer une collègue de travail?
Quoi qu’il en soit, il semble que pour les communs des mortels – du moins ceux qui bossent dans un bureau - leur lieu de travail serait un endroit prédestiné à la séduction. La chair est faible chez les cols blancs! Et à l’approche des fêtes et des partys de bureau, décortiquer toutes ces pulsions serait peut-être un cadeau à nous faire!
C’est le conférencier québécois et auteur du bouquin Sexe et flirt au bureau, Alain Samson, qui a été le premier à mettre le doigt sur une vérité peut-être embarrassante: notre milieu de travail serait aphrodisiaque. D’abord parce qu’il est rare qu’on se pointe au bureau les cheveux en bataille, vêtu de vieux pantalon de jogging et des miettes de p’tit déjeuner plein les dents. Avant de partir au boulot, on prend grand soin de se doucher, déodoriser, maquiller, parfumer, coiffer, et on enfile des vêtements qu’on ne porte évidemment pas le dimanche matin. Tout un code de coquetterie a été instauré pour le milieu de travail. Bref, quand on se pointe au bureau, on se met habituellement sur notre 36. Alors, comment blâmer ceux qui de ne restent pas de marbre devant la petite parade matinale autour de la machine à café?
Autres lieux, autres mœurs
D’autres éléments contribuent à rendre notre milieu de travail aphrodisiaque. Évidemment, quand un homme partage son heure de lunch avec sa séduisante collègue, il va religieusement s’astreindre à ne pas éructer ou se gratter l’entrejambe, alors qu’une fois de retour à la maison, il y ait de bonnes chances que ce même Adonis rote et «flatule» à qui mieux-mieux en se foutant éperdument de sa blonde!
Aussi: notre milieu de travail est propice aux échanges, aux confidences entre collègues. Ainsi qu’aux compliments sur votre nouveau décolleté ou encore sur cette adorable jupe si bien taillée qui fait de votre chute de reins, une affolante invitation à la tentation! Enfin, quand on travaille de longues heures avec un collègue sur un dossier conjoint, un sentiment d’accomplissement commun et d’affiliation se crée. On se dit «ensemble, on forme une équipe gagnante, il me semble qu’on pourrait poursuivre l’aventure commune un peu plus loin...» Si ces quelques éléments expliquent brièvement comment notre milieu professionnel peut se donner des airs de crusing bars, imaginez alors combien explosifs peuvent devenir vos partys de Noël de bureau. Un verre dans le nez, une accumulation de fatigue, une cravate desserrée et un décolleté plus vertigineux que jamais suffiront largement à faire craquer le plus – la plus - straight de la gang!
Intensément érotique
Plusieurs spécialistes s’entendent pour dire que les relations qui se créent en milieu de travail sont très érotisantes. Ceux qui s’y adonnent recherchent de sensations fortes, de la passion. Oui, le bureau représente l’antre de tous les fantasmes: faire l’amour sur un bureau de travail, une photocopieuse ou dans la salle des archives est considéré comme un des acte les plus excitants pour la majorité des femmes. Et des hommes aussi! La peur d’être surpris les culottes à terre mêlée à l’excitation de transgresser les règles, de commettre un acte qui ne se fait pas, boostent le désir. 7 % des femmes affirment avoir déjà eu une relation sexuelle avec un collègue de travail, tandis que 13 % des hommes font le même aveu. Cette adjointe à la comptabilité raconte: «Ça faisait trois mois que j’avais été embauchée. Le gars qui avait configuré mon ordinateur me faisait totalement capoté et je me suis mise à le draguer de façon de moins en moins subtile! De nature timide, il ne faisait aucun pas vers moi; alors, je les ai fait et l’ai invité à prendre une bière. Il a accepté. Le lendemain, au bureau, il m’a envoyé un courriel pour me donner un rendez-vous dans la salle informatique et on a baisé avec une fougue incomparable. Suite à cette délirante expérience, on s’est mis à faire l’amour un peu partout: cages d’escalier, toilettes... si les murs des petits racoins de l’édifice pouvaient parler, ils en auraient de toutes les couleurs à confier! Même si notre histoire n’a pas duré longtemps, je garde de cette passion charnelle un souvenir encore très chaud, eh oui, encore après dix ans!»
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Huit hommes se confessent : « Voilà pourquoi je l'ai trompée... »
Parfois, quand les temps sont durs, les durs cherchent quelqu’un d’autre. Mais pourquoi les hommes s’écartent-ils du droit chemin ? À cause des réflexions de leurs petites amies ? Du manque d’alchimie ? Parce qu’ils se sentent seuls ? Oui, oui et oui. Découvrez pourquoi ces hommes se sont éloignés de leurs petites amies et ont fini dans les bras d’une autre. Puis, que vous soyez un homme ou une femme, tirez leçon de ces confessions pour éviter ce genre de situation dans votre propre vie amoureuse.
Raison nº 1 : Par vengeance
« Une fois, j’ai trompé ma copine après avoir vu sur son téléphone que son ex et elle s’étaient envoyé des messages. C’était des messages assez innocents, ce qui m’a surtout mis en colère, c’était qu’elle discute avec lui. Ils étaient un peu trop copains à mon goût. Ce soir-là, je suis sorti avec des amis et j’ai tout déballé. Ces messages m’énervaient tellement que je me suis plus ou moins fixé comme mission de trouver une autre fille et de l’embrasser ou d’obtenir son numéro. Et j’ai réussi. Je pense que je cherchais à me venger. Nous avons fini par rompre, non pas à cause de cet incident dont je ne lui ai jamais parlé, mais parce que nous n’étions pas faits l’un pour l’autre. Je sais que ce n’était pas le meilleur moyen de passer ma colère, mais sur le coup, ça m’a fait du bien. »
Christophe, 29 ans, Tours (37)
Raison nº 2 : Il n’y avait pas d’alchimie entre nous
« Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été attiré par le même type de femmes. Mon ex-petite amie était géniale, mais elle ne ressemblait pas du tout au genre de femmes qui me plaît d’habitude, et physiquement, elle ne m’attirait pas du tout. J’ai essayé de passer outre, mais rien à faire. Cela faisait environ deux mois que nous étions ensemble. J’étais sorti avec des amis, et notre magnifique serveuse, qui était célibataire, me draguait ouvertement. Elle m’a donné son numéro et m’a demandé si je voulais bien attendre qu’elle termine son service. J’ai accepté, et nous avons passé la nuit à nous embrasser et à nous câliner. Ça n’a pas été plus loin que cette soirée, mais cela m’a permis de me rendre compte que je devais rompre avec ma petite amie. J’ai besoin d’être avec quelqu’un qui m’attire follement, et pas juste une super amie. »
–David, 26 ans, Brest (29)
Raison nº 3 : Nous ne passions presque pas de temps juste tous les deux
« J’ai trompé mon ex à une époque où elle voyageait tellement que je ne la voyais jamais. C’était presque comme si je n’avais pas de petite amie. Je me sentais tellement seul… Surtout le week-end. J’avais besoin de compagnie, physique et émotionnelle. J’ai commencé à voir quelqu’un d’autre alors qu’elle n’était pas là, même si techniquement, nous étions toujours ensemble. J’ai fini par le lui avouer, et elle a rompu avec moi. Au bout du compte, je pense que je suis mieux comme ça, même si je ne me suis pas comporté de façon très honorable. Maintenant, je m’assure que les filles avec qui je sors n’ont pas un job qui les oblige à passer leur temps sur la route. »
Sébastien, 30 ans, Grenoble (38)
Raison nº 4 : Je voulais voir d’autres filles, pas me caser
« J’ai rencontré Mélanie à la fac, et nous sommes sortis ensemble pendant toutes nos études. Une fois diplômés, j’ai déménagé à Lyon et elle à Lille, mais nous avons décidé de rester ensemble. Je passais presque tous mes week-ends dans le train pour aller la voir, mais la semaine, je sortais avec mes potes à Lyon et je m’éclatais. Après quelques mois comme ça, je me suis rendu compte qu’il allait être difficile de lui rester fidèle. En sortant en ville, je me rendais compte qu’elle regorgeait de femmes aussi superbes qu’intelligentes, et comme Mélanie était ma première copine, j’avais l’impression de passer à côté de quelque chose. Un soir, j’ai rencontré une fille, et je me suis rendu compte que je devais rompre avec Mélanie. Je lui ai tout raconté, et elle m’a avoué qu’elle avait fait la même chose de son côté. Nous étions blessés tous les deux, mais ça nous a permis de comprendre que nous avions besoin d’air. Nous sommes toujours amis, même si nous nous sommes mariés chacun de notre côté. »
Thomas, 35 ans, Lyon (69)
Raison nº 5 : Incompatibilité émotionnelle et/ou de style de vie
« J’ai rencontré mon ex à une réunion Weight Watchers. C’est original, je sais. Quand nous avons commencé à sortir ensemble, nous pesions tous les deux environ 20 kilos de trop. J’ai suivi le programme très sérieusement, et au fil des mois, j’ai rapidement perdu du poids. Elle n’adhérait pas au programme et son poids n’a pas baissé. Plus je maigrissais et plus je me sentais sûr de moi. Des femmes qui ne m’auraient jamais adressé la parole commençaient à m’aborder, et ça me faisait beaucoup de bien. Mon ex, par contre, était déprimée à cause de son surpoids. Elle se montrait très jalouse des autres femmes. Un week-end, alors qu’elle n’était pas là, j’ai rencontré une femme sublime au club de sport, et nous avons passé du temps ensemble. Je n’en ai jamais parlé à mon ex, mais j’ai fini par la quitter quelques semaines plus tard. Aujourd’hui, j’ai pris conscience que j’ai besoin d’être avec des femmes qui sont sur la même longueur d'onde que moi pour les choses qui comptent dans ma vie. »
Bruno, 41 ans, Montpellier (34)
Raison nº 6 : Trop de disputes à la maison
« Mon ex et moi vivions ensemble, et nous n’arrêtions pas de nous disputer. Cette tension constante me rendait malheureux. Au travail, il y avait cette fille qui était tout le contraire de mon ex : facile à vivre, sympa, drôle. Un soir, nous avons travaillé tard tous les deux, et en sortant, nous sommes allés dîner ensemble. Une chose en amenant une autre, la fin de la soirée fut loin d’être platonique. Cela peut sembler horrible, mais après ça, je me suis senti libéré. C’était comme si j’avais enfin eu le courage d’en finir avec mon ex. Quand je suis rentré le lendemain matin, mon ex s’est transformée en furie, mais pour la première fois, ça ne me faisait rien, car je savais ce que j’allais faire. Je lui ai raconté exactement ce qui s’était passé, et j’ai promis de déménager dans la semaine… ce que j’ai fait. J’ai commencé à sortir avec ma collègue, et ça fait environ quatre mois que nous sommes ensemble. »
Nicolas, 34 ans, Strasbourg (67)
Raison nº 7 : Pour stimuler une faible confiance en moi
« Je suis très timide, et je n’ai jamais été très à l’aise pour aborder les femmes. Une fois, je suis sorti avec une fille aussi timide que moi. Notre relation était agréable, quoique peu excitante. Je m’étais résigné à l’idée que je ne trouverais pas mieux. J’ai assisté à un séminaire pour le travail, et à l’un des dîners, il y avait une femme très belle, très intelligente à ma table. Elle a commencé à me draguer comme une folle. J’étais très choqué ; jamais une telle expérience ne m’était arrivée. Ça a regonflé ma confiance en moi, j’avais l’impression de pouvoir soulever des montagnes. Nous avons passé du temps ensemble ce soir-là, et à plusieurs reprises au cours du séminaire. Je n’en ai jamais parlé à mon ex, mais j’ai fini par rompre avec elle quelques mois plus tard. Je n’ai jamais revu l’autre femme après ce séminaire, mais cette expérience m’a redonné confiance et permis de comprendre que je pouvais sortir et aborder des femmes intéressantes et excitantes. J’avais juste besoin qu’on me pousse. »
Charles, 33 ans, Agen (47)
Raison nº 8 : Parce que j’avais ma chance avec une fille inaccessible
« J’ai trompé ma copine au bout de six mois parce qu’une fille qui me faisait languir depuis une éternité est venue à moi. Elle est restée longtemps avec un autre homme, donc pour moi, elle était inaccessible. Je dois avouer que je recommencerais certainement : c’était comme si un rêve se réalisait. J’ai rompu avec ma copine et je suis sorti un moment avec cette fille, mais ça n’a pas duré. Parfois, le rêve vaut mieux que la réalité ! »
Marc, 44 ans, Paris (75)
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Préliminaires et galanterie : pourquoi les femmes trompent-elles ?
Si l’infidélité reste un sujet tabou dans de nombreux couples, on peut aussi se demander ce qui amène les hommes et les femmes à tromper leur partenaire.
On dit souvent que le sexe est le ciment du couple. Une affirmation que confirme l’enquête menée par le réseau social Victoria Milan auprès de 4000 membres de sexe féminin. On apprend ainsi que 68% d’entre elles trompent leur partenaire à cause de relations sexuelles jugées ennuyeuses. Après avoir appris ce qui incitait les hommes à aller voir ailleurs, voulez-vous savoir pourquoi les femmes ont une relation extraconjugale ?
Votre partenaire n’est pas une actrice porno !
D’après l’enquête Victoria Milan, mis à part certaines femmes, la vulgarité au lit est peu appréciée. En effet, les femmes auront tendance à penser que vous les confondez avec une actrice porno et que vous oubliez complètement votre partenaire sexuelle. En gros, les femmes ont en tête l’équation suivante : pas d’obscénité au lit = plus d’attention = plus de plaisir.
Aussi, ce qui ressort de cette étude est l’importance de la galanterie et de l’attention portée à ces dames au lit. Ainsi, évitez de lire vos messages lors de câlins et soyez attentif aux exigences de votre moitié. Plusieurs femmes sondées affirment également que la vanité de ces messieurs est un frein au sexe, alors ne soyez pas trop près de votre nombril.
Ne sautez pas les préliminaires et renouvelez-vous
L’enquête relève par ailleurs que les préliminaires sont essentiels – si certains en doutaient encore. Les femmes ont une sexualité différente des hommes, et l’orgasme passe souvent par la phase des préliminaires.
Enfin, si les femmes trompent leur partenaire, c’est aussi parce qu’elles s’ennuient. Variez les plaisirs, changez de pièce et expérimentez les nouvelles positions. Soyez créatif ! Si vous suivez ces quelques conseils précieux, votre femme ne devrait pas changer de lit...
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