Ce qui plait tant aux femmes. Qu'est-ce qui plaît aux femmes ? C'est une question que tout homme s'est posé au moins une fois dans sa vie. ...
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L'orgasme nocturne, mythe ou réalité ?
Oui, il est possible d’atteindre le plaisir extrême sans rien faire, ou presque. Si les hommes sont plus familiers de cette sensation d’excitation, les femmes aussi ne sont pas en reste, sans pour autant en avoir toujours conscience.
En ce qui concerne les hommes, la question ne se pose guère. On sait depuis longtemps qu’ils ont des éjaculations nocturnes dues le plus souvent à des décharges, sans jeu de mots, plus qu’à des rêves érotiques, quoiqu’en dise la magnifique chanson du groupe « Il était une fois ». Souvenez-vous de ces paroles tellement explicites : « j’ai encore rêvé d’elle et les draps s’en souviennent. »
D’après la dernière enquête en effet 83 % des hommes auraient des éjaculations nocturnes alors que seulement 40 % des femmes ressentiraient des orgasmes durant leur sommeil. Evidemment, même si la jouissance féminine est sans nul doute aussi intense que celle d’un homme, il n’en reste guère de traces sur les draps.
Cela étant dit, ce chiffre de 40 pour cent me paraît bien en dessous de la moyenne. En tant que femme, la sensation d’avoir joui est peut-être la même que chez un homme mais si doute il y a, rien ne nous permet d’avoir une réponse claire.
Tensions pulsionnelles incontrôlées
Les orgasmes durant notre sommeil sont dus soit à des tensions pulsionnelles qui prennent le dessus soit à des rêves érotiques. Or, en ce qui concerne les pulsions et les tensions, il faut bien reconnaître que l’homme est nettement plus en surchauffe sexuelle que la femme. C’est bien connu il pense au sexe une fois par minute donc en huit heures de sommeil, il y a peu de chances que le sexe soit absent de son cerveau.
En revanche, en ce qui concerne les rêves érotiques, les femmes peuvent en avoir tout autant que les hommes. Bien sûr de nombreuses femmes sont sans doute encore inhibées mais physiologiquement, leur corps est tout à fait apte à se laisser aller. La nuit justement nous laissons de côté la tour de contrôle et donc le corps peut être dans un lâcher prise. Quand on connait tous les bienfaits d’un orgasme sur notre santé, je ne peux que conseiller les femmes à en obtenir durant leur sommeil.
Donc, c’est très simple, mesdames ; avant de vous endormir, n’hésitez pas à fantasmer sur un homme que vous avez trouvé tout à fait séduisant. Osez glisser négligemment votre main sur votre pubis, autorisez votre clitoris à vivre sa vie…
Et si vous vous réveillez avec une sensation bien agréable, surtout laissez-vous emporter par ce plaisir nouveau qui pourrait tout à fait vous entraîner vers un orgasme intense.
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On n’en finira jamais de couper le sexe féminin en deux. Fini le temps du docteur Freud qui prétendait que seul le vagin était l’organe du plaisir féminin. Le clitoris n’était que le jouet des petites filles.
J’ai bien peur qu’actuellement le clitoris ne prenne un peu trop le devant de la scène. Comme si, à lui seul, il était maître de notre jouissance.
Les hommes sont perdus mais les femmes le sont tout autant. A force d’entendre des discours contradictoires sur leur organe génital, elles ne savent plus qui croire. J’aime personnellement à leur répéter qu’elles devraient, d’abord et avant tout, se fier à leurs sensations.
Ne comptez pas sur moi pour vous donner un mode d’emploi. Néanmoins, je peux déjà vous donner une explication anatomique. Le clitoris et le vagin communiquent. Lorsque l’un est stimulé, l’autre aussitôt reçoit des sensations voluptueuses. Même des caresses sur la vulve et plus particulièrement sur les grandes lèvres ont déjà un résultat agréable.
S’occuper des deux
En règle générale, les amants ont pour habitude de caresser le clitoris jusqu’à obtenir une jouissance pour ensuite pratiquer une pénétration et un coït plus ou moins long, j’oserai plutôt dire, plus ou moins rapide. Cette façon de procéder est assez efficace pour bon nombre de femmes. Mais pourquoi ne pas plus s’occuper des deux à la fois ?
Par exemple, un doigt agile s’introduisant dans le vagin au moment du cunnilingus provoque souvent un orgasme plus rapide et plus intense. De même, s’occuper du clitoris lors du rapport est également efficace.
Néanmoins, et c’est là que tout se complique, il s’agit d’être habile. Si la femme s’en occupe elle-même, elle saura y mettre l’intensité nécessaire, le partenaire ayant souvent tendance à en faire trop.
Ne négligez pas le vibromasseur
Parfois l’utilisation d’un vibromasseur peut être intéressante. Certes, l’orgasme partira du clitoris mais il se diffusera dans tout le vagin, notamment grâce au fameux point G ce qui peut permettre à bien des femmes de mieux sentir leurs sensations vaginales.
Vous l’avez compris, la caresse du clitoris durant le rapport n’est pas un leurre, alors, osez, testez, cherchez…
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Cinq questions sexo sur le vagin
Le vagin, cette cavité mystérieuse que les hommes et les femmes connaissent mal... Caché par la vulve, il fait partie des organes sexuels féminins. Taille, point G, orgasme, pénétration, deep spot,…
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Le vagin peut-il être trop grand ou trop petit pour un pénis ?
Non. Le vagin a une longueur de 8 cm en moyenne, avec des variations suivant les femmes allant de 4 à 14 cm. Certaines femmes redoutent parfois qu'il ne soit pas assez long ou large pour contenir un pénis. Or la nature est bien faite : l'anatomie du vagin lui permet d'accueillir le sexe masculin. Il est très extensible et lors de l'excitation sexuelle, la longueur vaginale passe à 12 cm en moyenne. C'est une cavité virtuelle, dont les parois sont accolées et plissées. Elles sont capables de s'adapter à un tampon, un doigt, au diamètre du pénis, ou même à la tête du bébé lors de l'accouchement.
Le vagin peut s'élargir après plusieurs accouchements. La rééducation périnéale est alors indiquée puisqu'elle ne sert pas uniquement à diminuer les fuites urinaires, mais aussi à retrouver des sensations sexuelles. On apprend à renforcer les muscles du périnée, un hamac musculaire s'étendant du pubis, en avant, à l'anus. Il est constitué de muscles superficiels, dont un qui entoure le vagin, et plus profondément du muscle releveur de l'anus. Celui-ci sert à se retenir de déféquer, mais il enserre aussi le tiers inférieur du vagin. La rééducation périnéale apprendra à mieux contracter ces muscles, ce qui sera mis en pratique autour du pénis lors du rapport sexuel. Avec à la clé, plus de plaisir !
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Le point G existe-t-il réellement ?
"Anatomiquement, il n'existe pas, c'est très clair, affirme d'emblée le Dr Marie Véluire gynécologue et sexologue. Après, cliniquement, certaines femmes ont une sensibilité particulière de cette zone à la pression, mais pas au frottement : le coït fait monter une excitation sexuelle."
Cette sensibilité de la paroi antérieure du vagin (paroi située à l'avant du vagin, du côté du ventre) ne se retrouve pas chez toutes les femmes. Elle s'apprend au fil des expériences sexuelles ou de sa curiosité.
"Actuellement, ce qui émerge, même si on n'a pas de certitude scientifique, on parle du complexe clitorido-urétro-vaginal", explique la sexologue. Ce complexe[2] est composé du clitoris, qui possède une partie interne avec deux grosses cornes enserrant le vagin, de la partie antérieure du vagin, au niveau de ce que l'on appelait le point G, de l'urètre, le conduit par lequel l'urine sort, qui est pourvu de nombreux complexes vasculo-nerveux (NDLR : de vaisseaux et de nerfs), et enfin des glandes situées de part et d'autre de l'urètre.
"Ceci expliquerait que toutes les femmes ne jouissent pas de la même façon, reprend Marie Véluire. Comme le clitoris a deux grosses cornes enserrant le vagin, il y aurait suivant les positions quelque chose qui stimule le clitoris, avec un appel de sang." C'est ce qui donnerait la sensation de plaisir durant la pénétration et expliquerait comment le vagin peut être un point de départ de l'orgasme.
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L'orgasme vaginal est-il supérieur à l'orgasme clitoridien ?
Freud a fait du mal à la sexualité féminine en qualifiant l'orgasme clitoridiend'immature. De nombreuses femmes ont complexé en ne réussissant pas à jouir durant la pénétration… N'en déplaise au Dr Freud, il s'avère que la racine interne du clitoris interviendrait dans le plaisir ressenti durant la pénétration. "Le vagin pourrait être un point de départ orgasmique, grâce au complexe clitorido-urétro-vaginal, détaille la sexologue. Le coït favoriserait un afflux de sang dans le complexe, ce qui déclencherait potentiellement un orgasme."
Mais que le plaisir provienne du clitoris ou du vagin, qu'importe tant qu'il est présent ? "Il n'y a pas de mauvaise façons de jouir, confirme la sexologue. Chaque femme développe des ressentis suivant son parcours et elle pourra les élargir suivant sa curiosité."
Elle insiste sur un point primordial : le périnée et la capacité à se servir des muscles périnéaux sont absolument fondamentaux dans le ressenti du plaisir via son vagin. Comme celui-ci ne dispose pas de récepteurs sensibles aux frottements (ce que fait la pénétration), il faut être propriétaire de son périnée et en jouer pour augmenter le plaisir sexuel durant la pénétration.
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Une femme peut-elle ne rien ressentir durant la pénétration ?
Certaines femmes se plaignent de ne prendre aucun plaisir à la pénétration. Certes, le vagin est une zone peu innervée. Seul le cinquième du vagin possède une innervation qui le rend sensible à la température et au toucher (source : Anatomie médicale, aspects fondamentaux et applications cliniques. Keith Lean Moore aux éditions De Boeck. 2001). Mais plusieurs autres paramètres expliquent cette situation :
"Si elle ne ressent rien, c'est qu'elle n'a pas compris que pour ressentir quelque chose durant la pénétration, il faut aller le chercher et développer des sensations en pompant le pénis, en bougeant son bassin et contractant le périnée, explique la sexologue. Si elle fait l'étoile de mer, il ne se passe rien !"
De plus, selon le point de départ de l'orgasme, les ressentis sont différents : "l'orgasme à point de départ vaginal est plus profond, moins explosif, avec une sensation de soulagement et sans période réfractaire (deux orgasmes, ou plusieurs, peuvent être enchaîner), développe le Dr Véluire. L'orgasme à point de départ clitoridien a des sonorités plus aiguës, avec un sentiment de feu d'artifice. Il y a une période réfractaire comme les hommes, avec un temps où un autre orgasme est impossible. Certaines femmes savent jouer avec les deux types d'orgasme."
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Qu'est-ce que le deep spot ?
Le deep spot a illuminé la toile d'un éclat sulfureux mais peu scientifique. Est-il un nouveau point G ? Une nouvelle façon de prendre plus de plaisir durant la pénétration ? Il est en tout cas présenté comme la zone la plus profonde du vagin, située de part et d'autre du col de l'utérus. Il serait composé d'un point sur la paroi antérieure, un peu au-dessus du point G, et d'un point postérieur. Ces deux points seraient riches en terminaisons nerveuses très sensibles. Alors, info ou intox ? Intox !
"On revient à la polémique du point G, et de la capacité des femmes à développer des sensations suivant les stimulations vaginales, affirme le Dr Véluire. Sur le plan sexologique, le deep spot c'est pipo ! Il est conseillé à toutes les femmes d'apprendre à utiliser le complexe clito-urétro-vaginal, qui est présent chez toutes." On en revient encore aux mouvements du bassin et du périnée (et à la stimulation directe du clitoris) pour prendre davantage de plaisir durant la pénétration...
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Je varie les plaisirs avec le sexe anal...
Le sexe anal, c’est la pratique sexuelle la plus taboue, même au sein des couples les plus libérés. Parce qu’il touche à une partie du corps souvent dénigrée, le sexe anal reste dans la plupart des esprits le « sexe sale ». Et pourtant, il existe de plus en plus d’adeptes qui, une fois le premier pas effectué et la peur envolée, reconnaissent à ces pratiques toutes leurs vertues !
Les caresses anales pour débuter
Descriptif : Voici une très bonne manière de commencer en douceur à pratiquer le sexe anal. Les caresses peuvent être prodiguées par l’un ou l’autre des partenaires, et permettent de voir rapidement si cela vous convient ou non. Elles peuvent servir de préliminaires ou être utilisées en complément d’une autre pratique.
Côté plaisir : La zone anale est richement innervée et constitue une zone érogène importante. Les caresses, ou les sensations de frottement son donc souvent à l’origine d’une excitation.
Est-ce que ça fait mal ? Tant que les caresses sont réalisées avec délicatesse, il n’y a aucune raison pour que cela soit douloureux.
Précautions à prendre : L’hygiène ici, comme dans les rapports sexuels de tous ordres, est primordiale. La proximité de l’anus et du clitoris, et les caresses de l’un à l’autre peuvent provoquer la propagation de bactéries.
Et pour lui ? La zone anale de l’homme possède une sensibilité nerveuse comparable à celle du pénis. De nombreux hommes sont donc adeptes des touchés anaux, même au sein des couples hétérosexuels. Cependant, cette partie de l’anatomie est souvent synonyme de domination, et rares sont ceux qui se laissent aller…
Les sextoys pour découvrir ses sensations anales
Descriptif : La pénétration anale peut se faire à l’aide d’objets divers et variés : godes, perles anales, plugs, anus pickets,… L’intérêt du sex toy est qu’il peut revêtir diverses formes originales, et que chacun des partenaires peut en faire usage…
Côté plaisir : La pénétration anale est souvent jugée agréable car elle stimule les terminaisons nerveuses de l’anus, et le mouvement de va et vient du coït anal peut mener à l’orgasme, que l'on qualifiera alors d'orgasme anal.
Est-ce que ça fait mal ? La pénétration anale produit une sensation nouvelle et surprenante, et le premier reflexe est de se contracter. Les mouvements de va et vient peuvent être douloureux s'ils sont trop violents ou exercés trop en profondeur. Il est donc important d’être toujours à l’écoute de son corps et de ne pas hésiter à lubrifier abondamment les sextoys utilisés.
Précautions à prendre : Le coït anal comporte 3 fois plus de risques de transmissions de maladies infectieuses que le rapport vaginal, car la zone est directement en contact avec les bactéries du rectum. Il est donc très important de bien nettoyer les sextoys avant et après chaque utilisation, particulièrement entre une utilisation anale et une utilisation vaginale.
Et pour lui ? Il n’est certes pas évident de proposer à son homme de le pénétrer. Pourtant, l’équivalent du point G masculin se situe au niveau de la paroi antérieure du rectum, directement reliée à la prostate.
L'analdigitus : le sexe anal avec les doigts
Descriptif : C’est la pénétration des doigts à l’intérieur de l’anus.
Coté plaisir : C’est une pratique répandue au cours de la masturbation féminine, car elle est complémentaire des caresses anales qui stimulent une zone érogène. La pénétration anale est même comparée par certaines femmes à la pénétration vaginale.
Est-ce que ça fait mal ? La pénétration des doigts est souvent moins douloureuse que celle du pénis ou des sex toys. Les caresses appliquées préalablement permettent à la zone de se détendre. Il ne faut pas hésiter, avec l’aide d’un lubrifiant hydrosoluble, à humidifier la zone, ce qui permettra d’éviter les irritations.
Précautions à prendre : les mains sont porteuses de nombreuses bactéries, il est donc important de les avoirs propres avant chaque rapport, et plus particulièrement lors des rapports anaux.
Et pour lui ? C’est peut être un premier pas avant le passage au sex toy. Car, comme expliqué plus haut, la pénétration rectale chez les hommes est bien souvent synonyme de plaisir et le fait de ne pas utiliser d’objet extérieur est plus intime.
La sodomie
Descriptif : C’est la pénétration (le plus souvent phallique) de l’anus.
Côté plaisir : Une fois la peur de la douleur envolée, si les partenaires se laissent aller, l’excitation peut monter jusqu’à l’orgasme anal. Cette position est prisée des adeptes de relations dominant/dominé.
Est-ce que ça fait mal ? Tant que la douceur est là, il n’y a aucune raison de se faire mal. L’utilisation d’un lubrifiant est cependant vivement conseillée car elle évite les risques de micro coupure ou de saignement.
Précautions à prendre : Comme pour la plupart des rapports sexuels, il est extrêmement important d’utiliser un préservatif, dès le début de la pénétration, afin d’éviter l’échange de bactéries, et surtout, la transmission de MST, en particulier le Sida.
Et pour lui ? Pour l’homme, la sodomie est souvent agréable à pratiquer, car le pénis est plus serré dans l’anus que dans le vagin, et le mouvement de va et vient est alors plus efficace.
L'anulingus : le cunnilingus anal
Descriptif : c’est le contact oral/anal.
Coté plaisir : De nombreuses personnes peuvent atteindre l’orgasme par cette pratique car elle stimule une zone réactive, sans passer par la pénétration. La position la plus adaptée est la levrette, car elle donne un accès plus facile à la zone anale.
Est-ce que ça fait mal ? Aucune douleur dans cette pratique, mais une possible gène liée à cet acte délicat et impudique.
Précautions à prendre : Certains couples optent pour une douche à deux avant l’acte car l’hygiène est ici encore primordiale. Les risques sanitaires sont majeurs ; sans protection, cette pratique peut transmettre Herpès, condylome, Hépatite et HIV.
Et pour lui ? Si vous ne doutez pas de la propreté de votre partenaire et que celui ne possède pas d’idées négatives sur cette pratique, vous pouvez tout à fait la réaliser, la zone rectale chez l’homme étant extrêmement réactive.
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Sortir avec un homme plus jeune, bonne ou mauvaise idée?
Il est sexy du tonnerre, doté d'un humour décapant, adorable, attentionné, amoureux... Le seul hic, c'est qu'il sort à peine de la fac alors que vous frisez la quarantaine. Et, le quarante a beau être le nouveau trente, vous vous demandez si vous mettre avec un homme plus jeune est judicieux. Alors avantages et inconvénients à sortir avec un plus jeune que nous : on fait le point.
1- Il devrait vous faire prendre votre pied
C'est un fait, c'est durant leur vingtaine que les hommes sont sexuellement les plus performants en raison d'un pic de testostérone et d'une bonne endurance, alors que les femmes atteignent généralement leur maturité sexuelle au cours de la trentaine ou de la quarantaine. Et elles ont en outre davantage d'expérience et de confiance en elle. Cette union devrait donc vous mener tout droit au nirvana.
2- Il est motivé et motivant
Un trek en pleine montagne ? Partant. Un concert de rock ? Pareil. Une nuit à la belle étoile ? Carrément. L'avantage d'un homme jeune, c'est qu'il est curieux de tout, rarement fatigué d'avance, et qu'il se décarcasse pour nous plaire parce qu'il pense qu'on a déjà vécu des tas de choses et qu'il va devoir nous épater. Le hic, c'est qu'à la longue, nous ayons du mal à suivre. La nuit blanche à la belle étoile de la veille a laissé des traces, on n'a pas la foi d'enchaîner sur un concert à l'autre bout de la ville.
3- Il a moins de "dossiers"
Quand on rencontre un type de son âge, on doit faire avec son passé, comprendre son/ses ex de longues dates. S'il a 25 ans, vous devriez réussir à tolérer qu'il ait eu un (ou deux) amours de lycée. Ceci dit, sa jeunesse ne l'empêche pas d'avoir tout de même eu une très longue relation qui n'est pas encore tout à fait réglée ou qu'il ait enchaîné les conquêtes au point de vous faire douter de sa réelle volonté à vouloir s'engager avec vous.
MAIS...
4- Vous n'avez pas (toujours) le même mode de vie
Vous vivez dans un deux pièces, peut-être même avez-vous contracté un crédit pour devenir propriétaire. Lui vit en coloc, ou se fait aider par ses parents pour régler le loyer de sa garçonnière. Financièrement d'ailleurs, il a généralement de quoi vous offrir une pizza de temps en temps. Pour les restos plus chics, il faudra attendre qu'il quitte le statut de stagiaire.
5- Il n'est pas (forcément) prêt à s'engager
Bien sûr, il ne voit pas finir sa vie seul, mais il a le temps avant de se lancer dans de vrais projets à deux, il est jeune. Du coup, vous pourriez en attendre plus que ce qu'il n'est prêt à vous offrir pour l'instant (un bonne pizza), voire lui flanquer la trouille avec vos petits coups de pression involontaires alors qu'il ne veut que profiter de la vie et de sa liberté.
6- Il n'a pas (encore) envie d'enfant
Le tic-tac de votre horloge biologique s'accélère ? Lui n'y songe même pas. D'abord, il veut voyager, trouver un vrai boulot, prendre un appart... Bref, vivre comme vous le faisiez il y a une bonne décennie. Du coup, il va falloir faire preuve de patience si vous avez envie de faire un enfant.
7- Le syndrome "maman"
Vous avez beau vous aimer comme deux ados, lui seul est le "vrai" jeune. D'ailleurs, même sans le vouloir, vous pourriez commencer à vous comporter de manière maternelle avec lui – ranger ses fringues, le ramener en voiture parce qu'il n'a pas le permis, lui acheter des fringues plus chics, lui filer de quoi prendre un taxi – mais, au final, ces attentions risquent de ne faire qu'accentuer cet écart générationnel.
Rappelons-nous avant tout que certains hommes jeunes sont très mauvais au lit et déjà vieux dans leur tête, d'autres tout à fait matures et prêt à s'engager. Comme toujours, en amour, il n'y a donc pas de règles fixes et ce, quelle que soit la différence d'âge, et c'est bien mieux comme ça !
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Femmes : 6 conseils pour augmenter votre potentiel sexuel
On a tendance à croire que la sexualité est quelque chose de naturel. Mais bien souvent, un apprentissage se révèle nécessaire du côté de la gent féminine. Les explications et conseils de Claudie Caufour, thérapeute en psychologie et en sexothérapie clinique, auteur de Sexualité épanouie en 15 étapes aux Presses du Châtelet.
6 astuces pour améliorer sa vie sexuelle
1 - Apprendre à se connaître avec des caresses
Contrairement à l’homme, dont le pénis est extérieur, le sexe féminin est caché et nécessite d’être exploré pour mieux le connaître. « Outre le fait que le désir féminin réponde à un besoin de nature plutôt émotionnelle, le vagin, parce qu’il est totalement dissimulé à la vue, est peu sollicité dans le cadre du plaisir solitaire, à la différence du clitoris. En apprenant à le découvrir, la femme pourra devenir une partenaire active lors des ébats érotiques », explique Claudie Caufour. Au cours de cette exploration, elle pourra parcourir son corps de caresses plus ou moins prononcées, qui peuvent aller de l’effleurement sur les parties sensibles comme les muqueuses à des touchers plus appuyés au niveau des zones plus charnues. « Varier les pressions permettra de stimuler la peau et d’y faire naître des sensations, voire de stimuler le tonus musculaire du vagin en impliquant la musculature interne périnéale », précise-t-elle. C’est un apprentissage progressif qui peut se faire dans de multiples occasions du quotidien. « La douche est un excellent moyen de mettre ses sens en éveil par le choix du parfum et la texture du soin lavant, la conscience que l’on a de l’eau qui coule sur sa peau et le libre cours que l’on accorde à ses pensées érotiques lorsque les mains redessinent le contour des creux et des courbes ou s’attardent sur des zones plus intimes », poursuit la thérapeute. Au fil de ces découvertes, l’éveil sensuel, la connaissance de son corps s’affinent et, de ce fait, il devient plus aisé de s’accepter.
2 - Aimer son corps, ses formes, ses courbes
« Nombreuses sont celles qui portent un regard sévère sur leur apparence physique, notamment quand elles sont en surpoids. Et pourtant ce sont les courbes et les creux qui aiguisent l’appétit et l’imaginaire sexuels d’un homme », précise-t-elle. Leur regard, leurs mains vont naturellement se poser sur des hanches, des bassins, des seins, ronds et voluptueux, bien loin de ces images de femmes plates véhiculées dans les magazines. « Oublions ces diktats de la mode et acceptons nous telles que nous sommes, avec des corps gourmands qui donnent envie à la gent masculine de succomber », préconise la thérapeute.
3 - Etre active pendant l’acte sexuel
Au lit, trop de femmes attendent de l’homme qu’il leur donne du plaisir. « Imaginez que pendant la relation sexuelle, l’homme arrête brutalement tout mouvement. Il en résulterait rapidement une diminution de son excitation avec, comme conséquence, la perte de son érection. C’est pareil pour la femme : consentir passivement à l’acte sexuel ne suffit pas, insiste Claudie Caufour. La volupté exige d’être active dans son corps, ce qui va se traduire par des mouvements amples et fluides du bassin. » Comme des vagues, où chacune sollicite son vagin et son périnée en les contractant pour que les sensations soient décuplées. « Il faut s’autoriser à bouger. Quand un corps est crispé dans l’attente, les sensations restent localisées dans la sphère génitale et ne peuvent gagner les autres zones », poursuit la thérapeute.
4 - Utiliser la respiration abdominale et se lâcher
La respiration joue également un rôle primordial. « Notamment la respiration abdominale. Le souffle permet de répartir les sensations dans tout le corps. Et quand on respire profondément, il est plus facile d’accéder au lâcher-prise, une condition indispensable pour atteindre l’orgasme. » En effet, dès lors qu’il y a abandon, l’accès à la volupté vient naturellement.
5 - Oublier la performance et vivre la sexualité comme un jeu
Le corps peut alors exister sans retenue. « Les tensions disparaissent, la peur de ne pas être performante n’a plus lieu d’être, précise Claudie Caufour. Portée par cet élan, la femme peut oser prendre l’initiative de la relation et guider son partenaire de façon à concrétiser ses envies et ses fantasmes. Pour un homme, il n’y a rien de plus beau qu’une amante créative qui s’abandonne et participe. »
6 - Eviter les jugements de valeur négatifs
Toutefois, des blocages parfois inconscients peuvent entraver une sexualité épanouie. « Quand des émotions négatives, liées à des souvenirs douloureux, à des interdits anciens ou à des a priori sur la sexualité, empêchent de s’abandonner, il est conseillé de repérer ce qui bloque dans son système de pensées, afin de pouvoir le faire évoluer. » La spécialiste recommande alors de se faire aider. « Consulter un sexologue, qu’il soit médecin, kiné ou psychologue, et intégrer des apprentissages corporels est sans doute la meilleure des démarches à accomplir pour s’approprier ou se réapproprier son corps, amadouer ses peurs, retrouver une sexualité satisfaisante et la vivre pleinement. » Car, comme le précise la thérapeute : « La sexualité est évolutive : le vécu sexuel n’est donc pas immuable et quelle que soit la difficulté, on n’est pas obligé de la subir toute sa vie. »
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Orgasmes : 7 façons de jouir lorsqu'on est une femme
Vous vous pensiez calée sur le plaisir féminin et pontifiiez allègrement sur orgasme vaginal et orgasme clitoridien. Vous êtes dépassée. Des orgasmes il n'en existe pas moins de sept différents. Notre experte Sophie Bramly nous éclaire.
Dans un monde où les orgasmes de la femme n'ont longtemps été disséqués que par les hommes, il a longtemps été acquis pour tous et presque toutes, que les femmes ont deux types d'orgasmes : le clitoridien que Freud jugeait « infantile » et le « vaginal », qui conserve aujourd'hui encore tous ses titres de noblesse. De plus en plus de femmes, gynécologues ou sexologues en particulier, tentent de mieux définir les orgasmes féminins, mais le travail d'Annie Sprinkle, ancienne actrice porno, aujourd'hui sexologue et auteure de nombreux livres, semble le plus… épanouissant.
Les premiers travaux qu'elle a faits ont porté sur son propre corps. Avoir eu un grand nombre d'amants lui a permis de réaliser que les orgasmes étaient d'abord fonction des rencontres (chaque partenaire vient avec son histoire, ses goûts et ses limites) et d'expériences aussi multiples et variées que possible. Pour elle, les orgasmes sont comme les grains de sable : il n'y en a pas deux qui sont identiques.
Sa réflexion est partie des orgasmes que les femmes ont pendant leur sommeil sans aucune stimulation autre que cérébrale, et des différentes formes qu'ils peuvent y prendre (on rêve d'avoir un orgasme sans l'avoir, d'autres fois en l'ayant, quelques fois avec de fortes contractions vaginales et/ou anales, enfin, simplement en ayant une vessie très remplie). S'ils peuvent être aussi variés dans le sommeil, il doit en être de même éveillée.
Effectivement, certains orgasmes éveillés sont très subtils et peuvent arriver dans toutes sortes de conditions, notamment par la pensée, sans stimulations physiques. Pour elle, on peut, en se concentrant, obtenir des orgasmes, et au contraire ne pas les percevoir sans une attention particulière. Ces « micro-orgasmes » peuvent aussi bien intervenir pendant un massage, lors d'une caresse sans intentions érotiques, etc. Beverly Whipple et Gina Ogden, des scientifiques qui ont beaucoup publié sur le point G, ont fait des tests dans leur laboratoire pour savoir si les femmes pouvaient avoir des orgasmes simplement en y pensant, et non seulement les tests se sont révélés positifs, mais elles ont constaté que certaines femmes pouvaient avoir des orgasmes très satisfaisants, sans qu'il y ait les contractions caractéristiques de l'orgasme.
Les orgasmes vaginaux ont aussi de multiples formes, en fonction de la partie du vagin qui est sollicitée, et la façon dont il est pénétré (doigts, poings, pénis, godemichés ou sex-toys…). Ils peuvent être délicats, modérés, violents, quoique souvent moins que les orgasmes clitoridiens, que certaines féministes estiment supérieurs parce que souvent plus puissants.
D'autres orgasmes reposent sur des techniques poussées de respiration, telles qu'enseignées par le tantrisme et ils peuvent prendre de multiples formes selon les exercices et les enseignements. Enfin, il existe aussi des orgasmes qui arrivent en pratiquant certains sports, en écoutant de la musique, en contractant les muscles pubo-coccygien, en riant, en toussant… Le point commun de tous ces orgasmes étant l'accélération de la respiration, du rythme cardiaque, de la chaleur du corps, etc.
L'orgasme clitoridien est probablement celui sur lequel tout le monde s'accorde, car il est le plus facile à identifier. Quelle que soit l'intensité de cet orgasme, il y a une tension musculaire, des contractions vaginales et une expulsion d'énergie, une durée variable de quelques secondes à quelques minutes.
Non seulement les orgasmes féminins prennent un nombre pléthorique de formes, mais la femme n'est pas limitée à un seul type d'orgasme à la fois. Elle peut tout à fait en avoir plusieurs différents en même temps ou de façon très rapprochée. Certaines femmes, rares celles-là, peuvent avoir ce que Annie Sprinkle appelle les « Megagasms », une sorte d'expérience émotionnelle et physique, qui prend tout le corps, et peut durer de quelques secondes à quelques heures. Ils sont assez difficiles à obtenir à moins de savoir solliciter de nombreuses zones érogènes à la fois, d'être capable d'un abandon absolu et d'une intensité de sensations presque violente, quelquefois accompagnée de visions psychédéliques.
Le problème de nombre de femmes qui pensent ne pas avoir d'orgasmes ou ne pas avoir les « bons » orgasmes, vient avant tout de ce que la définition classique se limite à celle des orgasmes clitoridiens, plus faciles à identifier. Comprendre qu'il existe en réalité de nombreuses formes d'orgasmes féminins, à intensités variables, doit permettre d'abandonner la quête d'un Graal, pour se laisser aller aux multiples formes de cette merveilleuse jouissance qui est naturellement en soi.
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10 signes qui prouvent qu’il veut s’engager
En couple avec un homme génial depuis quelques temps, vous souhaitez savoir si votre histoire va durer. Parce qu’il est parfois difficile de détecter les signaux que les hommes nous envoient, voici 10 signes qui prouvent qu’il veut s’engager.
1 – Il vous donne une clef de son appart
Quand un un homme vous donne une clef de son appart, le message est clair : vous pouvez venir quand vous voulez. Chez lui, c’est un peu chez vous. D’ailleurs, il vous a fait de la place dans son armoire et dans sa salle de bain.
2 – Il vous présente ses amis ET sa famille
Il vous a d’ores et déjà présentée à ses potes comme la femme qui lui a fait chavirer le cœur. Et la présentation aux parents est prévue. A moins que ce ne soit déjà fait !
3 – Il fait des projets avec vous
Des week-ends, des vacances…mais pas que ! Monsieur commence à parler mariage et bébé. C’est sûr, il se voit avec vous sur le long terme.
4 – Il répond toujours à vos messages
Contrairement à de nombreux mecs, le vôtre répond rapidement à vos messages. Il ne vous laisse pas poireauter exprès et ne joue aucun jeu débile.
5 – Il vous fait confiance
Quand vous lui dites que vous sortez avec vos copines, il ne s’inquiète pas. Il sait qu’il peut avoir confiance en vous, que vous ne risquez pas de le trahir parce que vous tenez profondément à lui.
6 – Il prend soin de lui
Généralement, les hommes se laissent aller une fois qu’ils nous pensent acquise. Or, lui, il continue à prendre soin de lui, même si cela fait déjà un bon moment que vous êtes ensemble. Preuve qu’il fait tout pour vous garder…
7 – Il s’inquiète pour vous
Vous êtes malade, vous avez des soucis familiaux, des problèmes au boulot ? Il ne vous laisse jamais tomber. Il passe des heures au téléphone avec vous afin de vous aider à régler vos problèmes.
8 – Il vous trouve belle
Même le matin au réveil, même quand vous avez une tête de déterrée. Il vous trouve belle, tout le temps.
9 – Il veut passer un max de temps avec vous
Preuve qu’il veut une histoire sérieuse, il désire passer un maximum de temps avec vous. Dès qu’il a un moment, il vous appelle, juste pour entendre votre voix. Et les soirs de semaine, il vous voit le plus possible.
10 – Il vous écoute
Un homme sincèrement amoureux vous écoute et partage aussi bien vos joies que vos peines. Il vous conseille pour que vous preniez le meilleur chemin à chaque fois.
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L’orgasme vaginal n’existerait pas, et le point G non plus !
Il n’y aurait pas d’orgasme vaginal, selon une récente étude scientifique américaine. De même, le célèbre point G n’existe pas. Une véritable révolution dans le monde de la gynécologie. Explications.
Selon les auteurs de cette étude publiée le 6 octobre dans la revue Clinical Anatomy, il serait plus judicieux d’employer le terme générique d’"orgasme féminin", comme on peut parler d’"orgasme masculin". En effet, il n’y a pas lieu de faire la distinction entre l’orgasme vaginal et le clitoridien. Il n’y a pas différents orgasmes, il n’en existe qu’un seul. Et celui-ci provient uniquement de la stimulation du clitoris. Non, le plaisir de la femme ne vient pas de la pénétration, ni du vagin.
Le clitoris, la clé de l’orgasme
Pour le spécialiste italien Vincenzo Puppo, un des auteurs de l’étude, l’unique voie d’accès à la jouissance passerait par le clitoris. La majorité des femmes qui prétendent avoir un orgasme vaginal pendant la pénétration se trompent. Aucune jouissance n’est possible sans la stimulation du clitoris, la zone la plus érogène de l’anatomie féminine, aussi appelé le « pénis féminin ». Ce qui signifie que l’orgasme obtenu pendant une pénétration vaginale serait en réalité dû à une stimulation clitoridienne simultanée.
« L'orgasme féminin est possible pour toutes les femmes, si l’organe érectile féminin, à savoir le pénis des femmes, est effectivement stimulé par la masturbation, le cunnilingus, un partenaire de masturbation ou pendant des rapports sexuels vaginaux et anaux si le clitoris est stimulé avec le doigt » expliquent les sexologues de l’étude.
Cette étude permet donc de rassurer toutes les femmes qui n’ont jamais ressenti d’orgasme pendant une pénétration sans stimulation clitoridienne.
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Préparez le terrain.
Premier conseil, exprimez-vous. Dites-lui que vous l’aimez. Donnez-lui confiance en elle en la complimentant sur son parfum, le galbe de ses courbes, ses seins... Admirez-la, reconnaissez ses qualités. Soyez aux petits soins, préparez-lui son café, faites-lui couler un bain... Ayez des gestes tendres dans la journée, prenez-lui la main, embrassez-la, puis faites-la rire, mettez de la musique… Bref, prenez le temps de l’écouter, de la comprendre, de la cajoler. Pourquoi ? Parce que l’attention masculine a des effets aphrodisiaques sur la femme.Résultats : votre partenaire est plus disposée à répondre à vos désirs. Elle se sent plus désirable et atteint plus facilement l’orgasme.
Soyez tendre
Parce que les hommes sont plus dans l’action et que leur pic orgasmique est plus rapide à atteindre, ils ne voient pas toujours l’intérêt d’être tendre. Erreur, messieurs ! Caressez-la de la tête aux pieds…Effleurez sa peau de la pulpe de vos doigts, exercez une légère pression avec vos ongles... Parsemez son corps de baisers, explorez-le de vos lèvres, mordillez... Prenez votre temps, faites-la languir... Puis, insistez sur ses zones érogènes. Résultat : certaines zones très sensibles, comme les seins, éveillent les sens féminins et stimulent le désir. Caresser la poitrine par exemple, envoie des signaux nerveux au clitoris, ce qui provoque des signes d’impatience... Ne cédez pas ! Plus ce "supplice" est long, plus le plaisir qui s’en suit est intense !
Prenez votre temps
Une femme peut, comme l’homme, jouir en 60 secondes à condition qu’elle ait une sensibilité vaginale particulièrement développée. En général, il lui faut entre 8 à 40 minutes, en fonction de son âge, du contexte et de ses sentiments. Le hic, c’est que la durée moyenne du coït est de 15 à 20 minutes... Les rapports sont donc souvent trop courts pour satisfaire les deux partenaires ! Ce n’est pas un hasard si 70 % des femmes de 30 ans ne connaissent pas l’orgasme vaginal. Messieurs, il faut prendre votre temps ! Résultat : c’est une évidence, mais des orgasmes mutuels sont la garantie d’une meilleure entente sexuelle, de rapports plus épanouis, d’échanges plus aboutis...
Offrez-lui des orgasmes vaginaux
Le processus de l’orgasme vaginal est le plus lent mais aussi le plus global. Il irradie tout le corps. La paroi vaginale est riche en capteurs sensitifs. Il est préférable de stimuler d’abord les parois grâce aux doigts : le majeur est le plus approprié, il peut être associé à l’index ou mieux, l’annulaire. Doit s’en suivre un va-et-vient de bas en haut et de haut en bas ou des mouvements circulaires suivant l’arrondi des parois. On peut aller jusqu’au fond du vagin en massant doucement mais fermement "les culs de sacs" et le col. Le pénis doit ensuite viser les zones sensibles, "caresser" l’intérieur… Résultat : peu de femmes connaissent l’orgasme vaginal. En clair : peu d’hommes savent le donner… Ce devrait être apprécié !
Stimulez son point G !
Le point G existe ! Pourvu de tissus érectiles, de glande et de nerfs, il peut être considéré comme la prostate féminine. Il se situe sur la paroi antérieure du vagin, à la hauteur de deux phalanges. Beaucoup d’hommes en ignorent l’existence. Pour le stimuler, il faut introduire le majeur, recourber la première phalange, la pulpe à l’affût d’une zone un peu rugueuse, plissée. Puis la presser, la masser fermement par va-et-vient et petits cercles. Le meilleur moyen de bien faire : se fier aux réactions de sa partenaire. Le point doit légèrement gonfler sous les doigts. A noter : il peut avoir besoin de temps pour se réveiller. Ne soyez pas trop pressé, recommencez si besoin un autre jour.Résultat : un orgasme plus intense qu’avec le clitoris et des émotions plus fortes chez la femme.
Contrôlez votre éjaculation
Contrôler son éjaculation est un excellent moyen d’améliorer l’entente sexuelle. Une telle maîtrise permet de mieux prendre en compte la physiologie de sa partenaire et la durée dont elle a besoin pour parvenir à l’orgasme. Il faut repérer les signes d’imminence de l’éjaculation : un plaisir soudain et aigu à la racine de la verge qui se raidit plus encore… Une seule solution alors : suspendre tout mouvement, retirer sa verge à mi-longueur, contracter lepérinée tout en bloquant sa respiration quelques secondes en tâchant de penser à autre chose pendant 1 grosse minute ! Résultat : le plaisir masculin est dû aux contractions du muscle pubo-coccygien et non à l’éjaculation. La retarder permet d’enchaîner plusieurs orgasmes pour soi… et sa partenaire !
N’oubliez pas le clitoris !
Comme votre pénis, messieurs, le clitoris est couvert de capteurs sensitifs. C’est un détonateur ! Conseil : observez-la quand elle se masturbe, c’est la meilleure façon d’apprendre. En pratique, préférez votre majeur, il est plus doux que l’index, plus fort et trop "pointu". Pensez à mouiller vos doigts. Commencez doucement, sans trop appuyer par des mouvements de va-et-vient ou circulaires. Puis, augmentez progressivement la pression jusqu’à appuyer assez fort. Sous l’excitation, le clitoris se gorge de sang, gonfle et devient cramoisi. Quand commence l’orgasme, n’arrêtez pas, continuez sous peine de l’abréger.Résultat : le fait qu’un homme se préoccupe du clitoris est souvent vécu par les femmes comme une attention d’excellent augure pour la suite des festivités !
L’art du cunnilingus
Ca n’a l’air de rien et pourtant, quelques
conseils pratiques s’imposent ! D’abord, il est conseillé de
se raser. La barbe peut irriter
les muqueuses féminines. Ensuite, il ne faut pas se jeter sur le clitoris, mais faire languir sa partenaire en parcourant son corps de caresses et de baisers pour amener l’excitation à son comble. Tous ses organes sexuels s’érigent, ses seins durcissent, son rythme cardiaque et sa respiration s’accélèrent… On peut alors
titiller le clitoris de sa langue avec délicatesse, un peu comme
un mamelon. L’
insistance est de mise aux endroits les plus
réactifs... en ne changeant rien
jusqu’à l’orgasme.
Résultat : bien réalisé, il constitue le moyen le plus efficace de procurer un
orgasme puissant et de vous attirer des faveurs !
Offrez-lui des orgasmes profonds
Les orgasmes profonds naissent de la stimulation du corps utérin, riche encapteurs sensitifs… Ces orgasmes sont accessibles à tous ! Il est conseillé de commencer par de petites pénétrations de quelques centimètres, stimulant au passage le point G, puis de pénétrer le vagin progressivement, plus profondément, avant de donner soudain un coup de rein décisif. Il faut continuez par de fermes va-et-vient en maintenant les hanches de sa partenaire. Après plusieurs heurts, le plaisir augmente jusqu’à ce que l’orgasme survienne... Résultat : un orgasme très fort, une profonde émotion et unereconnaissance de la part de la partenaire !
Adoptez les "caresses intérieures"
La "caresse intérieure", c’est le nom que donne Gérard Leleu, médecin sexologue, aux effleurements du pénis dans le vagin. Bonne nouvelle, cette caresse est plus facile à donner avec les années (l’éjaculation est souvent moins rapide). Elle stimule toutes les zones érogènes internes. En pratique, il faut alterner les phases de mouvements et d’immobilité, de pénétration profonde et superficielle, d’accélération et de calme… Cela peut durer des heures… Résultat : effets garantis ! C’est le meilleur moyen de donnerplusieurs orgasmes à sa partenaire et de gagner en intensité.
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Façons de la rendre folle de vous.
1 Éveillez son intérêt
N’agissez pas directement, atteignez- la en infiltrant son cercle d’amis. Ou mieux, commencez par nouer une relation avec un de ses proches.
2 Inspirez confiance
Évitez à tout prix d’avoir une étiquette de « brancheur fou » collée au front. Rien n’est plus rédhibitoire pour une proie intéressante. Réalisez une approche oblique (voir « à l’abordage »), et tentez (brièvement) le passage par l’amitié désintéressée, il vous permettra d’en apprendre beaucoup sur elle tout en brisant ses défenses.
3 Soufflez le chaud et le froid
Ne vous laissez pas percer à jour. Soyez à l’écoute, puis distant, attentif à ses désirs puis préoccupé par « autre chose ». Laissez entrapercevoir des pans de votre personnalité qu’elle n’aurait pas soupçonnés et ayez des réactions imprévisibles (mais attention à ne pas passer pour un schizophrène). Les femmes aussi aiment ce qui n’a pas l’air gagné d’avance.
4 Suscitez la jalousie
Rien de tel pour donner envie d’un bonbon à un enfant que de le proposer à un autre. En amour, c’est pareil. Si vous réussissez à lui faire croire que d’autres femmes font la queue à votre porte (quitte à employer quelques complices), vous susciterez à coup sûr un sentiment qui ira du léger pincement de jalousie au désir de possession.
5 Déstabilisez
Étape cruelle mais nécessaire. Il faut déstabiliser votre victime en remettant en question sa personnalité ou sa façon de vivre, puis la laisser seule avec son vide intérieur. En pleine incertitude, elle sera alors comblée lorsque vous reviendrez vers elle, preuve qu’elle a de la valeur, au moins à vos yeux.
6 Suggérez
Faites germer la graine du désir en sensualisant les sujets les plus anodins, ou en jouant de votre corps : soutenez son regard, arrangez-vous pour la toucher souvent. Ne forcez rien (sauf si elle vous tombe déjà dans les bras), mais troublez, surtout, troublez…
7 Habitez ses pensées
Sachez deviner ce qui compte à ses yeux et allez dans son sens. Renvoyez-lui une image d’elle-même qui corresponde à ce qu’elle voudrait profondément être (ou être restée). Allez sur son terrain, mais pas trop longtemps. Lorsque vous aurez réussi, c’est elle qui viendra sur le vôtre.
8 Soyez ferme
Même si vous êtes raide dingue d’elle, continuez à souffler le chaud et le froid. Trop gentil ou trop disponible, vous perdrez peu à peu votre attrait. C’est après avoir semé le doute dans son esprit que vous réussirez à posséder profondément votre cible.
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5 bonnes raisons de se masturber quand on est une femme
Plaisir solitaire encore tabou pour les femmes, la masturbation permet d'atteindre l'orgasme, mais pas que. Le point sur les bienfaits de cet instant de plaisir.
Se faire plaisir, évidemment
La masturbation est une source de plaisir et d'orgasmes. Simple à pratiquer (un doigt suffit !), l'autostimulation du clitoris permet à la femme d'atteindre aisément l'orgasme et de prendre du plaisir. « Quand la femme stimule sont clitoris, elle atteint l'orgasme dans 95% des cas voire 100% » rappelle Gérard Leleu, médecin, sexologue.
Apprendre à se connaitre
Pour mieux utiliser son corps, il est important de le connaitre et de le découvrir. La masturbation permet aux femmes de se mettre en contact avec leur plaisir et de réveiller leur érotisme. Elle est souvent recommandée par les sexologues aux femmes qui n'ont jamais connu l'orgasme. « La masturbation clitoridienne accroit la vascularisation des tisses érectiles de tout le sexe féminin. Elle augmente la sensibilité du clitoris, du vagin et initie à l'orgasme » rappelle le docteur Gérard Leleu. Mais, la masturbation peut aussi aider les femmes à découvrir des aspects de leur sexualité qui leur font peur. La stimulation et la pénétration anale, par exemple.
Eveiller sa sexualité
La masturbation est le moment idéal pour fantasmer librement. Souvenirs ou créations imaginaires, il est plus facile de se faire des films érotiques ou pornographiques dans la tête quand on est en solo que quand on partage son lit. La masturbation n'est pas nécessairement un acte rapidement fait pour satisfaire un besoin immédiat. Vous pouvez la pratiquer comme un vrai rendez-vous érotique et suivre un rituel qui vous fait atteindre le 7ème ciel.
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L'amour, le sexe... et les femmes
Un ouvrage lève enfin le voile sur la sexualité féminine
3 400 femmes ont répondu à un questionnaire de l'Observatoire International du Couple, sur leur sexualité sans tabou, via internet durant les mois de mai et juin 2011. Avec des résultats assez surprenants, livrés dans un ouvrage de confessions très intimes... et qui pourraient remettre en question certains préjugés masculins.
Des chiffres discutables
Réalisé auprès de femmes en couple hétérosexuelles, ce questionnaire s'intéresse très sélectivement à la sexualité féminine traditionnelle, puisque les deux critères cités ci-dessus étaient un impératif pour participer à cette réflexion.
Des questions indiscrètes ont ainsi été posées, notamment sur l'orgasme féminin et les fantasmes de ces dames. Elles (les questions) ont ensuite été étudiées ainsi qu'analysées par un psychiatre, expert en sexologie et anthropologie.
Avec une constatation : les mœurs évoluent et les femmes parlent maintenant de leur sexualité avec beaucoup moins de retenue qu'auparavant, rejoignant dorénavant pour la majorité leurs compères masculins quant à leur liberté corporelle et expressive.
On peut ainsi apprendre, grâce à ces témoignages, qu'environ 20 % des femmes sont capables de se stimuler l'imaginaire pour avoir un orgasme, qu'une sur trois serait pudique dans l'intimité, ou que près de 30 % s'avèreraient des « femmes fontaine »... alors que cette spécificité a la particularité d'être exceptionnelle. Des chiffres qui ont de quoi surprendre.
L'orgasme : une quête falsifiée ?
Les chiffres parlent d'eux-mêmes : l'orgasme féminin apparaît comme la principale préoccupation pour les femmes dans leur intimité d'une vie de couple. Celles-ci n'hésitent d'ailleurs plus à avouer leur penchant pour la pornographie ou l'érotisme, considérés comme stimulant sexuel, voire même leur attirance pour le sexe sans forcément éprouver de sentiment envers leur partenaire. Des aveux inconcevables il y a une décennie.
Le pendant de cette recherche absolue du plaisir étant que certaines se perdent et n'hésitent pas à truquer la donne en simulant le plaisir pour satisfaire leur égo et celui de leur partenaire, ce dont avoue près de la moitié des dames concernées.
Dénonçant ainsi la culture de la performance sexuelle qui astreint la femme à forcément éprouver un orgasme à chaque rapport sexuel, sous peine de passer pour frigide ou anormale...
Or, il n'existe pas de norme ni d'idéal en la matière et les façons de jouir peuvent être multiples. C'est ce qu'ont compris 25 % des questionnées, pour qui l'orgasme paraît secondaire, voire pas du tout nécessaire (pour 3 % d'entre elles) dans une relation de couple harmonieuse et épanouissante... chamboulant ainsi toutes les idées reçues sur la question épineuse de l'orgasme à tout prix.
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Comment devenir le roi des préliminaires ?
Faire monter le désir pour maximiser le plaisir
Certains hommes les négligent. Bien souvent à tort. Les préliminaires sont essentiels dans le cadre d’une sexualité épanouie.
Les préliminaires sont essentiels dans une relation sexuelle. Composés essentiellement de baisers, de mots tendres, de caresses, de massages sensuels, les préliminaires ont également pour but ultime d’éveiller tous les sens des deux partenaires.
Indispensables préliminaires
Pour éveiller le corps de votre partenaire au plaisir, ces préludes sensuels sont nécessaires, voire indispensables. La durée des préliminaires varie d’un couple à un autre, et plusieurs critères entrent en ligne de compte comme le lieu, le niveau d’excitation des deux partenaires...
Tout compte fait, pour être efficaces et susciter l’émoi chez votre partenaire, les préliminaires devront monter progressivement en intensité. Il existe ainsi une large palette de jeux sexuels, de caresses et de massages pour devenir le roi des préliminaires.
Quatre points clés pour réussir vos préliminaires
Pour réussir vos préliminaires, vous devez procéder par étapes et faire monter l’excitation progressivement :
1- Pour commencer, à travers de légers massages sensuels, partez à la découverte des zones érogènes dites « potentielles » de votre partenaire. Il s’agit entre autres de son visage, du lobe de ses oreilles, de son cou, du creux de ses reins, etc. Ces zones varient d’une personne à une autre. Essayez...
2- Allez plus loin et passez aux zones érogènes dites « secondaires », c’est-à-dire le pubis, la vulve, les seins, l’intérieur des cuisses.
3- L’étape ultime : le cunnilingus, parfait pour stimuler son clitoris et favoriser une bonne lubrification vaginale.
4- Pour aller plus loin et faire durer le plaisir, découvrez ensemble quelques jeux coquins, de nouveaux sextoys ou des positions originales du Kama-sutra comme la fameuse « 69 ».
Pour certains, ces préliminaires mèneront tout droit à l’orgasme. Pour d’autres, ils ne seront que le préambule à un rapport intime encore plus intense. Allez, en route pour le septième ciel !
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Les idées qui font plaisir aux filles.
Parfois, entre le plaisir et nous, il n’y a qu’un détail, et il change tout. Pourquoi ne pas essayer ?
1. Éteindre la lumière
« Je ne prends vraiment du plaisir que dans le noir, explique Tiphaine, 20 ans. Je peux me consacrer pleinement aux baisers, aux caresses et aux odeurs. Je suis aussi plus réceptive, les sens en éveil, comme si la moindre cellule de mon corps était ouverte au plaisir. Alors je peux jouir sur un soupir de mon partenaire, une odeur de peau, ou une caresse toute douce. »« La lumière me dérange pour atteindre l’orgasme, raconte Adeline, 28 ans. Je n’arrive pas à me laisser aller, je ne peux m’empêcher de me regarder, de me demander si je ne suis pas trop grosse dans cette position, ou trop soumise, ou trop dominatrice. Bref, je calcule tout, plus rien n’est naturel, et ça me bloque complètement ! Alors que, dans le noir, tout est fluide, doux, spontané. »
Et pourquoi ça ?
Faire l’amour dans le noir nous permet souvent de lâcher nos inhibitions, d’être plus à l’écoute de notre corps et de nos désirs. Nous n’avons plus peur du ridicule, ni tendance à nous regarder faire. « En effet, explique le médecin sexologue Gérard Leleu*, les femmes sont beaucoup plus pudiques que les hommes, et leur excitation est moins visuelle. Elles aiment toucher, sentir, entendre et, souvent, quand elles ne voient pas, elles sont plus réceptives aux contacts. » Car, si, pour les garçons, la vision est un profond stimulant sexuel, c’est moins vrai pour nous (sauf cas exceptionnel appelé Antonio Banderas). Donc, pour être en confiance, la bonne solution est parfois d’éteindre la lampe, au moins au début d’une relation.
2. Prendre son temps
« Pour prendre vraiment mon pied, confie Julie, 30 ans, il me faut du temps et du calme. Je ne sais pas être excitée tout de suite et grimper aux rideaux la seconde d’après. Il me faut au minimum une demi-heure de baisers, de tendresse. J’ai besoin de me consacrer entièrement à notre câlin, de ne penser à rien d’autre qu’à notre plaisir. »« Je n’arrive à avoir un orgasme qu’après de longs préliminaires, explique Fleur, 27 ans. Se masser mutuellement, sentir ses baisers partout sur mon corps, s’embrasser, se lécher... Après ça, bien décontractée, je suis prête pour toutes les folies. »« Le prélable à l’orgasme, pour moi, c’est une excitation maximale. Donc, dès la fin de l’après-midi, je commence à y penser et à échanger des textos coquins avec mon copain, avoue la prévoyante Marine, 19 ans. On se chauffe comme ça, petit à petit, si bien que, quand on se retrouve, on est à point ! »
Et pourquoi ça ?
Plus que les hommes, nous avons besoin de passer par un sas de décompression entre la réunion de ce matin, la mauvaise humeur de notre chef et le septième ciel. Quand on rentre, le soir, il nous faut un peu de temps pour passer de la working girl à la geisha. La solution, c’est de prendre le temps de s’occuper de soi avec un bon bain, un long câlin, ou d’adopter la technique d’échauffement à distance de Marine.
3. Parler d’amour... et de sexe
« Se dire des cochonneries, raconte Céline, 32 ans, ça me rend vraiment dingue. En général, on commence assez soft, un peu gênés, en se les chuchotant au creux de l’oreille. On se décrit juste ce que l’on aime et ce que l’on va faire. Puis, au fur et à mesure que monte l’excitation, on fait de plus en plus hot. Après, on en rigole. » « J’ai besoin qu’un homme me trouve belle et me le dise, explique Justine, 27 ans. Si je ne vois pas dans ses yeux que mon corps lui plaît, je n’arrive pas à mettre ma pudeur de côté. Par contre, s’il me met en confiance avec des mots doux, je peux me laisser aller et prendre du plaisir ! »« Se parler, c’est primordial pour moi. Se dire ce que l’on aime, ce dont on a envie, comment il faut s’y prendre... », confie Myriam, 29 ans.
Et pourquoi ça ?
Ce n’est pas inné, de connaître le corps de l’autre et ce qui le fait jouir. Cela s’apprend tous les jours avec son partenaire. Quand on est claire avec son partenaire dans l’expression de ses désirs, et qu’on lui explique bien comment s’y prendre, il a toutes les clés pour ouvrir la chambre des délices. Sans forcément devenir dialoguiste d’un film X, on peut se susurrer ses désirs au creux de l’oreille... ou employer des mots à se faire rougir quand l’excitation est à son comble.
4. Se laisser faire
« J’aime avoir les yeux bandés, avoue Valentine, 29 ans. Cela me permet de me lâcher complètement. Et puis, il y a le petit côté soumission qui ne me déplaît pas. J’aime que mon amoureux me regarde sans que je le voie et qu’il me demande de faire des choses coquines. »« Une petite fessée bien placée et au bon moment, c’est vrai, ça me fait décoller », assure Aude, 35 ans.« En levrette, je suis sûre d’avoir un, voire plusieurs orgasmes de suite. Être bien tenue par les hanches par mon homme, ça me rend folle ! », confie Marianne, 24 ans.« J’aime quand il me tient fermement les pieds, les mains ou les fesses, explique Catherine, 26 ans. Quand il m’agrippe, me malaxe à pleines mains, m’emprisonne presque. Je suis à sa merci, et ça, c’est incroyablement excitant ! »
Et pourquoi ça ?
« Tant qu’il y a consentement des deux, explique le Dr Leleu, et pas de douleur, c’est un jeu qui peut être excitant. D’autant que, pour la femme, éprouver la force virile de son amant, ce n’est pas forcément se mettre dans une position de faiblesse, c’est surtout s’abandonner voluptueusement dans les bras de son homme. » Aussi longtemps qu’il y a de l’amour et du respect, cela peut être un jeu de couple, une complicité dans la stricte intimité de sa chambre à coucher.
5. Ou prendre les opérations en main
« Le top du top, c’est la position d’Andromaque, confie Elsa, 22 ans. Accroupie sur lui, je vais à mon rythme, je bouge mon bassin comme il me plaît... avec un contrôle total qui me mène systématiquement à l’orgasme. En plus, je peux lui demander de me caresser les seins, de me les pincer, ou de me tenir les fesses, en fonction de mes désirs. Et là, c’est Byzance ! »« J’aime lui nouer les mains avec un foulard, cela m’excite beaucoup. De toute façon, il se libère comme il veut ! Mais, tant qu’il est attaché, je fais ce que je veux de son corps, pour mon seul plaisir », assure Gaëlle, 33 ans.« J’aime donner des ordres à mon amoureux, explique Isabelle, 25 ans. Lui dire de mettre sa main ici, de faire un bisou là. Il doit se montrer très obéissant, sinon on arrête tout ! Enfin, c’est ce que je lui fais croire... »
Et pourquoi ça ?
C’est à votre tour de montrer que vous êtes une femme, une vraie, libérée. Et qu’en plus d’être une fille formidable, vous savez aussi prendre les choses en main. Assumez vos désirs, acceptez vos envies.
6. Un peu de sauvagerie
Anne-Sophie, 26 ans : « Faire l’amour tout habillés, ça, ça me rend vraiment dingue. Quand on se caresse à travers les vêtements, puis qu’il baisse juste son pantalon et ma culotte, je suis sûre de prendre un pied de folie ! »« J’aime quand on se jette l’un sur l’autre et que l’on fait l’amour à la hussarde, plaqués contre le mur de l’entrée ou directement sur le parquet. Même si j’ai un rendez-vous dans quinze minutes, rien de plus excitant pour moi qu’un petit quicky ! » Perrine, 32 ans.
Et pourquoi ça ?
« On peut faire de l’amour toute une cérémonie avec encens et bougies, mais on peut aussi brûler de désir et se renverser dans les bras de son amoureux sans même prendre le temps de se déshabiller », précise le Dr Leleu. Quoi de plus sexy qu’une étreinte torride et passionnée, comme ça, contre la machine à laver ou sur la table du salon ? Passé le premier étonnement, l’excitation devient sauvage, animale.
7. Un peu de mise en scène
Nelly, 26 ans : « Ding dong, c’est le plombier ! – Oups, je suis désolée, Monsieur, je sors juste de la douche... » Je sais, c’est un peu désuet, mais ça me plaît ! Avec mon copain, on met en place des petits scénarios très étudiés. Ainsi, dans la journée, je lui envoie un texto : « Je suis toute seule, je me commanderais bien une pizza... » Et, comme par hasard, je me retrouve au lit avec le pizzaïolo. J’aime l’idée de faire l’amour avec un inconnu... si c’est avec mon petit ami ! »« Les déguisements, les mises en scène, les strip-teases... j’adore ! Pour moi, l’amour doit être une fête. Alors, j’essaie toujours de rendre le sexe joli et amusant. On joue un rôle, on est quelqu’un d’autre et on peut se lâcher comme on veut (puisque ce n’est pas nous) », rêve Pauline, 28 ans.Zoé, 35 ans : « Il me donne des rendez-vous mystérieux, Juste un lieu, une heure, un nom d’emprunt. Comme un couple illégitime, comme au cinéma. Et moi, vraie midinette, je marche à fond, hyper excitée de mon cinq à sept ! Et, le soir, on se retrouve comme si de rien n’était… De vrais amants, vous dis-je ! »
Et pourquoi ça ?
En plus de redécouvrir son partenaire dans un autre cadre que la traditionnelle chambre à coucher, il y a l’excitation de la surprise, de la clandestinité... et de la transgression. On y pense longtemps à l’avance, on se prépare comme pour un premier rendez-vous. On est tout excitée à mesure que les heures passent. Car on n’est pas des bêtes, l’intellectualisation de la relation sexuelle et l’anticipation font partie du plaisir ! Oui, l’orgasme passe également par la tête...
8. Quelques jeux de mains
Marie, 35 ans : « Longtemps, j’ai eu du mal à avoir un orgasme avec mon homme. Et puis, un jour, mon amoureux m’a stimulé le clitoris pendant qu’il me faisait l’amour. Et là, ça a été la révélation : non, je n’étais pas frigide. J’étais juste plus clitoridienne que vaginale. Depuis, il sait que c’est mon endroit sensible. Maintenant, je prends à chaque fois du plaisir. »« Moi, ce qui me rend folle, raconte Juliette, 27 ans, c’est de me caresser. Dans toutes les positions, je trouve toujours un petit espace pour glisser ma main. »
Et pourquoi ça ?
« Le vagin n’est pas sensible dès la première pénétration. Il faut l’éveiller, le révéler au plaisir. En caressant le clitoris, non seulement on stimule une zone fortement érogène, mais l’on diffuse le plaisir sur la totalité de son sexe. » D’une pierre deux coups : en se caressant, on sait quels mouvements nous font du bien. Ne soyez pas pudique : vous pouvez être sûre qu’en voyant vos mains courir sur votre corps, votre compagnon sera fou de désir.
9. Et mes seins ?
Élise, 22 ans : « J’aime que mon homme me lèche le bout des seins. C’est le déclic qui me rend folle. Je trouve ça très excitant de le voir soulever mon tee-shirt et se pencher sur moi comme ça... »« Quand on fait l’amour, je me débrouille toujours pour amener mon amoureux à m’embrasser la poitrine. Sentir sa langue sur mes seins, ça me mène systématiquement à l’orgasme. C’est chaud, c’est beau, c’est doux... Bref, c’est parfait ! » se réjouit Marilyne, 29 ans. « Quelle que soit la position, assure Louise, 36 ans, quand je sens tout à coup ses mains se poser sur mes seins, me les caresser et me les pincer un peu, ça me fait perdre la tête immédiatement ! »
Et pourquoi ça ?
Les mamelons sont constitués de tissus érectiles très sensibles aux caresses, comme aux émotions. C’est pour cela que, parfois, on a les seins qui pointent rien qu’à penser à son amoureux. Non seulement c’est une zone érogène, mais c’est aussi très excitant de voir son homme prendre soin de cette partie éminemment féminine de son anatomie. N’hésitez pas à lui faire régulièrement comprendre que tout ne se passe pas forcément où il le croit.
10. Prendre l’eau
« La fois où j’ai eu le plus fort orgasme de ma vie, raconte Tania, 27 ans, c’était dans une piscine, la nuit. Le fait d’être dans l’eau est très érotique : la peau qui glisse, les baisers mouillés, l’eau qui goutte. Et puis, avec l’apesanteur des corps dans l’eau, on peut faire des trucs étonnants ! » « Dans le bain, des petites bougies, de la musique douce... L’eau détend bien les corps, on est dans un état un peu cotonneux. C’est très sensuel », explique Sophie, 31 ans. « Moi, j’aime bien les douches qui dégénèrent. On commence par se savonner un peu et puis ça dérape en shampouinage érotico-ludique », confie Léa, 22 ans.
Et pourquoi ça ?
Selon le rapport Hite, le massage avec le jet de la douche est une de nos méthodes favorites pour atteindre l’orgasme. En effet, explique Anne Hooper**, « la douche est l’accessoire sexuel naturel par excellence, associant chaleur, pression, humidité et friction ». Même les écologistes sont d’accord : l’eau, c’est la vie. l * Gérard Leleu, auteur de nombreux ouvrages dont « la Caresse de Vénus » et un « Traité du plaisir » (Leduc Éditions).** Anne Hooper, sexologue et psychothérapeute, auteur de « Mieux faire l’amour à une femme » (Les Presses Libres).
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Savoir caresser une femme demande du doigté, de la patience, une grande sensibilité, un côté artiste développé, et un plaisir savoureux à voir un corps féminin doucement s'éveiller.
Certains seront toujours gauches même en leur expliquant la manière de s'y prendre. Pourquoi ? Ils manquent de sensibilité, je pense. Savez-vous que c'est souvent le manque de caresses qui rend les femmes agressives ? Pourquoi les hommes savent-ils si bien caresser au début d'une relation pour séduire, et finissent par devenir si paresseux au lit, une fois, la personne conquise ?
Voyons ensemble la manière de vous y prendre : La femme, si on la regarde, c'est avant tout un corps composé d'une tête, d'un torse, d'un ventre, de fesses, d'un sexe, de cuisses, de jambes et de pieds. Oh pardon, j'oubliais les bras et mains aussi ! Nous traiterons prochainement de l'âme et de son cœur... Pour l'instant, nous abordons la meilleure façon de la caresser pour réveiller en elle le désir.
Imaginez-la, face à vous !
Commencez par la regarder d'un regard plein de désir. Rien n'est pire qu'un regard qui semble passer sur une femme et lui donner l'impression d'être transparente ! Prenez-la tendrement dans vos bras puis plongez votre regard dans le sien en lui communiquant vos pensées coquines. Savez-vous que lorsqu'on désire une personne, votre pupille se dilate ? Message inconscient par la personne qui vous contemple...
Caressez son visage
Posez vos mains sur son visage en le caressant, comme si vous suiviez les lignes de sa figure, tendrement, un peu comme si vous la dessiniez.
Puis, déposez de très légers baisers sur sa bouche pour déclencher en elle le besoin d'être mieux embrassée.
Si vous l'avez suffisamment embrassée, elle ouvrira d'elle même sa bouche pour goûter enfin la douceur de votre langue. Mélangez ensuite le bout de votre langue à la sienne, doucement, comme si vous la caressiez.
Ne plongez pas sur sa langue comme si vous alliez la dévorer. Tout ce que vous gagneriez, serait qu'elle se sentira effrayée, vous prenant pour un rapace !
Quand vous sentirez son corps se presser contre le vôtre, sachez qu'elle est prête à aller plus loin avec vous.
Des caresses progressives...
Durant tout ce temps, vos mains caresseront son dos doucement. Evitez de lui caresser les fesses pour l'instant même si vous en mourrez d'envie ! Pas touche monsieur l'impatient !
Dîtes-vous que ce n'est pas encore le moment. Caresser le dos d'une femme sert avant tout à la détendre, à lui donner envie de recevoir d'autres caresses plus troublantes, plus intimes.
Quand son bassin se collera au votre, dîtes-vous que vous n'être pas loin du but.
Savez-vous qu'il n'y a pas besoin de mettre les seins d'une femme à l'air pour l'exciter ? Amusez-vous à glisser le bout de votre ongle sur le tissu du soutien-gorge. Vous serez surpris de découvrir que vous avez réussi à lui mettre le téton en érection.
Une fois ce petit test de réussi, massez lui la poitrine avec douceur.
Ce n'est pas un pamplemousse que vous palpez, je vous le rappelle, mais ce qui représente pour la femme sa féminité.
Certains croient à tort qu'une femme qui possède une petite poitrine n'a pas besoin d'être caressé à cet endroit ! Ils ont tort ! Les petites poitrines sont les plus sensibles aux caresses.
Une fois ses seins bien échauffés et caressés, découvrez les doucement et commencez à lui sucer.
Commencez par lui aspirer doucement, puis passez un coup de langue sur son téton, retirez vous et soufflez dessus un peu d'air pour provoquer une réaction. Vous verrez son sein se rétracter, la peau se mettre à frissonner.
Une erreur à éviter
Les hommes se contentent de s'occuper d'un seul sein ! Nous en avons deux, je vous le rappelle et celui qui est oublié n'est pas du tout content de se voir ainsi négligé ! C'est la pire façon de provoquer en elle une frustration !
Mordillez-lui doucement le téton, puis aspirez-le légèrement, puis, de plus en plus énergiquement. Cela a l'avantage de faire monter la pression dans le bas ventre de la femme. Je précise aussi : on ne vous demande pas d'avaler notre sein en entier, juste le téton qu'on adore sentir aspiré et qui déclenche en nous de savoureuses contractions.
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Un autre secret : l'arrivée du printemps titille les femmes en ce moment ?
En amour, le corps change. Le plaisir évolue aussi avec le temps. La demande devient différente...Quand à l'attente, je dirai que c'est le summum pour lui offrir une merveilleuse jouissance en exacerbant ses sens.
Les femmes sont-elles sensibles quand on leur caresse les fesses ?
Me demandent mes amis masculins. Et comment ! Mais attention la caresse ne doit pas être une vulgaire claque sur les fesses de la demoiselle, en vous croyant intelligent, sinon vous obtiendrez un regard si noir que vous n'aurez d'autre secours que de battre prudemment en retraite.
Zone érogène ?
Avez-vous remarqué qu'en dansant, lorsque vous posez vos mains sur le bas des reins d'une femme, celle-ci semble s'arquer, en avançant vers vous, son bassin. La raison en est simple : le bas des reins d'une femme est particulièrement érogène, sans doute parce que cette zone est peu sollicitée, donc au moindre frôlement, le corps réagit immédiatement.
Détendez-la !
Faites allonger sur le ventre cette personne de façon à ce qu'elle se détende. Frôlez-lui le dos lentement puis descendez peu à peu jusqu'à la naissance de ses fesses. Vous verrez comme elle cambre plus fort ses reins, sous vos caresses, signe évident qu'elle se sent merveilleusement bien.
Au bout d'un moment, commencez à lui caresser les fesses, doucement, en petits ronds de plus en plus grands puis recommencez vos caresses mais en réduisant cette fois-ci, vos ronds? Imaginez que vous caressez deux belles pêches au velouté agréable que vous allez bientôt avoir le droit de déguster... Miam ! Je sens que vous commencez à saliver ! Attention, on ne touche toujours pas son sexe ! C'est dur ? Humm Je m'en doute...
Approchez-vous de son sexe, en remontant aussi le long de ses jambes, puis évitez-le à la dernière minute ! Vous serez surpris de voir son corps devenir encore plus nerveux, de l'entendre laisser échapper de petits soupirs.
Elle est à point !!!
Profitez-en pour jeter un oeil discret entre ses cuisses : elles s'ouvrent d'elles-mêmes ? Pas de doute, vous avez réussi ce programme ! La charmante personne est à point. Autorisez-vous une légère caresse cette fois-ci sur les lèvres de son sexe : Ohhhhh mais elle est trempée notre coquine! La, pas de doute, vous allez avoir droit à une femme affamée de plaisir qui va vous faire l'amour comme jamais !
Voila une nouvelle fois, un autre secret de dévoilé, pour rendre une femme affamée de désir au lit sous vos doigts !
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