Actualités. Love & Sexe & Psycho.les hommes aussi ont un site internet.Étude : Pour 76% des Françaises, embrasser c’est tromper. Pourquoi certaines personnes échangent des nudes avec leurs amis. Un Français sur trois en couple continue de chercher un partenaire sur internet.
Les amants du couvre-feu : "J'ai vécu sous le même toit que mon conjoint et mon amant mais j'ai des relations amoureuses distinctes avec chacun d'eux"
Depuis le samedi 16 janvier, un couvre-feu est obligatoire à 18h dans toute la France. Dans Les amants du couvre-feu, célibataires et amants racontent comment ils arrivent à concilier contraintes sanitaires avec leurs vies amoureuses et sexuelles.
Pomone est en couple ouvert avec son compagnon et, par hasard, a rencontré un nouvel amant juste avant le premier confinement : “Dans le tourbillon de l'énergie d'une nouvelle relation, on passait de plus en plus de temps ensemble à se découvrir et on était en train de tomber amoureux. L'idée d'un confinement séparés était vertigineux.” Son compagnon et son nouvel amant ne se sont pas encore rencontrés que l’idée d’un confinement à trois germe dans leurs esprits.
Un confinement à trois
La décision est vite prise et la réalisation de ce projet, idéale : “L'idée de ne pas voir ce nouvel amoureux me rendait à elle seule triste. La maison est grande, le jardin aussi. On pouvait essayer pour voir. On a finalement passé tout le confinement ensemble. J'ai eu le meilleur confinement ! Des temps pour cuisiner ensemble sans avoir fait deux fois la même recette, écouter de la musique, danser, s'amuser, prendre des bains, partager des jeux sexuels à deux et à trois, s'installer dans le jardin pour y lire de la littérature érotique, programmer le ciné-club chaque soir, se découvrir une passion commune pour les jeux de société, partir en expédition courses en vélo…” Ils composent également ensemble avec le travail, le télétravail et le chômage partiel de l’un ou de l’autre et s’organisent un planning des nuits, à trois ou à deux, en alternance.
Pourquoi certaines personnes échangent des nudes avec leurs amis
C'est le cas de "Little Miss Punchline", blogueuse féministe qui a régulièrement eu l'occasion de se déshabiller devant des photographes.
Inès, une fois de plus critiquée pour son apparence
Mais si Inès est sous le feu des critiques depuis quelques jours, ce n'est pas pour ses performances dans l'émission ou pour une quelconque stratégie. Après une fouille minutieuse, des internautes ont pu mettre la main sur des clichés de la jeune et fougueuse infirmière toulousaine en petite tenue. L'aventurière avait en effet touché au mannequinat durant sa jeunesse, n'hésitant pas à prendre la pose en lingerie ou entièrement nue.
Forcément, les clichés ont rapidement fait le tour des réseaux sociaux – sans la moindre autorisation de la principale intéressée – et les commentaires ne se sont pas fait attendre. Certains titres de presse à scandale parlent déjà de clichés "sulfureux", "aguicheurs", un passé qui "rattrape" la jeune femme comme si elle devait en avoir honte. Les internautes, eux, sont partagés. Certains ne tarissent pas d'éloge quant à la beauté et à la sensualité d'Inès, quand d'autres se montrent très virulents et critiquent sa volonté d'avoir posé nue, estimant que cela n'est pas digne d'une personne respectable.
Envoyer des photos dénudées est-il automatiquement une pratique de l'ordre de la séduction ? A priori, la réponse semble évidente. Pourtant, certaines personnes préfèrent faire ça entre ami·e·s. Pourquoi ? Parce qu'en se soumettant au regard de leurs proches et à leur bienveillance, elles boostent leur égo... Et grappillent de précieux conseils.
L'art de faire des nudes est devenu, au même titre que les sextos, une pratique plutôt courante chez les Millennials. Aujourd'hui, cela fait même partie intégrante du jeu de séduction, en particulier en pleine période de confinement, pour exciter son ou sa partenaire. La pratique, comme beaucoup d'autres avant elle, a ses détracteurs comme ses adeptes. Et parmi ces derniers, certains ont décidé de sortir du cadre de la séduction, en partageant leurs plus belles photos sexy avec leurs ami·e·s.
Un booster de confiance en soi
Pour Alicia, le fait d'envoyer des photos dénudées à ses copines a commencé... A cause d'une erreur. "Dans la précipitation, je me suis trompée de destinataire, et j'ai envoyé à mon groupe de copines une photo destinée à mon crush. Sur le coup, je me suis dit que c'était la honte, qu'elles allaient me chambrer. Mais les retours ont tout de suite été ultra-positifs ! Elles m'ont dit que j'étais belle, que ma pose était géniale, que la lumière était douce... Et c'est comme ça qu'on a commencé à s'en envoyer régulièrement." Le but ? "Valider" leurs plus beaux clichés avant de les envoyer à leurs partenaires respectifs, mais aussi se flatter, se faire des compliments sincères, mais qui font chaud au cœur plutôt qu'aux fesses.
La pratique est d'ailleurs moins marginale que l'on ne pourrait le croire, et concerne aussi bien les hommes que les femmes. "C'est comme ça que j'ai appris à aimer mon corps, et ça fait un bien fou d'avoir tous ces compliments quand on t'a fait des critiques sur ta morphologie toute ta vie", affirme Kévin. Mélissa partage cet avis : "Je sais que peu importe la photo, les retours seront bienveillants et positifs, et ça fait du bien. Et puis, je sais que je partage mes photos dans un espace de confiance, où je ne risque pas de subir de commentaires déplacés." Une protection appréciable quand on sait à quel point les gens qui se dénudent se font critiquer sur les réseaux sociaux.
A l'écoute des bons conseils
L'aspect "égo-boost" est un facteur essentiel dans ce partage pas comme les autres. Quand on échange des nudes avec ses ami·e·s, on se complimente, on se soutient, mais aussi : on se conseille. "Ça fait toujours du bien d'avoir l'avis de ses proches, et leurs recommandations", explique Jérémy. Comme beaucoup d'hommes, il a tendance à faire moins de nudes que les femmes, car il manque de modèles et d'idées pour faire des choses originales. "On m'a conseillé de jouer avec le décor, par exemple".
Carine, elle, n'hésite pas à donner des conseils à ses partenaires pour avoir des photos de meilleure qualité. "Je pense que le meilleur conseil que j'ai pu donner, c'est de ne pas mettre son sexe en gros plan, voire de ne pas le montrer du tout." Une bonne occasion de rappeler que les dick pics ne sont en effet pas ce qu'il y a de plus séduisant. Un conseil que Pierre a déjà reçu plusieurs fois de la part de ses ami·e·s : “Je l’ai bien intégré : pas de photo de bite dans mes nudes ! Et mes potes m’ont même recommandé des marques de lingerie pour avoir des résultats encore plus fun. C’est ça que j’apprécie avec eux : on est tous hétéro, mais on n’a aucun problème à se complimenter entre mecs, et je sais que c’est rare.”
Désexualiser la nudité
Mais au-delà de l'aspect flatteur de recevoir des compliments en envoyant son plus beau nude à ses potes, il y a aussi une question de casser un tabou : celui de la nudité entre ami·e·s. Pour Mélissa, qui est également photographe : "Le fait de partager des photos dénudées avec d'autres personnes, cela permet de détacher la nudité et la sexualité. Il n'y a pas un "objectif" derrière. Un avis partagé par Carine qui estime que "le fait d'envoyer un nude est aussi une forme d'art en soi. On peut faire de très belles photos juste pour se faire plaisir esthétiquement. Sauf qu'on y met en avant un corps, et pas le paysage ou le chat qui dort."
Après tout, les personnes qui se dénudent sur les réseaux sociaux l'affirment : poser nu·e va bien au-delà de la séduction. C'est un geste qui peut-être politique, libérateur. Pourtant, l'idée d'envoyer des photos dénudées de soi-même ne séduit pas tout le monde, à l'instar de Nathalie et Emma, qui s'accordent à le dire : "Pour moi, un nude, c'est de la séduction, donc c'est pour mes partenaires ou pour les gens que je veux séduire. Et puis, je sais que mes potes trouveront toujours un truc positif à dire, ce qui casse un peu l'effet compliment."
Étude : Pour 76% des Françaises, embrasser c’est tromper
Ça y est, on sait enfin quelles sont les limites à ne pas franchir pour ne pas être infidèle. Et c’est grâce au site de rencontres extra-conjugales Gleeden et à l’Ifop. Tout d’abord, d’après cette étude très sérieuse, 51% des Français en couple admettent avoir déjà embrassé une autre personne que leur partenaire. Ce sont les hommes, à 56%, qui se livreraient le plus à ce genre d’activités extra-conjugales, tandis que les femmes avouent à 45% avoir été infidèles de cette manière. Alors Jamy, qu’est-ce qu’être infidèle ? Pour 76% des Françaises, embrasser quelqu’un d’autre se rangerait donc dans la case "tromperie". 39% d’entre elles considèreraient d’ailleurs que cela en fait une véritable raison de rompre. Elles sont également 76% à penser que les échanges virtuels comme les SMS et évidemment, les sextos, sont des actes d’infidélité. Enfin, et nous l’attendions tous, évidemment les rapports sexuels, même exceptionnels, relèvent de l’infidélité, pour 87% des Françaises. Et à la question "est-ce que sucer c’est tromper ?", la réponse est oui, pour 87% des sondées. Tout autant que lécher le sexe de quelqu’un. On évite donc de dire qu’on a trébuché sur le sexe de quelqu’un car on était bourré et de prétendre qu’il s’agissait d’un accident… Personne ne nous croira.
6 hommes sur 10 ont connu des pannes d'érection selon une étude, et "c'est normal"
Six hommes sur dix en France reconnaissent avoir déjà eu des pannes d'érection dans leur vie, un sur trois dans l'année écoulée, selon une enquête Ifop* réalisée pour le compte de la start-up Charles.co. Que 60% des hommes déclarent avoir déjà eu des troubles de l'érection ne signifie pas qu'ils sont plus nombreux qu'avant, mais ils le déclarent plus qu'avant, une tendance que notent les sexologues depuis plusieurs années.
"C'est normal que 60% des hommes aient déjà eu une panne dans leur vie, ça n'en fait pas des troubles de l'érection, ce n'est pas une maladie", a réagi mercredi 22 mai sur franceinfo Philippe Brenot, psychiatre, anthropologue, directeur d’enseignement en sexologie à Paris-Descartes et auteur du livre Pourquoi c’est si compliqué l’amour.
Y a-t-il une différence entre avoir une panne d'érection et des problèmes récurrents ?
Philippe Brenot : Il faut dédramatiser. Je pense qu'un sondage comme celui-là est intéressant parce qu'il montre un fait qui existe. Le chiffre de six hommes sur dix, en définitif, est normal. Le problème, c'est que nous n'avons pas d'information sur la sexualité, nous n'avons pas d'éducation à la sexualité. Notre sexualité, elle est socialement construite. C’est-à-dire que les images de la société vont fabriquer nos comportements. Le porno sur internet a modifié non pas la sexualité de nos adolescents, mais notre sexualité à tous et cela a donné l'idée de l'homme infaillible. C'est normal que 60% des hommes aient déjà eu une panne dans leur vie, ça n'en fait pas des troubles de l'érection, ce n'est pas une maladie.
Donc il ne faut pas culpabiliser ?
Ça, c'est plus compliqué. Aujourd'hui, et notamment au sein du couple, il est vrai que la sexualité occupe une grande place et quelques fois, sur le modèle des feuilletons américains, on se sépare sur une défaillance affective sexuelle. Effectivement, il faudrait le prendre en compte mais en dédramatisant, parce que si on laisse traîner une panne émotionnelle, c'est-à-dire quelques chose qui est de l'ordre de la relation, très vite, cela peut devenir un trouble qui va déstabiliser le couple.
Les causes sont plutôt psychologiques, physiologiques ou un peu des deux ?
C'est un peu des deux parce que si j'ai une panne psychologique, je vais ensuite avoir une angoisse d'anticipation, c’est-à-dire que j'ai peur à l'avance, inconsciemment, que ça revienne. Et je peux alors avoir un trouble. Le phénomène est assez courant, et pourtant les hommes consultent peu. 20% à peine de ceux qui ont un trouble récurrent vont consulter un médecin. Ça s'améliore peu parce que la sexualité est un domaine qu'on n'ose pas aborder. En premier lieu avec sa partenaire, par peur qu'elle le prenne mal. Pourtant, les femmes dramatisent beaucoup moins un trouble de l'érection pour une raison simple, c'est qu'elles attribuent l'érection à un problème de désir mais elles savent très bien qu'elles-mêmes ont un désir variable. Ce sont les hommes qui vont beaucoup plus dramatiser leurs troubles.
Est-ce qu'à défaut d'en parler, on préfère se réfugier vers des produits, des médicaments ? La dérive est-elle dangereuse ?
L'auto-prescription, ça ne fonctionne pas et ça peut être dangereux. Il peut y avoir des contre-indications, donc il faut que ce soit un médecin qui prescrive. Par contre, il est important de dédramatiser, c’est-à-dire que les hommes puissent consulter, si le trouble dure, des médecins formés à cela ou des psychologues formés. Mais il faut surtout ne rien acheter en dehors de la pharmacie, il y a sur internet des produits qui sont dangereux.
Un Français sur trois en couple continue de chercher un partenaire sur internet
Vingt ans après le lancement du premier site de rencontre en France, leur fréquentation est une pratique de plus en plus répandue, même lorsque l'on est en couple. C'est ce que révèle une enquête Ifop publiée le 30 janvier dernier.
Un Français sur trois avoue continuer à chercher l'amour sur un site internet ou une application de rencontre alors qu'il est en couple. C'est en tout cas de que révèle une enquête Ifop menée pour un comparateur de sites de rencontres publiée le 30 janvier dernier. Une pratique qui varie en revanche selon le sexe et l'âge des personnes interrogées. 41% des hommes reconnaissent continuer à chercher un partenaire sur internet contre 22% des femmes. En revanche, entre 30 et 39 ans, ce sont les femmes qui sont plus nombreuses avec 36% concernées contre 29% pour les hommes.
"Trouver quelqu'un de mieux"
Pourtant passé 40 ans, l'étude démontre que ce sont les hommes qui ont plus tendance à poursuivre leur quête de l'amour en ligne. En effet ils sont 31% à se servir d'un site ou d'une application de rencontres quand le pourcentage de femmes tombe lui à 17%. Enfin, cette enquête Ifop révèle qu'un quart des adeptes entretiennent des relations sentimentales ou sexuelles avec plusieurs personnes en même temps, comme le reconnaissent 31% des hommes interrogés. Un sur deux considère d'ailleurs "que l'on peut toujours trouver quelqu'un de mieux" sur les sites de rencontres.
Enquête Ifop/Lasce réalisée sur un échantillon de 2012 personnes, représentatif de la population métropolitaine âgée de 18 à 69 ans et menée par téléphone entre le 28 décembre 2017 et le 3 janvier 2018.
Le cinéma regorge de moment où deux inconnus se rencontrent et ressentent une connexion amoureuse instantanée. Il s’agit du fameux "coup de foudre". Ce pilier du récit romantique serait ressenti par certaines personnes au cours de certaines rencontres. Dans les pays occidentaux, une personne sur trois déclare y avoir été confrontée. Mais ce sentiment est-il vraiment de l’amour ? Pas tout a fait, d’après les auteurs d’une nouvelle étude.
Pour ces travaux, publiés par la revue Journal of the International Association for Relationship Research, les chercheurs ont essayé de comprendre si les personnes victimes du "coup de foudre" ressentent vraiment de l’amour dès le premier coup d’œil, ou s’ils croient l’avoir ressenti, rétroactivement, lorsqu’ils y repensent. Ils se sont demandés s’il ne s’agissait pas simplement d’une attraction physique très puissante, rapporte Live Science.
Des recherches antérieures ont montré que l’amour active certaines zones du cerveau, et que la région concernée peut varier en fonction du type d’amour : maternel, émotionnel ou passionné. L’amour intense et passionné, par exemple, activerait les mêmes réseaux du cerveau que la drogue, tandis que l’amour à plus long terme déclencherait des réactions associées à l’attachement et à la récompense.
Une forte attraction
Pour y voir plus clair, les scientifiques ont recueilli des données concernant environ 500 rencontres entre 400 participants, la plupart des hétérosexuels néerlandais et allemands, âgés d’une vingtaine d’années. À l'aide de trois étapes de collecte de données, soit un sondage en ligne, une étude en laboratoire et trois rencontres amoureuses d'une durée de 90 minutes chacune, les chercheurs ont recueilli des renseignements auprès de leurs sujets sur la rencontre de partenaires romantiques potentiels. Bien sûr, ils ont noté tous les cas de "coup de foudre".
Pour définir le sentiment d’amour, les participants ont réalisé une auto-analyse tenant en compte de l’attraction physique, de l’intimité, de la passion et de l’engagement. Au cours de ce test, 32 personnes différentes ont reporté avoir ressenti un coup de foudre pour un total de 49 fois. Ces observations n’étaient généralement pas accompagnées d’un score élevé des composantes de l’amour. L’intimité et l’engagement n’étaient pas au rendez-vous. Or, l’attraction physique était bien présente.
Les auteurs de l’étude ont ainsi observé que les hommes sont plus susceptibles que les femmes à déclarer avoir ressenti un coup de foudre. Et, dans de nombreux cas, elle il n’était pas mutuel. Ils ont ainsi déterminé que les coups de foudre seraient guidés par une forte attraction initiale que certains identifient comme de l’amour.
Plus c’est long, plus c’est bon... ah oui, vraiment ?
« Plus c’est long plus c’est bon ». Vous connaissez forcément cet adage qui affirme que les femmes adorent quand le rapport sexuel dure longtemps. Pourtant, quand on sait que la majorité des femmes ont des orgasmes plutôt clitoridiens (70 % pour seulement 30 % d’orgasmes lors du coït) on peut se demander si cet adage est vraiment sérieux !
Bon d’accord, plus c’est long plus c’est bon mais on ne sait pas vraiment de quelle durée on parle ! De plus, quand on voit que le temps idéal d’un rapport sexuel pour la majorité des français est de 8 minutes environ, on peut franchement se poser la question.
Toujours est-il que cette formule a créé beaucoup d’angoisses chez les hommes et pas seulement chez ceux qui sont éjaculateurs précoces.
Alors qu’en est-il vraiment ?
D’abord une bonne fois pour toute, cessons de scinder l’orgasme féminin en deux. Il n’y a pas d’un côté une jouissance vaginale et de l’autre clitoridienne. Une femme ressent du plaisir au niveau génital et elle obtient un orgasme ou pas.
Ce qui signifie que les préliminaires sont souvent essentiels puisque le clitoris est partie prenante à la montée du plaisir pour bon nombre de femmes. Ensuite, c’est la manière dont la femme ressent le pénis dans son vagin qui va lui permettre d’augmenter ses sensations de plaisir.
On pourrait certes croire que si ça dure plus longtemps, il y a des chances que le plaisir soit atteint sauf que souvent, si les sensations ne sont pas vraiment là, la femme débranche et elle attend avec plus ou moins d’impatience la fin du rapport au lieu de rester réceptive à ce qui se passe en elle.
Il n’y a donc pas d’utilité d’être performant et d’avoir un gros pénis bien dur qui usine durant au moins une demi-heure. Ce qu’il faut ; c’est connaître les chemins qui mènent la partenaire à la jouissance. Or, chaque femme est unique. J’oserai dire qu’il y a autant de routes qu’il y a de femmes. Alors communiquez ensemble.
Elle ne pourra peut-être pas vraiment vous donner un GPS car malheureusement, elle ne le sait pas forcément. Mais elle pourra dire si elle a aimé ou pas, ce qu’elle a préféré et moins apprécié. Allez-y à tâtons sans oublier les tétons !
Alors, pas à pas, vous parviendrez à la faire jouir, non pas grâce à la durée mais grâce à une bonne tenue de route. D’ailleurs c’est bien connu, qu’importe si on prend la route la plus courte ou la plus longue ce qui compte c’est de profiter pleinement du paysage.
Avec plus de 85,652 opérations de la poitrine en 2015, la France se place au 5ème rang mondial des pays ayant réalisé le plus de chirurgie de la poitrine. De quoi s'interroger sur le niveau de satisfaction des femmes quant à leur poitrine, sur l’impact du regard des autres et sur notre position sur le chemin de l'acceptation de soi.
Après avoir, au mois de janvier, remis en question les préjugés sur la taille normale perçue et la taille idéale perçue des attributs masculins, Zava a souhaité s’intéresser aux attributs féminins qui, cause de complexes ou considérées comme des atouts, font régulièrement l’objet de nombreuses controverses. Parmi les multiples discussions sur ce sujet, cette étude allemande a été jusqu'à dire que regarder la poitrine d’une femme pouvait s’avérer bénéfique pour la santé des hommes.
Bref, la taille du bonnet fait toujours couler beaucoup d’encre sur la toile et les réseaux sociaux : qu’en pensent les femmes ? Comment se sentent-elles avec leur poitrine ?
Nous avons demandé à 2000 personnes aux États-Unis et en Europe, 1060 hommes, 940 femmes, quelle était selon elles la taille idéale de la poitrine, et en quoi ces estimations étaient proches ou non de la réalité. Nous avons également demandé aux femmes de nous dire comment elles se sentaient par rapport à la taille de leur poitrine, et les résultats sont très encourageants puisque la grande majorité d’entre elles sont satisfaites de leur bonnet.
Plus gros c’est mieux ?
Ensuite, nous avons demandé à des hommes et des femmes d’être un peu plus spécifiques en nous indiquant une taille de bonnet idéale. Et en l’occurrence, ils se rejoignent plutôt bien sur ce sujet et s’accordent sur un bonnet C comme taille idéale. Les hommes sont en revanche un peu plus nombreux en ce qui concerne la préférence pour les bonnets D et DD.
Le bonnet idéal par pays
En Europe, la majorité des pays, dont la France, opte pour un bonnet C comme taille idéale. Selon la société internationale pour la chirurgie plastique esthétique, l’Allemagne, la France et l’Italie sont les pays d’Europe qui ont eu le plus recours à la chirurgie pour la poitrine en 2015. Alors que les États-Unis sont les premiers au monde en la matière avec plus de 540 000 opérations réalisées cette même année, la France au cinquièeme rang totalise 3.1% des opérations de la poitrine dans le monde. On note cependant en France que si l'augmentation de la poitrine représente le premier motif de ces opérations (plus de 55%), le deuxième motif d'opération est la réduction de la poitrine (un peu plus de 21%) devant les autres actes de chirurgie comme le lifting de la poitrine ou le retrait des prothèses.
En Pologne et en Hongrie en revanche, les répondants ont opté pour un bonnet B comme taille idéale.
Taille des seins : entre rêve et réalité
Le rêve n’est pas toujours en phase avec la réalité cependant… Mais les français, une fois de plus, ont une perception de la taille idéale proche de la réalité (déclarée), comme l’étude sur la taille idéale du pénis versus réalité semblait déjà en témoigner ! Pour les autres pays, l’idéal est supérieur à la réalité sauf pour les Polonais et les Roumains, qui aimeraient un bonnet petit.
Enfin, si les différents pays s’accordent facilement sur un idéal, la réalité témoigne d’une riche diversité au sein de l’Europe quant au volume des poitrines féminines.
Les femmes sont en grande majorité satisfaites de la taille de leur poitrine
Des États-Unis à l’Europe,quelle que soit la taille de leur poitrine, la grande majorité des femmes est satisfaite de son bonnet, quel chiffre rassurant pour l’acceptation de soi ! 84% des femmes ayant un bonnet C notamment, se disent satisfaites de la taille de leur poitrine en Europe.
Ce sont les plus petits et les plus gros bonnets qui enregistrent le plus “faible” taux de satisfaction, même s’il reste supérieur à 50%.
Près de 70% des personnes se disent satisfaites de la taille de poitrine de leur partenaire
Après avoir demandé aux femmes de nous dire comment elles se sentaient par rapport au volume de leur poitrine, nous avons demandé à leur partenaire ce qu'ils en pensaient et 70% d’entre eux rapportent être satisfaits. C’est une bonne nouvelle car la mutuelle appréciation des partenaires est un facteur clé pour la confiance en soi et l’épanouissement du couple.
CONCLUSION
Nous ne le soulignerons jamais assez, il n’y a pas de bonnet idéal, l’important reste le confort de la femme et l’acceptation de son corps. Heureusement, les femmes semblent en avoir conscience, à voir les vives réactions qu’a soulevé un article de Vogue au mois de novembre dernier, qui suggérait que le décolleté et les fortes poitrines ne seraient plus tendance.
Bien sûr, la chirurgie peut être une option pour les femmes qui souhaitent se réconcilier avec un corps qu’elles n’aiment pas, mais la chirurgie ne devrait pas être la réponse à une mode. L’évolution des critères de beauté au fil des époques montre bien à quel point ceux-ci sont subjectifs et fragiles. Avant d’entreprendre toute chirurgie visant à modifier un attribut physique par souci d’esthétisme, il est important d’identifier si les motivations pour cette chirurgie sont profondes et s’inscrivent sur le long terme, si elle présenteront réellement un bénéfice. Rappelons également que comme toute chirurgie, impliquant notamment l’introduction d’un corps étranger dans l’organisme, cela n’est pas sans risque (on se rappelle notamment encore du scandale PIP où plus de 14 000 femmes avaient subi une explantation préventive des prothèses mammaires sur recommandation du Ministère de la santé). La poitrine est bien sûr pour nombre de femmes un facteur clé de la féminité qui explique que l’on y attache tant d’importance et qu’il puisse avoir tant d’impact psychologique également.
Parce que chez Zava, nous pensons que chacun doit être fier de son corps tel qu’il est, et a le droit de s’épanouir dans une vie intime sans laisser des soucis de santé s’interposer, nous proposons des consultations en ligne et des informations médicales sur les sujets intimes tels que la contraception, les IST, les troubles de l’érection.
METHODOLOGIE
Zava a réalisé en 2016 une enquête auprès de 1,000 américains et 1,000 européens, 1060 hommes et 940 femmes, au sujet de leur opinion sur la taille idéale de la poitrine et le rôle que celle-ci joue dans l’attirance. Nous avons également demandé aux femmes comment elles se sentainet par rapport à leur taille de bonnet.
Droits d’usage
Vous pouvez réutiliser librement les informations et graphiques sur cette page dès lors que vous mentionnez son auteur via un lien hypertexte : www.zavamed.com, afin que vos lecteurs puissent retrouver l'étude originale et sa méthodologie.
L'underbutt : le décolleté olé olé pour le fessier
Après l'underboob, voici venu le décolleté pour les fesses : l'underbutt !
Le monde de la mode est toujours plein de surprises, malheureusement, pas toujours du meilleur goût. Preuve en est avec le "underbutt", soit le décolleté pour les fesses qui devrait plaire à toutes celles qui n'ont pas froid aux yeux, ni ailleurs...
Dans la famille des vêtements avec le moins de tissu possible, on connaissait le crop top, ce haut qui s'arrête au dessus du nombril, et le underboob, qui laisse carrément entrevoir la naissance de la poitrine. Cet été, la famille s'agrandit avec le dernier né : le underbutt ! Le under quoi? Venant des deux mots anglais "under" qui signifie "dessous" et "butt" qui veut dire "fessier", le underbutt désigne tout simplement un mini-short un peu trop mini, qui laisse apparaître une bonne partie des fesses. À mi-chemin entre le tanga et le short, ce tout nouveau vêtement fait le buzz sur la Toile, pour son potentiel sexy qui frise l'indécence.
Le underbutt : on tente... ou pas !
Parce que, bien sûr, cette tendance n'est réservée qu'aux jeunes femmes gâtées par Dame Nature, adeptes des squats et dotées, en prime, d'une sacrée dose de confiance en soi. Ce qui, soyons honnêtes, ne concerne qu'un petit pourcentage de la population féminine. Une fois de plus donc, on laisse cette nouvelle tendance aux top models, et on jette notre dévolu sur des shorts plus couvrants, en denim ou non, avec une coupe taille haute pour mettre en valeur la silhouette et laisser respirer les jambes... Uniquement les jambes !
Non, on ne peut pas rester "coincé" en faisant l’amour…
Le "penis captivus" (littéralement, le "pénis captif", c'est à dire la contraction indéfiniment prolongée des muscles du vagin autour d'un pénis, qui se retrouverait irrémédiablement "piégé") est probablement la plus célèbre des situations intimes embarrassantes. Pourtant, cet accident... n’a jamais été observé par le moindre médecin ! Notre chroniqueur scientifique Florian Gouthière est remonté à l’origine de la légende…
"Ah, mais sais-tu que c’est arrivé il n’y a pas si longtemps près de Nantes ! Et tu sais quoi ? C’était un prêtre… " Cela ne manque pas : lorsque quelqu’un vous raconte un cas de "penis captivus", le récit s’achève par une révélation aussi amusante qu’édifiante… Autre variante : "c’est un couple illégitime, dont l’hôpital appel les conjoints respectifs…" C’est comme si le cas médical ne se suffisait pas à lui-même, et que les narrateurs se sentaient toujours obligés d’y ajouter un sous-entendu "moral". Or les histoires qui semblent avoir une morale, elles sont de celles qu’on aime à raconter, à propager… C’est le mécanisme de la rumeur, qui peut vite déformer les faits, ajouter des couches au récit, et faire tourner en boucle la même histoire… On n’arrive jamais à remonter à sa source et l’ami d’ami d’ami à qui c’est arrivé, n’a jamais d’identité…
Études de cas
Or, on parle ici d’une situation censément médicale. En médecine, lorsque l’on a affaire à un cas qui sort un peu de l’ordinaire, les médecins le documentent, et en transmettent la description à une revue spécialisée. Parfois, cela prend la forme d’une étude de cas très détaillée, avec des informations précises sur les procédures employées pour réaliser l’intervention. Parfois, c’est plus modeste, cela se limite à une brève communication. Aujourd’hui, les bases de données médicales informatisées permettent facilement de retrouver ces cas.
Il est aisé d'y chercher notre "penis captivus" (et toutes les expressions qui pourraient correspondre au phénomène). Or voilà : le nombre d’articles médicaux qui mentionnent la chose, depuis 150 ans, est ridiculement faible. Moins d’une dizaine. Et plus étonnant encore : la quasi totalité de ces articles médicaux sont des commentaires plus ou moins directs d’un cas unique. Et cet article n’est PAS une "étude de cas méthodique", au sens où on l’entend dans la littérature médicale, mais une lettre…
Adressée au Medical News de Philadelphie, celle-ci est datée de 1884, et est signée par un certain Egerton Y. Davis, ex-médecin de l’armée américaine, résident canadien de la ville de Caughnawauga. Cette lettre commente un article précédemment publié dans ce journal, qui parlait de vaginisme (voir encadré).
Dans la fameuse lettre, Egerton Davis affirmait avoir était le témoin d’une conséquence fâcheuse du vaginisme. Un maître surprend ses domestiques, la femme se contracte, l’homme reste bloqué, le docteur Davis arrive longtemps après, et résout le problème en endormant la femme au chloroforme. Voilà pour le cas le mieux documenté de l’Histoire ! Et c'est ce seul document qui est pourtant si fréquemment cité comme une source médicale rigoureuse.
L'étrange Dr Davis
Or, on sait des choses intéressantes sur son auteur, le Dr Davis. L’individu est mentionné dans les archives personnelles d’une personnalité extrêmement connue dans l’histoire de la médecine : Sir William Osler, l’homme qui inventa l’internat en médecine pour les étudiants, auteur des ultra-célèbres Principes et pratiques de la médecine, dont la contribution à la médecine est si grande qu’un institut conserve toutes ses archives.
Les lettres d’Osler, étudiées par des générations de chercheurs, ne laissent aucun doute : Egerton Davis était… un pseudonyme qu’il utilisait pour faire des blagues. William Osler était un médecin génial, mais aussi un immense farceur. Durant quelques mois, il travailla pour la fameuse revue Medical News ; et la lettre sur le pénis voulait moquer la crédulité d’un de ses collègues, qu’il décrit comme un individu aussi prétentieux que gonflé de certitudes. Osler n’imaginait pas que sa blague serait publiée, et il semble avoir tout fait pour l’éviter, mais elle a bien fini sous presse… et a connu le succès que l’on sait ! Son récit est devenu une légende, avec tous les traits de la rumeur.
Anatomiquement improbable
Outre la lettre-canular de William Osler et ses évocations, on n’a rien de probant concernant une occurrence de penis captivus. Mentionnons tout de même une lettre de 1980 au British Medical Journal (un texte de 21 lignes, sur un tiers de colonne) d’un médecin qui croit se souvenir d’une arrivée en ambulance en 1947… Ou d’anecdotiques mentions, encore plus anciennes, de patients qui ont évoqué une contraction des muscles vaginaux qui a duré de longues minutes après l’orgasme. Quelque chose qui, comme une crampe, qui ne dure pas, même si quelques minutes ça peut sembler long… On est loin du penis captivus mythique !
En effet ! Et encore, ces micro-récits sont-ils plausibles ? Admettons. Mais un truc si bref, qui s’arrête si vite, on ne cherche pas forcément à se dégager (soit parce qu’on est pas si mal, soit parce qu’on a peur d’essayer). Alors que… physiologiquement, on pourrait. C’est d’ailleurs ce qui rend si improbable un penis captivus chez l’humain. Une verge humaine en érection est, grosso modo, un tube d’une certaine rigidité (à l’intérieur, les corps caverneux sont gonflés de sang) et dont le diamètre est constant. On ne parle pas d’un organe qui gonfle à l’intérieur du vagin, il est érigé avant la pénétration. Diamètre constant : même si l’orgasme enserre transitoirement un peu fort, se dégager est + qu’envisageable au vu de l’anatomie humaine.
Anatomie humaine, car chez d’autres espèces, c’est différent. Chez les chiens, typiquement, le bulbe constitué par le gland est très gonflé par rapport au reste de la verge (pouvant évoquer un gros bouchon de champagne). C'est la raison pour laquelle les représentants de cette espèce puissent connaître ce type de blocage. Cette situation courante a pu nourrir le mythe d’une telle mésaventure chez l’homme. Mais… on n’est pas des chiens !
Voilà donc l’affaire : c’est une histoire qu’on raconte pour se faire peur. Mais la sexualité est déjà suffisamment entourée de tabou pour ne pas ajouter la terreur d’être coincé. Une terreur de la sexualité qui, typiquement, contribue au cercle vicieux de la peur de la pénétration, et d’un vaginisme qui n’est pas une menace pour l’homme, mais gâche la vie de nombreuses femmes. Le penis captivus n’est qu’une mauvaise blague de 133 ans d’âge… Ne la colportons plus !
Le vaginisme – en deux mots – est une situation médicale bien réelle : une contraction musculaire involontaire, et prolongée, des muscles situés à la base du vagin (les muscles du plancher pelvien, à 4 cm de la vulve, qui se contractent durant l'orgasme féminin). C’est une pathologie qui n’a rien de trivial. Ses causes sont très bien documentées, et sont presque toujours d’ordre psychologique, avec une peur de la pénétration, parfois entretenue par la peur de douleurs qui sont – malheureusement – favorisées par cette contraction. Les rares causes physiologiques sont des malformations génitales, ou certains troubles hormonaux qui créent le cercle vicieux douleur à contraction.
Sexe : un rapport procurerait 48 heures de bien-être au couple
Si l'on suit les conclusions des scientifiques, il faudrait ainsi faire (idéalement) l'amour tous les deux jours pour maximiser le niveau de satisfaction dans le couple.
Les scientifiques n'en finissent plus de passer au crible notre vie sexuelle. Parmi les dernières études publiées, on a ainsi appris qu'un rapport dure en moyenne 19 minutes (10 minutes de préliminaires plus 9 minutes de pénétration) que faire du sport augmente la fréquence des rapports ou que faire l'amour booste notre productivité au bureau le lendemain. La plus récente s'attelle, elle, aux conséquences d'une séance de sexe sur la vie de couple.
Au bout de 3 jours, le niveau de satisfaction décline
En toute logique, les rapports lui sont bénéfiques, c'est prouvé depuis longtemps (grâce au plaisir pendant, mais aussi aux hormones ressenties après), mais c'est la durée de cette embellie dans la vie à deux qui n'avait jusqu'ici pas été réellement quantifiée. Mais ça c'était avant que des chercheurs américains demandent à 124 couples de jeunes mariés hétérosexuels de tenir un journal intime de leur vie sexuelle, consignant également leur niveau de satisfaction de leur vie de couple rapporte The Telegraph. Résultat : d'après cette étude publiée dans la revue Psychological Science, les sentiments d'intimité et de bien-être durent pendant deux jours avant de s'estomper au bout de trois.
D'après les scientifiques, cette embellie de deux jours serait une adaptation évolutive pour permettre une meilleure reproduction de l'espèce : deux jours, c'est justement la durée de vie moyenne de survie du sperme à l'intérieur du système reproductif féminin, mais aussi le temps moyen chez l'homme pour que le sperme se régénère totalement. Bref, côté reproduction, c'est la durée d'attente idéale... avant de remettre le couvert.
Vous vous masturbez alors que vous êtes en couple ?
La masturbation, plus que tout autre pratique, est considérée comme un acte solitaire et donc généralement, plutôt accessoire si l’on est en couple. Ce n’est pas vrai.
Certaines personnes voient encore la masturbation comme un acte vicieux et ne pourraient pas imaginer que leur partenaire s’y adonne. Il faut dire que durant des siècles, elle était jugée comme dangereuse et responsable de bien des maux. Aujourd’hui, on lui reconnait enfin de nombreux bienfaits. Bénéfique pour la santé mais surtout utile pour permettre à son auteur de mieux connaître son corps, d’être en meilleure corrélation avec ses désirs et ses pulsions. Malheureusement, les injonctions des siècles derniers et le message religieux qui a encore tendance à privilégier une sexualité reproductrice font encore des ravages dans l’esprit des gens.
Une pratique utile
Ainsi, se masturber lorsqu’on est en couple est souvent vécu comme une perversion. Pourtant, la pratique est utile dans le couple pour de multiples raisons.
Si les partenaires sont éloignés un certain temps, elle permet de soulager des envies et donc d’éviter un éventuel adultère.
Lorsque l’un ou l’autre des partenaires a plus de désirs, elle permet de canaliser les tensions et de ne pas imposer à l’autre un rythme sexuel trop soutenu.
Elle permet à certains hommes, tout particulièrement aux hommes qui éjaculent trop rapidement, de faire baisser la pression avant un rapport sexuel et donc de pouvoir mieux tenir lors du coït.
Elle permet à chaque partenaire de nourrir sa fantasmatique. C’est d’ailleurs l’une des grandes qualités de la masturbation, pouvoir imaginer un scénario érotique sans craindre de blesser l’autre puisque justement la masturbation est un acte solitaire.
Autre avantage ; apprendre à mieux connaître son anatomie et le fonctionnement de son sexe. Par exemple, les femmes qui se masturbent savent mieux expliquer à leur amant comment il doit s’y prendre pour les emmener jusqu’à l’orgasme.
De la discrétion
Il y a a donc énormément d’avantages de recourir à la masturbation, néanmoins, je vous conseille de rester discret car généralement, votre partenaire n’apprécie pas de savoir que vous vous donnez du plaisir en son absence. Les femmes auraient tendance à imaginer que vous fantasmez sur quelqu’un d’autre. D’ailleurs lorsqu’une femme surprend son partenaire en train de se masturber devant des images pornographiques, elle se sent trahie, trompée, salie le plus souvent. Quant aux hommes, savoir que leur compagne se masturbe alors qu’ils n’ont pas pu en profiter, leur faire ressentir une certaine frustration. Donc sauf si vous êtes vraiment complices, inutile d’évoquer vos jouissances solitaires. Quant au jeu de masturbation à deux, là encore, cela nécessite toujours une grande complicité sexuelle.
8 trucs à savoir sur la psychologie masculine pour comprendre les mecs
Depuis quelques semaines déjà, vous ne le supportez plus. Entre ses p'tites réflexions désagréables et son manque flagrant de bienveillance, Chouchou n'est définitivement plus le Prince Charmant des débuts. Pour mieux comprendre ses réactions, découvrez les conseils de Paul Dewandre, auteur du spectacle Les Hommes viennent de Mars et les Femmes de Vénus.
Règle n°1 : les Hommes pensent « compétence » ; les Femmes pensent « relations »
Vous n'avez pas pu le manquer : les hommes ont un sens de la performance particulièrement développé... Ce qui compte, à leurs yeux, c'est de faire « mieux que », « plus vite que » et surtout, que l'on reconnaisse publiquement leur compétence ! Ainsi, durant un voyage en voiture, par exemple, l'Homme aura pour objectif d'atteindre le point B au plus vite, sans forcément se soucier du paysage, de l'ambiance, de la musique...
De notre côté, ce n'est pas exactement la même chanson : nous sommes davantage attentives à la qualité des relations que nous entretenons avec notre entourage. Peu importe qui a gagné le jeu, du moment que tout le monde s'est amusé !
Règle n°2 : les Hommes expriment des faits ; les Femmes expriment des ressentis
« Oh lala, il y avait des embouteillages, j'ai mis 3 heures à rentrer aujourd'hui ! » Bien sûr, c'est exagéré : avec cette petite phrase, vous voulez faire comprendre à Chouchou que l'attente a été longue, limite insupportable. Bref, vous essayez de partager un ressenti.
Sauf que l'Homme, lui, a besoin de faits – précis et exacts. Du coup, lorsque vous lui dites que vous avez « mille choses à faire », il vous reprend : « non, tu ne peux pas en avoir autant, c'est impossible ». Son côté pointilleux vous agace, votre côté exagéré l'exaspère... La dispute n'est pas loin.
Une solution pour mieux communiquer ? Commencez vos phrases par « C'est comme si » et terminez par « Tu peux imaginer ce que je ressens ? » : Monsieur comprendra que vous parlez de manière exagérée et ne cherchera pas à vous corriger ! Exemple : « C'est comme si j'avais mis trois heures à rentrer du travail, tu peux imaginer ce que je ressens ? ».
Règle n°3 : les Hommes sont séquentiels ; les Femmes sont multitâches
C'est bien connu : les hommes ne peuvent faire qu'une chose à la fois tandis que les femmes sont multitâches. Si ce cliché est parfois franchement réducteur, il reflète malheureusement une réalité...
Chez l'Homme, c'est la politique du « une chose à la fois » qui prime. Monsieur se concentre sur une tâche, qu'il exécute du mieux possible. C'est la raison pour laquelle il ne « voit pas » la poubelle que vous avez (astucieusement) laissée à côté de la porte d'entrée afin qu'il la descende en allant au travail : il va au travail, point.
Ce n'est pas un manque d'attention de sa part : juste son fonctionnement normal. Soyez indulgentes !
Règle n°4 : les Hommes taisent leurs problèmes ; les Femmes en parlent
Lorsqu'il est confronté à une difficulté, l'Homme ne le crie pas sur les toits : à ses yeux, évoquer un problème, c'est comme reconnaître son incompétence à le résoudre. Or, on l'a dit : le plus important, aux yeux de l'Homme, c'est de paraître compétent en toutes circonstances...
Lorsqu'il se résigne à demander de l'aide, il se tourne forcément vers quelqu'un qu'il juge plus compétent que lui – d'où l'importance de la hiérarchie dans les milieux traditionnellement « masculins », l'armée par exemple.
De notre côté, il n'y a aucune honte à demander de l'aide : évoquer ses problèmes n'est pas une faiblesse et c'est même une occasion d'entrer en contact avec quelqu'un, de partager quelque chose avec autrui.
Règle n°5 : le Masculin est un téléobjectif ; le Féminin est un grand angle
Voilà une comparaison qui parlera sûrement aux mordu(e)s de photo... La vision masculine s'apparente à un téléobjectif : il voit loin, il a l’œil perçant, mais son champ de vision est très étroit. La vision féminine, elle, est plutôt panoramique : elle voit davantage de choses (comme un objectif grand angle)... mais avec moins de précision !
Règle n°6 : les Hommes sont attentifs à leurs besoins ; les Femmes, à ceux des autres
On le sait : les femmes sont naturellement attentives aux besoins des autres. Et, dans l'idée féminine (erronée, évidemment), s'occuper des autres a pour corollaire que les autres s'occupent de soi en échange. Par le jeu des vases communicants, chacun est satisfait.
Sauf que le fonctionnement masculin est inversé. Concrètement, si chacun s'occupe de soi, tout le monde est content. Mieux : savoir se prendre en charge soi-même est une preuve de compétence !
Règle n°7 : les Hommes sont uniques ; les Femmes font partie d'un groupe
Un groupe d'amies, une communauté, une famille... Les femmes ont le sentiment de faire partie d'un tout. Elles aiment tisser des liens, entretenir des relations avec leurs proches. Les hommes, au contraire, aiment se sentir uniques - même au sein d'un groupe d'amis, il y a une hiérarchie.
Règle n°8 : les Hommes aiment la routine ; les Femmes ont besoin de variété
Dans la vision masculine des choses, inutile de changer une équipe qui gagne ! Ainsi, l'Homme ira toujours au même restaurant, commandera toujours le même plat, rachètera les mêmes chaussures lorsque les siennes seront usées... Cette résistance au changement est (une fois encore) liée à l'importance que revêt la notion de compétence à ses yeux : faire autrement, essayer autre chose, c'est prendre le risque d'échouer. Et ça, pas question.
On s'en doute : le fonctionnement féminin est totalement différent. On a mangé chinois hier, pourquoi ne pas commander des pizzas ce soir ? Et si on repeignait la cuisine ? Et si je renouvelais complètement ma garde-robe ? Forcément, ça peut engendrer des conflits...
Attention : l'idée n'est absolument pas de mettre les gens dans des « cases » ni de les réduire à cette seule dimension d'Homme ou de Femme. Personne n'est à 100 % masculin ou féminin ! Chacun oscille entre ces deux pôles, parfois à plusieurs reprises au cours d'une même journée...
Voici à quoi ressemble la sexualité (très libérée) des Parisiens
Fait-on l'amour différemment à Paris et en Province ? Apparemment oui, si on en croit les résultats d'une étude réalisée par l'IFOP pour le site de rencontre CAM4, étudiant les pratiques sexuelles de 2 000 habitants de la Capitale. Explications.
Amis (coquins) Parisiens, votre vie sexuelle a été passée au crible par un institut de sondage, l'IFOP, qui publie ce mercredi son "Observatoire de la vie sexuelle des Parisiens". Un comparatif de la vie de couple, des expériences et pratiques sexuelles à Paris, par rapport au reste de la France. Il en ressort que les Parisiens et Parisiennes sont bien plus libérés, dévergondés pour certains, émancipés pour d'autres (c'est selon les points de vue), que le reste des Français.
Mais pourquoi donc ? Parce les grandes villes permettent de faire plus de rencontres - ce qui explique la fragilité des couples à Paris -, qu'elles rassemblent plus de célibataires prêts à de nouvelles expériences sexuelles (que les couples ayant fondé une famille ou les personnes âgées), et que leur anonymat encourage à assumer plus facilement sa sexualité.
Les Parisiens sont volages
Comme le montre cette infographie résumant les principaux chiffres de l'étude, Paris apparaît à la fois comme une ville refuge pour la communauté LGBT - 13 % des Parisiens se définissent comme gays, soit le double de l'ensemble des Français (7 %) - mais aussi comme le "lieu où se déploient aujourd'hui les codes sexuels et amoureux de demain", estime François Kraus de l'IFOP.
La population parisienne affiche un nombre de partenaires sexuels quasiment deux fois plus élevé qu'en Province et les coups d'un soir y sont légion : les deux tiers des hommes (66 %) et 50 % des femmes s'y sont déjà frotté. L'échangisme est lui aussi plus fréquent que dans le reste de l'Hexagone. Même chose pour la fellation, la biffle, la sodomie et l'éjaculation faciale. De plus, 58 % des Parisiens et 36 % des Parisiennes reconnaissent avoir déjà été infidèles (contre 48 % des Français et 31 % des Françaises).
Des pratiques à risques répandues
La vie sexuelle libérée des Parisiens comprend aussi plus de pratiques à risques, notamment chez les jeunes : 42 % des moins de 25 ans ont déjà eu un rapport après avoir consommé de la drogue, 30 % des moins de 25 ans se sont déjà livrés à des jeux ou à des ébats sexuels dans un établissement scolaire, 26 % leur ont préféré les transports en commun. Enfin, le recours à la prostitution est beaucoup plus répandu à Paris. 38 % des Parisiens ont déjà acheté un service sexuel, contre 22 % des hommes à l'échelle nationale.
Meetic a enregistré deux fois plus d'inscriptions le premier jour de 2017. Un phénomène que l'entreprise attribue en partie aux bonnes résolutions de la nouvelle année. Et observé par d'autres sites de rencontres.
La recherche de l'âme soeur apparaît de plus en plus importante. Créé en 2001, Meetic a eu un pic de connexion de plus de 40%, à 22 heures, ce dimanche 1er janvier. Les échanges, emails et chat devraient même augmenter de plus de 80%. Les inscriptions seront multipliées par deux, par rapport à un «jour normal», selon les prévisions du site. La raison? «Dans l'imaginaire collectif, le 1er janvier correspond au jour des bonnes résolutions, où l'on retrouve le fameux trio: “j'arrête de fumer”, “je me mets au sport” et “je trouve l'homme ou la femme de ma vie”», explique Héloïse des Monstiers, directrice marketing Europe du Sud de Meetic, au Figaro. «Le début de l'année correspond aussi à une période où les célibataires subissent parfois une certaine pression sociale, avec les mêmes questions lancinantes de leurs proches». «Le soir du Nouvel An, ils se retrouvent aussi entourés de couples s'embrassant à minuit, ce qui constitue un énième rappel de leur célibat», renchérit Salama Marine, psychologue pour le site EliteRencontre. «En outre, avec la Saint-Valentin approchant à grands pas, certains souhaitent s'investir davantage dans leurs recherches pour décrocher un rendez-vous avant le jour J».
Dans les faits, ce fameux «pic day» est apparu, il y a plus de quatre ans, et ne cesse de s'accroître. Ainsi, les inscriptions à Meetic ont augmenté de 200% par rapport au jour le plus bas, le 1er janvier 2016. «C'est une véritable tendance de fond, qui touche tous les acteurs du marché», atteste la directrice marketing. AdopteUnMec.com et EliteRencontre confirment observer le même phénomène. «Cette année, nous attendons une augmentation de l'activité d'environ 70 à 80% dimanche 1er janvier», indique AdopteUnMec.com. «Cette augmentation tient en très grande partie à l'essor du mobile, mais également, dans le cas de Meetic, à notre plan publicitaire», affirme Héloïse des Monstiers.
Une âme sœur pour la nouvelle année. Les sites de "dating" prévoient un bond des inscriptions au premier jour de 2017. Le phénomène a été constaté depuis plusieurs années par différentes plateformes de rencontre en ligne. Les cœurs à prendre seraient-ils plus sensibles le 1er janvier ? Qu'il s'agisse d'une bonne résolution ou d'un acte de désespoir, les célibataires sont quasiment deux fois plus nombreux à surfer sur des sites comme Meetic. Les dirigeants de la plateforme s'attendent à une augmentation de plus de 40% des connexions, ce dimanche 1er janvier.
Si la tendance des années précédentes se confirme, les inscriptions devraient doubler par rapport à une journée ordinaire, explique Le Figaro. C'est aux environs de 22 heures que le pic de fréquentation devrait être atteint, avec des messages et emails en hausse de plus de 80%. Il en sera peu ou prou de même pour tous les autres sites proposant le même genre de services. Les équipes de AdopteUnMec.com et EliteRencontre, par exemple, observent le même phénomène. "Cette année, nous attendons une augmentation de l'activité d'environ 70 à 80% dimanche 1er janvier", a indiqué la direction de AdopteUnMec.com au Figaro.
- BONNE RÉSOLUTION... OU PRESSION SOCIALE ? -
Le "pic day", comme l'ont appelé les professionnels du secteur, est apparu, il y a plus de quatre ans et ne cesse de s'accroître. La directrice marketing de Meetic, Héloïse des Monstiers, en explique ainsi la raison : "Dans l'imaginaire collectif, le 1er janvier correspond au jour des bonnes résolutions, où l'on retrouve le fameux trio: "j'arrête de fumer", "je me mets au sport" et "je trouve l'homme ou la femme de ma vie"".Pour autant, la décision de prendre une bonne résolution n'est pas la seule explication. "Le début de l'année correspond aussi à une période où les célibataires subissent parfois une certaine pression sociale, avec les mêmes questions lancinantes de leurs proches", poursuit Héloïse des Monstiers.
"Le soir du Nouvel An, ils se retrouvent aussi entourés de couples s'embrassant à minuit, ce qui constitue un énième rappel de leur célibat», déclare également Salama Marine, psychologue pour le site EliteRencontre. Dans les faits, la part des Français qui fréquentent les sites de rencontre reste modérée, seulement 14%. Sans compter que la magie n'opère pas à tous les coups. "Parmi les personnes ayant rencontré leur partenaire actuel entre 2005 et 2013, moins de 9% l'ont connu via ce type de service", indiquait un rapport de l'Institut national d'études démographiques en février 2016.
Dans les faits, les sites de rencontres permettent-ils vraiment de trouver l'âme soeur? Meetic revendique être à l'origine de plus de six millions de couples, se basant sur les résultats d'une étude Ipsos Europe Meetic Groupe. «[En France, les sites de rencontres] participent encore peu à la formation des couples», relativise Marie Bergström, chargée de recherche à l'INED, dans le rapport Population et Sociétés, paru en février 2016. «Parmi les personnes ayant rencontré leur partenaire actuel entre 2005 et 2013, moins de 9% l'ont connu via ce type de service». Selon cette même étude, seuls 14% des Français ont recours aux sites de rencontres.
Tomber amoureux n’est pas rare, mais cela ne se passe pas de la même manière pour tout le monde. Alors que certaines personnes vivent un véritable coup de foudre, d’autres doivent apprendre à se connaitre pour s’aimer. Combien de temps faut-il pour tomber amoureux ? Essayons de répondre à cette question.
Le premier amour
Le premier amour intervient souvent pendant l’enfance ou l’adolescence. Il est immédiat. A cet âge, nous sommes très sensibles et nous ne cachons pas nos sentiments. Ce premier amour est puissant et parfois même démesuré. Il marque les premiers liens affectifs forts qu’une personne noue en dehors de son cercle familial. Les sentiments se forgent, ils sont incontrôlables. Ce premier amour peut durer mais le plus souvent, il s’éteint au bout de quelques mois et laisse place à une autre forme de relation. En tant que parent, il est essentiel de ne pas sous-estimer ces premiers amours car ils forgent le caractère des plus jeunes.
Le coup de foudre
Le coup de foudre est lui aussi un amour immédiat, certains disent même que c’est un amour « au premier regard ». Ce type d’amour est plutôt courant. Il touche toutes les tranches d’âge mais il est plus fréquent chez les jeunes générations et les personnes ayant une sensibilité prononcée. Le coup de foudre peut être le début d’un grand amour. Il peut aussi être éphémère. Dans ce cas, le couple vivra une relation courte mais chargée en émotion. Chaque personne aura dans sa vie un coup de foudre, mais celui-ci ne débouchera pas automatiquement sur une relation. Très souvent, le coup de foudre reste inoubliable !
Quand l’amitié devient amour
Il n’est pas rare de tomber amoureux d’un ami. Cette tendance s’explique par le fait que la relation débute sur de bonnes bases. Les deux parties se connaissent, ils s’apprécient, ils passent des moments conviviaux ensemble, ils ont déjà un cercle d’amis, etc. L’amitié peut se transformer en amour en quelques mois. Parfois cela prend plusieurs années. Au fil de la relation, les personnes se rapprochent, elles deviennent confidentes puis elles tombent amoureuses. Les couples qui ont été amis avant d’être amoureux sont solides.
Apprendre à se connaitre puis s’aimer
Même si le coup de foudre ne se produit pas, il est possible de tomber amoureux en apprenant à connaitre une personne. Ce cas de figure est très remarqué entre collègues par exemple. Parfois, c’est en faisant connaissance que l’amour nait. Cela peut prendre quelques semaines ou quelques mois.Il est à noter que dans certains pays du monde, les mariages sont arrangés. En Inde ou dans les pays du Maghreb, les parents choisissent le conjoint de leurs enfants. Il n’est pas rare que les époux se découvrent le jour du mariage. Pourtant, dans ces pays aussi il y a des couples solides. C’est la preuve que l’amour peut naitre entre deux êtres au fil du temps.
Tomber amoureux peut prendre quelques minutes ou quelques années, il n’y a pas de règles. La sensibilité de chacun influence énormément la relation amoureuse du couple.
Sexe : 4 bonnes raisons de simuler l'orgasme au lit
Le sexe, ce n'est pas toujours facile. L'orgasme, cette chose si convoitée qui attire tous les désirs, mais qui n'est malheureusement pas souvent atteint, est source de nombreux fantasmes. Notamment chez beaucoup d'hommes pour qui il est primordial de faire jouir leur partenaire sexuelle, sans quoi leur ego en sera blessé pour toujours. Leur hantise : la simulation.
Pourtant, elle peut être parfois une véritable aide pour le bon déroulé du rapport, et aussi pour l'homme. Les Françaises sont celles qui simulent le plus avec 31% d'entre elles qui assurent simuler "assez régulièrement". Une pratique qui pourrait s'expliquer par nos habitudes au lit qui ne favorisent pas l'accès facile à l'orgasme. Mais parfois, elles le font pour de bonnes raisons, et la première d'entre elles, c'est améliorer l'ébat.
1 - Faire monter l'excitation
Car le plaisir sexuel n'est pas un plaisir personnel mais partagé. Pour beaucoup de personnes, le fait de voir ou ressentir le plaisir de l'autre ne fait qu'augmenter sa propre excitation et la température générale de la pièce. Il peut être de bonne augure donc d'accentuer légèrement vos respirations naturelles pour l'exciter et vous exciter encore plus.
2 - Écourter le rapport
Il nous arrive à toutes de trouver le temps parfois un peu long. Ce n'est pas forcément que le rapport n'est pas agréable, mais simplement que vous fatiguez, ou encore vous devez vous lever tôt et tout ceci ne peut pas durer trop longtemps. Une bonne solution pour le faire jouir, et donc mettre un terme au câlin : simuler l'orgasme. Vos (faux) cris de plaisir devraient être efficaces.
3 - Travailler vos cordes vocales
Autre argument qui devrait vous faire déculpabiliser : parfois, en rajouter un peu. Vous vous rendrez compte qu'à force de faire vibrer le son de votre voix, vous muscler vos cordes vocales. Attention, toutefois à ne pas y aller trop fort et vous casser la voix, elle est précieuse.
4 - Embêter vos voisins
Enfin, si vous avez des rapports particuliers avec vos voisins, comme la plupart d'entre nous, vous pouvez toujours utiliser ce moyen pour les embêter un peu plus. Pas besoin d'être à deux pour cela, vous pouvez aussi le faire toute seule. Un bon moyen pour s'entraîner à paraître crédible pour le prochain rapport.
Zika : le premier virus qui infecte les spermatozoïdes
Contrairement à d'autres virus sexuellement transmissibles, Zika ne reste pas à la surface des spermatozoïdes. Des chercheurs toulousains l'ont retrouvé à l'intérieur des spermatozoïdes. Cette découverte unique pose de nombreuses questions.
Leur premier papier date du mois de mars 2016. Dans la revue The Lancet Infectious Diseases, des chercheurs toulousains (1) montraient la forte concentration de virus Zika dans le sperme d'un patient infecté lors d'un séjour en Amérique centrale. Leur nouvelle publication, ce mois-ci, va plus loin. Explications avec Guillaume Martin-Blondel, médecin dans le service des maladies infectieuses et tropicales du CHU de Toulouse et chercheur Inserm au centre de physiopathologie de Purpan.
Comment avez-vous travaillé sur cette découverte ?
C'est la suite de notre étude lancée au début de l'année. Nous suivons une quinzaine de patients de retour des Antilles, de Guyane, du Brésil et d'Amérique centrale, infectés par le virus Zika. C'est un petit nombre, mais ça suffit pour initier des projets de recherche. Nous leur avons proposé de faire une recherche de Zika dans leur sperme. Ils ont accepté, c'était dans leur intérêt de savoir s'ils pouvaient transmettre le virus. Notre première étude, en février, montrait déjà les risques de transmission par voie sexuelle.
Qu'avez-vous cherché ?
Nous avons d'abord voulu savoir si, comme le VIH ou l'hépatite B, Zika se trouvait dans le liquide séminal, c'est le cas. Puis nous avons travaillé en microscopie sur le sperme d'un patient de 32 ans de retour de Guyane française, ce qui nous a permis de voir, un mois après sa contamination, que Zika infectait 3,5 % de ses spermatozoïdes. Dans d'autres virus sexuellement transmissibles comme le VIH, le virus reste collé à la surface du spermatozoïde. Là, il est à l'intérieur et nous sommes pour l'instant les seuls à l'avoir montré.
Que pouvez-vous en conclure ?
Cette découverte pose de nombreuses questions et ouvre la perspective de nombreux sujets de recherche. Ces particules virales dans le spermatozoïde sont-elles actives, le virus est-il capable de faire un cycle à l'intérieur du spermatozoïde et de se multiplier ? Comment le virus entre-t-il dans le spermatozoïde, les cellules testiculaires servent-elles de réservoir au virus ? Infecté, le spermatozoïde est-il aussi mobile, est-il capable de féconder, avec quelles conséquences ?
Cette découverte change-t-elle la prévention et la prise en charge de la maladie ?
Le message essentiel ne varie pas : c'est le moustique tigre qui alimente l'épidémie même si la transmission sexuelle reste possible (une quinzaine de cas rapportés dans la littérature scientifique). La démoustication est un enjeu de santé publique, y compris chez nous puisque le moustique tigre y est implanté depuis plusieurs années. Maintenant, pour les hommes qui ont séjourné dans les zones à risque, si leur partenaire est enceinte, il est conseillé d'avoir des rapports protégés pendant six mois. Pour les projets de grossesse, on peut proposer une prise de sang -car dans 80 % des cas, la maladie ne provoque aucun symptôme- et si c'est positif de faire une analyse de sperme, afin d'éviter le risque de transmission à une femme enceinte.
(1) Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale), CNRS (centre national de la recherche scientifique), Université Toulouse III Paul Sabatier, CHU de Toulouse
Même si ce n’est pas toujours le cas, le plaisir sexuel mène souvent à l’orgasme. Comment expliquer que cette stimulation mène à une sensation d’intense plaisir ? Voici la réponse.
L’orgasme est le phénomène qui correspond à l’instant ultime de l’excitation sexuelle. Provoqué par les rapports sexuels, il peut aussi être atteint par la masturbation. Lorsqu’un homme atteint l’orgasme, il éjacule. Au moment de l’orgasme, chez l’homme comme chez la femme, l’organisme produit de la prolactine et de l’ocytocine, des hormones du plaisir et de l’attachement.
Orgasme clitoridien
Le clitoris constitue une partie des organes génitaux féminins. Sa partie visible se présente sous la forme d’un petit gland au sommet des petites lèvres. En réalité, cette partie ne représente que la partie émergée de l’iceberg. En effet, sa partie interne – les corps caverneux – mesure entre 12cm et 15cm. L’orgasme clitoridien, le plus fréquent semble-t-il, correspond à celui obtenu par stimulation de la partie émergée de l’organe.
Lorsqu’il se produit, le clitoris érigé par l’excitation préalable, se retire alors sous le prépuce clitoridien, et les petites lèvres deviennent plus foncées et s’épaississent. Le vagin diminue de volume (environ 30%), et se gorge de sang. Les muscles de l’utérus se contractent. Ensuite, l’utérus, le vagin et les muscles du bassin subissent une série de contractions musculaires. La lubrification naturelle du vagin est alors intense.
Orgasme vaginal
L’autre type d’orgasme féminin est qualifié de vaginal. Il est lié à la stimulation de l’intérieur du vagin. Le nerf qui intervient ici est le système ilio-hypogastrique. Les manifestations physiologiques de cet orgasme s’apparentent à celles de l’orgasme clitoridien.
Vous ne savez plus où vous en êtes ? Vous confondez amour et compassion ? En matière de désamour, il y a des signes qui ne trompent pas…
1 – Sa présence vous irrite
C’est plus fort que vous : dès que vous êtes dans la même pièce que lui, vous avez envie de partir. Moins vous le voyez, mieux vous vous portez…
2 – Vous ne le désirez plus
Ah, qu’il est loin le temps où vous vous jetiez sur lui dès que vous le pouviez ! Désormais, vous repoussez ses avances et vous n’avez plus jamais envie de faire l’amour avec lui. L’idée de coucher avec lui vous dégoûte presque…
3 – Vous ne partagez plus rien
Les sorties, les dîners, les week-ends, les voyages…Tout ça, c’est une période révolue. Vous ne prenez même plus vos repas ensemble, ce n’est pas peu dire !
4 – Vous avez du mal à communiquer
Avant, vous vous disiez tout, sans gêne. Aujourd’hui, vous avez limite l’impression d’être face à un étranger que vous ne comprenez pas. Vous n’êtes d’accord sur rien, vous vous disputez pour des broutilles et vous vous parlez le moins possible.
5 – Vous ne lui apportez plus d’affection
Les câlins et autres gestes tendres ne font plus partie de votre quotidien désormais. Lorsqu’il tente de vous toucher, vous faites un bond en arrière.
6 – Vous avez envie d’ailleurs
Vous ne rêvez que d’une chose : rencontrer de nouveaux hommes, voir comment ça se passe ailleurs. Vous vous demandez si vous ne seriez pas plus heureuse avec un autre et si vous ne feriez pas mieux de refaire votre vie.
7 – Vous avez évolué différemment
Au début, vous étiez sur la même longueur d’ondes. Mais les années ont passé, et aujourd’hui, vous réalisez que vous avez pris des chemins différents. Vous n’avez pas évolué de la même manière et n’avez plus la même vision de la vie.
8 – Vous n’êtes plus jalouse
Jadis, dès qu’il approchait une fille de trop près ou qu’il vous parlait de sa nouvelle collègue, vous paniquiez. Aujourd’hui, c’est le cadet de vos soucis ! Cela ne vous fait plus ni chaud ni froid.
9 – Vous n’envoyez plus de SMS enflammés
Les SMS plein d’amour, de « je t’aime », « tu me manques », « tu es l’homme de ma vie », ont définitivement disparu. Ils ont légué leur place à des textos purement utilitaires : « n’oublie pas d’acheter du papier toilette et une boîte de tampons ».
10 – Ses manies vous insupportent
Ses manies qui vous amusaient jadis vous sont désormais insupportables. Il tourne la cuillère dans son café pendant trois bonnes minutes, il expire un grand « Aaaaaah » après avoir bu un verre, il ne se lave jamais les mains après être allé aux toilettes…Vous n’en pouvez plus !
Sexualité : la quantité peut-elle nuire à la qualité ?
Chercher à augmenter la fréquence des rapports sexuels n’est pas forcément une bonne idée : le désir et le plaisir peuvent en pâtir.
Ainsi que l’explique cette équipe de l’université Carnegie-Mellon (Pittsburgh), de précédentes études ont montré une corrélation positive entre le bien-être des partenaires et la fréquence des relations sexuelles. Cependant, la nature du lien de cause à effet n’est pas très claire (sur un plan scientifique) et il n’a pas été démontré que l’augmentation des rapports sexuels conduit à un plus grand sentiment de bonheur. C’est donc cet axe qui a été abordé ici.
Une centaine de couples (les personnes étaient âgées de 35 à 65 ans) ont été recrutés : la moitié n’ont reçu aucune instruction particulière (on continue comme avant), alors qu’il a été demandé aux autres de doubler leurs rapports sexuels hebdomadaires. Après trois mois, chacun a rempli un questionnaire destiné à évaluer l’évolution de la fréquence des rapports, le désir et le plaisir qui y étaient associés, ainsi que le degré de bien-être global.
Que constate-t-on ? En fait, que les couples du second groupe (deux fois plus de rapports, et en tout cas une hausse significative) ne se disent pas plus heureux qu’auparavant, au contraire pour certains : le désir et le plaisir en prennent un coup. Evidemment, ce constat doit être relativisé en raison des conditions de cette expérience : l’augmentation des rapports a été, disons, imposée, et non pas suggérée, encouragée. Ce que disent les chercheurs, c’est que la hausse de la fréquence ne conduit pas - forcément - à davantage de bien-être. Ils expliquent aux couples confrontés à une libido en baisse que la recherche des performances du passé (aspect quantitatif) a bien moins d’intérêt que de privilégier un contexte qui favorise le désir et l’échange (aspect qualitatif).
Le "Je t'aime" perd parfois de sa substance à force d'être utilisé à tour de bras à son homme mais aussi à sa famille et à ses copines. Et parfois, certaines personnes pudiques n'arrivent pas à dévoiler leurs sentiments. Heureusement, il existe des phrases qui comptent tout autant qu'un "Je t'aime". Voire plus.
1- "Je serai toujours là pour toi"
Et s'il y avait des mots plus forts qu'un "Je t'aime" à employer pour déclarer à l'autre ses sentiments ?
Comme nous, l'autre a parfois besoin d'être rassuré quant à nos sentiments à son égard. Et savoir qu'on a la ferme intention de rester à ses côtés pour le meilleur comme pour le pire jusqu'à la fin de nos jours, ça aura certainement mille fois plus d'écho qu'un énième "Je t'aime".
2- "Je crois en toi"
Tout le monde doute. Y compris notre mec. Aussi, lui susurrer que l'on croit en lui, ça peut lui faire beaucoup de bien. On est sa première fan, et certainement la plus importante également. Celle qui va lui donner la force de déplacer des montagnes.
3- "C'est du passé"
Savoir tourner la page sur nos différents, c'est une preuve de sagesse et d'amour. Etre prêt à aller de l'avant ensemble, faire fi du passé au lieu de ruminer, communiquer et prendre en compte le ressenti de l'autre, voilà qui est primordial.
4- "Ne change rien"
Pourquoi voudrait-on changer la personne dont on est tombée amoureuse ? Lui signifier qu'il est parfait tel qu'il est et qu'il n'a pas besoin d'aller 5 fois par semaine à la salle de sport ou de changer de style pour nous plaire autant qu'au premier jour, ça devrait avoir son petit effet... Et nous permettre d'attendre la même chose en retour.
5- "Merci"
On ne le dit jamais assez, pourtant, le pouvoir d'un simple "merci" est assez miraculeux. Ce tout petit mot donne envie d'en faire encore pour l'autre. Testez, c'est magique, vous allez voir !
Selon une étude menée auprès de 30 000 personnes et publiée le 18 novembre dernier (Social Psychological & Personality Science), faire l’amour une fois par semaine est suffisant pour être heureux en couple. Même si, d’après les chercheurs, davantage de rapports ne nuisent pas à la cause, ils n’apportent pas un supplément de bénéfice. Si ce rythme hebdomadaire est, paraît-il, le plus fréquent dans les couples, ce ne serait donc pas un hasard. Voilà qui met à mal une croyance commune qui veut que plus l’on s’octroie de plaisir à deux, plus on est heureux – et qu’une fois par semaine, ce n’est franchement pas beaucoup ! Du coup, une autre de ces idées reçues selon laquelle plus un rapport dure longtemps, meilleur il est, mériterait peut-être aussi d’être examinée de plus près. Devinez quoi ? Les chercheurs n’y ont pas manqué. Une étude nord-américaine, qui avait fait grand bruit lors de sa parution en avril 2008, a très curieusement été reprise par de nombreux médias en octobre 2015.
La durée idéale pour atteindre le plaisir
Cette enquête, pilotée par Eric Corty, de l’université Behrend de Pennsylvanie, a demandé à 50 volontaires de chronométrer leurs rapports sexuels, depuis la pénétration jusqu’à l’éjaculation, et d’évaluer à chaque fois leur degré de satisfaction, durant près de dix ans. Puis les sexologues américains et canadiens de la Société pour la thérapie sexuelle et la recherche ont donné leur avis sur les résultats collectés et conclu que la durée « appropriée » se situait entre 3 et 7 minutes et la durée « souhaitable » de 7 à 13 minutes (The Journal of Sexual Medicine, mai 2008). Une distinction un peu ambiguë pour le profane, mais qui se résume à : 1 ou 2 minutes, c’est trop court ; au-delà de 13 minutes, c’est trop long. De quoi rassurer et décomplexer les couples qui s’imagineraient encore que la satisfaction augmente avec la durée. D’autant qu’en 2005 une enquête menée auprès de 1 500 couples avait constaté que la durée moyenne effective des rapports était de 7,3 minutes.
Les enquêtes ne reflètent pas la vie réelle
Pourtant, à l’instar de notre sexologue préférée, Mireille Bonierbale, on peut s’inquiéter de tout ce qui, de près ou de loin, peut ressembler à une norme en matière de sexualité. Le risque ? Qu’elle pousse les partenaires à tenter de s’y conformer au lieu de suivre leur propre chemin. « Bonne durée pour qui ? pour quoi ? pour quand ? Ce n’est qu’une moyenne et il n’y a pas de modèle universel, s’insurge notre spécialiste. Sans compter que ces données sont en partie biaisées : par la population recrutée (par Internet ou parce que les participants sont rétribués aux Etats-Unis, par exemple) et du fait qu’elles reposent la plupart du temps sur des autodéclarations. » De telles statistiques risquent d’amener certains à s’interroger pour savoir s’ils sont normaux, comme ces deux couples vus en consultation par son collègue Yves Ferroul, qui évoquait, dans un article du Nouvel Observateur daté du 24 octobre 2015, une femme se plaignant « qu’une minute, c’est bien trop long », ainsi qu’un couple se demandant comment trouver le temps nécessaire en dehors du week-end, vu que leurs rapprochements intimes comprenaient deux heures de préliminaires et une heure de pénétration !
Différentes façons d’obtenir la jouissance
Justement, des préliminaires, il n’en est pas question dans cette durée idéale. Or, cela change tout, commentait encore Yves Ferroul : « Si c’est le va-et-vient à l’intérieur du vagin qui est la seule façon de déclencher l’orgasme, certaines femmes vont avoir besoin de pénétration durant bien plus que les 7 minutes données par l’enquête. Mais si le va-et-vient ne peut, à lui seul, provoquer la montée de l’excitation, celle-ci devra s’effectuer au préalable, la pénétration n’ayant lieu qu’au dernier moment et déclenchant, après seulement quelques mouvements, un orgasme qui était déjà très proche. » La durée idéale de la pénétration dépend donc de la place qui lui est attribuée dans la vie sexuelle. « Or, elle varie de 0 à 100 %, rappellent les sexologues. Certains n’y recourent pas du tout ou seulement de façon marginale, tandis que d’autres lui octroient l’exclusivité. »
Des durées infiniment variables selon les couples
Le temps que l’on met pour atteindre un orgasme varie selon les personnes, les pratiques et les circonstances – si on est en deuil, si l’on vient de perdre son emploi, si le couple bat de l’aile, etc. « La seule chose à prendre en considération, c’est la qualité de la vie sexuelle, réaffirme Mireille Bonierbale. Ce qui comble les uns peut s’avérer extrêmement frustrant pour d’autres. » Un rapport de 5 minutes représente déjà environ 300 mouvements de va-et-vient, mais si les deux membres du couple sont en souffrance et aimeraient avoir des rapports plus longs, il existe des thérapies. Sinon à chacun de découvrir sa façon de s’épanouir sexuellement en jouant avec ses émotions, son excitation et l’infinie variété des pratiques sexuelles… Et en se moquant royalement des enquêtes !
On sait que la Lune influence les marées, les cultures et même la pousse des cheveux mais saviez-vous qu’elle endort ou réveille également votre libido ? Après avoir lu cet article vous n’envisagerez plus jamais les soirs de la Pleine Lune de la même manière !
Aviez-vous déjà remarqué que la durée du cycle lunaire (28 jours) correspond au cycle menstruel chez la femme ? Il est également monnaie courante de penser qu’il y a plus d’accouchement les soirs de Pleine Lune, rien d’étonnant dès lors à ce que la Lune exerce son influence mystérieuse sur notre libido...
Sexualité et phases lunaires, tout est lié !
La Lune passe par 4 phases, chacune influence différemment la Terre et les hommes. En savoir plus sur les phases de la Lune.
1- Nouvelle Lune
Place aux initiatives ! Le moment est tout indiqué pour relancer des projets communs, proposer à l’autre de nouvelles expériences, se montrer sous un nouveau jour pour étonner l’autre et raviver la flamme. Si vous êtes célibataire, c’est le bon moment pour enclencher la seconde si quelqu’un vous a tapé dans l’œil et de démarrer une relation en douceur.
2- Premier Quartier
Si vous connaissez des problèmes dans votre couple, des frustrations ou un certain ennui malgré les efforts qui ont été fait à la Nouvelle Lune c’est le moment de mettre les choses à plat entre vous. Cette mise au point vous permettra de vous épanouir davantage par la suite. Demandez à l’autre ce qui lui ferait plaisir, ce qu’il/elle n’aime pas et adaptez-vous. Si tout va bien entre vous alors c’est le moment de lui confier vos désirs, vos fantasmes les plus secrets…
3- Pleine Lune
C’est le moment idéal pour faire et refaire l’amour ! A la Pleine Lune on se sent plus énergique, on dort moins bien c’est donc le meilleur moyen de canaliser votre énergie. Tous vos sens sont stimulés par la Pleine Lune, les sensations sont décuplées, c’est un aller simple pour le Nirvana ! Si vous êtes célibataire c’est le moment idéal pour conclure. Profitez de la Pleine Lune grâce à nos incantations !
4-Dernier quartier
Bien souvent lors de cette dernière phase on a soudain moins envie de se toucher, on se replie sur soi comme pour se reposer jusqu’à la Nouvelle Lune suivante. Sans compter que les folies de la Pleine Lune vous ont peut-être fatigué(e). Si vous êtes célibataire surtout restez tranquillement dans votre coin car la personne qui vous intéresse vous repousserait sans états d’âme.
Voilà vous savez maintenant tout sur la Lune et son influence sur votre vie de couple, à vos calendriers !
Sexe: les femmes en veulent autant que les hommes!
« Girls just wanna have fun » – les filles veulent s’amuser –, chantait Cyndi Lauper en 1983. Trente deux ans plus tard, ce refrain culte est plus que jamais d'actualité ! En matière de libido, les femmes ont tout autant besoin d’action que les hommes, et elles le clament haut et fort. Une étude menée par l’application mobile Kindara (un calculateur de l'ovulation et de la fertilité) révèle que plus de la moitié des sondées estime ne pas faire l’amour autant qu’elles le désireraient. Ces dames seraient-elles légèrement frustrées ? C’est en tout cas ce que l’on peut en déduire… Messieurs, c’est le moment ou jamais de passer à l’action !
D’après cette même étude, près de 75% des femmes ressentent le besoin de passer à l’acte au moins trois fois par semaine, quand 13% affirment en avoir envie six jours sur sept. De vraies tigresses ! Aussi, plus de la moitié du panel interrogé pense que la connexion émotionnelle entre les deux partenaires est la clé d’un rapport sexuel réussi. A l’inverse, 23% sont plus pragmatiques et affirment que le secret d’une bonne partie de jambes en l’air réside dans des préliminaires réussis.
Également interrogées sur les facteurs qui mettent leur libido en berne, les femmes évoquent majoritairement le stress, le manque de confiance en soi ou encore des attentes sexuelles différentes entre partenaires. En 2011 déjà, une étude menée par la University of Michigan affirmait que, tout autant que les hommes, une majorité de femmes aime le sexe n’impliquant pas nécessairement de sentiments. Balayés, les clichés !
Familles : quand un couple se sépare, c'est la femme la perdante
L'étude publiée ce mercredi par l'Insee dresse le portrait des couples français : les ruptures sont plus nombreuses.
Deux Français sur trois vivent en couple. Des couples de plus en plus fragiles, avec des unions qui durent moins longtemps. "Les premières unions sont aussi de plus en plus courtes, au fil des générations, depuis celles nées dans les années 1950. C'est l'une des tendances les plus marquantes. Il est de plus en plus fréquent de vivre plusieurs unions au cours de sa vie", note Vianney Costemalle, qui a contribué à l'étude "Couples et familles" publiée ce mercredi par l'Institut national de la statistique et des études économiques.
Mariage, pacs, union libre, quel que soit le mode de cohabitation, le nombre de couples qui éclatent augmente. Selon la moyenne établie par l'Insee, entre 1993 et 1996, 155.000 couples s'étaient séparés. Entre 2009 et 2012, ils sont 253.000.
Et quand un couple se sépare, c'est bien souvent la femme qui se trouve pénalisée. Les familles monoparentales sont passées de 16% en 1999 à 20% en 2011. Des familles monoparentales essentiellement maternelles, à 85%. La résidence alternée progresse mais la garde chez la mère reste la règle, pour 75% des cas. La garde chez le père ne dépasse pas 7%.
Recul du niveau de vie des femmes
Lors des séparations, les femmes sont les grandes perdantes. Quand on regarde le niveau de vie l'année suivant la rupture, il recule de 20% pour les femmes, contre 3% pour les hommes.
Le fait d'avoir au moins un enfant mineur représente un frein pour retrouver un compagnon. L'étude de l'Insee montre qu'une femme qui a un enfant de moins de cinq ans a ainsi deux fois moins de chances de se remettre en couple qu'une femme sans enfant. De leur côté, les hommes se remettent plus rapidement en couple après une rupture.
Surtout, les familles monoparentales maternelles se trouvent particulièrement exposées à la précarité : 40% vivent sous le seuil de pauvreté. D'autant que ces situations sont plus répandues pour les femmes les moins diplômées.
Et ce sont ces mêmes femmes ayant la charge de familles monoparentales qui ont le plus de difficultés à trouver un travail : leur taux de chômage est de 15%, contre 7% pour les femmes en couple.
Le revenu moyen des familles monoparentales tourne autour 1.240 euros par mois alors que celui des couples avec enfant s'élève à 1.880 euros.
Sexualité : ce que les Français font sous la couette
Sexualité : ce que les Français font sous la couette
Une étude Ipsos pour le compte du site Amorelie vient de se pencher sur les pratiques sexuelles des Français en réalisant un sondage sur 1 005 personnes.
On y découvre tout d'abord que, si le nombre moyen de partenaires sexuels au cours de sa vie est de 9,5, les disparités sont importantes selon les catégories. Ainsi, les hommes ont 11 partenaires sexuels, les femmes seulement 8. Les habitants d'Ile-de-France 16, contre 8 pour les provinciaux. Ou encore, les moins de 35 ans 6, pour 11 chez les 35 ans et plus. Mieux vaut donc être un homme de plus de 35 ans et francilien si on veut multiplier les conquêtes !
Le sondage s'est aussi penché sur la notion du plaisir, parmi ceux ayant eu un ou plusieurs partenaires. Si 39 % estiment avoir pris du plaisir avec «tous ou presque»,, ils sont quand même 19 % à n'en avoir pris qu'avec «moins de la moitié» ou «aucun».
Tout bon sondage sur la sexualité des Français interroge sur les pratiques, des plus courantes au plus inavouables. Sans surprise, la fellation et le cunnilingus sont les pratiques sexuelles (hors pénétration classique) les plus répandues avec 70 % de pratiquants et 3 % qui aimeraient bien le faire un jour. Suivent sur le podium, la sodomie (36 % l'ayant déjà fait et 6 % qui aimeraient bien) et l'amour dans un lieu public (29 % et 10 %). A l'inverse, l'échangisme recueille le plus d'opinions défavorables (89 % ne le pratiqueront jamais). Mais comme le dit le proverbe, chacun prend son plaisir où il le trouve.
Orgasme féminin: sur le Tumblr "How To Make Me Come", les femmes partagent leurs recettes intimes
Suite à une énième expérience sexuelle insatisfaisante, une femme a lancé un blog lui permettant, à elle et aux autres femmes, de partager leurs meilleures recettes pour les mener à l'orgasme.
Pour certains (et certaines), l'orgasme féminin ressemble à une espèce de licorne mystique qui sort une fois dans l'année et qu'on peut apercevoir au loin si on se lève tôt. Les rapports hétérosexuels sont encore bien souvent articulés autour du plaisir masculin (typiquement, le rapport est terminé lorsque l'homme a éjaculé).
Puisque nous sommes extrêmement nombreux à être élevés avec cette idée en tête, il n'est pas toujours naturel pour nous de remettre ces rapports en question, qu'on soit une femme ou un homme. Pour beaucoup de femmes, il est "normal" de ne pas avoir d'orgasme, elles sont nombreuses à ne pas trop se poser la question de leur plaisir et à se satisfaire de ce qu'elles trouvent. Ce qui ne veut pas dire qu'elles ne prennent absolument pas de plaisir et qu'elles vivent dans la soumission active à leur partenaire et à son plaisir - tout cela est inconscient et intégré depuis bien longtemps.
Aujourd'hui, la parole se libère autour du plaisir féminin et du droit qu'ont les femmes d'exiger certaines choses et d'en refuser d'autres. Et globalement de s'exprimer en ce qui concerne leur plaisir et ce qui leur fait du bien dans leur sexualité.
C'est dans cette optique que Sylvia (c'est un pseudonyme), 27 ans, a créé le Tumblr "How To Make Me Come ", soit "Comment me faire jouir". Tout est parti d'un constat qu'elle a fait à propos d'une expérience sexuelle insatisfaisante, comme elle le confie au Times :
"Je dirai simplement que ce n'était pas la meilleure des expériences, physiquement et émotionnellement. J'ai eu l'impression qu'il ne comprenait pas du tout ce que je traversais sexuellement et je n'ai pas été capable d'en parler sur le moment."
C'est cette incapacité à en parler qui représente généralement le fond du problème - on nous a appris à dire 'oui' et à montrer à quel point on prend notre pied dès qu'on nous touche, c'est ce qu'on voit dans tous les conseils sexo des magazines féminins ("Encouragez-le !", "Gémissez son nom", "Montrez-vous enthousiaste"...), sans vraiment se préoccuper de savoir si on ressent vraiment ce qu'on montre. Du coup, notre partenaire ne se pose pas plus de questions que ça et se contente de faire les choses comme il les a toujours faites, parce qu'on ne lui dit pas que ça ne fonctionne pas.
Sur How To Make Me Come, près de 100 femmes ont donc envoyé des témoignages sous forme de "recettes" pour aider les hommes à comprendre ce qu'elles aiment. Sylvia encourage les participantes à écrire leur guide comme si elles devaient ensuite le présenter à un partenaire potentiel, en y mettant tout ce qu'elles aimeraient qu'ils sachent à leur sujet pour mieux les satisfaire.
En lisant ces guides, on peut donc dégager au moins 5 thèmes récurrents, pour créer une base solide dans les rapports sexuels basiques :
1. Écouter
Si la femme s'exprime, donne des directives, fait des suggestions, il faut à tout prix l'écouter et en prendre compte. Si elle ne parle pas, il faut écouter son corps, sa respiration, ses mouvements - généralement, quand on est sur la bonne voie, le corps le fait savoir. En suivant ses mouvements et impulsions, la cadence de son souffle et la fréquence de ses gémissements, on peut en apprendre beaucoup.
2. Demander
Ne pas hésiter à poser des questions, quitte à les tourner de façon un peu plus sensuelle pour ne pas complètement péter l'ambiance en répétant "Ça va ? Et là ? Et ça c'est bien ?" tout au long du rapport. Ne pas hésiter à encourager sa partenaire à exprimer son ressenti et ses envies et à vérifier que vous êtes sur la bonne voie. Si vous avez un doute sur quoi que ce soit, demandez.
3. Ne pas oublier les préliminaires
Un autre classique : le passage direct à la pénétration dans le feu de la passion sans passer par la case préliminaires (et surtout la case clitoris). La fougue, c'est chouette, mais un rapport, ça se prépare. Même si votre partenaire est excitée et lubrifiée, n'hésitez pas à faire un petit passage du côté du clitoris, qui vous le rendra en mille à tous les deux une fois que vous passerez à la pénétration (et là encore, n'oubliez pas de saluer le clitoris de temps en temps, en vous mouillant bien les doigts).
4. Manifester son désir
Puisqu'on apprend sans cesse aux femmes à se montrer pleines de désir et d'envie, autant que les hommes en fassent de même. Il n'y a rien de plus excitant que de voir le désir dans les yeux, la gestuelle et la voix de son ou sa partenaire. N'hésitez pas à communiquer sur ce point et à vous montrer démonstratifs, donc.
5. Faire preuve de compréhension et de patience
Si votre partenaire ne parvient pas à jouir, ne le prenez pas pour vous. Faites preuve de patience et de compréhension, ça n'est pas forcément lié à votre performance, et si ça l'est, ça ne remet pas en question tout ce que vous êtes ni tout ce que vous faites. Ce n'est pas une science exacte, parfois ça fonctionne, parfois pas, parfois ça marche pour une femme et pas pour l'autre, ou pour un rapport et pas pour le suivant. C'est une gymnastique, à vous d'expérimenter et de jouer autour de cette quête sans en faire un but ultime et sans faire culpabiliser votre partenaire si elle n'y parvient pas.
Enfin, vous l'aurez compris, la véritable clé dans tout ça, c'est encore et toujours la communication.
Etre en couple, un bon début pour se mettre au sport
C’est prouvé, le sport à deux, c’est mieux. Une étude menée par le Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health de Baltimore (Maryland) montre que les amoureux ont un avantage sur les célibataires en ce qui concerne la pratique sportive régulière. En effet, si l’un des deux conjoints s’exerce régulièrement, l’autre serait alors plus susceptible d’emboîter le pas. Présentés le 5 mars au meeting annuel de l’American Heart Association (AHA), – l’une des plus célèbres organisations des Etats-Unis dédiée aux risques cardio-vasculaires – les résultats découlent d’une observation sur 3 361 couples.
Les hommes plus influençables que les femmes ?
Etre en couple, un bon début pour se mettre au sport
Sur l'ensemble des personnes observées, seuls 45 % des hommes et 33 % des femmes ont confirmé suivre les conseils de l’association américaine, à savoir : faire au minimum 2h30 de sport modérément toutes les semaines, ou 1h15 à une intensité plus vigoureuse. Et les résultats parlent d’eux-mêmes : les hommes qui ont une compagne sportive ont 70% de chance de pratiquer une activité physique régulière. La gent féminine, elle, serait moins influençable, car elle ne compte que 40% de chance de devenir sportive à son tour. « Nous devrions exploiter la puissance du couple pour s’assurer que les gens fassent du sport régulièrement, car dans ce pays, nous n'en faisons pas assez », explique la chercheuse Laura Cobb, en conclusion de cette étude. Un fait qui se vérifie aussi en France, car selon une étude de l'Institut IPSOS pour le Salon Mondial Body Fitness, 45% des Français de font pas de sport du tout.
« Nous savons tous combien il est important de faire du sport pour rester en bonne santé », ajoute la chercheuse. « Cette étude nous prouve que l'un des conjoints pourrait avoir un impact très positif sur l'autre quand il se agit de rester en forme et en bonne santé sur le long terme. » Une bonne raison pour se mettre en couple ?
"Mon doudou", "Ma perle"... Dis-moi quel est ton surnom amoureux, je te dirai qui tu es.
Mon loup, ma mie, ma petite crotte en sucre... A chaque couple son surnom et à chaque surnom sa caste. Découvrez à laquelle vous appartenez.
Les diminutifs
Plus infantilisant que spécialement sexy et glamour, les "Doudou", "Toto", "Mimi" et autres diminutifs doublés (le panel est assez vaste) sont davantage attribués à nos amis ou aux enfants qu'à son/sa chéri(e). Ce qui n'empêche pourtant pas certains couples d'en (ab)user.
Les classiques
"Mon coeur", "mon amour", "mon chéri", "mon bébé", "ma puce", la majorité des Français utilisent les surnoms basiques. On marque son territoire, on montre son affection à son partenaire, mais on tâche de se ridiculiser le moins possible quitte à manquer un peu d'originalité.
Les sauvages
L'usage de surnoms comme "mon loup", "ma framboise des bois", "mon grand cerf", "mon étalon sauvage", "ma chatte" marque la passion et l'admiration du conjoint qui l'emploie. A tel point qu'il fait fi de l'effet que cela peut produire auprès des autres personnes présentes au moment de l'interpellation.
Les animaux de la ferme
"Ma biquette", "mon lapin", "ma poulette", "mon poussin", "ma cocotte", "mon canard"... Chez certains couples, ce sont les animaux de la basse-cour qui ont la cote. C'est tendre, drôle éventuellement, mais pas très sexy. Ces amoureux privilégient la complicité, quitte à basculer vers la relation de potes.
Les créatifs
"Bibouille", "bioubinette", "caillou", "pignou", parfois, plutôt que de piocher dans ce qui ce fait déjà, on invente, on crée... pour le meilleur et pour le pire. D'autant qu'après validation du sobriquet, il devient généralement propre aux deux entités du couple. Ces amoureux-là sont en tout cas des fantaisistes et il y a fort à parier qu'on ne s'ennuie pas chez eux.
Les polyglottes
Sauf s'il s'agit de votre langue maternelle, appeler régulièrement sa moitié par des surnoms anglais ou italiens type "my love", "sweet heart", "amore mio", "darling", "my wife" ou "man"... Un peu too much, non ?
Les poétiques
"Ma perle de lait coco", "mon aimée", "ma mie", "ma douce", "mon ange", "ma tourterelle". Ces surnoms sont-ils poétiques, langoureux, sarcastiques, désuets ou cuculs ? Laissons cela à l'appréciation de chacun.
Les mesquins
Affubler son amoureux(se) d'un "ma crotte en sucre", "mon gros nounours", "mon bouchon", "ma couille", "mon p'tit bout de maroilles", part peut-être d'une intention affectueuse, mais pas que. On ne traite pas la personne que l'on aime de "gros" ou de "caca" sans qu'il y ait un message caché, même inconsciemment...
Le vrai prénom
Peut-être pas très original, mais c'est encore le biais le plus usité par les couples pour s'interpeller. En effet, d'après une étude de la TNS Soffres, 82 % des couples français s'appellent par leur prénom la plupart du temps. Et parfois, l'intonation peut devenir la plus sexy du monde. Avez-vous déjà entendu la magnifique Robin Wright dans la série House of Cards appeler son mari Frank Underwood (joué par Kevin Spacey) "Francis" ? Voilà, vous comprenez le concept. Le comble de la classe.
Combattre la routine dans le couple : un jeu d’enfant !
La routine, la meilleure ennemie de votre couple
La routine, tous les couples la connaissent. Mais elle ne signifie pas pour autant la fin de votre relation. Bien au contraire !
Toutes les relations traversent des phases plus ou moins complexes. Parfois, votre couple semble en péril et vous êtes à la recherche des meilleures solutions pour relancer la flamme dans votre relation. Mais comment communiquer en cette période de crise ? Quelles sont les bonnes actions et inversement les erreurs à ne surtout pas faire ? Que recherchent les femmes lorsqu’elles estiment que la routine détruit leur couple ?
Découvrez vite toutes les astuces pour combattre la routine et retrouver le sourire au quotidien. La vie de couple n’est certes pas un long fleuve tranquille, mais à chaque problème il existe une solution. Si vous ne faites rien, la routine prendra plus de place. Lors d’une période de routine, vous avez tendance à prendre conscience du problème mais à vous répéter "Ce n’est pas bien grave, ça ira mieux demain". Sauf que les jours passent et les problèmes s’accentuent. Ils prennent plus d’ampleur et vous arrivez à un point où vous ne savez plus quoi faire !
Combattre la routine nécessite d’être capable d’agir et de ne pas avoir peur de prendre des décisions. Ne subissez plus votre quotidien, commencez dès aujourd’hui par faire une liste de toutes vos envies.
Pour la réaliser, je vous invite à répondre à ces 3 petites questions : 1- Que manque-t-il à votre couple pour que vous retrouviez un épanouissement personnel ? 2- Quels sont les efforts que vous avez arrêtés de faire par rapport à vos débuts ? 3- Quelles sont les besoins (et non envies) de votre compagne ?
Le succès de votre mission réside dans la dédramatisation
A l’inverse, si vous focalisez trop sur la routine et le malaise qui existe aujourd’hui dans votre couple, vous ne ferez que placer votre partenaire dans une situation d’insatisfaction et vous oublierez l’importance du lâcher prise. J’évoque le terme de dédramatisation dans le titre de ce paragraphe car il s’agit de ne plus être affecté émotionnellement par une situation négative.
Pour sauver votre relation mais également répondre aux besoins de votre compagne vous allez devoir adopter l’état d’esprit optimiste : "Nous allons sauver notre couple". Il est essentiel dans ces conditions de bien se positionner sur le changement de ses habitudes. Il est normal d’avoir peur de chambouler votre relation mais si vous n’êtes pas capable de modifier vos habitudes, votre attraction ne fera que se dégrader jusqu’à une rupture lente mais inévitable.
Entrons dans la tête de votre compagne...
Il n’y a malheureusement jamais moyen de faire deux fois une bonne impression. Une fois la routine installée c’est un peu similaire, il est difficile d’en sortir indemne. Le meilleur moyen de sauver votre couple reste de prendre le contrôle et d’agir. C’est le meilleur moyen pour ne pas avoir de regret mais vous pourrez également démontrer à votre compagne que vous êtes capable de faire des efforts et d’agir.
De mon expérience, j’ai compris que les femmes avaient besoin de fun dans leur vie, de se sentir exister et de vibrer. L’erreur que font alors 90% des hommes est de tout miser sur une action exceptionnelle pour vaincre la routine puis de ne plus rien faire pendant de longues semaines avant de recommencer par une autre action démesurée.
Pourtant, les femmes ont également besoin de voir un changement en continu dans ces 5 axes : 1- un homme qui prononce des compliments au quotidien ; 2- un homme qui s’investit dans les projets de couple mais également dans la vie familiale ; 3- un homme qui doit se reprendre en main et retrouver une vie personnelle forte (avec ses amis notamment) ; 4- un homme qui change physiquement à travers le look, la perte de poids et le sport ; 5- un homme qui ne se met pas en demande et qui ne panique pas à l’idée de rupture.
Vous me direz que c’est plus facile à dire qu’à faire ? Je vous réponds que vous êtes en capacité de vaincre la routine, il vous suffit de déterminer une première action dans ces 5 axes. Alors, quelle sera votre première mission ?
Un peu de légèreté pour commencer ce début d'année. Le site de vidéos pornographiques Porn Hub propose une leçon de géographie un peu spéciale avec la publication d'une carte du monde sur les préférences anatomiques des hommes vis-à-vis du sexe opposé. Préférez-vous les fesses ou les seins des femmes ? A cette question hautement philosophique, les sondés ont répondu de manière contrastée. La carte, où sont indiqués en bleus les pays où la préférence va pour les seins ("boobs") et en rouge, les régions attirées par les fesses ("butts"), laisse entrevoir une "géopolitique" des préférences anatomiques.
Principal enseignement : au Nord, on montre un penchant quasi unanime pour la poitrine. Exception faite des Etats-Unis où on choisit plus les fesses des femmes, rejoignant par cette prise de position un avis majoritairement répandu au Sud. L'Afrique (sauf l'Egypte) et l'Amérique du Sud (en dehors de l'Argentine) revendiquent leur goût pour le postérieur féminin. Le site s'est également amusé à réaliser une cartographie de la popularité des jambes des femmes chez les hommes. Il ressort que c'est en Europe de l'Est qu'on est le plus friand des gambettes féminines.
D'autres sources de fantasmes
Si les fesses et les seins sont des classiques du genre pour exciter les hommes, d'autres parties du corps peuvent aussi bien susciter le désir chez ces messieurs. Certains peuvent être émoustillés à la vue d'une bouche ou de chevilles. Tout est matière à fantasme, cela dépend des goûts et de l'imagination de chacun. "L'imaginaire sexuel et érotique peut s'accrocher à toutes les parties du corps voire des objets extérieurs", nous confirmait Joëlle Mignot, psychologue et sexologue clinicienne sur ce sujet.
Le palmarès des positions sexuelles les plus dangereuses pour les hommes
L'Andromaque serait en cause dans près de 50% des cas de fracture du pénis.
Les joies du coït… et ses déconvenues. Selon une étude parue dans la revue Advances in Urology, certaines positions sexuelles mettraient particulièrement l’homme en péril. A commencer par l’Andromaque - lorsque la femme est sur l'homme pendant le coït – qui serait la première cause de fracture du pénis. Les auteurs de l’étude ont analysé les causes de cette blessure, aussi appelée "faux pas du coït". Ils ont épluché treize années de données sur des patients pris en charge aux urgences de Campaninas, au Brésil.
Selon leurs travaux, 50% des fractures du pénis seraient dues à la position de l’Andromaque, contre 29% pour la levrette et 21% pour le missionnaire. C’est donc lorsque la femme se place au-dessus de l’homme que le couple prend le plus de risques. Les trois quarts des accidents recensés dans l’étude ont eu lieu au cours d’ébats hétérosexuels, contre seulement quatre cas chez couples homosexuels. Six blessures sont dues à une "manipulation du pénis", et quatre à des "circonstances peu claires". Sur les 44 cas recensés, la moitié a raconté avoir entendu un "crack", avant de ressentir une souffrance intense accompagnée d’un gonflement de la verge chez certains.
Pour autant, une part considérable des patients auraient attendu jusqu’à six heures avant de solliciter une aide médicale. "La fracture du pénis est une condition clinique assez rare qui provoque souvent de la peur et de la gêne, expliquent les scientifiques. Cela peut conduire à ralentir le recours à un médecin et aboutir à des déficiences sexuelles".
Mais ne soyez pas effrayés messieurs. Cet accident resterait relativement rare.
Les raisons pour lesquelles les hommes ne veulent pas faire l’amour
L’homme n’a parfois pas envie de faire l’amour. Catherine Solano, sexologue vous décode les raisons de la baisse de la libido de votre partenaire.
Un dysfonctionnement sexuel
Trouble de l’érection et éjaculation précoce sont des freins fréquents au désir des hommes. Même occasionnels, ces dysfonctionnements empêchent votre partenaire de se sentir épanoui dans la relation sexuelle. La peur de vous décevoir sera plus forte que son désir et l’envie d’avoir des rapports sexuels avec vous. Il fera tout pour les éviter et se trouver confronté à ses problèmes.
Qu’ils soient occasionnels ou s’inscrivent la durée, ces troubles peuvent se réguler et se soigner par des médicaments ou des exercices physiques spécifiques. Ce que vous pouvez faire : dans un couple, il est toujours essentiel de communiquer, rappelle la sexologue Catherine Solano. Même si ce sujet est difficile et sensible, essayez d’analyser si ce problème est récent, exceptionnel ou s’il s’inscrit dans la durée. Tentez de dédramatiser, de conforter votre partenaire, de proposer des relations sexuelles sans pénétration pour le rassurer. Si les troubles sont plus profonds, il est essentiel que votre partenaire aille consulter un médecin spécialisé.
La fatigue et le stress
Les hommes peuvent aussi être fatigués ! Et la baisse d’énergie nuit à leur sexualité et à leur libido. Le stress et les angoisses peuvent aussi bloquer le désir de votre homme. Ce que vous pouvez faire : Catherine Solano recommande de ne jamais perdre le contact physique avec votre partenaire. Si votre partenaire est fatigué, pourquoi ne pas le dorloter, le caresser, lui faire plaisir, le câliner…. Rassurez-vous, après quelques bonnes nuits de repos, votre partenaire aura retrouvé sa libido et son énergie pour vous combler de plaisir. Si la fatigue persiste, il est recommandé de consulter un médecin. Si votre partenaire est stressé, soyez à l’écoute de ses problèmes, mais hors de la chambre à coucher. Votre lit doit rester un lieu de plaisir, de confort et de désir.
Les médicaments et la maladie
La dépression est la première cause de la baisse de la libido chez l’homme. Mais elle peut aussi causer des troubles de l’érection, et l’incapacité à atteindre l’orgasme. La prise de certains médicaments a souvent comme effet secondaire la baisse voir la perte de désir sexuel. Ce que vous pouvez faire : demander à votre partenaire de consulter un spécialiste et au médecin de modifier le traitement.
Le manque de confiance en soi
Sans vous en rendre compte, peut-être avez-vous au cours de vos relations sexuels induit une forme de castration, imposé un désir de performance, communiqué des réflexions négatives, critiqué vos câlins. La medecin sexologue Catherine Solano rappelle que « toutes ces situations engendrent chez votre partenaire une baisse de confiance en lui, et une peur de ne pas être à la hauteur. Donc un rejet des rapports sexuels ». Ce que vous pouvez faire : S’il y a bien un registre où la notion de performance ne doit jamais apparaître, ce sont les relations sexuelles. Vous échangez avec un partenaire et non avec un performeur. Dans votre couple, soyez à la recherche de la confiance, du plaisir partagé, de l’échange et de l’attachement physique. L’orgasme suivra et les relations sexuelles épanouies aussi
Un abus de pornographie
D’après la sexologue Catherine Solano, la surconsommation de pornographie n’est pas forcement bonne pour les relations sexuelles d’un couple. En effet, trop de pornographie déforme la vision de la sexualité. Si votre partenaire abuse de la pornographie, les relations sexuelles « normales » ne lui feront plus envie, il aura besoin de stimulations fortes pour alimenter son désir. De plus si la vague pornographique induit de nouvelles expérimentations, plus "libérées", elle peut aussi renforcer l'angoisse de performance des hommes. Ce que vous pouvez faire : Même si le sujet est délicat, essayez de comprendre la motivation de votre partenaire à regarder des films pornographiques (pourquoi ne pas en regarder un avec lui ?) et tentez de rétablir le contact charnel et sexuel dans votre couple.
Votre partenaire a des pratiques sexuelles déviantes
Votre partenaire peut vous aimer, mais sa sexualité est différente. Catherine Solano explique que « si votre partenaire est paraphile, il ne peut pas avoir de désir sexuel autrement que dans le cadre de sa perversion (Sado-masochisme, fétichisme, voyeurisme…). Ce que vous pouvez faire : pas grande chose… à moins d’avoir les mêmes perversions sexuelles.
Des émotions négatives
Parfois les émotions négatives (jalousie, colère, tristesse, irritation..) sont plus fortes que le désir. Si votre partenaire éprouve du ressentiment envers vous, il va être plus fermé, et ne voudra pas communiquer avec vous, même de manière sexuelle. Ce que vous pouvez faire : si vous connaissez bien votre partenaire, et décelez les raisons de cette irritation, désamorcez rapidement la situation pour qu’elle ne s’envenime pas. Surtout ne vous renfermez pas aussi dans une situation de rejet. Vous entreriez dans un cercle vicieux.
La démotivation
Dans un couple, on est deux ! L’homme ne doit pas forcement être lui seul le moteur de votre sexualité. Votre démotivation peut l’avoir à terme découragé. Vos refus ont peut-être réussi à faire baisser sa libido. Votre manque d’intérêt pendant les rapports sexuels peuvent aussi générer la lassitude et un manque progressif d’envie. Ce que vous pouvez faire : reprendre des initiatives. Affirmer à votre partenaire votre désir, montrer lui vos envies et sautez lui dessus ! Pendant vos relations sexuelles, soyez communicative, et exprimer votre plaisir. Votre libido et la sienne seront au beau fixe et vos relations sexuelles seront à nouveau épanouies et équilibrées.
Le manque d’amour
Vote partenaire ne semble plus avoir de désir pour vous. Vous vous demandez si sa baisse de désir n’est pas due à un manque d’amour. Catherine Solano rappelle que « si votre partenaire ne vous aime plus, s’il se détache de vous, ce manque de désir s’inscrira dans un comportement négatif plus global».
Enfin tout dépend de comment c'est fait. La pénétration anale est une chose qu'il faut faire avec douceur. Il faut vous préparer psychologiquement : on respire et on se dé-tend, une fois …plus zen tout se passera pour le mieux.Voici quelques conseils en plus pour bien la réussir : tout d'abord, utilisez du lubrifiant absolument. Évitez la vaseline, beaucoup trop grasse. Proposez à votre partenaire de vous préparer physiquement avec un doigt puis deux pour commencer ou de longues caresses. Ne jamais forcer, si vous ne le sentez pas, laissez tomber. Si la sensation est étonnante et peut-être un peu désagréable lors de la première pénétration, si c'est bien fait, il n'y a aucune raison pour que vous ayez mal. Et donc aucune raison d'avoir peur moins
Enfin tout dépend de comment c'est fait. La pénétration anale est une chose qu'il faut faire avec douceur. Il faut vous préparer psychologiquement : on respire et on se dé-tend, une fois zen tout se passera pour le mieux.
Voici quelques conseils en plus pour bien la réussir : tout d'abord, utilisez du lubrifiant absolument. Évitez la vaseline, beaucoup trop grasse. Proposez à votre partenaire de vous préparer physiquement avec un doigt puis deux pour commencer ou de longues caresses. Ne jamais forcer, si vous ne le sentez pas, laissez tomber. Si la sensation est étonnante et peut-être un peu désagréable lors de la première pénétration, si c'est bien fait, il n'y a aucune raison pour que vous ayez mal. Et donc aucune raison d'avoir peur.
Si vous ressentez des douleurs, ne demandez pas à votre partenaire de se retirer d'un coup, vous allez avoir encore plus mal. Demandez-lui simplement d'arrêter ses va-et-vient et de se retirer tout doucement... Patience requise.
Si vous aimez la sodomie, aucune raison d'avoir honte. Le sexe anal est une pratique qui ne date pas d'hier et il n'y a rien de dégradant la dedans. Il est même étudié à Harvard ! Si la position dite "normale" pour une sodomie, la levrette, vous dérange, tentez-en d'autres. Le missionnaire ou l'amazone peuvent s'avérer toutes aussi bonnes. Cette pratique devient seulement dégradante si, avec votre partenaire, vous la faites par "obligation".
Votre plus grande peur qui vous bloque sur le sexe anal est de laisser passer vos selles pendant l'acte ? Détrompez-vous il y a une infime chance pour que ça arrive. Le pire qu'il puisse vous arrivez, et c'est très rare, est qu'il y ait quelques minuscules résidus sur le phallus de votre partenaire. Mais en général, vous le sentez venir et il vous suffit de stopper votre partenaire gentiment.
Un tiers des Français admet être excité à l’idée d’observer des gens se livrant à des jeux ou des ébats sexuels. 19 % déclarent voir leur désir augmenter à l’idée de se faire surprendre pendant qu’ils font l’amour selon une étude réalisée par l’Ifop, commandée par le site de sexcam CAM4. Le voyeurisme et l’exhibitionnisme font fantasmer mais dans les faits peu de Français s’adonnent à ces pratiques. Pourtant les outils webcams, mobiles et messageries instantanées changent peu à peu la donne comme le révèle l’étude. Live show sexuel, sexting (envoi de photos ou de vidéos d’eux nus ou dénudés), jeux d’exhibition sont aujourd’hui facilités par les nouvelles technologies d’information et Internet, terrain idéal pour accomplir des fantasmes voyeuristes ou exhibitionnistes que l’on ne pouvait pas assouvir dans la vie réelle. Les pratiques sont à la hausse notamment chez les jeunes adultes.
Expériences sexuelles virtuelles
Ainsi les moins de 25 ans ayant déjà fait l’amour virtuellement via une webcam a doublé entre 2009 (9 %) et 2013 (16 %). Les plus de 25 ans, sont eux seulement 8 % à le pratiquer en 2013. Par ailleurs, un jeune sur cinq a déjà visionné en direct un spectacle érotique d’une personne devant sa webcam (live show sexuel), contre 14 % pour les moins de 50 ans. Les expériences sexuelles virtuelles viennent peu à peu enrichir le répertoire sexuel des Français, désireux d’expérimenter des choses nouvelles conclut sobrement l’étude. Entre la démocratisation des sextoys, livres érotiques et webcams, la sexualité des Français se pimentent sérieusement.
Les sites de rencontres permettent-ils de nouer des relations durables ?
Les sites de rencontres permettent-ils de nouer des relations durables ? RelaxNews / Goodluz/shutterstock.com
Malgré la popularité grandissante des sites de rencontres, ils ne représentent peut-être pas la meilleure alternative pour les personnes qui cherchent à se marier, à en croire des chercheurs de la Michigan State University.Une équipe américaine d'East Lansing a examiné des données concernant des couples qui durent et d'autres moins pérennes. Ils ont analysé les réponses de 4.002 participants pour arriver à la conclusion que les personnes qui se rencontrent par l'intermédiaire de sites dédiés étaient moins susceptibles de se marier. Parmi les personnes interrogées, 2.923 étaient soit mariées (64,18%) ou en couple (35,8%), mais seulement 280 de ces couples s'étaient rencontrés en ligne. Huit pour cent des couples mariés qui s'étaient mis ensemble via des sites de rencontres ont rapporté s'être séparés ou avoir divorcé au final, alors que seulement deux pour cent de ceux qui s'étaient rencontrés de façon plus traditionnelle ont connu un divorce ou une séparation. Les chercheurs ont cependant tenu à souligner que la qualité d'une relation était le facteur-clé pour savoir si une relation ou un mariage pouvait durer. "Des qualités qui ont su faire leurs preuves comme la confiance et l'intimité restent cependant d'importants facteurs pour déterminer si un couple va perdurer, peu importe qu'il se rencontre sur un site internet ou non", a noté Brenda K. Wiederhold, rédactrice en chef de la revue Cyberpyschology, Behavior and Social Networking, dans laquelle cette étude est parue. En tous cas, les personnes qui cherchent à multiplier les rencontres ne doivent pas hésiter à se tourner vers les sites, les chercheurs ont en effet trouvé que 96,3% des utilisateurs de sites de rencontres réussissaient à avoir des rendez-vous galants.
Sexe et seins : 5 choses que vous ne saviez pas sur la poitrine
A condition qu'ils soient excités par un partenaire assez doué. Les symptômes avant la prise de volume ? La poitrine rougit, les tétons durcissent, le souffle est court... c'est cet instant où l'orgasme vient. Alors la poitrine gonfle. Et là écoutez bien mesdames, vous pouvez gagner un bonnet supplémentaire. Plaisir et seins plus gros naturellement : qui dit mieux ?
PureTrends - A condition qu'ils soient excités par un partenaire assez doué. Les symptômes avant la prise de volume ? La poitrine rougit, les tétons durcissent, le souffle est court...
Les seins peuvent gagner 25% de volume pendant l'amour.
A condition qu'ils soient excités par un partenaire assez doué. Les symptômes avant la prise de volume ? La poitrine rougit, les tétons durcissent, le souffle est court... c'est cet instant où l'orgasme vient. Alors la poitrine gonfle. Et là écoutez bien mesdames, vous pouvez gagner un bonnet supplémentaire. Plaisir et seins plus gros naturellement : qui dit mieux ? Mesdames et messieurs amateurs de seins pendant le sexe, faites attention à ce que vous faites. Comme le clitoris, la poitrine est une petite chose sensible qui se manie en douceur. Inutile de triturer les tétons, ça ne donnera pas de plaisir à votre partenaire. Au contraire. Les stimuler veut dire y aller en douceur, comme si vous vouliez manier un oeuf mollet sans le casser ou une mozzarella burrata sans qu'elle ne s'éventre (Oui, on a tout le temps faim chez Puretrend : l'univers impitoyable de la mode). Sexe et seins : 5 choses que vous ne saviez pas.
Ce qui peut fortement booster votre vie sexuelle. On appelle ça l'orgasme mammaire. Comme l'explique Alain Héril psychanalyste et sexothérapeute à Doctissimo : "D'un point de vue anatomique, le téton est un organe érectile, comme le clitoris ou encore le sexe masculin... et c'est une zone érogène primaire chez les femmes". Vous vous demandez comme on y arrive ? Si la caresse manuelle peut exciter, il semblerait que la succion de seins soit votre meilleur allié pour déclencher la jouissance. Celle-ci entraîne la production d'ocytocine, hormone de l'orgasme, et de prolactine, une hormone fabriquée au niveau du cerveau. De quoi vous propulser au pays du plaisir. Selon une étude menée par l'Université de Vienne, les petits seins sont plus sensibles que les gros. Et donc plus faciles à stimuler. Ce qui induit que les 85B peuvent espérer atteindre plus facilement l'orgasme mammaire que les gros bonnets.
Sexe et poil : entre plaisir et esthétique, ce que vous ignoriez (ou pas)
Vous riez ? Et bien sachez qu'au pays du Soleil Levant les poils de la foufoune ont une popularité incroyable, qu'ils sont symboles de fécondité et jouent même le rôle de signaux sexuels. Pour espérer faire l'amour avec Takeya (qui signifie "bonne compagnie" en japonais), il faudra donc miser sur une toison libérée. Voire jamais taillée pour monter directement au 7e ciel. Et faire du même coup des jumeaux comme Charlène de Monaco.
Mesdames cessez donc de pestiférer contre vos poils. S'ils sont là, ce n'est pas pour vous embêter, mais pour des raisons hygiéniques. Dame Nature a pensé à protéger votre "grotte d'amour" (surnom donné par les Allemands) des méchants microbes en la recouvrant d'une belle fourrure (plus glamour tout de suite). Mais les poils pubiens ont aussi un grand pouvoir érotique. A la vue et à l'odeur. Selon le livre de Ann-Marlene Henning & Tina Bremer-Olszewski "Make love, une éducation sexuelle", ils auraient même une odeur de musc. Cette senteur aurait un effet d'aimant sur le sexe opposé.
C'est doux pour éviter les sensations de brûlure liées au frottement pendant l'acte. A contrario d'un pubis entièrement rasé (= effet râpe à fromage) qui pique 12h seulement après lui avoir offert un grand ménage de printemps comme la barbe naissante de votre moitié.
Dico du sexe : ces mots que (comme nous) vous ne connaissez peut-être pas - le "petit guide de sexologie et des pratiques sexuelles", où plus de 400 termes liés au sexe, sont explicités par la sexologue Magali Croset-Calisto. Et voici les huit nouveaux mots qui rentreront (ou pas) dans notre nouveau vocabulaire.
En feuilletant les pages de ce guide, on comprend qu’en quelques décennies, les pratiques sexuelles (et donc le vocabulaire), ont énormément évolué dans notre société mondialisée, ultra-connectée, et toujours plus curieuse de nouvelles expériences. Et que la sexualité s’avère infiniment plus variée et imaginative qu’on ne l’aurait pensé !
Acomoclitisme (n,m) : attirance pour les sexes épilés. L’acomoclitisme relève de l’attrait visuel envers les sexes intégralement rasés ou épilés. Variable selon les époques, cette tendance est très en vogue depuis les années 2000, via l’essor de la diffusion du porno. Cette attirance peut tendre vers le fétichisme lorsque les pubis glabres, masculins ou féminins, deviennent la principale source d’excitation sexuelle.
Axilisme (n,m) : se dit du fétichisme des aisselles. L’axilisme est une pratique sexuelle consistant à se masturber à l’aide des aisselles de son partenaire ou bien à supporter cette partie du corps par le frottement.
Bukkake (n, f) : terme japonais issu originellement de la tradition culinaire asiatique. Dans le domaine de la pornographie, il désigne une pratique éjaculatoire de groupe. Cette pratique apparue dans les films pornos japonais des années 90 est désormais fréquente dans la pornographie occidentale. Elle met en scène un groupe d’hommes se masturbant autour d’une personne en vue d’éjaculer les uns après les autres sur son corps, voire sur son visage.
Mysophilie (n, f) : pulsions, fantasmes et comportements marqués et persistants qui impliquent la recherche et l’obtention d’une excitation sexuelle… par le contact des ordures.
Petting (n, m): pratique consistant en des caresses sur l’ensemble du corps, excluant toute forme de coït. Le petting peut être conseillé par un sexologue comme exercice lors d’un traitement thérapeutique contre l’éjaculation précoce.
Picazisme (n, m) : état d’excitation d’une personne provoqué par les odeurs et les sécrétions corporelles qu’émet son ou sa partenaire.
Trichophilie (n, f) : il s’agit d’une attirance sexuelle envers la pilosité. Un trichophile peut observer une prédilection particulière pour la chevelure ou la toison pubienne de sa partenaire.
Vajazzling (n,m) : nouvelle pratique originaire d’Outre-Atlantique, le vajazzling consiste en une incrustation vaginale. Le sexe féminin est épilé puis paré de petits strass autocollants en vue d’une ornementation vaginale scintillante. Le terme viendrait de l’anglais "bedazzle" et "vagina", et est souvent traduit par "éblouissement vaginal".
Près des trois quarts des femmes ont déjà simulé un orgasme avec leur mari . De nombreux hommes (66%) avouent être incapables de savoir si leur conjointe a atteint l'orgasme lors de leur dernier rapport sexuel. Et ils ont bien raison de se poser des questions, puisque 73% de ces dames disent clairement avoir déjà simulé, indique une étude du site de rencontres extra-conjugales AshleyMadison.com.
L'orgasme féminin demeure un mystère pour les hommes selon 85% des femmes qui estiment que leurs maris sont incapables de savoir si elles ont atteint le niveau de l'extase. Une proportion à mettre en regard avec les 66% d'hommes interrogés qui partagent le même avis.
Mais la question de l'orgasme deviendrait plus limpide lorsqu'un homme ou une femme a une aventure extra-conjugale. 67,3% de ces messieurs pensent en effet que leur maîtresse a bel et bien joui lors de leur dernier ébat sexuel, tandis que 77,2% des femmes qui trompent leur mari ont bien eu un orgasme avec leur amant.
Ce sondage a été réalisé auprès de 41 967 membres du site AshleyMadison.com.
Comment rendre un homme fou de plaisir ? Comment partager ce moment avec sa compagne ?
Quand on demande à un homme ce qu'il préfère dans le sexe, la fellation revient souvent en première place – si l'on excepte le fantasme largement répandu qui est celui d'avoir une relation avec deux femmes en même temps ! Et pour une fois, Nephael s'adresse aux femmes dans sa vidéo en expliquant comment bien faire une petite gâterie. Sans oublier de répondre aux internautes qui se posent des questions sur cette délicieuse pratique ! Une question de timing... et de pratique !
Ambiance, mouvement et rythme... Tels sont les 3 facteurs déterminants pour prendre un maximum de plaisir lors d'une fellation. Et ceci est vrai tant pour les hommes que pour les femmes. Car plus qu'un plaisir masculin, cette pratique sexuelle doit être envisagée comme une pratique de couple.
L’épilation ou le rasage intime, c’est un sujet sérieux !
Rasage ou épilation intime… Voici un sujet épineux sur lequel de nombreux hommes se posent des questions. Mais c’est vrai, ça : comment se raser le pubis ?
Un pubis propre et sexy, c’est un pubis bien rasé ! Réussir toutefois cette opération délicate demande des gestes précis et expérimentés… Voici quelques règles pour accomplir parfaitement votre rasage intime.
Avant le rasage
Le rasage du pubis est plus aisé après lubrification des poils, car l’eau a un effet épaississant et adoucissant sur eux. Donc, à défaut d’un bain chaud, il faut « lubrifier » les poils à l’eau tiède. Ensuite, surtout quand les poils sont longs, il est bon de les tailler court à l’aide d’une petite paire de ciseaux. On passe, après cette étape, à l’application de mousse à raser ou de gel, puis au rasage. À la fin, le pubis doit être nettoyé au savon puis recouvert de crème hydratante ou de talc pour éviter les irritations.
La technique de rasage
Se raser le pubis est un geste qui doit s’effectuer lentement et doucement, dans le sens des poils. Pour les parties difficiles – et notamment en se rapprochant des testicules –, il est nécessaire d’étirer la peau, mais toujours en douceur. Lorsque le rasage se rapproche de la peau (rasage de près), on le réalise de la gauche vers la droite. C’est néanmoins les poils qu’on rase, pas la peau... Il n’est pas nécessaire de forcer quand les poils ont déjà une taille réduite.
Les gestes à éviter
Un rasage trop fréquent accroît les risques d’irritation, de rougeurs et de boutons. Au début, il est indiqué d’espacer les rasages d’une période de 5 jours. Par ailleurs, ne pas faire usage de mousse de rasage pour le pubis favorise les coupures et les infections. Enfin, les crèmes hydratantes qui comportent des colorants ou du parfum sont à éviter.
Films X : la nouvelle tendance pour pimenter sa vie sexuelle
Si je vous dis Katsumi, Lexington Steele ou Jesse Jane, ça vous parle ? Si vous connaissez ces acteurs, vous faites sans doute partie des 41 % de femmes à avoir déjà vu un film X. Une proportion qui s’est multipliée par dix depuis 2005...
Selon une récente étude Ifop/Tukif.com, il semblerait que nous soyons de plus en plus décomplexés vis-à-vis de la pornographie… A l’heure actuelle, 60 % des Français ont déjà surfé sur un site pornographique, contre 39 % en 2009 et 17 % en 2005. Un quart des personnes interrogées déclarent même regarder des films X chaque semaine – et 39 % en regardent au moins une fois par mois ! Et il faut croire que ça inspire, puisque 47 % des spectateurs ont déjà tenté de rejouer les scènes avec leurs partenaires, proportion encore plus importante chez les moins de 25 ans. Une bonne façon de pimenter ses ébats et d’essayer de nouvelles positions. Certains vont même jusqu’à filmer leurs parties de jambe en l’air, et de nombreuses jeunes femmes optent pour l’épilation intégrale – presque la moitié des moins de 25 ans. A l’heure où l’éducation sexuelle à l’école fait polémique, on pourrait pourtant comprendre son intérêt. Car visionner des films X pour trouver des idées coquines, c’est génial pour donner un coup de frais à son couple. Mais s’en servir pour apprendre l’art des galipettes, faute d’autre source de connaissances, c’est plutôt réducteur : le risque étant d’oublier le côté tendresse des câlins…
Qu'est-ce qui excite vraiment les femmes ? Sûrement pas ce qu'on nous fait croire encore en 2014. De sérieuses études le prouvent : nous aussi avons l'animalité chevillée au creux des reins. De notre prétendu besoin de tendresse à notre fidélité légendaire, stop à des siècles d'idées reçues.
La libido féminine
La libido féminine dérange. Pire : on la craint. Qui, pourquoi ? Un homme répond : « Pourquoi maintenons-nous le désir des femmes sous une chape de plomb ? Les hommes ont peur : si cette boîte de Pandore s'ouvre, si nous perdons le contrôle, nous allons tous être cocus. L'intérieur de la boîte nous effraie. » James Pfaus est pourtant très informé, c'est un éminent chercheur en neurobiologie du comportement sexuel à l'Université Concordia, à Montréal - c'est dire le niveau d'angoisse... Sur ce terreau prospèrent à l'envi les mythes foireux et les diktats sociaux immuables depuis des siècles, laissant accroire que la libido féminine serait un filet d'eau tiède, plus doucereuse que volcanique, se réchauffant aux seuls feux de l'amour. Dans l'inconscient collectif, le raccourci est vite fait : sexualité féminine libre et libérée = batifolage, voire désordre social. De fait, les femmes portent les enfants et font donc « courir le risque » d'une filiation bâtarde. Oui, en 2014, on en est encore là, bien que beaucoup s'en défendent. Stop ! Il est grand temps de tordre le cou aux idées reçues erronées. Le journaliste américain Daniel Bergner s'y est attelé, dans « Que veulent les femmes ? » (éd. Hugo Doc), en compilant ses huit années d'investigation sur la sexualité féminine. Voici la vérité.
Exitations multiples
Et si on embarquait pour une expérience de lâcher-prise sexuel total, sans tabous ni pudeur, afin de lever le voile sur le véritable starter de l'excitation féminine ? Aux commandes, Meredith Chivers, professeure de psychologie à la Queen's University de Kingston (Canada). Elle a convié des femmes à visionner sept films érotiques de 90 secondes. Tandis qu'elles sont installées dans un fauteuil, une fine sonde de 5 cm de long est placée dans leur vagin. Mission : mesurer l'afflux sanguin vaginal, lequel s'intensifie proportionnellement à l'excitation sexuelle. Ce qui déclenche, en réaction, la lubrification des muqueuses. « De cette manière, on cerne au plus près ce qui, au niveau primaire, excite les femmes, car les barrières mentales sont contournées », indique la spécialiste. Visualisons les films en question. Le premier met en scène une femme nue allongée dans un bois. Son amant, aux muscles saillants et aux cheveux ras, la pénètre avec vigueur. Il est militaire. Pour accélérer son va-et-vient en elle, il prend appui sur ses bras, et la caméra s'attarde sur ses fesses tendues sous l'action. La femme noue ses jambes autour de sa taille et finit par agripper ses bras dans le plaisir. Fin de la séquence. Pour remettre à zéro le curseur de l'excitation potentielle avant la projection suivante, on projette aux « cobayes » des images, neutres, de montagnes. Deuxième film : un homme nu à la plastique sculpturale disons Bradley Cooper ou Teddy Riner marche sur une plage. Son sexe, au repos, balance d'une cuisse à l'autre. Le geste de lancer des galets fait saillir ses muscles. Zoom sur son bas-ventre quand, bravant le danger, il longe à pas vifs l'arête d'une falaise. Troisième film : une femme est assise, nue, sur le rebord d'une baignoire. Plans serrés sur ses seins, beaux et lourds, aux aréoles sombres. Une seconde femme sort de la baignoire, cheveux et corps ruisselants. Aussitôt elle enfouit son visage entre les cuisses de la première et s'adonne à un cunnilingus voluptueux. Ainsi se succèdent une fellation passionnée entre hommes, des scènes de masturbation féminine et masculine, une sodomie gay, une pénétration lesbienne... Clou du show, le septième film : un couple de singes bonobos joue dans une prairie. Subitement, la femelle se laisse tomber sur le dos et lève les pattes, le mâle la pénètre illico et adopte un rythme endiablé. La femelle déploie ses bras derrière sa tête. Conclusions de l'expérience ? Toutes les femmes ont été instantanément émoustillées par chacun des scénarios, bonobos compris... A un détail près : l'homme nu sur la plage a suscité une excitation moindre que les singes en rut. Quant aux lesbiennes, leur afflux sanguin vaginal a connu une sérieuse inflation devant les scènes de fellations et de sodomies masculines. Traduction : « L'excitation sexuelle féminine est totalement anarchique et affiche des tendances omnivores. Ce qui signe l'animalité d'une pulsion primitive dans le désir féminin. » Là où les choses se corsent, c'est que toutes les « cobayes » ont déclaré sur une tablette numérique qui leur était remise ne pas avoir été excitées du tout. Un ressenti intime résolument contradictoire avec les données physiologiques relevées par l'appareil. La psychologue Terri Fisher, de l'Ohio State University, à Mansfield, y voit la preuve d'une censure intériorisée par les femmes après des siècles d'oppression de leur plaisir : « Etre un humain sexué, à qui on permet d'être actif sexuellement, est une liberté que la société accorde plus facilement aux hommes qu'aux femmes. La répression imposée aux femmes a laissé des traces. »
Pas besoin d'amour
Il est des clichés qui s'accrochent comme une bernique sur un rocher : l'osmose émotionnelle, la réassurance, la confiance et les sentiments comme indispensables aphrodisiaques féminins sont de ceux-là. Oui, cela compte. Parfois. Mais pas toujours... Cette fois-ci, l'expérience passe par des pornos sonores. Parmi les scénarios à fantasmer : Ryan Gosling ou Idris Elba, en agent immobilier à la virilité trépidante, vous fait visiter un appartement ; vous ne résistez pas, et le parquet devient le terrain d'ébats ébouriffants. Une inconnue, moulée dans une robe torride, vous suit chez vous et referme la porte à clé. Une autre, dans le vestiaire de votre salle de sport, essuie son corps au sortir de la douche en vous fixant dans les yeux. Un copain, de passage pour le week-end, s'exhibe nu dans l'appartement. Votre amant(e) officiel(le) rentre avec un bouquet de fleurs. Votre meilleure amie essaie de la lingerie qui galbe ses courbes. Résultat : la perspective d'un corps à corps enflammé avec un homme ou une femme totalement inconnu(e), dans une situation imprévue, décroche la palme du désir impérieux et débride littéralement la libido féminine. Sachant que l'inconnu mâle s'avère huit fois plus excitant que les autres. En troisième position s'imposent les jeux sexuels avec une amie connue. L'amant officiel est largement distancé ; quant au copain de longue date, il ne suscite aucun attrait sexuel. « L'érotisme fonctionne le mieux dans l'imprévu et avec des inconnus », résume la Pre Chivers.
Jouir des yeux
Non, les femmes ne sont pas de pures affectives émotionnelles qui laisseraient aux seuls hommes le plaisir de jouir de ce qu'ils voient dans leurs étreintes, comme le confie Nathalie, 47 ans : « Quand je défais sa ceinture, j'aime deviner son sexe bandé sous le tissu du caleçon, et je guette cet instant où il va surgir pour moi, la veine principale palpitante de désir. Il n'est jamais tout à fait le même, je touche, j'embrasse, je lèche, j'aime me dire que ce bronze puissant enveloppé de soie fragile, que je regarde, va renverser mes sens. » Une appétence visuelle que confirme Kim Wallen, chercheur en neuropsychologie à l'Emory University, à Atlanta. Armé de logiciels neuro-mathématiques, il a mesuré le temps et le degré d'observation d'hommes et de femmes regardant des photos érotiques, afin de définir l'intérêt qu'elles suscitaient chez eux. Résultat : les femmes les ont scrutées avec autant d'audace et aussi intensément que les hommes. De son côté, la Pre Chivers a soumis des gros plans de pénis au repos et en érection, ainsi que de vulves en partie cachées par les cuisses, puis largement offertes à des femmes hétérosexuelles. Effet immédiat constaté : afflux sanguin record dans les muqueuses vaginales, et donc excitation optimale, devant le sexe en érection. Une ultra-réactivité visuelle qui apporte « une preuve de plus que le désir féminin, à la base, est tout ce qu'il y a de plus animal »...
Ëtre objet de désir
« Au cœur de la libido féminine, on trouve le besoin d'être l'objet de tous les désirs pour désirer en retour. Le narcissisme, c'est l'étincelle du désir féminin. Le véritable orgasme, c'est d'être désirée », plaide Marta Meana, ancienne présidente de la Société pour la recherche et la thérapie sexuelles, docteure en psychologie à l'Université du Nevada, à Las Vegas. Pour parvenir à ces conclusions, elle a conduit des expériences avec un appareil quasi ophtalmologique. Les femmes y posent le menton, et l'appareil enregistre, à la milliseconde près, toute oscillation de l’œil et, de fait, la façon dont il scrute les images, tandis qu'elles visionnent un film X ou des photos scénarisant des préliminaires sexuels. Conclusion : les femmes s'attardent sur le visage et le corps des femmes, mais avec nettement plus d'insistance sur les expressions manifestes et significatives du désir de l'homme pour sa partenaire. « Le narcissisme attise la libido, sans ça elle s'éteint. C'est ce qui est arrivé à Eileen, une de mes patientes... Son jules ponctuait leurs ébats de : "Ça va ? Est-ce que ça va ?" Certes, il était attentif, mais il n'y avait plus l'élan qui coupe le souffle, plus de ruée incontrôlable, plus d'assaut animal... bref, aucun signe que son désir pour elle l'emportait, lui, comme une vague irrépressible. »
"Le rêve de fusion totale et comblante avec son partenaire est une idée fausse, au féminin comme au masculin." Marta Meana, psychologue
Pauline, 41 ans, a procédé au jeu inverse : « J'ai eu envie de tout lui donner quand j'ai vu qu'il me voulait, moi, au point de peiner à canaliser son désir. Il avait le souffle court, une impatience un peu bestiale. Je n'ai rien raisonné, ç'a été comme une pulsion-réaction, une sorte de pilotage automatique primal, je me suis sentie femelle comme jamais, arrimée à son sexe. » En fait, si le narcissisme touche si puissamment le désir féminin, c'est aussi « parce qu'il s'inscrit dans une forme de retour au lien primitif et archaïque des femmes avec leur mère. Les femmes portent inconsciemment le désir impossible qu'elles ont ressenti un jour pour le corps de leur mère. En étant l'objet de tous les désirs, elles acquièrent l'omnipotence érotique de leur mère », décrypte la Dre Meana.
Fusion, l'antilibido
« La libido étouffe sous un trop-plein d'intimité, comme le feu sous la cendre. Pour exister, le désir a besoin d'une certaine distance avec l'autre, insiste la Dre Meana. Par définition, un objet de désir n'est pas immédiatement accessible. Le rêve de fusion, totale et comblante, avec son partenaire, est une idée fausse. Se fondre dans l'autre signifie qu'il n'y a plus de terrain de conquête, ni de mystère suffisant pour dégoupiller la flamme pulsionnelle du désir. Cela vaut au féminin comme au masculin : les femmes ne sont pas plus "câblées" que les hommes pour l'intimité. » Comme en témoigne Rania : « J'aime Erwan, je suis attachée à lui, nous ne faisons qu'un, mais c'est comme si on m'avait volé ma libido. Mon ex, Kader, n'était jamais là où je l'attendais, au sens propre comme au figuré, et le fond de mon ventre lui a toujours répondu du tac au tac. Il arrivait sans prévenir, en pleine nuit, il me collait contre le mur, me mordillait les seins et me prenait en écartant ma culotte brutalement. Quelque chose d'instinctif me connectait à lui. Avec Erwan, on est trop proches. » Ce que la Dre Meana conclut d'un : « Pour qu'il y ait érotisation, il faut qu'il y ait un "autre". »
Le goût de l'infidélité
« La monogamie des femmes est un des idéaux les plus profondément ancrés dans notre culture, rappelle Daniel Bergner. Cela a permis à des générations d'hommes d'anesthésier leur angoisse d'être trompés. » Et tous les chercheurs s'accordent à dire que la libido féminine n'est pas plus « programmée » pour la fidélité que la libido masculine. A l'appui de ce consensus, leurs observations cliniques, faute d'études scientifiques. La tendance au butinage est largement confirmée chez la guenon et la rate, mais transposer tout de go ces résultats chez les femmes frigorifie de réticences les chercheurs les plus audacieux. La Dre Meana évoque néanmoins une étude allemande montrant que le désir féminin s'évanouit plus vite que celui des hommes et que nombre de femmes s'ennuient au lit après quelques années d'union : « A l'intérieur des barrières de la fidélité, le pétillant besoin d'être désirée perd constamment de sa vigueur. Car la femme comprend que son partenaire est pris au piège et que son mâle désir n'a plus à choisir de la choisir mais qu'il se "doit" de la choisir. » L'écrivaine Françoise Simpère, auteure du « Guide des amours plurielles » (éd. Pocket), confirme : « L'exclusivité sexuelle ne me semble pas faire partie de la fidélité. S'aimer, ce n'est pas se posséder, et ce qui est formidable avec la non-monogamie, c'est que c'est le plus sûr ferment de l'égalité dans le couple. Si l'homme est volage, et la femme, fidèle, ou l'inverse, tôt ou tard cela explosera. Enfin, n'est-ce pas horriblement prétentieux de dire : "Je suis la (le) seul(e) digne d'être aimé(e) sur les six milliards de Terriens ?"» Lorraine Dennerstein, psychiatre à l'Université de Melbourne (Australie), va plus loin : la monogamie a-t-elle un effet délétère sur la libido féminine ? Pour y répondre, elle s'est penchée sur l'histoire de centaines de femmes âgées de 40 à 55 ans, et son constat est sans appel : « A l'heure où le tango hormonal féminin s'essouffle ce qui peut induire, chez certaines, une baisse de libido , il s'avère clairement que les émotions sexuelles ressenties par celles qui vivent une relation nouvelle dégomment haut la main les facteurs hormonaux, supposés pénalisants pour la libido. » Conclusion : les théories évolutionnistes peuvent aller se rhabiller ! Celles-là même qui entretiennent l'idée que l'homme le mâle aurait besoin, animalité originelle oblige, d'un grand nombre de partenaires pour diffuser sa semence et pérenniser ses gènes, tandis que la femme - la femelle - n'aurait besoin que d'un seul mâle protecteur pour l'accompagner dans l'éducation de sa progéniture. On savait que c'était faux, on en a désormais la preuve. Lorsque le corps féminin exulte, c'est fort de toute son animalité.
Pour en savoir plus sur le sujet, vient également de paraître le « Dictionnaire des sexualités », dirigé par Janine Mossuz-Lavau (éd. Robert Laffont).
"Banshee" : du sexe, de la bagarre, des mormons... et une musique d'enfer. C 'est une pépite à découvrir d'urgence. Diffusée en France sur Canal + Séries, "Banshee" s'est imposée en deux saisons comme l'une des fictions les plus excitantes du moment. Violente, sexy, et incroyablement rock n'roll grâce à une BO du tonnerre.
Ivana Miličević dans la saison 2 de "Banshee".
Banshee, c'est la petite bourgade du Tenessee où un Clyde des temps modernes (Antony Starr), fraîchement sorti de taule, retrouve retrouve sa Bonnie, désormais mariée au procureur local et mère de deux enfants. Par un incroyablement concours de circonstances, notre héros viril prend la place du shérif, Lucas Hood... et tente de reconquérir sa belle (Ivana Miličević), tout en réglant leur compte aux barons locaux. A commencer par Kai Proctor (Ulrich Thomsen), un Mormon qui a lâché la foi au profit du crime organisé... Imaginée par les écrivains Jonathan Tropper et David Schickler, produite par Alan Ball (True Blood, Six Feet Under), Banshee s'est rapidement attirée un public d'accrocs, les "fanshees", grâce à son mélange savoureux de violence et de sexe. Car en prison, Hood a appris à se battre, en mode coriac de chez coriace. Et le bonhomme a beau vouloir renouer avec son ex, il n'est pas du genre à bouder une partie de jambes en l'air.
Un best of rock n'blues jouissif
Mise en scène percutante, jeu d'acteurs jouissif, intrigues pleines de rebondissements... La série diffusée aux Etats-Unis sur Cinémax, petite soeur de HBO, bénéficie également d'une BO du tonnerre, qui donne souvent envie de se précipiter sur Google ou sur iTunes. Si une première compilation vient de sortir aux Etats-Unis, rien n'empêche de découvrir sur Youtube le best of rock n'blues qui ponctue chaque épisode. Parmi les meilleurs morceaux qui ont émaillé les deux premières saisons, diffusée en France sur Canal + Séries, citons "The Mark", du groupe anglais Cold Speks, "Monster" de la jeune chanteuse américaine Meg Myers, "Send Me A Friend" du bluesman Anders Osborne, "Missing Reward" du jeune groupe américain Mt. Royal, ou encore "11", du combo australien Thre Growl. A savourer, en attendant la saison 3, qui n'arrivera qu'en 2015.
Baisse du désir sexuel, le problème numéro 1 des couples
« Mariée depuis 5 ans, nous n’avons pratiquement plus de relations sexuelles. Mon conjoint s’en plaint, mais ne fait pas grand chose pour me séduire … » Qu’on se le dise, le manque de désir est le problème sexuel majeur que les couples rencontrent aujourd’hui. Il est d’ailleurs au cœur des consultations chez les sexologues.
Le sexe, important pour durer
Lorsqu’ils consultent, deux problèmes sont mis en avant : un décalage entre l’envie de l’un et de l’autre, avec évidemment la frustration qui s’ensuit, ou encore la routine qui mine leur sexualité. Dans la plupart des cas, ils ne se sentent pas dans la norme pour leur âge, et ont peur pour leur couple tout simplement. Avec raison. Car le sexe dans la vie d’un couple, il n’y pas que ça d’accord, mais il y a ça ! Et c’est indéniable, c’est une valeur sûre pour sa durée. A contrario, pas ou trop peu de rapports sexuels peut fragiliser la relation. Il est prouvé en effet, que ne plus partager de vie intime favorise à la longue le développement de réactions agressives.
Une hormone de l’amour
Faire lit commun, en revanche, et avoir des relations sexuelles, favorisent une relation harmonieuse et apaisée. Une hormone, sécrétée par le cerveau, l’ocytocine, y serait pour beaucoup. On l’appelle d’ailleurs l’hormone de l’amour… Certaines études ont montré que le taux d’ocytocine atteint son maximum lors des rapports sexuels et bien sûr au moment de l’orgasme. On comprend mieux pourquoi, après avoir fait l’amour, on se sent souvent apaisé, détendu et aussi plus amoureux…
Apprendre à gérer le virage passionnel
Que l’on se rassure toutefois, quand on vit ensemble, la baisse du désir est parfaitement normale. Après les débuts où la passion électrise les corps, tous les couples doivent faire face à un virage passionnel. On estime qu’en général la baisse de désir commence à se faire sentir au bout d’un an et demi de vie commune, deux ans au maximum. Il faut l’accepter, et surtout apprendre à le gérer. Car toute sexualité peut être heureuse, à condition de prendre du temps pour se séduire, échanger, s’accorder de l’attention, avoir des occupations et du plaisir ensemble. En clair, ne pas reléguer le sexe en dernière place de ses préoccupations, ce qui arrive souvent dans une vie quotidienne souvent bien remplie.
Le désir, ça s’entretient tout simplement
En matière de sexualité, comme dans d’autres domaines, l’homme et la femme ont un rôle à jouer bien sûr. L’interaction sera réussie si celui qui a le plus de désir accepte de dépenser un peu d’énergie pour donner envie à l’autre. La séduction reste la clef de voûte d’une relation amoureuse réussie. Mais comme l'homme, c’est vrai, est souvent plus demandeur, alors à lui peut-être de donner envie à sa compagne… Et à la femme bien sûr de jouer le jeu aussi ! Alors, surtout ne baissez pas les bras, l’investissement, soyez-en sûr, paiera. Le couple le plus souvent se retrouvera.
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Commentaires (2)
1.diane08/10/2021
Bonjour on m'appelle diane mère de deux jolie filles cela fait un mois j'ai vue sur internet une dame qui parlais d'un homme spirituel répondant au nom de maitre zokli qui la aider a faire revenir son mari étant dans le même problème j'ai décider d'en parler a ce même maître mais avant j'ai faire des recherche sur ce maître car j’étais septique a ces genres de choses. Bref après 7jours de séance de travaux spirituel j’étais a la maison avec mes enfants quand quelqu'un frappais a la porte avec force j'y croyait pas a mes yeux mon mari qui était partis est revenu au complet depuis ce jour j'affirme ma satisfaction totale. Je fais ce témoignage pour remercier ce maître et pour lui de me pardonner d'avoir douté de lui au début des travaux car j’étais impatient de voir mon homme revenu a la maison. Si vous aussi vous êtes dans le même problème veuillez le contacter il peut aussi vous aidez.il intervient dans les domaines suivants
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adresse mail : maitrezokli@hotmail.com
SiteWeb: https://www.retouraffectif-zokli.com/
https://www.youtube.com/watch?v=SvTsoynMEkk
https://www.youtube.com/watch?v=SqXawS_LhMc
https://www.youtube.com/watch?v=d2pk9zCj4kE
vous pouvez l'appeler directement ou l'Ecrire sur whatsapp au +229 61 79 46 97
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