Créer un site internet

Etes vous soumis

Etes vous soumis. Au lit, vous menez la cadence ou vous rentrez dans la danse ? Lors de vos parties de jambe en l’air, vous portez la culotte ou vous êtes plutôt du genre à vous laisser guider.

 

 Retour aux rubriques Aumasculin-Loisirs / Aumasculin-Mode / Aumasculin-Société / (Jobbing, Gagner de l'argent, Faire des économies, Ouvrir un commerce, Vendeur à domicile indépendant, Enseignement et l'enfant, ETC )/ Aumasculin-High-Tech / Aumasculin-Psycho-Love-Sexo / Aumasculin beauté-santé-Bien-être( Nutriment, aliments-médicament) ETC

 

 et à la page d'acceuil :   Retour Aumasculin-mag >>>

 

 Retrouvez toutes les rubriques et les sujets ( Jobbing- service entre particuliers, Faire des économies ( AMPAP ,achat groupé) , Gagner de l'argent , enfant et l'enseignement, ouvrir un commerce, Vendeur à domicile indépendant, Le crowdfunding, ETC ) sur Aumasculin-Société >>>

********************************************************************************************************

êtes-vous dominante ou dominée ?

Au lit, êtes-vous plutôt du genre à suivre la cadence ou à prendre les décisions ? Faites notre test et découvrez qui mène le jeu dans votre couple !

Fessées, menottes, fouet et mots crus: les femmes assument de plus en plus l'intégration de pratiques BDSM dans leur sexualité. Mais, contrairement aux idées reçues, aimer se faire dominer au lit ne représente ni une pathologie, ni un symptôme de soumission sociale.

Depuis quelques temps, le BDSM -Bondage et Discipline, Domination et Soumission, Sadomasochisme- a le vent en poupe. Cinquante Nuances de Grey, traduit en 51 langues et vendu en France à plus de quatre millions d'exemplaires avant d'être porté au cinéma, ce succès planétaire y est forcément pour quelque chose. Toutefois, selon Pascal De Sutter, docteur en psychologie et membre de l'Académie des Arts de l'Amour, il est essentiel de distinguer les personnes qui placent le BDSM au coeur de leur sexualité de celles qui l'adoptent de manière ponctuelle. "Une activité sexuelle limitée à cette pratique peut traduire un dysfonctionnement, alors que le fait d'intégrer de temps à autres ce type de jeux soft à sa sexualité, du type menottes, fessées ou humiliation, peut accroître l'intensité érotique et assurer un épanouissement sexuel."  

"Une perte volontaire de contrôle"

Céline Messine, 25 ans, bisexuelle et auteure d'un blog consacré à la soumission, a découvert le BDSM à l'adolescence: "Je lisais beaucoup Sade et d'autres romans du même genre qui m'intriguaient et m'excitaient terriblement. J'étais précoce et être ainsi encadrée m'a permis de découvrir les chemins d'une sexualité atypique en toute sécurité."  

Claudie Caufour, sexothérapeute et auteure de Sexualité épanouie en 15 étapes (éd. Presses du Châtelet), explique que ces pratiques proviennent d'une envie de revivre une sensation marquante éprouvée par le passé: "La soumission répond à un besoin de réactiver une charge émotionnelle très forte. Notre inconscient demande à revivre cette émotion pour nous apaiser." 

Pour Sylvie Lavallée, sexologue clinicienne et psychothérapeute québécoise, la soumission permet aux femmes de s'abandonner totalement, tant physiquement que mentalement: "En créant un jeu qui fait appel à leur part enfant, elles opèrent une forme de déresponsabilisation et de perte volontaire de contrôle, nécessaire pour éprouver du plaisir."  

Pour sa part, Sophie Morgan, journaliste britannique et auteure de Journal intime d'une femme soumise (City Edition), apprécie l'inconnu et le défi: "J'aime l'idée de ne pas savoir ce qui va m'arriver, je trouve cela très relaxant. L'homme qui me domine m'encourage à faire des choses que je trouve difficiles et excitantes. Le satisfaire me procure un sentiment de victoire."  

"La personne soumise détient le pouvoir"

Par ailleurs, une femme qui aime être dominée n'est pas " victime" des pulsions et des fantasmes de son partenaire, mais établit un contrat avec ce dernier et pose ses propres limites. "Une soumission 'saine' repose sur la confiance et le consentement mutuel et permet une liberté mentale qui peut constituer un atout. Il s'agit de confier son plaisir au capitaine d'un bateau qui connaît sa destination", déclare Sylvie Lavallée.  

Maître Snake, dominateur aguerri de 46 ans et auteur d'un blog dédié au BDSM, considère que la femme soumise contrôle l'homme qui la domine: "Le dominateur n'est pas toujours celui qu'on croit et n'est pas toujours celui qui tient la laisse, bien au contraire! L'homme doit réussir à amener sa soumise à se dépasser, franchir ses barrières et ses limites pour son épanouissement à elle et non pour le sien." Pascal de Sutter ajoute: "Il n'existe aucune corrélation entre le fait d'être soumise au lit et soumise dans la vie. La personne soumise détient le pouvoir car c'est elle qui définit les limites. Elle fait moins que son partenaire dominateur, qui doit élaborer des scénarios."  

Pour Anna, 35 ans et en couple depuis trois ans, choisir d'être soumise constitue une forme de liberté: "Avant, j'avais des rapports sexuels sans me préoccuper de mon plaisir. Étrangement, je pense que c'est cela la vraie soumission: ne pas s'intéresser à sa jouissance. A présent, je suis épanouie. Je fais l'amour avec l'homme que j'aime, de la manière dont j'aime le faire."  

********************************************************************************************************

pas de préliminaire

Il ignore les préliminaires

Comment faire s’il ne sait toujours pas qu’ils existent ou s’il considère qu’ils sont réservés aux jours de gala ? Car toutes les femmes ne sont pas « Cinquante nuances de grey » et certaines n’apprécient que modérément l’amour à la hussarde !

Comment recevoir plus de préliminaires

De nombreux hommes aiment caresser, contempler leur femme et l’entendre gémir. Mais d’autres bâclent cette étape, ou l’omettent carrément. Comme des gloutons, ils sont obnubilés par le contenu de l’assiette et dédaignent les fleurs et les bougies. Bref, les préliminaires, ils n’y pensent pas, tout simplement, parce que ce n’est pas leur manière de fonctionner, qu’ils n’ont pas assez lu notre rubrique et ignorent donc que la majorité des femmes n’aspire pas, comme eux, à une pénétration rapide. Si c’est le cas de notre partenaire, comment l’amener à plus d’égards ?

Surtout, pas de « leçon »
Rien de pire pour un homme que de se voir adresser des reproches ou donner des ordres concernant sa façon de faire l’amour. Il aura l’impression de se retrouver face à une maîtresse d’école – ou face à sa mère – et ce n’est vraiment pas top pour sa libido ! Dans le meilleur des cas, il s’exécutera à contrecœur, en suivant une « recette », et il y a peu de chances pour que nous obtenions les délices escomptés.

Agir en situation
Le plus simple et le plus efficace : au début des ébats, on prend sa main, on la guide vers nos épaules, nos seins ou notre sexe en lui disant : « Attends, prépare-moi que je sois mieux et que j’aie plus envie de te recevoir. » S’il s’exécute, on n’hésite pas à exprimer ensuite (quitte à exagérer un peu au début) : « Regarde comme je suis bien, le plaisir que tu me donnes. » Rien de tel qu’un petit coup de brosse à reluire sur son ego pour lui donner envie de recommencer !

Lui montrer comment faire
Tout comme les mots doux, les caresses non sexuelles font partie des préliminaires. Si ses premiers efforts sont un peu brutaux, qu’il nous pétrit les seins ou le clitoris à nous faire mal, la meilleure solution consiste à lui faire expérimenter ce que nous attendons de lui. Autrement dit, on le caresse nous-même : « J’ai envie de te masser, de te détendre, tu veux bien ? » On lui demande de se mettre à plat ventre et on commence par un vrai massage des épaules, de la nuque, de la colonne vertébrale, des fesses, etc. En général, les hommes apprécient et se détendent. On peut alors passer à des caresses plus enveloppantes, en opérant avec douceur et gourmandise, sur les jambes, puis vers l’intérieur des cuisses, la zone du pubis, etc. Cette exploration du corps de l’autre est un vrai plaisir et peut nous permettre de faire également quelques découvertes sur nos besoins. Ce n’est pas pour rien si les caresses réciproques prodiguées tour à tour, sans rapport sexuel, ont fait partie des exercices mis au point par les deux pionniers de la sexologie, William Masters et Virginia Johnson, pour mieux comprendre le corps de l’autre et atteindre l’harmonie sexuelle !

Le guider par nos réactions
Avec un peu de chance, notre compagnon appréciera ces préliminaires (presque) autant que nous et commencera à trouver de l’intérêt à cette étape. A moins qu’il ne soit simplement futé et comprenne le message, car le langage du corps est souvent plus efficace que le langage verbal. Une chose est sûre : quand il se décidera à nous rendre la pareille et se hasardera à quelques caresses, encore faudra-t-il lui signifier, par des soupirs et autre réaction, ce qui nous est le plus agréable, à la fois comme endroit et comme geste : caresses légères ou appuyées, frottements, mouvements circulaires… Une femme n’est pas livrée avec le mode d’emploi et nous n’apprécions pas toutes la même chose. Si nous souhaitons améliorer nos ébats, il faut aussi oser s’exprimer sans fausse pudeur pour guider notre amant.

********************************************************************************************************

Jamais le premier soir ?

Ce principe semble toujours d’actualité… sauf lorsque la rencontre a lieu grâce à Internet ! Les explications de François Kraus, directeur d’études à l’Ifop.

Coucher le premier soir, oui ou non ?

Succomber ou non au premier rendez-vous ? Même si, libération sexuelle aidant, passer rapidement à l’acte s’est banalisé, ils sont encore près de 45 % des Français et 66 % des Françaises à répondre par la négative à cette question, révèle une étude réalisée par l’Ifop pour le site de rencontres cama4.fr. « La différence qui subsiste entre hommes et femmes est liée aux caractéristiques de la population masculine, au sein de laquelle les jeunes, les homosexuels et les adeptes de la prostitution, qui ont des pratiques plus transgressives, sont plus nombreux. Mais elle tient aussi au fait que les femmes sont encore imprégnées des normes sociales. Or, au regard de ces dernières, coucher le premier soir revient à passer pour une fille facile », explique François Kraus.

Une sexualisation plus rapide avec Internet
Cette retenue ne semble toutefois plus de mise quand la rencontre a lieu sur Internet ! En effet, elles sont alors 47 % de femmes à reconnaître avoir sauté le pas dès la première rencontre. La raison ? « Sur la Toile, on joue cartes sur table. Il n’y a pas d’ambiguïté, moins de pression. Contrairement à d’autres lieux où l’on est soumis au jugement des amis et de son entourage », poursuit François Kraus. Alors oubliés les discothèques, les soirées entre amis, les bals publics et les mariages ? « Pas vraiment, ils restent des lieux de rencontres importants, mais les sites s’avèrent plus favorables à une sexualisation rapide de la relation », souligne le directeur d’études. Se retrouver par le biais d’Internet n’engage en effet à rien. Dès lors, tout est permis ou presque. On batifole et on se sépare ou l’on continue… et plus si affinités.

Des pratiques plus classiques
Mais on a beau « coucher » plus vite, certaines pratiques, notamment chez les femmes, ne sont pas pour autant à l’ordre du jour ! Si 71 % des hommes s’adonnent au cunnilingus, leurs compagnes ne sont que 44 % à faire une fellation. L’étude précise aussi qu’elles ne sont que 14 % à pratiquer l’éjaculation buccale et la sodomie. « La première fois, on remarque comme une forme d’occultation dans les pratiques sexuelles. Certainement parce que les femmes ont besoin d’un climat de confiance et de complicité et perçoivent ces variations comme un investissement affectif. La sodomie et l’éjaculation buccale notamment s’inscrivent dans une forme d’engagement qui viendra plus tard », souligne François Kraus. Un sentiment que l’on retrouve dans les positions adoptées : 82 % ont opté pour le missionnaire et 52 % pour la levrette. « L’image de la soumission de la femme que renvoie cette dernière peut en effet être un frein à ce stade de la relation », poursuit-il.

Des lendemains qui déchantent
Autre constat : quelles que soient les pratiques adoptées lors de ces ébats, 45 % des amantes qui ont conclu par l’intermédiaire d’un site s’avouent déçues, contre 30 % pour celles qui ont succombé lors d’une rencontre fortuite. Une déception liée, selon le spécialiste, aux conditions des rencontres en ligne, qui réduisent les moments consacrés au flirt et aux échanges. « Or ce temps est nécessaire pour instaurer confiance et complicité, ce dont les femmes ont besoin pour s’épanouir sexuellement », conclut-il. Quant aux hommes, par Internet ou ailleurs, ils sont heureux… dans 75 % des cas !

********************************************************************************************************

Suis-je trop soumis ?

Les femmes ont ce pouvoir mystérieux de nous amener, nous, les hommes, où elles le souhaitent. Cela dit, admettons deux choses. Premièrement, on le leur rend bien ; deuxièmement, on adore ça. On apprécie de se mettre en quatre pour faire plaisir à notre compagne, pour qu’elle se sente aimée, admirée, désirée. On aime prévenir ses moindres besoins, mourir de froid s’il le faut, mais toujours avec le sourire, parce qu’elle n’a pas pris de veste et qu’un gentleman digne de ce nom lui prêtera gaillardement son pull…

Bref, que ne ferions-nous pas pour ses beaux yeux ? Pas grand-chose... Et c’est bien là le problème : car la frontière est parfois étroite entre vouloir faire plaisir à l’autre à tout prix et s’engager dans une relation de soumission totale aussi complaisante soit-elle.

Soyez attentionné !

Un homme attentionné, c’est un homme qui veille au bien-être de la femme qui l’accompagne. Il pourra être prévenant, pourquoi pas protecteur, galant s’il veut la séduire. Jamais une femme ne pourra (et ne voudra) reprocher à un homme d’être attentif à ses besoins.

Les dérives possibles

Etre attentif à l’excès peut mener à plusieurs types de comportements néfastes pour lui comme pour elle :

- L’étouffant : celui qui ne la laisse pas respirer de peur qu’elle ne s’enrhume ;
- Le paternaliste : celui qui lui explique ce qu’elle doit faire, parce qu’il le sait mieux qu’elle ;
- Le bagarreur : celui qui ne laisse personne s’approcher, surtout pas les autres hommes célibataires ;
- L’esclave : celui qui est prêt à tout pour elle. C’est bien de cela, dont nous allons parler maintenant.

Suis-je soumis ?

Etre soumis, c’est obéir à l’autre, toujours ou presque. C’est négliger ses propres besoins et ses envies au profit de l’autre. C’est toujours finir par dire : « Oui, ma chérie ». Pour savoir si vous êtes soumis, posez-vous la question suivante : « Au cours des 7 derniers jours, combien de fois ai-je fait ce que j’avais vraiment envie de faire ? » Si la réponse est douloureuse, alors vous êtes soumis.

Pouvoir dire non

Une des différences principales entre l’homme attentionné et l’homme soumis, c’est que le premier sait dire « non ». Il aime faire plaisir à la femme qu’il rencontre, mais il peut aussi décider de ne pas céder à un de ses caprices. L’homme soumis obéit, que cela lui plaise ou non.

Céder, ou ne pas céder ?

Cela signifie-t-il que si je cède, je suis soumis ? Bien sûr que non : la vie d’un couple est faite de négociations et de renoncements. Il est souvent nécessaire de céder pour que la relation soit harmonieuse. Mais il ne faut pas que le même cède à chaque fois. Il doit y avoir un certain donnant-donnant.

Attentionné envers elle, attentionné envers soi-même

Pour trouver l’équilibre, gardez en tête qu’être attentif à l’autre n’exclut pas la possibilité d’être attentif à soi-même, à son propre bien-être. Faites-lui plaisir, cédez à certains de ses caprices, mais faites-vous plaisir aussi à vous-même, et à vous d’abord. C’est la meilleure façon de vous épanouir et de laisser fleurir la relation.

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Je suis un homme soumis

J’ai toujours été très amoureux de ma femme. Après plus de dix ans de mariage, nous avons vécu une sérieuse crise au sein de notre couple. La cause de nos disputes était toujours la même : le sexe. Je la trouvais trop peu portée sur la chose et ça me frustrait. De son côté, elle avait de la peine à admettre mon appétit et estimait que je réclamais trop. L’idée d’aller voir ailleurs m’a traversé l’esprit. Mais je suis pour la fidélité, et à part la sexualité, tout allait tellement bien dans notre couple que je trouvais dommage de ne pas essayer de trouver une solution. Je me suis mis à consulter des sites Internet spécialisés sur le couple et sur la soumission. Mon épouse a toujours été la tête pensante du couple et je nourrissais depuis longtemps des fantasmes de soumission. J’ai pris conscience que cela pouvait être la solution pour nous. Le concept m’a conquis. Dès ce moment, j’ai désiré que mon épouse prenne le pouvoir et qu’elle aime cela.

Je lui ai fait part de mes désirs en lui offrant de devenir son chevalier servant. Le principe du jeu, que nous appliquons toujours, est simple : elle peut recourir quand elle le souhaite à mes services. C’est une forme de cadeau que je lui fais en me mettant entièrement à sa disposition. Pendant que je m’occupe des tâches ménagères qu’elle exige de moi, elle a tout le loisir de prendre du temps pour elle. Mon but, c’est qu’elle soit complètement détendue et épanouie… Et ainsi, plus disponible pour pouvoir me donner l’amour dont j’ai besoin. Au début, mon épouse a réagi avec tiédeur à ma proposition. Elle n’y croyait pas vraiment. Il a fallu du temps pour qu’elle accepte d'essayer, puis enfin qu'elle admette que cela était complètement plausible. Le système s’est lentement mis en place.

Après quelques mois de ce fonctionnement,je ne lui mets désormais plus la pression pour avoir plus de sexe. Je ne réclame plus rien : c'est à elle de jouer. Je vaque à mon travail et me calque sans faillir sur son rythme et sur ses envies à elle. Mon épouse peut savourer l’obéissance et la promptitude de son homme. Elle est libre ensuite de me récompenser ou non par une attention, une caresse, un baiser. Elle possède les pleins pouvoirs d’attiser mon désir et de me cueillir lorsqu’elle se sent partante. Elle peut ainsi considérer mon ardeur comme une précieuse ressource plutôt que de me voir comme un obsédé du sexe. Sa seule responsabilité est simplement d’y penser : elle ne doit pas oublier d’avoir envie d’accorder ses récompenses et de choisir le moment.

Au-delà de l’aspect sexuel, me dominer est pour elle un formidable moyen de développement personnel, car cela l’oblige à prendre clairement conscience de ce qu’elle veut et de l’exprimer sans détour. Face aux enfants, mon épouse s’adresse à moi de manière classique car, pour une question de construction de leur propre personnalité, nous ne voulons pas qu’ils aient l’image d’un père exploité voire opprimé. En leur présence, je rends officiellement service à ma femme et nous donnons l’image d’un couple qui s’aime et qui s’entend bien. Il n’est pas non plus question que je m’écrase complètement : j’ai aussi le droit d’exprimer mes désirs et mes points de vue. Ma place de mari soumis inclut le plaisir, en cas de conflit entre nous, de résoudre cette problématique, en contemplant mon épouse prendre librement les décisions qui lui plaisent. Ce principe fonctionne car elle a du bon sens, et les limites se posent naturellement.

Depuis que nous avons adopté ce mode de vie, je me sens de nouveau très amoureux d’elle. Cela apporte de l’intensité et du piment au sein de notre couple. Même si j’aimerais qu’elle prenne plus la peine de considérer ma soumission, et sa domination, comme quelque chose de magique. Comme dans n'importe quel couple, il s'agit de ne pas se reposer sur ses lauriers. Sinon, c’est la routine qui s’installe. Je lui reparle alors de mes fantasmes, mais aussi de suggestions l'encourageant à jouir au mieux de sa suprématie. Idées qu'elle restera libre d'appliquer ou non. Un des freins qui ternissent parfois l'enthousiasme de mon épouse, c’est la crainte d’être hors norme. Si je disais « On arrête ce jeu maintenant », je pense qu’elle serait d’accord, à mon grand désespoir.

Notre mode de vie n’est pas standard, mais notre démarche s’inscrit dans une quête de bonheur et d’épanouissement. Être un mari soumis est une des manières d’y accéder qui me convient très bien. Quant à moi, mon degré de frustration avoisine maintenant le zéro…

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

D'accord, vous avez tendance à monopoliser la conversation. Ou alors c'est tout le temps vous qui faites la vaisselle pendant qu'Arthur est vautré devant la télé. D'ailleurs, c'est toujours lui qui choisit le fameux programme télé mais, en même temps, ça vous est complètement égal... Etes-vous dans un rapport de forces pour autant ? Pas forcément... 

Une relation dominant/dominé est souvent plus marquée. "Elle s'organise autour d'une dépendance mutuelle. Evidente dans le cas du dominé sur qui s'exerce l'emprise de son partenaire, elle n'en est pas moins forte chez le dominant, qui dépend tout aussi fortement du pouvoir qu'il exerce sur l'autre. Si cet autre venait à échapper à son contrôle, c'est non seulement la relation qui serait menacée, mais lui-même." L'emprise est donc aussi forte d'un côté que de l'autre, même si, vu de l'extérieur, le dominant peut donner l'impression d'être plus libre. Etre dominant ne signifie pas aimer moins que l'autre, et inversement.

"J'organise tout"

Ce rapport de force peut s'illustrer de diverses façons selon les relations. Ainsi en témoignent les lectrices du Journal des Femmes. Organisation de la vie familiale, prise de décisions importantes, relations intimes, domination psychique et intellectuelle... Chacune décrit le rapport qui l'oppose (ou l'unit ?) à son partenaire de façon différente. Ainsi témoigne Charlotte, la reine de la planification : "J'ai tendance à tout organiser, tout prévoir, penser à tout... Du coup, je ne laisse aucune "chance" à mon conjoint de prendre une initiative. Je la prends avant ou je ne suis pas d'accord avec son avis... Et j'arrive à avoir le dernier mot." 

Pour Julie, c'est l'inverse : "Je ne vois jamais passer une facture. Il décide de tout pour notre fille (crèche, écoles...). En contrepartie, je ramène le plus gros salaire." Angélique, elle, semble vivre beaucoup moins bien le fait que son partenaire ait la certitude de détenir LA vérité : "Lui c'est monsieur "Sait tout", il a toujours raison, ce sont ses goûts qui comptent, il décide de tout. C'est sa façon étriquée de voir les choses qui est la bonne et que sa femme et ses enfants subissent. Elle est trop gentille, elle évite de répondre et de s'imposer pour ne pas envenimer la situation mais il doit prendre cela pour de la faiblesse. Pour lui le plus important c'est d'être l'homme."

 Ceci dit, les apparences sont parfois trompeuses. N'est pas toujours dominant ou dominé celui qu'on croit: "Il peut y avoir une forme de prise de pouvoir dans le fait de se montrer toujours coopérant, jamais ouvertement révolté contre le partenaire qui vous assujettit. Se montrer toujours passif, n'être jamais moteur de rien, peut en effet susciter chez l'autres des inquiétudes sur la réalité du pouvoir qu'il exerce." D'ailleurs, ne dit-on pas que l'indifférence est pire que la haine ?

Il y a autant de profils de dominants et de dominés qu'il y a de relations. Toutefois, on relève souvent certains traits de caractères communs. Nous en relèvons quelques-uns.

Le dominant : "Son besoin de dominer est souvent une défense contre la peur ou la tentation d'être soi-même dominé ou soumis. Contre la peur, aussi, de la séparation. Maintenir l'emprise, c'est maintenir le lien. Un des problèmes du dominant, c'est qu'il veut qu'on lui obéisse, mais qu'on lui obéisse de l'intérieur, autrement dit, librement. Toutefois, il n'est pas question qu'on lui dise ce qu'il n'a pas envie d'entendre et que, du reste, le partenaire ne souhaite nullement lui révéler."

Le dominé : "Il y a dans le fait de s'en remettre tout entier au bon vouloir de l'autre une sorte de nostalgie régressive d'un état où l'on se sent guidé, tenu, pris en charge. Dans le couple, s'en remettre à l'autre procure un sentiment de sécurité. Mais le plus souvent, la docilité et la soumission ne sont qu'apparentes."

Pas de rôle prédéfini

Quant à savoir ce qui nous dirige vers un profil plutôt qu'un autre, il faut bien sûr se replonger dans son histoire personnelle. Dans l'imaginaire collectif, la femme est souvent la soumise, tandis que l'homme domine. Ce qui était peut-être vrai, au moins en apparence, par le passé, ne l'est plus aujourd'hui, loin de là. "Les choses sont, de fait, beaucoup plus compliquées. Et il est difficile d'attribuer à tel ou tel sexe le caractère de dominant ou de dominé. Dans ma consultation, comme ce sont souvent les femmes qui prennent l'initiative d'aller voir un psy, le cas de figure est souvent femme dominante/homme dominé." Ce qui ne signifie pas que cela soit représentatif des couples entretenant ce type de rapports.

-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

 Soutenez celles et ceux qui s'investissent chaque jour pour mettre à jour le site. N'hésitez pas à communiquer ce site auprès de vos amis, de votre entourage, de vos proches sur les réseaux sociaux. Vous aussi faites découvrir le site et encouragez les personnes qui contribuent au dévelopement du site. 

Toutes les informations sont données à titre indicatif et n'engage en rien l'éditeur de ce site.
Le site ne peut être tenu  responsable du contenu et décline toute responsabilité en cas d'erreur.

K S N  production :  Concepteur et réalisateur  du Site.  

DRAGON  GROUPE :  LEADER des sites internet dédié aux hommes . Créateurs de projets et de sites Web.

Copyright 2013 , tous droits réservés. Les marques mentionnées sur ce site appartiennent à leurs propriétaires respectifs. 

L'utilisation de ce site implique l'acceptation des Conditions Générales d'Utilisation et des Mentions Légales.

Ajouter un commentaire