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Actualité sexy

Actualité sexy.


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Elisa Meliani topless : elle dévoile son envoutante silhouette

 

Instagram regorge d’influenceuses ayant bien compris qu’un public fidèle était avant toute chose un public conquis. Et quel meilleur moyen de ravir les coeurs des curieux et curieuses qu’en dévoilant subtilement son anatomie. À ce petit jeu, les américaines sont particulièrement efficaces : Emily Ratajkowski, Kylie Jenner, Bella Thorne… Mais heureusement, nos beautés hexagonales sont également à la fête ! Clara Morgane et sa soeur Alexandra, les soeurs Marine et Océane el Himer, les soeurs Tantot… décidément, les sorories ont la côte ! C’est pour cela qu’Elisa Meliani est un cas à part. La trentenaire, connue pour avoir été la compagne de Gad Elmaleh, est également l’une des mannequins les plus connus de l’Hexagone. Elle commence sa carrière en prêtant son affriolante silhouette à la célèbre campagne de la marque de lingerie Aubade avant de s’exiler outre-atlantique et de poser pour les magazines Playboy et Treats ! Après une incursion au cinéma, elle se fait remarquer en 2015 lorsque Kendall Jenner publie l’une de ses photographies sur son compte Instagram. Ses millions de fans découvrent alors l’étourdissante Française. Le succès ne fait que commencer.

Très active sur Instagram, Elisa Meliani prend un malin plaisir à dévoiler ses courbes vertigineuses avec un plaisir non feint. Les internautes ont ainsi pu la découvrir sous toutes les coutures, avec ou sans lingerie, sur la plage ou dans son bain…


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Lips, enfin un réseau social sans censure ?

Alors que Facebook et Instagram interdisent la nudité et que les conditions d'utilisation de Twitter pourraient se durcir d'ici peu concernant les photos suggestives, un nouveau réseau social entend proposer aux internautes un espace garanti sans la moindre censure, et avec une grande bienveillance envers les travailleurs et travailleuses du sexe.

Les problèmes de censure sur les réseaux sociaux font débat depuis de nombreuses années. Sur Facebook et Instagram – qui appartient à Facebook – la position est claire : la nudité frontale est interdite. Pas question de montrer des parties génitales, ou encore, comble du sexisme, des tétons d'un corps féminin, parfois même en dessin. Résultat, on ne compte plus les posts qui ont été censurés, les comptes qui ont été bloqués, y compris lorsqu'ils avaient publié des photos pour la bonne cause, comme la lutte contre le cancer du sein, par exemple. La pornographie, elle, y est totalement interdite.

Du côté de Twitter, les choses sont un peu plus ouvertes. La nudité frontale est autorisée dans les publications, mais interdite dans les photos de profil ou dans les bannières de ces derniers. Dans ses conditions d'utilisation, la plateforme indique : "Nous comprenons que certaines personnes ne veulent pas être exposées à du contenu sensible, c'est pourquoi nous essayons de trouver un équilibre entre les personnes qui veulent en poster, et celles qui ne veulent pas les voir." Conséquence : les personnes qui souhaitent publier du contenu non-censuré (modèles, photographes, travailleurs et travailleuses du sexe, sites pornographiques...) doivent cocher une case dans les paramètres de leurs comptes, indiquant qu'ils comptent poster du contenu graphique, ce qui permettra d'afficher un message d'alerte pour les personnes ne souhaitant pas voir les contenus en question.

Lips, un réseau social sans la moindre censure ?

Toutefois, on ne compte plus le nombre de comptes de travailleurs et travailleuses du sexe qui ont été bloqués au cours des derniers mois. Pour les concerné·e·s, il s'agit d'une double peine : non seulement ils et elles sont une fois de plus invisibilisés, mais en prime, ils perdent tous les abonnements, tous leurs abonnés et toute leur visibilité, ce qui peut représenter un vrai coup dur pour leur profession. "Actuellement, les réseaux sociaux ne font pas de différence entre l'expression sexuelle et l'exploitation sexuelle", regrette Val Elefante, la community manager de Lips, dans une tribune publiée sur le site Medium.

Lips, c'est le nouveau réseau social lancé en juin 2020, dans une relative discrétion, mais qui commence à faire parler de lui. Pour cause : cette plateforme entend briser les tabous autour de la censure des corps dénudés des femmes, du travail du sexe et de l'invisibilisation des personnes issues de la communauté LGBTQIA+. Elle a été créée par des personnes qui se décrivent comme des artistes, des créateurs et créatrices issus de ces milieux marginalisés, et qui en avaient ras-le-bol de la censure et du harcèlement qu'ils et elles subissaient sur les plateformes mainstream. D'où l'idée de fonder une alternative à Instagram, qui ne serait pas basée sur les valeurs patriarcales, hétéros et cis-centrées des autres réseaux. Les travailleurs et travailleuses du sexe y sont par ailleurs les bienvenu·e·s, contrairement aux autres plateformes, même si Lips n’a pas vocation à être comparé à OnlyFans.

Lips, comment ça marche ?

Sur Lips, comme sur Instagram, les comptes peuvent être publics ou privés, réservés à ses abonnés. Au moment de s'inscrire, le site demande aux nouveaux adhérents de cliquer sur des hashtags qui les inspirent : body-posi, sex-posi, amour propre, queer, liberté d'expression, érotisme... Mais aussi les mots-clés qu'ils et elles ne préfèrent pas voir dans leur fil, comme la nudité, partielle ou totale, par exemple.

Quels que soient les contenus postés, la bienveillance fait en tout cas partie des fondamentaux du site : "Lips est une plateforme spécialement conçue pour les groupes marginalisés et sera toujours solidaire des groupes marginalisés", affirme la community manager, qui espère bien que le réseau pourra servir de havre de paix aux personnes qui ne trouvent plus leur place sur les réseaux mainstream. Reste à savoir si en fonction de son évolution, le site parviendra à conserver cette ligne directrice.

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​Coronavirus : pour booster votre système immunitaire, faites l'amour !

Avec la pandémie de coronavirus en cours, tous les moyens sont bons pour booster son système immunitaire. Et certains sont plus agréables que d'autres...

Pour lutter contre la pandémie en cours, tous les moyens sont bons : compléments alimentaires, alimentation adaptée... Mais il semblerait qu'il existe un moyen plus efficace pour booster son système immunitaire et lutter contre les virus (même les plus classiques) : faire l'amour.

Faire l'amour ou comment booster naturellement son système immunitaire

Selon une étude menée par l'Université Wilkes en Pennsylvanie, faire l'amour boosterait le taux d'immunoglobuline A, des anticorps présents notamment dans les muqueuses des voies respiratoires et digestives qui protègent l'organisme contre les bactéries et virus. Pour en arriver à cette conclusion, ils ont répartis 112 étudiants dans quatre groupes. Le premier groupe avec des étudiants abstinents, le second ayant des rapports peu fréquents (moins d'une fois par semaine), le troisième avec des rapports fréquents, soit une ou deux fois par semaine et le dernier avec des rapports très fréquents, plus de deux fois par semaine.

Les résultats montrent que le groupe qui avait des relations sexuelles une ou deux fois par semaine avait le taux d'immunoglobuline A le plus élevé, jusqu'à 30% supérieur à celui des autres. Mais attention : pas besoin d'avoir des rapports avec excès : le groupe quatre, qui avait des rapport très fréquents, n'avaient pas plus d'immunoglobuline que le troisième groupe.

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Le stress dans le couple, un sujet tabou

Si le burn-out fait les gros titres, on parle moins du stress provoqué par la vie à deux, quand l’amour laisse la place aux tensions et aux conflits... Autant de situations usantes que l’on peut néanmoins réussir à surmonter.

« On s’est aimés comme des fous sur les bancs de la fac. Mais aujourd’hui, on ne partage plus rien », témoigne Stéphanie, 49 ans. Mon mari a vite été jaloux des enfants. Au fil des années, il est devenu agressif envers moi. J’avais arrêté mes études pour fonder une famille et, quand j’ai voulu reprendre une vie professionnelle – je suis correctrice dans l’édition –, il a méprisé mon métier, pas assez lucratif à son goût. “Tu es nulle”, répète-t-il souvent. Je me sens dévalorisée. Sa présence m’oppresse. Il me stresse ! Divorcer ? J’ai tenu pour les enfants. » Les remarques n’ont pas forcément besoin d’être excessives pour « blesser » le (ou la) partenaire. « Tu n’as pas rebouché le tube de dentifrice ! », « Pourquoi tu n’as pas descendu la poubelle ? ». Ces petits reproches presque anodins finissent, au quotidien, par altérer l’ego de l’autre. Et ça déclenche du stress !

Comme au temps de Cro-Magnon

En réalité, nous réagissons exactement comme nos ancêtres de la préhistoire quand ils se retrouvaient face à une bête sauvage. Par instinct de survie, ils combattaient ou prenaient leurs jambes à leur cou. Aujourd’hui, la menace n’est plus un mammouth mais la critique, véritable atteinte à notre ego. « Dans le couple, le combat se manifeste par le conflit, et la fuite par l’envie de se quitter », explique Serge Marquis, psychothérapeute et médecin spécialiste en santé communautaire. « Les besoins de chacun devraient, dans la mesure du possible, être nommés, puis comblés », souligne-t-il. « Pourtant, avec le temps, tout semble parfois acquis. La séduction n’est plus forcément au rendez-vous. Les attentions disparaissent. Cet oubli de l’autre reste violent et stressant pour celui qui le reçoit. »

Un long fleuve pas tranquille

Perte d’emploi, retraite anticipée ou maladie peuvent aussi bouleverser l’équilibre du couple. Comme une seule personne est directement concernée, cela peut provoquer des tensions ! L’un se sent seul, mal écouté, mal compris, et l’autre, impuissant, peine à trouver les bonnes réponses et l’attitude juste. Notre société et ses contraintes ne sont pas non plus étrangères aux pressions subies par les couples. La norme sociale, même si elle est moins pesante de nos jours, pousse à fonder une famille. Et si jamais bébé ne s’annonce pas comme prévu, les relations intimes ne s’imaginent plus en dehors de ce désir obsessionnel. C’est stressant pour l’un comme pour l’autre. Or plus il y a de stress, plus les effets sur la fertilité sont délétères...

Une critique est blessante, mais pas dangereuse

Afin que le couple demeure vivant et puisse évoluer dans la sérénité, il y a un apprentissage : celui de la vigilance. Autrement dit, « il faut réaliser qu’une critique, qu’une blessure de l’ego, n’est pas un danger et n’a pas d’impact sur sa survie. C’est à cette condition qu’il est possible d’apaiser sa réaction de stress. A partir de là, les partenaires peuvent partager leurs émotions, exprimer ce qu’ils ressentent et dire ce qu’ils sont prêts à accepter ou non », détaille Serge Marquis. Reste ensuite à trouver un équilibre entre ses besoins (attention, reconnaissance, soutien....), ceux de l’autre et le respect des espaces de chacun. « Le dialogue reste le seul moyen d’éviter que les difficultés ne s’installent. Car quoi de pire que de se taire... puis faire des reproches des années après et s’entendre répliquer : “Mais tu ne me l’as pas demandé” », assure Caroline Kruse, thérapeute conjugale.

Dialogue et créativité

« Soutien, entraide et reconnaissance sont trois facteurs très puissants pour empêcher que le stress n’apparaisse ou pour qu’il s’apaise », souligne Serge Marquis. On ne peut, en effet, exiger l’écoute, la présence, la disponibilité, l’attention de son partenaire sans lui exprimer la moindre gratitude. Que la pression monte à la naissance du premier enfant, qu’elle devienne épuisante pour l’un des conjoints qui, avec l’âge et le handicap de l’autre, se transforme en aidant... il est essentiel de parler de son stress et de se comprendre mutuellement. Si besoin, une thérapie de couple permettra d’instaurer un dialogue en terrain neutre. Le psy interrogera les partenaires sur leur situation spécifique, la façon dont le couple s'est fondé, sa solidité... Et il aidera à trouver les clés pour retrouver de la créativité.

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Un nouvel anglicisme fait son entrée dans le game amoureux : le microcheating. Le principe existait déjà mais à l'ère du numérique et des réseaux sociaux, il reprend du galon et pourrait bien faire des dégâts dans bon nombre de relations.

Après le ghosting (qui consiste à disparaître soudainement de la vie de votre date en ne lui répondant plus du jour au lendemain) ou le haunting (aka le fléau de l'ex qui ne veut pas sortir de votre vie), dites bonjour au microcheating ! Vous n'en avez jamais entendu parler ? Laissez-nous éclairer votre lanterne. Vous pourriez bien en être victime sans vous en rendre compte ou avoir tendance à le pratiquer plus ou moins consciemment.

Un petit flirt sans conséquences ?

Ce terme, qu'on pourrait traduire par "micro-tromperie" ou "petite tromperie" en Français, est assez difficile à définir. Parce que le concept même de tromperie, dépend des limites qu'on s'est fixées et qu'on a fixé avec son partenaire.

Mais pour vous donner une petite idée, l'experte en rencontres Mélanie Schilling expliquait que c'est "une série de petites actions qui indiquent qu'une personne est émotionnellement ou physiquement concentrée sur quelqu'un en dehors de sa relation" dans la version australienne du HuffingtonPost en 2017. En gros, vous regardez légèrement ailleurs sans y toucher.

Cette sorte de triche est donc purement émotionnelle. Pas de parties de jambes en l'air dans le dos de son mari ou de 5 à 7 à l'hôtel pendant que sa femme va chercher les enfants à l’école. Simplement une relation un peu ambigüe avec une tierce personne, qui risque de dégénérer. C'est bien beau tout ça mais concrètement, quels sont les symptômes docteur ? Liker les posts Insta d'une nana et plus si affinités en DM, stalker son ex sur les réseaux sociaux, flirter sur Facebook à grand renfort d'émojis (et pas toujours que des smileys)...

La drague 3.0

Cela peut également se traduire par des petites cachoteries un peu plus difficiles à justifier auprès de sa moitié si on est démasqué.e. Comme envoyer des textos à quelqu'un en cachette (et bien planquer son portable quand l'être aimé entre dans la pièce), discuter sur des chats obscures avec un.e inconnu.e, enregistrer le numéro de notre crush virtuel sous un faux nom ("Medhi foot en salle"), être fréquemment retenu au boulot le soir sans pouvoir bien expliqué pourquoi en rentrant à la maison, affirmer qu'on est célibataire alors qu'il n'en est rien (ouuuh c'est pas beau)... Toutes ces petites choses pas très cool mais assez excitantes puisque tout repose sur le secret.

Sans virer à la parano, si jamais vous avez des soupçons sur ce que fait votre mec.meuf derrière votre dos, mieux vaut mettre les choses à plat. Et le faire avant que cela ne s'envenime. Sinon, vous allez tout droit dans un mur. Parce que les non-dits, la frustration et la baisse de l'estime de soi sont un cocktail explosif pour votre jolie idylle. Mais si cela se trouve, vous vous faites juste des films. C'est possible aussi.

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Il y a cinq ans, lors d'une compilation de données britanniques, on apprenait que les vibromasseurs étaient les sextoys les plus vendus - après l'équipement sexuel périssable comme les huiles ou les lubrifiants (qu'il faut racheter quand on a terminé son flacon, et qui ne rentrent pas forcément dans la catégorie sextoys). Rebelote donc quand on s'intéresse au marché allemand, détaillé par le revendeur Orion :

- 75% de leurs clients possèdent un vibromasseur,

- 54% possèdent un godemichet,

- 36% possèdent un plug anal (en augmentation, notamment chez les jeunes clients),

- en revanche, les vaginettes et autres fleshlights n'entrent même pas dans le top-10.

Qu'en déduire ? Tout d'abord que tous les sextoys les plus populaires sont mixtes - ce qui leur permet de remporter tous les marchés, masculins et féminins, homo, bi ou hétéros. En l'occurrence, le vibromasseur, souvent considéré comme un accessoire pour femmes, sert à faire venir du sang dans n'importe quelle partie du corps, y compris masculin : on peut le faire vibrer contre les tétons, le pénis ou le coude, dans une masturbation ou pendant un rapport.

Non seulement le vibro est multitâche, mais il a aussi l'avantage de procurer une sensation qu'un corps humain ne peut pas nous offrir. Il n'a donc pas de concurrence "physique", contrairement à un godemichet de taille réaliste ou à une vaginette.

Ajoutez à cela des tarifs imbattables (ce n'est pas de la haute technologie), et vous avez un sextoy pas cher, qui marche sur tout le monde, et qui ne souffre d'aucune compétition. Bingo !

Et puisque vous êtes là, d'autres nouvelles des sextoys en Allemagne :

Les deux-tiers des Allemands utilisent des sextoys pour pimenter leur couple, 10% pour atteindre des endroits de leur corps qu'ils n'atteindraient pas normalement, et 5% pour se "garantir" un orgasme. En revanche, il est rare que les sextoys soient utilisés pour des raisons médicales comme se faire un périnée en béton ou gérer des dysfonctions érectiles.

Du côté des zones érogènes : les hommes préfèrent le gland :) Puis les testicules, les tétons et la prostate (chouchoutée par 21% d'entre eux). Les femmes préfèrent le clitoris, puis le point G, les tétons, l'anus, et enfin l'entrée de l'urètre (remarque amusante : les rapports d'étude appellent l'anus le point A et l'urètre le point U, à ce rythme nous n'allons bientôt plus être que des points...).

Et pour conclure, les sextoys sont parfois plus efficaces que les humains... puisque plus de la moitié des participants à cette étude atteignent l'orgasme plus rapidement par la masturbation.

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6 hommes sur 10 ont connu des pannes d'érection selon une étude, et "c'est normal"

Six hommes sur dix en France reconnaissent avoir déjà eu des pannes d'érection dans leur vie, un sur trois dans l'année écoulée, selon une enquête Ifop* réalisée pour le compte de la start-up Charles.co. Que 60% des hommes déclarent avoir déjà eu des troubles de l'érection ne signifie pas qu'ils sont plus nombreux qu'avant, mais ils le déclarent plus qu'avant, une tendance que notent les sexologues depuis plusieurs années. 

"C'est normal que 60% des hommes aient déjà eu une panne dans leur vie, ça n'en fait pas des troubles de l'érection, ce n'est pas une maladie", a réagi mercredi 22 mai sur franceinfo Philippe Brenot, psychiatre, anthropologue, directeur d’enseignement en sexologie à Paris-Descartes et auteur du livre Pourquoi c’est si compliqué l’amour.

 Y a-t-il une différence entre avoir une panne d'érection et des problèmes récurrents ?

Philippe Brenot : Il faut dédramatiser. Je pense qu'un sondage comme celui-là est intéressant parce qu'il montre un fait qui existe. Le chiffre de six hommes sur dix, en définitif, est normal. Le problème, c'est que nous n'avons pas d'information sur la sexualité, nous n'avons pas d'éducation à la sexualité. Notre sexualité, elle est socialement construite. C’est-à-dire que les images de la société vont fabriquer nos comportements. Le porno sur internet a modifié non pas la sexualité de nos adolescents, mais notre sexualité à tous et cela a donné l'idée de l'homme infaillible. C'est normal que 60% des hommes aient déjà eu une panne dans leur vie, ça n'en fait pas des troubles de l'érection, ce n'est pas une maladie.

Donc il ne faut pas culpabiliser ?

Ça, c'est plus compliqué. Aujourd'hui, et notamment au sein du couple, il est vrai que la sexualité occupe une grande place et quelques fois, sur le modèle des feuilletons américains, on se sépare sur une défaillance affective sexuelle. Effectivement, il faudrait le prendre en compte mais en dédramatisant, parce que si on laisse traîner une panne émotionnelle, c'est-à-dire quelques chose qui est de l'ordre de la relation, très vite, cela peut devenir un trouble qui va déstabiliser le couple.

Les causes sont plutôt psychologiques, physiologiques ou un peu des deux ?

C'est un peu des deux parce que si j'ai une panne psychologique, je vais ensuite avoir une angoisse d'anticipation, c’est-à-dire que j'ai peur à l'avance, inconsciemment, que ça revienne. Et je peux alors avoir un trouble. Le phénomène est assez courant, et pourtant les hommes consultent peu. 20% à peine de ceux qui ont un trouble récurrent vont consulter un médecin. Ça s'améliore peu parce que la sexualité est un domaine qu'on n'ose pas aborder. En premier lieu avec sa partenaire, par peur qu'elle le prenne mal. Pourtant, les femmes dramatisent beaucoup moins un trouble de l'érection pour une raison simple, c'est qu'elles attribuent l'érection à un problème de désir mais elles savent très bien qu'elles-mêmes ont un désir variable. Ce sont les hommes qui vont beaucoup plus dramatiser leurs troubles.

Est-ce qu'à défaut d'en parler, on préfère se réfugier vers des produits, des médicaments ? La dérive est-elle dangereuse ?

L'auto-prescription, ça ne fonctionne pas et ça peut être dangereux. Il peut y avoir des contre-indications, donc il faut que ce soit un médecin qui prescrive. Par contre, il est important de dédramatiser, c’est-à-dire que les hommes puissent consulter, si le trouble dure, des médecins formés à cela ou des psychologues formés. Mais il faut surtout ne rien acheter en dehors de la pharmacie, il y a sur internet des produits qui sont dangereux.

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Il est grand temps de briser le tabou de ce qui coule du vagin après le sexe

Le mélange de sperme et de sécrétions vaginales qui ressort du sexe féminin après un rapport intime n’est évoqué nulle part, ou presque. Ce qui peut donner l’impression aux femmes d’être anormales.«C’est comme pour le clitoris. Quand on est une femme, l’apprentissage des choses techniques de la sexualité se fait par la pratique», témoigne Sophie [1], 30 ans. Ce dont elle parle, c’est ce que toutes les femmes ayant eu une relation sexuelle hétéro avec pénétration sans préservatif ont expérimenté mais qui n’a un nom que dans le langage pornographique, celui de «creampie». Cette «tarte à la crème», c’est le liquide, principalement constitué de sperme, qui coule du vagin après une «éjaculation interne». Et non seulement le fait qu’un liquide fait de sperme et de sécrétions vaginales ressorte du vagin après un rapport sexuel n’a pas de nom mais on n’en entend parler nulle part –ou presque.  «Que le garçon éjacule, je l’ai su assez vite, nous raconte Anaïs, 32 ans. Peut-être grâce aux livres ou aux BD ou parce que le groupe de garçons rencontrés en vacances ne se lassait pas d’établir son record du nombre de masturbations sur une journée. En revanche, que le vagin n’absorbe pas tout le sperme comme par magie, on ne l’imagine pas et, à ma connaissance à l’époque, ce n’était écrit nulle part.» 

La jeune femme se souvient toutefois d’avoir lu, adolescente, dans un magazine féminin un témoignage qui laissait entendre que le sperme entré dans le vagin finissait par en ressortir:

«Une femme racontait qu’après avoir fait l’amour elle appréciait d’aller sur le balcon de son appartement pour “laisser le vent sécher les traces de ses assauts”. À ce moment-là, je me demandais quelles étaient ces fameuses traces et ce qu’il pouvait bien y avoir à laisser sécher. L’expression m’a frappée, ce n’est que des années plus tard que j’en ai compris le sens.»

Une anecdote significative. Car cela veut dire que la plupart des jeunes filles vont découvrir l’existence de ce liquide chaud au moment où il leur suintera de l’entrejambe pour la première fois. Comme Julia, 24 ans, qui avait pourtant «lu beaucoup de livres pré-ado sur la sexualité, donc [était] assez calée sur ce qui allait arriver»: «Aucun n’avait averti à ce sujet, pas que je me souvienne en tout cas.» Idem pour Sophie: «La première fois, ça m’a fait bizarre. J’ai pensé: “Tiens, il y a un truc qui coule.”»   La description que fait de sa «première fois» la narratrice du roman Une fille est une chose à demi (2015), d’Eimear McBride, va dans le même sens: «Mes doigts pleins de visqueux qu’est-ce que c’est je sais du sperme. Ça y ressemble je sais je sais. Comme de la morve ou du crachat. Mollard dans la rue.» Résultat: le tabou autour de cet écoulement, pourtant simple fait trivial du sexe, peut devenir une porte ouverte à la gêne et au dégoût (notamment de soi). Parce qu’«avec les représentations du sexe et du corps qui nous entourent on peut avoir l’impression que sa réalité est anormale», appuie le médecin et écrivain Martin Winckler, qui «ne trouve pas du tout le sujet “anodin”, “ridicule” ou “banal”».

Invisible

Déjà, le sexe de manière générale est un sujet tabou. «Parler de sexualité, c’est reconnaître qu’elle existe», pointe Martin Winckler, ce qui n’a rien d’évident dans une culture (encore) imprégnée de catholicisme. Quant au sperme, «une fois qu’il est sorti et traîne dans la nature, il devient un élément d’impureté, parce qu’il n’est pas arrivé à destination et est donc infertile», souligne le psychosociologue Alain Giami, directeur de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm).   À cette impureté, il faut ajouter une invisibilité du sperme: une fois inséré dans le vagin, c’est comme s’il en avait disparu. Des manuels de SVT d’abord, sur les images desquels souvent un seul spermatozoïde vient féconder l’ovule; les autres millions, évanouis on ne sait où! Et de nos écrans aussi. Vous souvenez-vous d’un film –en tout cas un film grand public– où, après des ébats hétéros, la femme demande à l’homme de lui passer les mouchoirs pour essuyer le trop-plein, et éviter de tacher les draps? Moi non.Je n’aime pas avoir ce liquide froid dans les draps quand je m’endors. Et puis quand tu fais l’amour et que tu prends le métro direct après, c’est un peu angoissant de ne pas savoir quand ça va couler….

Sophie, 30 ans

Pas évident dans ces conditions d’aborder le sujet et de faire part de ses interrogations. «Mon sentiment, c’est que, ou bien un phénomène est pénible et douloureux et les femmes en parlent au médecin, ou bien c’est juste gênant, elles ne sont pas tout à fait sûres que c’est normal et n’en parlent donc pas car elles en ont honte», explicite Martin Winckler.   Pas évident non plus d’aborder le sujet entre mère et fille et pas forcément davantage entre sœurs ni amies. «La première fois qu’une copine m’en a parlé, je devais avoir 20 ans, donc c’était quatre ans après le début de ma vie sexuelle, rapporte Sophie. Elle disait de manière décomplexée qu’elle aimait bien que les toilettes soient proches de la chambre dans l’appartement [pour y aller après le sexe]. Moi qui n’en avais jamais parlé à personne, je trouvais ça fou!»   Conséquence de cette invisibilité du sperme, «on peut imaginer qu’une jeune femme se dise que le sperme reste dans le vagin, poursuit Martin Winckler. Alors que le vagin, ce n’est pas comme la bouche; certes, il peut se fermer de manière extrêmement serrée mais dans ce cas il s’agit de vaginisme, ce qui est une source de souffrance.» Et c’est vrai que sur internet, on trouve des témoignages de personnes qui sont étonnées de voir un liquide s’écouler par la vulve après les rapports sexuels, dont certaines se demandent si ce n’est pas un problème de fertilité. À l’instar de Pierre W sur Yahoo! Questions Réponses en 2008: «Est-ce que c’est normale que le sperme coule du vagin apres le sexe? Est-ce un probleme, qui puisse faire qu’une femme ne peut pas etre enceinte?»

Indésirable

Surtout, les femmes peuvent se demander s’il est normal d’associer ce liquide particulier à un désagrément. «Les personnes, rarement en entretien individuel, plus au téléphone, vont davantage parler de leur gêne (“ah, ça coule, ça colle”) que demander ce qu’il se passe», détaille Isabelle Louis, coprésidente de la Fédération Île-de-France du Planning familial. Car le liquide «visqueux» qui ressort par la vulve n’est pas toujours associé au plaisir sexuel ni désiré. À se demander si c’est pour cela que, les rares fois où le phénomène est évoqué dans les livres, il appuie le caractère désagréable, par exemple non consenti, d’un acte sexuel, comme Chimamanda Ngozi Adichie décrivant dans la nouvelle «Les Marieuses», du recueil Autour de ton cou (2009), une scène de viol conjugal dans un mariage arrangé:

«Lorsqu’il a enfin cessé ses coups de butoir, il s’est reposé de tout son poids sur moi, même ses jambes. Je suis restée sans bouger jusqu’à ce qu’il descende d’au-dessus de moi pour aller à la salle de bains. J’ai tiré sur ma chemise de nuit, l’ai rabattue sur mes hanches. […] Le poisseux, entre mes jambes, me démangeait.»

Une indifférence parfois teintée de dégoût envers ce liquide semble plus fréquente –peut-être aussi parce que ne dégoulinent de la vulve que le sang menstruel, les pertes blanches et, pour les moins chanceuses, les crèmes antifongiques intravaginales destinées à traiter les mycoses. Même Julia, qui a maintenant fait du sperme «un allié de jouissance» («Si je suis proche de l’orgasme, le simple fait de le sentir à l’intérieur de moi ou en contact avec ma peau peut me faire jouir», développe-t-elle), admet que «l’éjaculation se rapprochait plus de la corvée au début de [sa] vie sexuelle: attendre d’être debout pour que le sperme descende, et éviter de tâcher tous les fonds de culotte».

«Je n’aime pas avoir ce liquide froid dans les draps quand je m’endors. Et puis quand tu fais l’amour et que tu prends le métro direct après, c’est un peu angoissant de ne pas savoir quand ça va couler, ajoute Sophie. Je vois un peu ça comme un effet indésirable.»

Un inconvénient pas des plus extrêmes, qui ne l’a jamais bloquée mais qui lui fait parfois préférer que son copain lui éjacule dessus, «comme ça tu peux l’enlever plus facilement», ou «quelquefois faire l’amour avec préservatif». Pour le psychosociologue Alain Giami, le fait que le préservatif soit devenu la norme, c’est-à-dire que l’entrée dans la vie sexuelle se fasse davantage avec préservatif et que la découverte du flux post-coït ne vienne qu’après a modifié notre tolérance à ce liquide; désormais, le latex peut faire barrière, non seulement aux IST, aux bébés mais aussi au dégorgement de sperme. 

Sur le site de l’organisme bostonien féministe à but non lucratif Our Bodies, Ourselves, on trouve ainsi listé parmi les avantages du préservatif «piège le sperme, pour que rien ne goutte du vagin après le rapport».

Essuyé

À l’inverse, sans préservatif, sauf à apprécier de sentir sur soi ce fluide corporel, «tu es tout de suite rattrapée par quelque chose d’ultra technique, ça enlève la magie de l’instant», reconnaît Sophie. Car, une fois le sperme éjaculé et mélangé au mucus vaginal, qui sert de lubrifiant naturel, vient (majoritairement) le temps de s’essuyer.  Par exemple avec une serviette, comme dans La Femme gelée (1981), d’Annie Ernaux: «De dessous le matelas je tire une serviette froissée, empesée de taches par endroits. Objet terrible. Un vrai sacrilège.» Pour d’autres, c’est avec des mouchoirs, un gant de toilette puis direction les toilettes ou sous la douche –à chacune sa stratégie:

«Les mouchoirs sont toujours à côté, dépeint Chloé, 29 ans. Je mets le mouchoir directement dès qu’il sort pour essuyer le gros, je laisse le mouchoir et je vais aux toilettes; de toute façon, j’ai toujours envie de faire pipi après. Et ensuite, je mets une culotte. Mais il en reste toujours… Je ne le sens pas couler mais je vois, quand je vais faire pipi dans la journée, que ma culotte est un peu mouillée, ce n’est pas la même texture quand je m’essuie.»

Sophie a déjà eu «un amant qui se chargeait des effets secondaires et [l]’essuyait», ce qu’elle avait trouvé délicat. Mais, en général, c’est souvent à la femme de gérer l’épanchement, même si l’attrapage des mouchoirs semble une tâche communément partagée, comme le signale sur un forum d’aufeminin.com coucoucestme: «Moi je trouve que cela fait partie intégrante de l’acte, se cela me gène pas et on prends ça à la rigolade de savoir qui doit aller attraper le sopalin.»

Le problème, c’est aussi que ce dégoût assez partagé du sperme est communément associé à un dégoût du sexe voire du partenaire. Quand misstiroir rédige en 2006 sur un forum d’aufeminin.com un post intitulé «Marre de ce sperm ds mon vagin!!», où elle écrit «jtrouv ca tout colant, ca diminu mon plaisir», elle est rembarrée par douceinconnue: «En quoi est-ce gênant? Il s’agit là de la finalité de votre coït. Dans ces cas, que dirais-tu [s’il] disait qu’il trouve dégoutant le fait qu’il ait de tes sécretions sur son sexe pendant que vous faites l’amour? Tu en serait vexée non?»

Une réaction assez similaire à celle d’arretedemedraguersvp: «Je vois pas ou est le drame. tu sembles dégoutée par son plaisir en fait. Et ca c’est pas normal.» Ne pas apprécier ce liquide imprévu, cela revient-il à ne pas aimer le sexe tout court?, peuvent alors s’interroger les femmes. À être répugnée par l’émetteur du liquide voire à ne pas l’aimer suffisamment ni entièrement? Comment vite, vite, vite se débarrasser de la viscosité coulante sans que son partenaire ne le prenne comme un rejet de sa personne? «Ces questions que l’on se pose sur son corps et sa sexualité, on a besoin de les légitimer, à tous les âges», insiste Isabelle Louis, du Planning familial.

Pragmatique

Preuve que, derrière la gêne, se nichent aussi une méconnaissance et une mise à distance du corps et de la vie sexuelle. Qui pour dire que le sperme est gluant pour rester sur le col de l’utérus, afin que les spermatozoïdes puissent féconder l’ovule? Qui pour ajouter que «le vagin n’est pas juste un tube» lisse comme dans les manuels de SVT mais qu’«il a des recoins», précise Martin Winckler, et qu’il est donc logique que le sperme ne ressorte pas d’un coup immédiatement après le sexe, sans compter «les contractions de l’utérus: ce n’est pas de la tuyauterie, c’est vivant»?

Qui pour rappeler, sans relents moralisateurs, que l’humidité favorise la prolifération de bactéries et donc l’apparition d’une mycose et qu’il vaut alors mieux éviter de dégoutter sur une culotte (ou, pire, un string, qui par les frottements peut générer une inflammation, risque d’infection urinaire) en nylon et qu’il faut préférer un sous-vêtement en coton, voire y étaler un protège-slip, qui absorbera l’humidité? Qui pour signaler que le vagin est autonettoyant et que les douches vaginales sont proscrites ou qu’il suffit de se rincer à l’eau car le savon a tendance à être irritant, poursuit l’écrivain?

Sophie aurait apprécié de pouvoir lire dans une brochure du Planning familial une explication du genre «si tu fais l’amour sans préservatif, il y aura un peu de sperme qui va s’écouler de toi» avant sa première fois peau contre peau. Pas de dramatisation, juste une information. Isabelle Louis, du Planning familial, explique pourquoi un tel prospectus n’existe pas (du moins pour l’instant):

«Nous élaborons nos outils de communication sur la base des principales questions qui nous sont adressées et ce n’en est pas une. Mais cela reste une question qu’on peut traiter a posteriori, sans outils déterminés à mobiliser à un instant T. Tout dépend de l’interrogation des personnes. Certaines ont besoin de réponses pratiques, d’autres ont juste besoin de se rassurer, de savoir qu’elles sont normales. On peut rentrer dans les détails à la demande, si c’est une question précise. Sinon, ce serait comme si on mettait lors d’un cours de maths toutes les hypothèses sur le tableau; ce ne serait pas pertinent, sauf pour les médailles Fields.»

Un livre qui aborde avec pragmatisme et sérieux les questions sexuelles, comme Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sexe sans jamais oser le demander (du médecin David Reuben, et dont s’est inspiré Woody Allen pour son film comique), une brochure ou une écoute bienveillante, l’important reste de lever ce tabou, d’en modifier le ressenti. Comme le résume Martin Winckler, «le dégoût, c’est un truc appris». En parler, avec des personnels formés ou au sein du couple permet d’en finir avec les incompréhensions, les frustrations et les reproches. «À partir du moment où on sait que c’est de la physiologie élémentaire, ce n’est ni sale ni propre.» Et donc bien moins gênant ou dégoûtant. Ce qui rendra peut-être une scène de sexe au ciné suivie d’un «Attends, deux secondes, ça coule» plus fréquente.

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Pourquoi on ferme les yeux quand on embrasse ?

Fermer les yeux lors d’un baiser langoureux est naturel. Et personne, jusqu’à présent ne s’était posé la question du « pourquoi ». Des chercheurs de la University of London se sont rendu compte que se focaliser sur quelque chose de visuel réduirait le ressenti des autres sens. Ainsi, regarder son partenaire distrairait et le contact entre les lèvres et le plaisir qui en résulte ne serait plus aussi intense.

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L’impuissance, un faux problème de nos jours ?

Le terme “impuissance” n’est pratiquement plus utilisé. Aujourd’hui, on parle davantage de pannes d’érections. Considérant évidemment qu’une panne n’est pas définitive. Ce qui est presque vrai à 100 pour cent puisqu’aujourd’hui, il existe de multiples remèdes contre les pénis en berne.

L’impuissance concerne aussi les femmes 

Evidemment, l’impuissance ne concerne que les hommes mais elle gêne considérablement la libido des femmes. Une femme qui a un amant ayant des pannes à répétition se sent moins désirable et se met à douter d’elle-même et par conséquence, à plus ou moins long terme, elle se désintéresse de la sexualité. Ce souci n’est donc jamais à prendre à la légère. Si une panne se produit une fois, inutile de s’en inquiéter, tout se passera bien la prochaine fois. Cela probablement dû à la fatigue, à une petite anxiété. Mieux vaut néanmoins ne pas évoquer le sujet. La femme doit rassurer son partenaire sans pour autant dire : « C’est pas grave » car justement, c’est souvent vécu de manière assez dramatique pour lui. Quant à l’homme, mieux vaut passer à autre chose car s’acharner à retrouver une érection risque d’augmenter l’angoisse de performance. La prochaine fois, tout risque en revanche de rentrer dans l’ordre.

La difficulté d’en parler 

En revanche, lorsque les pannes se reproduisent, les hommes, bien souvent, ont tendance, au lieu d’évoquer le sujet, d’espacer les rapports par peur de renouveler l’échec. Alors pourquoi les hommes n’osent-ils pas encore en parler facilement à leur compagne et à leur médecin ?

Leur partenaire très souvent se sent visée, responsable (ce qui peut être le cas certes mais c’est loin d’être systématique) et donc réagit mal. Ils aborderont plus facilement la question face à un médecin qui n’est pas leur médecin traitant.

Ne restez pas avec une verge molle

Ce silence est vraiment regrettable car plus l’impuissance s’installe, plus elle provoque des dégâts dans le couple. Tous les hommes ou presque connaissent ou connaîtront des pannes. Et après la soixantaine, il est presque normal de ne plus avoir la même vigueur, c’est le cas pour tous nos organes sans exception.

Ainsi l’impuissance reste tout de même un vrai problème de nos jours et c’est bien dommage.

Alors adaptez votre sexualité sans penser à la performance mais ne restez pas avec une verge molle car c’est dévalorisant pour votre estime de vous-même et il y a toujours une solution adaptée.

Voici quelques conseils pour éviter cette panne :

  • Si vous vous sentez particulièrement anxieux lors d’un premier rapport avec une nouvelle partenaire, prenez le temps de flirter et ne passez pas à l’acte obligatoirement les premiers soirs. Cet apprivoisement des corps suffira à vous redonner confiance.
  • Si vous êtes sur le point d’avoir un rapport sexuel et que vous n’avez finalement pas très envie, faites fonctionner votre imaginaire fantasmatique et n’hésitez pas à vous aider de votre main pour retrouver toute votre vigueur.
  • Si vous commencez à sentir que votre rigidité est moins présente, augmentez le temps de préparation, appelé à juste titre les préliminaires. Et respectez votre temps réfractaire. Ce temps de latence entre deux rapports sexuels qui chez l’homme s’allonge au fil des années.
  • Enfin si vous avez vraiment des pannes, consultez.

Aujourd’hui, il existe des solutions à toutes, ou presque toutes, les pannes masculines. Même les impuissances totales peuvent se résoudre grâce aux implants péniens devenus très efficaces et discrets. Et bien sûr , les pilules (Viagra, Levitra, Cyalis et Spectra ) sont capables de redonner à l’homme toute sa vigueur à la moindre panne. 

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Sexe : la douleur est-elle liée au plaisir ?

Sans être sado-masochistes, beaucoup de personnes apprécient un peu de douleur pendant les rapports sexuels. Mais pourquoi ?

Appuyer sur un bleu, se tripoter les petites peaux des doigts... La douleur n'est pas toujours synonyme de quelque chose de désagréable. Dans la vie de tous les jours, on expérimente des sensations douloureuses mais que l'on répète pourtant quotidiennement. Si on recommence, en sachant pertinemment que l'on va avoir mal, c'est qu'on y éprouve forcément un peu de plaisir, non? 

Dans le sexe, c'est un peu la même chose. Si tout le monde ne peut pas se déclarer sado-masochiste, beaucoup peuvent témoigner d'une certaine excitation liée à une certaine souffrance. Même si les mots sont des antonymes dans le dictionnaire français, la frontière peut parfois être poreuse. Les extrêmes se rencontrent, il en va de même avec ces sensations. Ainsi, sans s'identifier forcément à Christian Grey, beaucoup d'entre nous reconnaîtront un certain plaisir né dans la douleur. 

Une agressivité saine

Ce n'est en fait qu'une illusion. Le plaisir ne vient pas de la douleur, il s'agit en fait de l'excitation. C'est ce qu'explique la sexologue Manon Bestaux à Girls. D'abord, ce n'est pas vraiment de la douleur, mais plus ce que l'on appelle de la "saine agressivité", explique-t-elle. Cette dernière peut alors exciter une personne pour plusieurs raisons, à condition qu'elle connaisse son corps.

Pour prendre du plaisir avec quelqu'un d'autre, il faut savoir prendre du plaisir seule. Car "l'émotion est personnelle. Le plaisir est personnel. La douleur est personnelle", martèle la sexologue. Comme l'expliquait son confrère Arnaud Sevene à Girls, le phénomène de l'anorgasmie touche une large partie de femme, et beaucoup parce qu'elles ne connaissent simplement pas leur corps. "Il faut être autonome dans son plaisir et sa douleur", insiste Manon Bestaux. Il faut être autonome dans son plaisir et sa douleur.

Mais "on n'éprouve pas de plaisir à avoir mal. L'excitation c'est différent, c'est plus intellectuel", et là, le cerveau à un rôle à jouer. C'est à ce moment que l'on peut confondre les deux. Il faut distinguer "ce qui nous excite et ce qui nous fait plaisir". Il ne faut jamais, en tout cas, prendre cette douleur pour faire plaisir à l'autre et la subir, "il faut que ce soit un jeu", il faut aimer ça et le savoir.

Douleur et plaisir peuvent être liés autrement. Manon Bestaux explique également que l'on se rend compte que lorsqu'un être humain a mal quelque part, stimuler son organe sexuel peut diminuer voire annuler sa douleur. Inversement, la douleur peut ralentir l'excitation, et par exemple, chez l'homme, retarder l'éjaculation.

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Et si on prenait enfin la masturbation au sérieux ?

La libération sexuelle a sévi, les travaux manuels ne seraient plus sales… Ah bon ? Pourtant on ricane. On se moque de la technique de la chaussette, éventuellement fourrée de nouilles tièdes. On dit l’onanisme réservé aux ados, aux célibataires, aux frustrés, aux handicapés sociaux et aux paresseux (les « branleurs » ont dans la main bien plus qu’un poil). Pourquoi tant d’acidité, quand la réalité est si banale ?

Commençons par les statistiques : selon l’enquête « Contexte de la sexualité en France » (Inserm, INED), 90 % des hommes et 60 % des femmes étaient concernés en 2006, au temps des dinosaures. Sept ans plus tard, dans son ouvrage Nouvel éloge de la masturbation, l’anthropologue Philippe Brenot précisait : 87 % de masturbateurs, 68 % de masturbatrices. Aux Etats-Unis, l’étude la plus récente (Tenga, septembre 2016) affiche 95 % d’hommes ayant au moins une fois tenté l’expérience, contre 81 % de femmes – avec une moyenne de 15 masturbations par mois pour les hommes et 8 pour les femmes, 16 fois par mois pour les célibataires et 10 fois par mois pour les personnes en couple.

La norme du couple tout-puissant

Si les chiffres augmentent (ou notre sincérité…), les mentalités traînent. Le sexe rejoint ainsi les activités socialement acceptables en groupe et inacceptables en solo, liste joyeusement arbitraire : on peut lire seul, mais pas aller au cinéma, regarder la télé, mais pas dîner au restaurant, boire un soda mais pas une vodka, et pour le cas qui nous concerne, il semble plus « adulte » de demander à un parfait inconnu de nous toucher le sexe, quitte à payer ou à terminer ivre mort, plutôt que de le faire nous-mêmes.

Le stigma reste fort puisque environ la moitié des personnes interrogées par Tenga ressentent du malaise à parler de masturbation. Ainsi, 36 % des hommes et 22 % des femmes ont déjà menti à ce sujet (ce qui remet en question les chiffres ci-dessus, bien entendu) : ils disent ressentir de l’embarras et craignent la peur du jugement.

On devine d’où viennent les blocages : la masturbation ne reproduit pas l’espèce, elle ne conforte pas la norme du couple tout-puissant. Sa gratuité serait antisociale. Selon nos sources personnelles, le business plan divin serait contrarié dans ses activités de croissance et multiplication des fidèles. C’était quand, déjà, cette fameuse révolution sexuelle ?

Cesser de parler de plaisir égoïste

Passons donc aux choses sérieuses : comment redonner ses lettres de noblesses aux arts manuels ?

Tout d’abord en cessant de répandre l’idée que se toucher soit un pis-aller : non seulement les personnes en couple pratiquent, mais aussi les personnes âgées et les baby-boomers. Au temps pour le « truc de gamin » ! Et nous aimons ça ! Un cinquième des Suédoises et un dixième des Suédois ressentent plus de plaisir par la masturbation que lors de rapports de couple. Chez les Américains, 20 % des hommes et 30 % des femmes se disent mieux servis par eux-mêmes que par les autres. Et pour cause, la masturbation résout l’obstacle principal au plaisir sexuel : l’incommunicabilité des sensations. « Connais-toi toi-même », jusqu’au bout des phalanges ?

Il faudrait en outre cesser de parler de plaisir égoïste. Nous sommes nos premiers partenaires sexuels : avant de reproduire l’espèce, il faut bien que nous nous entraînions. Si nous n’apprenons pas le plaisir et la manipulation de nos propres organes, quelle motivation aurions-nous à faire grimper nos partenaires aux rideaux ? Même chose au moment de choisir nos conjoints : selon l’institut Kinsey, la plupart d’entre nous préfère des partenaires expérimentés, au point de stigmatiser ceux qui se réservent pour le mariage.

Loin des fantasmes de Pygmalion ou de maîtresse initiatrice, nous nous défrichons sexuellement. Nous nous dépucelons. Paradoxe vieux comme le monde : nous arrivons rarement vierges le jour de la perte de notre virginité – sur la page blanche de notre corps, nous avons déjà donné de vigoureux coups de poignet. Pour notre bénéfice, mais aussi celui de nos amants, de nos futurs conjoints, de la société tout entière.

Indiana Jones de notre temple béni

Pour mieux se masturber, il convient aussi de cesser de considérer cette pratique comme purement hygiénique, ou comme la simple évacuation d’une pulsion : 60 % des masturbateurs américains disent le faire « pour se soulager », 56 % pour le plaisir (tout de même), 54 % pour se relaxer, 26 % pour s’endormir et 13 % pour améliorer leurs performances.

Quelques remarques ici : où sont les personnes qui se masturbent pour apprendre à redécouvrir leur corps, encore et encore ? Voilà pourtant un processus qui devrait nous accompagner pendant la vie entière. Attention aussi à la masturbation de soulagement, utile certes, mais souvent pratiquée aussi vite et efficacement que possible, sans y penser, sans changer de routine : comment espérer « avancer » dans sa pratique masturbatoire si on fait toujours la même chose, si on ne se caresse pas, si on n’explore pas de nouvelles zones érogènes ?

Et enfin : se servir de la masturbation pour améliorer ses performances (18 % des millennials, la génération Y) autant que pour s’endormir ou évacuer son stress constituent certainement de bonnes stratégies, mais nous sommes dans l’instrumentalisation du plaisir. C’est-à-dire que le sexe sert à autre chose que lui-même. Il doit être justifié, or on ne justifie que l’à peine acceptable. Comment apprécier quand il faut s’en défendre ?

Au niveau de la pratique elle-même, on ne saura trop recommander de se comporter comme des Indiana Jones de notre temple béni : renouveler nos fantasmes, expérimenter sous la douche ou en méditation, aller plus vite, moins vite, s’arrêter juste avant l’orgasme, jouer les grandes profondeurs et les différentes largeurs, les tensions et les torsions, utiliser ou pas les zones périphériques… Pourquoi ne pas transformer le sprint habituel, trente secondes douche comprise, en marathon, par exemple en laissant de côté nos détonateurs personnels ? Lâchons un peu nos pénis et clitoris : qui nous demande d’être productifs, et qui a dit que la productivité était question de vitesse ?

Une pleine acceptation du moment

Une autre manière de prendre la masturbation au sérieux est d’accepter d’y adjoindre, pardon d’avance pour l’horrible jeu de mot, les coups de main de la technologie moderne : lubrifiant au silicone, chauffant, refroidissant, parfumé si ça vous chante (la salive s’évapore trop rapidement), sachant que de nombreuses boutiques offrent des échantillons gratuits. Même logique pour l’utilisation de vibrateurs, de godemichés, de gaines, de textures, de coussins, de lacets, de musique, de pornographie… voire de voyeurs (se masturber en couple reste encore la meilleure manière d’enseigner à l’autre ses préférences) : ce ne sont peut-être pas des montagnes russes, mais voilà déjà quelques dispositifs physiques tout autant que psychologiques, qui permettent une pleine acceptation du moment – on peut savourer la culpabilité, certes, mais on peut aussi assumer un sain égoïsme.

Charité bien ordonnée commence par soi-même : prendre la masturbation au sérieux, c’est prendre sa sexualité en général au sérieux. Elle le mérite bien. Et vous aussi. Surtout un dimanche.

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Sexo : la caresse est un cri qui vient de l'intérieur

« Elle éternise le désir, approfondit l’attachement, magnétise les corps et les êtres, protège le couple des périls »… « Elle », ce n’est ni un sex-toy à la mode, ni une psychologue spécialisée dans les problèmes conjugaux. Il s’agit en fait de la « caresse intérieure », nom donné à une pratique amoureuse par le sexologue Gérard Leleu et censée donner (à la femme comme à l’homme) des orgasmes de plus en plus intenses. Rien que ça !

Dans son ouvrage « L’art de bien faire l’amour » (…) le Dr Gérard Leleu avertit : « la caresse intérieure n’est pas une technique qui se décrit, c’est une histoire qui se raconte ». Nous voilà bien avancés ! Mais tentons tout de même de percer ce mystère.

En fait, il s’agit tout simplement des effleurements du pénis dans le vagin. « Ce qu’il faut éviter, ce sont les va-et-vient », prend soin d’expliquer le sexologue. « Le pénis bouge lorsque l’homme contracte les muscles de son périnée, car il se soulève et masse le vagin de l’intérieur. La femme, elle, resserre son vagin autour du sexe de son partenaire. Et les deux mouvements se répondent l’un à l’autre. »

La meilleure position pour la caresse intérieure : celle des petites cuillères. Allongée sur le côté, votre compagnon viendra s’installer tout contre vous, son ventre contre votre dos. La pénétration devra être lente… et les mouvements à peine ressentis.

Mesdames, vous pouvez même demander à votre homme –même si la gent masculine n’est pas réputée pour sa souplesse – de « dessiner des 8 avec son bassin » et ce afin d’intensifier le massage vaginal. Aucun doute pour Gérard Leleu, « plus les frottements se prolongeront et plus le plaisir féminin se fera intense. Après la pause qui suit chaque orgasme, les mouvements de votre homme reprenant, le plaisir reprendra à son tour… et grimpera d’un cran, pour une étreinte qui durera et durera encore. »

Quid du plaisir masculin ? « L’homme gagne énormément de la caresse intérieure. Son plaisir atteint celui de la femme et devient polyorgasmique ». Mais alors d’où vient cette extase ? « Du plaisir pré-orgasme », répond notre spécialiste. « Ce dernier, issu du gland allant et venant est non seulement prolongé mais intensifié : plus les contacts durent, plus les récepteurs du gland sont aiguisés et excitables. »

Pour terminer, le Dr Leleu insiste sur le fait qu’au moment de se libérer, « l’orgasme masculin atteindra une intensité incroyable, bien plus forte que lors d’un orgasme habituel. L’homme pourra prendre pleinement conscience de ses sensations… »

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10 bonnes raisons de ne pas regretter un coup d'un soir

On parle souvent de notre espoir de bâtir un couple qui dure, et pour ça de rencontrer LA bonne personne, avec qui le premier soir sera le début d’une belle aventure… Mais est-on obligée de viser ce rêve ? Le (très) court terme a-t-il aussi du bon ? Les coups d’un soir ont bien leurs aspects positifs et on vous en donne 10 dans cet article.

Avoir une relation sexuelle sans lendemain n’est pas l’objectif 

1. Le plaisir avant tout

Votre credo : carpe diem. Et on peut dire que vous savez cueillir le jour ! Nul ne sait de quoi demain sera fait alors autant se faire plaisir un maximum. En bonne hédoniste, vous cherchez donc à jouir de la vie le plus souvent possible, notamment par le sexe, et cela vous épanouit. Pourquoi vous en priver ?

2. On s’en fiche s’il ne nous correspond pas

L’avantage avec un coup d’un soir, c’est que dans ce type de relation, on ne cherche pas l’homme de notre vie. Et donc on ne part pas en quête de l’homme parfait, qui aime le scrapbooking ou le badminton comme nous, qui est brun aux yeux verts et qui mesure 1m85… L’important est de nous faire plaisir un soir, simplement !

3. Pas de problème du « qui rappelle l’autre ? »

Quand on a passé la nuit avec un homme avec qui on aimerait que ça aille plus loin, se pose la question dès le lendemain de savoir qui recontacte l’autre en premier. « Si je le fais maintenant, il va me trouver collante ou désespérée », « S’il ne m’appelle pas d’ici deux jours, c’est qu’il se fout de notre rencontre »… Autant de pression que l’on s’évite avec un coup d’un soir !

4. Pas de faux espoirs

La première nuit avec un homme que l’on désirait ou qui nous plait suffisamment pour envisager une suite commune, ça peut aboutir à un avenir radieux, mais aussi à un avenir plus proche plein de questionnements et d’espoirs parfois infondés. Au moins, avec un coup d’un soir, pas de prise de tête ! Ni d'engagement…

5. On est libre et on l’assume

Vous êtes une femme, vous êtes maîtresse de votre corps et de votre esprit, et puis de votre mode de vie aussi. Alors à celui (ou celle !) qui vous reprochera d’avoir eu un (ou des) coups d’un soir, revendiquez votre liberté d’agir et votre indépendance ! C’est un atout, et même une force.

6. On ne s’en souvient même pas…

Pourquoi regretteriez-vous ce coup d’un soir ? Il n’y a rien à regretter, vous n’en avez même pas de souvenirs ! Ou presque… Un mec trop insignifiant. Ou Trop d’alcool peut-être… Attention à vous tout de même !

7. … Ou c’était un très mauvais coup

Ce coup d’un soir, c’était vraiment un très, très, très mauvais coup. Il n’a rien provoqué en vous, il s’y est prix comme un manche (hum) et qui plus est, un manche sacrément égoïste (autant dire que le souci du plaisir de l’autre lui est totalement étranger). Imaginez-vous cela avec un homme que vous convoitiez ! Rien à regretter, donc.

8. On s’en fiche si notre appart’ est mal rangé

Vous avez un rapport d’un soir inattendu avec un homme, et ça se passe chez vous ? Pas de stress quant à l’état de votre appartement ou de votre maison, vous ne le reverrez pas ! Des culottes qui traînent, la litière du chat qui déborde ? On s’en fiche comme du shampoing de Nabila !

9. On s’en fiche si on n’est pas épilée

De la même manière, vous êtes sortie entre copines sans but aucun (si ce n’est de vous éclater avec vos amies) et vous avez rencontré un homme avec qui vous allez finir la soirée (sans but aucun, encore une fois). Vous êtes en mode yéti ? Et alors ? Vous n’avez rien à lui prouver, vous ne le reverrez pas et ne rougirez jamais des fameux poils de votre première (et seule) nuit…

10. Ça nous apprend à mieux nous connaître

Quand on n’a pas eu beaucoup de rapports sexuels et que l’on cherche à expérimenter ou à se connaître un peu mieux à ce niveau-là, un coup d’un soir, au sens d’une relation sexuelle n’ayant d’autre but qu’elle-même, peut nous aider à en apprendre davantage. Enfin, ce n’est pas non plus un passage obligé, loin de là ! 

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Sexualité du couple : une fois par semaine, c’est très bien

La sexualité est déterminante pour le bien-être du couple. La fréquence joue un rôle important, mais relatif : un rythme d’une fois par semaine semble répondre aux attentes des partenaires.

Cette étude canadienne (université de Toronto) a été déclinée en trois phases, concernant au total quelque 30.000 personnes suivies pendant une très longue période. Bien d’autres recherches se sont penchées sur le lien entre la qualité de la relation de couple et la fréquence des relations sexuelles. Celle-ci apporte sa contribution au débat, en nuançant fortement l’affirmation selon laquelle plus ils font l’amour, plus les partenaires se portent mieux.

L’analyse des questionnaires remplis à intervalles périodiques montre en fait – il s’agit d’une observation générale ! – que le bien-être au sein du couple augmente effectivement avec le nombre de relations sexuelles, mais que cette association atteint une sorte de pic avec une fréquence moyenne d’une fois par semaine : au-delà, la satisfaction de l’homme ou de la femme, jeune ou moins jeune, mariés ou pas, ne croît plus. Ceci ne signifie évidemment pas que des relations plus fréquentes nuisent au couple – pour autant que ce soit ce que l’un et l’autre souhaitent -, mais on a atteint un palier.

« Ces résultats n’impliquent pas que les couples doivent s’efforcer d’augmenter ou de ralentir la fréquence des relations sexuelles », expliquent les auteurs. « Les partenaires ont simplement à discuter librement et ouvertement de leurs attentes et de leurs besoins. » Pour les personnes vivant seules, la situation est très différente : l’association entre la fréquence des relations sexuelles et le bien-être personnel est bien moins significative que pour les couples, et elle est influencée par des paramètres particuliers (circonstances de la rencontre, nature de la relation, désir de s’engager ou non…).

Un dernier point : l’un des volets de cette étude montre qu’une sexualité épanouie est considérée comme plus importante, pour le bonheur du couple, que le fait de gagner davantage d’argent.

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Sexe : « Coup d’un soir » !

Taillées pour les coups d’un soir, les applis de rencontres géolocatisées ont modifié les codes de la séduction. Et attirent de plus en plus d’utilisatrices.En soirée ou dans la rue, il n’est désormais pas rare d’apercevoir un(e) individ(e) balayer frénétiquement l’écran de son smartphone. De temps à autre, l’utilisateur suspend son geste, se mord la lèvre en plissant le front d’un air concentré, avant de reprendre son activité un poil robotique. Cet étrange phénomène porte un nom : Tinder. Avec son esthétique ludique empruntée aux jeux vidéo et son utilisation très simple, l’appli de rencontres lancée en 2012 déculpabilise, rassure et s’est garanti un succès à l’international.

« Le Monde » a même calqué l’ergonomie de son appli « La Matinale » sur la sienne. Depuis, tes applis de drague mariant géolocalisation, présentation pop et synchronisation des données avec telles de Facebook pullulent : Blendr, OkCupid, Lovoo… Dernièrement, c’est la française Happn qui a remporté les suffrages des 18-35 ans vivant en milieu urbain. L’appli pousse la géolocalisation à son paroxysme en proposant à ses utilisateurs de retrouver des personnes croisées dans la rue, au restau, ou encore dans sa cour d’immeuble.

Mais, loin du conte de fées moderne à la sauce Meetic ou eDarling, les applis de dating géolocalisées semblent être surtout taillées pour les coups d’un soir, reprenant le modèle de leur ancêtre à toutes : l’américaine Grindr. Lancée en 2009, cette appli destinée aux hommes homosexuels ou bi a vu sa cote de popularité exploser en même temps que son aura sulfureuse. Grindr a tout bonnement banalisé à l’extrême la pratique du « hook up » — anglicisme pour désigner le coup d’un soir.

Une étude de l’Ifop parue en juin et réalisée sur un échantillon de 2005 personnes représentatif de la population âgée de 18 à 69 ans résidant en France métropolitaine est catégorique: sites et appli favorisent les « one shots ». Le phénomène est même en progression : 38% des inscrits admettent ne rechercher que « des aventures sans lendemain » contre 22% en 2012. 47% des personnes interrogées reconnaissent avoir déjà eu un rapport sexuel dès le premier rendez-vous « en sachant qu’ils n’allaient pas revoir cette personne » et 46% « sans chercher par la suite à revoir cette personne » Tinder aurait-elle fait tomber les derniers obstacles qui nous séparaient d’un océan de coups d’un soir?

A 29 ans, Christophe’, chargé de mission dans un ministère, est un « serial chopeur ». Après avoir longtemps vécu en couple, il installe Tinder sur son smartphone.

Sa première rencontre, « une fille discrète », donne le ton : « Elle semblait s’ennuyer. Au bout d’un moment, je lui demande si la rencontre se passe bien à ses yeux. Réponse laconique : Je croyais qu’on était là pour tirer un coup, mais si t’as besoin de causer pendant des heures avant, chacun son délire…’ On a sauté dans un taxi! » Une autre nuit, vers 5 heures du matin, alors qu’il dévore Game of Thrones, une inconnue habitant dans le XIX’ arrondissement de Paris le contacte : elle sort de soirée et ses placards sont vides. « Elle est venue chez moi, dans le Xle. A 6 h 30, elle mangeait une pizza dans mon salon. A 7 heures, on consommait « 

Christophe s’est rapidement lassé de Tinder, prise d’assaut « par les déçus de Meetic et d’Adopte un mec » qui ont contribué à enrayer sa vocation d’appli pour plans baise, et a jeté son dévolu sur sa concurrente OkCupid : « Elle permet de renseigner ‘casuel sex’ dans les critères de recherche et pourrait donc devenir l’appli ultime du plan cul! », s’enthousiasme-t-il. Même attitude décomplexée chez Thomas, 30 ans, publicitaire. S’il avoue ne pas concevoir de rencontrer la femme de sa vie en likant une photo sur une appli, le Bordelais assume totalement son addiction à Tinder et Happn : « C’est comme une drogue. C’est le besoin de tout avoir tout de suite, sans bouger de chez soi. » Et le garçon ne fait pas dans la demi-mesure : it se targue d’avoir chopé une cinquantaine de femmes depuis te début de l’année.

Est-ce à dire que les hommes règneraient sur ces applis? Rien n’est moins sûr : si, selon l’Ifop, le nombre d’hommes dépasse celui des femmes sur les sites de rencontres 163% contre 37% de femmes’, ces dernières sont plus nombreuses à n’utiliser que les applis de drague, sans passer sur le web (16% contre 10%). Mais, au-delà de l’aspect quantitatif, ces outils technologiques induisent surtout de nouveaux comportements chez leurs utilisateurs, tous genres confondus.

Avec Tinder, Christophe a ainsi découvert un monde où les nanas assumaient leurs désirs et se montraient plus directives que dans ‘ses] souvenirs ». « J’ai eu pas mal de propositions indécentes, ce qui je pense était impossible par le passé sans le masque du virtuel. On ne te proposait jamais d’aller tirer un coup comme ça, pour vérifier si la taille de ta bite changeait la qualité d’un rapport ou si tel fantasme valait la peine », raconte-t-il.

Aujourd’hui, Tinder et Happn se vantent d’avoir mis en place un dispositif de réciprocité (les deux personnes doivent se liker pour se contacter), et de compter ainsi 40% de femmes parmi leurs inscrits. Sous leurs allures de supermarchés du cul, ces applis auraient-elles permis aux femmes d’assumer davantage leurs désirs de baises éphémères, dans une société où le coup d’un soir est toujours perçu comme l’apanage des hommes?

Auteur des Réseaux du cœur: sexe, amour et séduction sur internet IF. Bourdin, 2012), le sociologue

Pascal Lardellier estime qu’en « hyper-rationalisant les relations », ces outils aident les femmes à « s’affranchir des convenances, à quitter leur position d’attente et à être plus actives ». Pourtant, les clichés ont la peau dure : si, en juin 2014, Lui proposait « 5 conseils pour pécho sur Tinder », le site du magazine Glamour listait en février dernier 4 applis pour enfin rencontrer l’amour let nous changer de Tinder] » ».

Anita, 25 ans, n’a, elle, aucune gêne à raconter s’éclater sur Happn et Tinder. « C’est un bon moyen de jauger les BG qui sont autour de chez toi, et je peux te dire qu’il y a du niveau dans le XVe arrondissement! Quand j’étais en période d’examens, ça me servait de pause pendant mes révisions : je déjeunais avec un mec le midi puis je passais chez lui après la bibliothèque », raconte-t-elle, malicieuse.

C’est à la suite d’une rupture que Claire, 27 ans, chef de projet web, a décidé de se prendre du bon temps via Tinder. Avec ce type d’appli, on peut zapper la phase relou qui consiste à bien s’habiller, trouver le bon bar. Quand on a juste envie de s’amuser, c’est l’idéal! », explique-t-elle. Bilan : elle a couché avec dix mecs en quatre mois.

Evoluant dans un « milieu majoritairement féminin », Marie, 27 ans, assume sa tindérisation : « On sait qu’on est là pour la même chose : se choper. J’ai des copines qui n’osent pas télécharger ces applis parce qu’elles trouvent ça honteux. Ce serait donc honteux d’afficher qu’à 25­30 ans, célibataire, on a envie d’avoir une vie sentimentale et/ou sexuelle ? Je trouve ça dommage. » Actuellement, la jeune graphiste s’envoie en l’air une fois par semaine avec « un ersatz de plan cul » qui habite dans son quartier, le XIXe arrondissement parisien, et qu’elle a rencontré non pas à l’épicerie du coin, mais sur Happn. « J’appréhende un peu le moment où je n’aurai plus trop envie de le croiser.. je vais peut-être devoir déménager ! »

D’autres n’envisagent plus de draguer IRL, comme Lise, 22 ans, assistante relations publiques dans le luxe, sui n’imagine pas aborder un mec dans une soirée : ‘Par contre, après l’avoir vu, j’active la localisation et je me dis que je vais le retrouver sur Happn ou Tinder. » Et d’ajouter, confuse : « Tinder fait tellement partie de mon quotidien que je ne sais même plus quand j’ai téléchargé l’appli. » Plus besoin de sortir de chez soi pour se taper quelqu’un : avec ces applis, la quête du bon coup vient à vous. « On commande un Uber, à boire, on peut même choper des médicaments sur son smartphone. Pourquoi pas un plan d’un soir?, s’exclame Hugo, journaliste de 27 ans au bronzage estival. Ne soyons pas hypocrites! Ces applis ne sont pas conçues pour trouver l’amour » Pour Pascal Lardellier, « on assiste à une technicisation et une industrialisation des relations sexuelles.

Avec Tinder; la finalité est rapide et consumériste : il faut que ça soit bien et que ça aille vite. »

Mais la bonne surprise n’est pas toujours au rendez-vous. Si Baptiste, 35 ans, communicant à Marseille, garde le souvenir très vivace d’une nuit avec une hôtesse de l’air qui avait eu la bonne idée de débarquer en tenue de travail, il se souvient encore mieux du sentiment de « publicité mensongère » lors d’un rendez-vous avec une fille beaucoup moins jolie que sur sa photo Tinder. Même anecdote chez Thomas, que l’accumulation de « photos trompeuses » a poussé à exiger « des images supplémentaires ainsi que le compte Facebook » de chaque fille qu’il contacte.

C’est oublier que la virtualité de ces applis encourage l’usage du storytelling : comme sur Instagram, Tinder et consorts sont autant d’invitations à la mise en scène de nos vies. « Une fois, j’étais au fond de mon canapé avec un McDo et Sex and the City mais je racontais au mec à qui je parlais que je sortais avec mes amis trop stylés, dans un endroit trop hype », confie Lise. S’il lui arrive de switcher les profits Tinder comme il actualiserait son fil d’actu Twitter, Pierre, 30 ans, historien, appréhende la drague 2.0 comme un jeu : « L’essentiel, assure-t-il, c’est la phrase d’accroche. Il faut se saisir de n’importe quel élément sur le profil de la personne pour enclencher une vanne, créer une culture commune. » D’autres switchent les profils pendant leurs abdos matinaux ou troquent Candy Crush pour Tinder afin de « passer le temps ». Banalisé, mécanisé, le one shot serait-il devenu l’ultime divertissement de nos sociétés hyper-connectées?

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Troubles de l’érection : une dysfonction érectile peut annoncer un problème vasculaire

La dysfonction érectile est définie comme l’incapacité persistante, ou récurrente, à obtenir ou maintenir une érection permettant un rapport sexuel satisfaisant. Elle peut être liée à une maladie ou être d’origine psychique ou mixte.

 

Des mots pour les maux
Le terme de « dysfonction érectile » remplace le terme « d’impuissance » qui sous-entendait un trouble sévère rendant impossible un rapport avec pénétration.
• Dans le pénis, les « corps caverneux » sont une éponge vasculaire active constituée de cellules musculaires lisses qui entourent des espaces contenant du sang, les « espaces sinusoïdes ».
• Autour des corps caverneux, « l'albuginée » est une membrane fibreuse, peu extensible et résistante, qui permet la rigidité du pénis lorsqu’elle est tendue par le remplissage des corps caverneux.
• Les « artères caverneuses » s’ouvrent et remplissent les corps caverneux tandis que les veines de drainage se ferment.
• L'innervation pro-érectile est issue de différents systèmes nerveux non volontaires (« autonomes »), qui sont véhiculés par les racines nerveuses sacrée (S2-24) et dont la molécule effectrice est « l’oxyde nitreux ou NO ».

Qu'est-ce qu’une dysfonction érectile ?

A tout âge, de très nombreux hommes connaissent parfois des « pannes sexuelles ». Celles-ci sont le plus souvent liées à la fatigue, au stress, à diverses préoccupations, à la prise d’alcool ou à des problèmes avec leur partenaire. Ces troubles occasionnels ne constituent pas des troubles de l’érection (ou « dysfonctions érectiles ») proprement dits.
Pour que la dysfonction érectile soit avérée, il faut que l’incapacité à obtenir ou à maintenir un rapport sexuel satisfaisant soit persistante ou récurrente, pendant une durée d’au moins 3 mois.
L’initiation d’une érection est provoqué au niveau d’une zone très spécifique du cerveau (« hypothalamus ») par une stimulation érotique, qui peut être visuelle, tactile, olfactive ou par des pensées érotiques. Des influx nerveux parviennent alors aux organes génitaux où un processus biologique et biochimique (libération d’oxyde nitreux ou NO) provoque le gonflement et la rigidité du pénis.
Libéré par le système nerveux pro-érectile, le NO déclenche l’ouverture des artères péniennes et la relaxation des cellules musculaires lisses des corps caverneux qui permettent l'ouverture des espaces sinusoïdes et leur remplissage de sang artériel. Lorsque les espaces sont remplis, la compression des veines va s'opposer à la sortie du sang et permettre d'obtenir la rigidité du pénis (« mécanisme veino-occlusif » ou « mécanisme de la cocotte minute »).
Les cellules qui tapissent la surface des espaces sinusoïdes sont étirées par ce remplissage et secrètent elles-aussi du NO qui participe au maintien de l'érection.
Une diminution de la stimulation sexuelle, ou l’éjaculation (qui s’accompagne d’une libération importante d’adrénaline), entraîne une contraction des cellules musculaires et une décompression des veines : le sang va pouvoir s’évacuer normalement, les corps caverneux vont se vider et le pénis va retrouver sa taille normale.
Les corps caverneux sont donc les véritables moteurs de l’érection et sont décrits comme des éponges actives, ayant à leur service des artères et des veines, et sous la commande d’un système nerveux non-volontaire. Le dysfonctionnement d’une de ces structures (artères, corps caverneux, veines et système nerveux) peut aboutir à une dysfonction érectile.

Quels sont les signes de la dysfonction érectile ?

Il peut s’agir de l’incapacité à obtenir une érection, mais le plus souvent les troubles se limitent à une incapacité à maintenir une érection jusqu’à l’orgasme ou jusqu’à la pénétration de sa partenaire : perte de l’érection ou baisse de la rigidité lors de la pénétration.
Parfois, il s’agit simplement d’une rigidité insuffisante qui gêne la pénétration et ne produit pas un rapport satisfaisant.

Quelles sont les causes de la dysfonction érectile ?

La dysfonction érectile peut être liée à une maladie ou à une cause psychique ou elle peut être mixte. Parmi les causes les plus fréquentes de la dysfonction érectile, on trouve le vieillissement, le diabète, l'athérosclérose et les médicaments.
• Les médicaments sont à envisager en premier car il sont nombreux à pouvoir provoquer ce trouble et le remède est assez simple : discuter avec son médecin pour son remplacement. Pour en déterminer la responsabilité dans le trouble (« imputabilité »), il faut s’appuyer à la fois sur la notice du produit et sur la chronologie de l’apparition des troubles par rapport à l’initiation du traitement.
En cas de traitement antihypertenseur, les deux classes le plus souvent incriminées sont les bêtabloquants non sélectifs et les diurétiques thiazidiques. Si le patient est coronarien ou diabétique, il faut toujours demander un avis cardiologique avant toute modification du traitement. Au cours du syndrome dépressif, un traitement antidépresseur sérotoninergique (IRS ou IRSNA) peut être à l’origine d’une dysfonction érectile, sachant que le trouble dépressif lui-même peut aussi provoquer ce trouble. D’autres médicaments peuvent être à l'origine d’une dysfonction érectile : neuroleptiques, autres antihypertenseurs (antialdostérone), inhibiteurs de la 5-α réductase et antiandrogènes.
• En cas de dysfonction érectile survenant au cours d’un diabète, il faut rechercher des complications macro- et/ou micro-angiopathiques et neuropathiques associées qui peuvent expliquer ce trouble (cause mixte à la fois vasculaire et neurologique).
• Les autres facteurs de risque cardiovasculaire (tabagisme, HTA, dyslipidémie) ou une maladie cardiovasculaire athéromateuse avérée (cardiopathie ischémique, artérite oblitérante des membres inférieurs, anévrisme de l'aorte abdominale ou antécédent d'accident vasculaire cérébral), peuvent être responsables d’une dysfonction érectile en raison du rétrécissement du calibre interne des artères, du fait des dépôts de cholestérol (comme du calcaire dans un tuyau).
• En cas d’atteinte associée de la paroi interne des artères (« dysfonction endothéliale »), comme dans le diabète, l’HTA, une dyslipidémie, le tabagisme), c'est le NO sécrété par l’endothélium qui fait défaut et cela altère la qualité de l'érection.
• Certaines affections neurologiques peuvent s’associer à ce trouble (maladie de Parkinson, sclérose en plaques, épilepsie, démence ou séquelles de traumatisme médullaire) en raison d’atteintes des connexions nerveuses au sein des circuits neurologiques de l’érection.
• Le même mécanisme peut être incriminé au cours d’une chirurgie abdomino-pelvienne (adénome ou cancer de la prostate), d’une irradiation abdomino-pelvienne (cancer de la prostate, de la vessie ou du rectum) ou d’un traumatisme du petit bassin.
• Une maladie ou une insuffisance des glandes hormonales (« endocrinopathie ») peut parfois être mise en cause comme : un déficit en testostérone lié à l'âge, un dysfonctionnement de la thyroïde ou une insuffisance surrénalienne (« maladie d'Addison »).
Le rôle de la testostérone sur le désir est désormais bien connu. Le déficit en testostérone, ou insuffisance androgénique, affecte en premier lieu la survenue des érections nocturnes dont la commande cérébrale est « androgéno-dépendante ». Les érections nocturnes pourraient jouer un rôle sur la bonne qualité (« trophicité ») du tissu érectile. Par ce biais, un déficit en testostérone pourrait retentir sur la fonction érectile en particulier chez le sujet âgé.
• Une maladie du sang peut entraîner une dysfonction érectile par lésion des corps caverneux comme la drépanocytose, la thalassémie et l'hémochromatose.
• Il en est de même pour les malformations de la verge (maladie de Lapeyronie, hypospadias…).
• Des troubles du sommeil peuvent contribuer à la dysfonction érectile comme le syndrome d'apnée du sommeil ou simplement une insomnie.
• Une addiction à l'alcool ou à la drogue peut occasionner une dysfonction érectile.
• Il faut toujours penser en dernier à une anxiété de performance sexuelle mais cela peut être simplement des événements de vie négatifs (chômage, décès, infertilité, divorce) ou positifs (naissance, promotion, nouvelle rencontre) dans les 6 mois avant l'apparition des troubles.

Quelles sont les complications de la dysfonction érectile ?

Plusieurs études ont confirmé que l'insuffisance érectile était à l'origine d'une importante souffrance chez l'individu qui en est atteint ainsi que chez sa partenaire et ont démontré l'importance du bénéfice apporté par la correction des troubles érectiles.
La dysfonction érectile est un « symptôme sentinelle », c’est-à-dire qu’elle peut témoigner d’une maladie sous-jacente plus grave, comme une athérosclérose artérielle, un diabète ou une dépression. Le risque de mourir d'un événement cardiovasculaire est deux fois supérieur chez un diabétique ou un hypertendu souffrant de dysfonction érectile.

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Cette semaine, on parle d’orthographe, de parties de jambe en l’air, de dieux égyptiens petits, de clinomanie et des joies d’avoir un enfant (ou pas) : 

Vous êtes vous déjà demandé combien de personnes étaient en train de faire l’amour pendant que vous êtes confortablement installé derrière votre bureau ? Non ? Et bien nous vous donnons quand même la réponse dans nos 5 savoir insolites de la semaine : 

Le désir excessif de rester au lit toute la journée porte un nom

Une personne qui refuse de quitter son lit peut-être atteint de clinomanie. Cependant, ce n’est pas parce que vous avez énormément de mal le matin à quitter votre couette, que vous êtes clinomane. Il s’agit en effet d’un véritable trouble psychiatrique, généralement observé chez les personnes souffrants de neurasthénie, de schizophrénie ou d’une importante dépression. 

Les gens de petite taille étaient très appréciés dans l’Egypte ancienne

Contrairement aux canons de beauté actuels, où les silhouettes élancés sont généralement valorisées, les personnes de petites tailles étaient très bien vues dans la culture égyptienne antique. A tel point que certains dieux de premier plan, comme Ptah, la divinité des artisans et des architectes, ou Bès, le dieu du foyer, étaient représentés comme des personnages petits. 

« Sens dessus dessous » est la bonne orthographe

Le compte twitter du Bescherelle officiel nous rappelle régulièrement les subtilités de la langue française. Par exemple, on doit écrire « sens » dessus dessous, et non pas « sans » dessus dessous. Il s’agit en fait d’une déformation de  « c’en » (dessus dessous) présente à l’origine de l’expression, pour signifier que « ce qui devrait être dessus est dessous ». 

Il y a au moins 100 millions de parties de jambes en l’air tous les jours

Sinon, pendant que l’on est en train de se pencher sur des questions d’orthographe, il y a environ 65 000 couples qui sont en train de faire l’amour dans le monde. Au total, 100 millions de parties de jambes de l’air ont lieu par jour sur la terre. 

Durant la première année du bébé, les parents perdent 44 jours de sommeil  

Si vous avez des potes qui viennent d’avoir un enfant, soyez compréhensifs. Une étude britannique, menée par Ergoflex un vendeur de matelas, a montré que les jeunes parents perdaient 44 jours de sommeil, soit 6 semaines, la première année de leur bébé. 

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Comment savoir si une femme vous séduit : 10 attitudes qui la rendent plus attirante

Au quotidien, il y a un tas de petits trucs qui vous rendent plus attirante. Comme le fait d’être toujours très féminine, de savoir rire de soi-même, de prendre des initiatives diverses et variées…Zoom sur 10 attitudes qui font craquer les hommes.  

1 – La féminité  

Rien de tel qu’une femme qui reste attirante en toutes circonstances. Cela implique d’avoir de jolies mains, des collants non filés et de parler distinctement, de ne pas dire de gros mots. 

2 – Inviter son homme  

Les hommes ne s’y attendent tellement pas que cela leur fait extrêmement plaisir. Cela lui montre que vous tenez à lui et que vous ne vous faites pas entretenir puisque vous aussi vous lui faites des cadeaux. 

3 – Savoir bricoler 

Là encore, une femme qui sait bricoler montre qu’elle est indépendante, qu’elle peut vivre par elle-même et qu’elle ne dépend de personne. Rien de plus sexy ! 

4 – L’autodérision  

Les femmes susceptibles qui se vexent à la moindre remarque, c’est la débandade. A l’inverse, une femme qui sait rire d’elle-même, c’est ultra sexy. 

5 – La prise d’initiatives 

Les hommes aiment les femmes qui prennent leur destin en main et qui leur font des surprises sans attendre que cela vienne d’eux. 

6 – Savoir se tenir 

Les hommes aiment les femmes qui savent se tenir en public. Qui restent discrètes, ne parlent pas trop fort et ne cherchent pas à se faire remarquer outre mesure. Il faut savoir qu’ils détestent la vulgarité. 

7 – La culture 

Une femme un minimum cultivée, c’est toujours excitant pour un homme. Eux aussi aiment qu’on leur fasse découvrir des choses. 8 – Une chemise  Oui, ils nous trouvent hyper sexy quand on leur pique une chemise pour traîner à la maison. 

9 – La fragilité  

S’ils aiment les femmes qui savent se débrouiller seules, ils apprécient aussi qu’on leur demande de l’aide car cela réveille leur côté viril. 

10 – Savoir se renouveler au lit 

Quand une femme sait se renouveler au lit, qu’elle propose sans cesse de nouveaux moyens de pimenter la relation, l’homme est aux anges. 

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Au-delà du sexe « cérébral »

On engagerait des philosophes pour animer les soirées érotiques. Les ados cacheraient des photos de Sartre et Beauvoir sous leur oreiller. Les gens sortiraient non pas en boîte mais en séminaire universitaire. Ce serait vachement bien. Mais totalement irréel.

Impossible d’éviter le flux des tendances : tous les six mois, le monde du sexe s’inflige un nouveau néologisme. Pour information, nous en sommes à la case « lumbersexuel ». Jamais entendu parler ? Personne ne vous jettera la poutre. Le lumbersexuel est l’enfant maudit d’un bûcheron et d’un métrosexuel (il est moderne, il a des parents gays) : un barbu à chemise à carreaux mais qui ne sent pas le sapin. La différence avec un hipster ? Aucune idée.

Il y a quelques années, ces tendances pouvaient nous occuper plusieurs semaines (repose en paix, femme-cougar, tu n’as point démérité). Mais les « concepts » ont désormais une durée de vie misérable. Nous sommes horriblement blasés. Sans doute parce que nous avons un cerveau et qu’on peut difficilement nous resservir dix mille fois le même buzz. C’est trop d’agitation.

Mais justement. Parlons de cerveau, et parmi les tendances vite-créées vite-oubliées de l’an dernier, versons une larme sur les sapiosexuels. Ce ne sont pas des hommes préhistoriques, même si le retour du pagne m’aurait personnellement ravie. Les sapiosexuels sont des personnes qui trouvent l’intelligence attirante au point qu’elle occupe la première place dans leur imaginaire érotique. Alors évidemment ça pose des tas de questions comme : Vous connaissez beaucoup de personnes qui préfèrent la bêtise ? (Les spornosexuels peut-être ?) Ça ressemble à quoi, exactement, du sexe sans cerveau ? Combien de cannabis faut-il fumer pour s’en approcher ? De quelle intelligence parlons-nous, sachant qu’on en fait des catalogues entiers ? Est-ce qu’on passe des tests de QI avant la rencontre ? Quid du monsieur brillant, cultivé, drôle, mais dont les opinions nous déplaisent profondément ? L’intelligence garantit-elle la compatibilité intellectuelle ? Comment définir exactement quelles sont nos priorités en matière amoureuse ? Qui peut dire : c’est ça le fondement ?

Le plus amusant, c’est que lors de la courte existence du sapiosexuel, le concept a semblé séduire un paquet d’internautes – parfait timing pendant le succès du film Une Merveilleuse histoire du temps, où l’ex-mannequin Eddie Redmayne incarnait un Stephen Hawking certes en pleine dégénérescence, mais d’un sex-appeal imparable.

Alors imaginons que ce soit vrai. Imaginons qu’une majorité d’entre nous kiffe l’intelligence avant tout (au passage, imaginons que Tinder ne soit pas le site de rencontres le plus utilisé du monde, ou bien qu’on y sélectionne nos partenaires sur leurs capacités de calcul mental). On engagerait des philosophes pour animer les soirées érotiques. Les ados cacheraient des photos de Sartre et Beauvoir sous leur oreiller. Les gens sortiraient non pas en boîte mais en séminaire universitaire. La pornographie serait remplacée par Sciences & Vie. Ce serait vachement bien. Mais admettez qu’on ne vit pas exactement dans cet univers-là. D’ailleurs, sans vouloir ricaner, une étude américaine d’il y a trois mois montre que les hommes aiment l’idée d’une femme intelligente, mais cessent de trouver ces dernières attirantes si on leur explique par A + B qu’elles sont plus malines qu’eux. (Cette étude est pleine de défauts, je la cite seulement comme contrepoids.)

Venons-en donc au lièvre : à mon avis, les sapiosexuels ne représentent pas une attraction mais une réaction. Ils incarnent le pendant 2015 du mépris du charnel. Ils sont la millième occurrence du désir rationalisé, hygiénisé, rendu convenable par la suprématie du cerveau. Des siècles plus tard : nous reprenons la lutte du corps contre l’esprit, avec cette idée sous-jacente très religieuse que la meilleure version de nous-même n’a pas de sexe.

Quand on dit « sapiosexuel », on peut sentir le souffle du « nouveau réac ». Il est impossible d’afficher dans l’espace public aujourd’hui que la sexualité est mauvaise – elle est trop populaire, trop chic… trop obligatoire, aussi. Mais en l’absence de cette option, on peut encore extraire le corps de la sexualité – c’est sûr qu’on tachera moins les draps. C’est pourquoi, plutôt que de s’attaquer directement aux galipettes, les réacs les assèchent avec un discours incroyablement pernicieux : en se faisant passer pour des gourmets absolus, voire pour les gardiens du temple.

Ce faisant, ils tentent de propager l’idée que le sexe est meilleur quand il est purement cérébral, et le désir, plus légitime quand il se porte sur la collection de livres anciens. Vous reconnaîtrez ces parangons du snobisme à leurs perles de sagesse préférées, qui ressemblent à ces petites phrases d’inspiration « philosophique » qui broutent partout sur Internet. Ils diront que le sexe est meilleur quand on aime. Que l’orgasme se passe dans le cerveau. Qu’il faut laisser ses fantasmes prendre la poussière, parce que c’est mieux de laisser traîner nos désirs. Ils diront que les autres (nous) sont des bêtes incultes, alors qu’eux ont accès à des plaisirs élitistes – études supérieures obligatoires, lectures élégantes dans des alcôves. Ne manque plus que la perruque poudrée.

Loin de moi l’idée de réduire la sexualité à quelque chose de purement physique. D’ailleurs, si ces thèses réapparaissent à intervalle régulier, c’est bien qu’elles interpellent et qu’elles rassurent : dans un monde ultra-charnel, nous ne sommes pas réduits à notre chair. Ouf !

Sauf qu’à vraiment, vraiment mettre les pieds dans le plat, il reste plus hasardeux d’avoir un orgasme purement cérébral (ça arrive : les rêves érotiques) qu’avec son corps (ça marche neuf fois sur dix pour les hommes, les deux-tiers du temps pour les femmes qui se masturbent – et pour elles, seulement quatre fois sur dix avec un partenaire). A priori, une personne aux nerfs bien branchés, pas trop malade ni stressée ou affamée, connaîtra une jouissance même médiocre, si on la triture correctement.

Le problème étant qu’on ne peut pas apprécier le sexe dans toutes ses possibilités, en affirmant simultanément que le cérébral serait « meilleur ». Ou que le corps serait « meilleur », d’ailleurs. La meilleure preuve de l’importance du cerveau, du côté de l’actualité récente, se trouve dans le Viagra féminin. Ses concepteurs sont partis du principe qu’avec la bonne molécule, les femmes développeraient une libido solide. Alors d’accord, les résultats cliniques n’ont convaincu personne. Mais l’échec commercial patent (moins de 227 prescriptions les premières semaines aux Etats-Unis, contre 600 000 pour le Viagra masculin) montre que nous ne sommes pas prêts à accepter que les femmes, notamment, soient de purs corps. Les hommes, ok… Mais pas les femmes.

De toute façon, personne ne nous demande de trancher : en sexualité c’est fromage ou dessert, fromage et dessert, dessert avant le fromage, ni l’un ni l’autre, et puis des sushis recouverts de Chantilly si on veut. Et aussi, puisque nous évoquions les tendances sexuelles, je propose la suivante pour la saison printemps/été : cesser de hiérarchiser les plaisirs. Pour le néologisme associé… eh bien, je vous laisse choisir.

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Sa libido est en berne : laissez-le boire de la bière ! 

Promis, nous n’avons pas perdu la tête. La bière serait vraiment bénéfique pour booster la libido masculine. Et c’est une femme qui le dit. Elle, c’est le Dr Kat Van Kirk, sexologue et thérapeute de couple. Dans son livre The Married Sex Solution: A Realistic Guide to Saving Your Sex Life (La solution pour une libido et un mariage épanouis  : un guide réaliste pour sauver votre vie sexuelle), la spécialiste donne aux hommes quatre bonnes raisons de boire de la bière juste avant de passer à l’acte.

D’abord, la bière retarde l’éjaculation. C’est l’effet de sa forte teneur en phytoestrogènes, des composés que l’on retrouve entre autres dans les fruits à coque ou les céréales, et qui sont connus pour leur capacité à retarder l’orgasme chez l’homme.

Amateurs de bière brune, gardez le cap ! Elle booste la libido et, à long terme, engendre des érections plus intenses. Cela est dû au taux de fer contenu dans la bière brune qui augmente le flux sanguin vers le pénis, et donc provoque une érection plus forte.

Le procédé d’infusion, qui rentre dans le processus de fabrication de la bière, permet aussi d’améliorer son endurance au lit. Plus étonnant encore, des chercheurs ont trouvé que 31% des buveurs de bière modérés avaient un risque réduit de maladie cardiovasculaire comparé à ceux qui n’en boivent pas.

Enfin, le Dr Van Kirk dévoile le nom d’une bière miracle : appelée « 50 Shades of Green » (50 nuances de vert), cette bière contient 50 sortes de houblons différents et d’autres ingrédients comme le ginseng ou le ginkgo biloba, bénéfiques pour le flux sanguin et la stimulation du nerf vague, et donc pour la libido.

Alors, mesdames, on insiste bien auprès de son cher et tendre : la bière se consomme avec modération et seulement avant un rapport (ok, c'est pas gagné, mais qui ne tente rien n'a rien). Comme ça, adieu la bedaine et bonjour les galipettes !

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Sexualité : ce que les Français font sous la couette

Sexualité : ce que les Français font sous la couette

Sexualité : ce que les Français font sous la couette

Une étude Ipsos pour le compte du site Amorelie vient de se pencher sur les pratiques sexuelles des Français en réalisant un sondage sur 1 005 personnes.

On y découvre tout d'abord que, si le nombre moyen de partenaires sexuels au cours de sa vie est de 9,5, les disparités sont importantes selon les catégories. Ainsi, les hommes ont 11 partenaires sexuels, les femmes seulement 8. Les habitants d'Ile-de-France 16, contre 8 pour les provinciaux. Ou encore, les moins de 35 ans 6, pour 11 chez les 35 ans et plus. Mieux vaut donc être un homme de plus de 35 ans et francilien si on veut multiplier les conquêtes !

Le sondage s'est aussi penché sur la notion du plaisir, parmi ceux ayant eu un ou plusieurs partenaires. Si 39 % estiment avoir pris du plaisir avec «tous ou presque»,, ils sont quand même 19 % à n'en avoir pris qu'avec «moins de la moitié» ou «aucun».

Tout bon sondage sur la sexualité des Français interroge sur les pratiques, des plus courantes au plus inavouables. Sans surprise, la fellation et le cunnilingus sont les pratiques sexuelles (hors pénétration classique) les plus répandues avec 70 % de pratiquants et 3 % qui aimeraient bien le faire un jour. Suivent sur le podium, la sodomie (36 % l'ayant déjà fait et 6 % qui aimeraient bien) et l'amour dans un lieu public (29 % et 10 %). A l'inverse, l'échangisme recueille le plus d'opinions défavorables (89 % ne le pratiqueront jamais). Mais comme le dit le proverbe, chacun prend son plaisir où il le trouve.

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22 trucs pour mettre du piquant dans votre relation

Être en couple est loin d'être une tâche facile. Les débuts des relations amoureuses sont toujours excitants, mais est-il possible de faire durer l’étincelle après la lune de miel ? Voici quelques façons de ramener la passion et la bonne entente dans votre couple.

La règle 5-3-1

Mettez fin aux questions comme « qu'est-ce qu'on regarde ? » ou « où est-ce qu'on mange ? » et autre dilemmes en adoptant la règle du 5-3-1. Le premier d’entre vous donne 5 options. L’autre en élimine 2 et la première personne en écarte 2 autres. Vous prenez ainsi une décision ensemble et vous obtenez une réponse définitive.

Les bons mots au bon moment

Complimenter votre partenaire après une querelle peut passer pour de la flatterie. Choisissez votre moment pour lui lancer des fleurs, avant de sortir pour une soirée par exemple.

Se tenir les mains durant les disputes

Une des meilleures manières d’empêcher qu’une querelle ne s’envenime, c’est de tenir la main de votre partenaire. Non seulement le geste a un effet calmant, mais il installe une connexion immédiate.

Écrivez des notes d’amour

Une des manières les plus faciles de raviver la flamme est de laisser des notes affectueuses à votre partenaire. Il n’y a rien comme trouver une petite note romantique ou mieux, osée, signée par votre petit(e) ami(e) sur le frigo ou le miroir de la salle de bain.

Soyez à l’écoute

La plupart des conflits peuvent facilement être résolus à condition que l’un d’entre vous mette de l’eau dans son vin et laisse l’autre parler. Une conversation calme vaut toujours mieux qu’une engueulade.

Posez des questions subtiles pour résoudre des problèmes

Au lieu de vous empresser de donner votre avis ou de suggérer des solutions à un problème, donner des indices subtils ou poser des questions permet à votre partenaire de faire preuve d’autodétermination.

Explorez le corps tout entier

La sexualité ne devrait pas être une corvée. Il y a un plusieurs manières de ramener la passion sous la couette. Amusez-vous avec le derrière de sa nuque, mordillez ses orteils, embrassez le derrière de ses genoux… La liste est longue !

La confiance est maître

Essayez d’affronter tous les problèmes, qu’ils soient d’ordre financier, personnel ou professionnel, avec confiance. Une approche molle devant les problèmes qui surgissent pourrait lui faire perdre confiance en vous. Se montrer courageux dans les épreuves, même si ce n’est pas toujours facile, fait souvent des merveilles.

Admettez vos erreurs

L’erreur est humaine et admettre que vous avez fait une bêtise n’est pas un crime. C’est plutôt une manière honorable d'archiver les dossiers qui traînent.

Les mots magiques : pardon et merci !

Si seulement c’était si simple ! Vous avez de la conversation, mais vous êtes souvent sans voix quand vient le temps de demander pardon. Si prononcer un seul petit mot peut mettre fin à une guerre froide qui dure depuis plusieurs jours, allez-y. Si vous hésitez encore, posez-vous la question : préférez-vous vous mettre au lit la larme à l’œil ou plutôt vous endormir collé à votre partenaire après avoir réglé un conflit ?

Ne soyez pas jaloux

Fouiner dans ses comptes en ligne et ses messages texte ne vous mènera nulle part. Parlez-en si c’est absolument nécessaire, mais ne jouez pas les détectives à son insu. Plus vous vous sentirez calme et sécurisé dans votre relation, plus votre partenaire se sentira à l’aise en votre compagnie. 

Laissez votre ex dans le passé

C’est une évidence. Peu importe que les choses se soient bien terminées ou non entre votre ex et vous, le mentionner constamment dans les conversations les plus anodines, c’est un peu comme creuser votre propre tombe.

Les adjectifs inappropriés

Choisir le bon mot peut vous sauver la vie en vous aidant à éviter les querelles insignifiantes. Si votre femme a passé des heures à chercher la robe parfaite et qu’elle n’est pas flatteuse pour sa silhouette, ne le lui dites pas bêtement. Soyez délicat et ne lui faites pas de peine. De la même façon, un mot comme « correct » peut énerver votre homme dans certains contextes.

Montrez votre affection

Il n’est pas nécessaire de vous embrasser à pleine bouche au milieu de la rue, mais tenir la main de votre partenaire et le bécoter un brin lui rappellera que vous être fier et heureux de partager sa vie.

L’étiquette en cuisine

Les petites corvées en apparence inoffensives ont ruiné des relations qui semblaient pour toujours. Diviser les corvées de manière équitable est une excellente façon de prouver à votre partenaire que votre relation vous tient à cœur. Si votre tendre moitié cuisine, la vaisselle vous revient, cela va de soi !

Planifiez des sorties en amoureux

Vous rappelez-vous de la dernière fois que vous êtes sortis en amoureux ? Le film était peut-être nul et le popcorn froid, mais la soirée avait tout de même quelque chose de magique. Pourquoi ne pas remettre ça ? Réservez des journées dans le mois où passer du temps ensemble afin de pouvoir vous retrouver, au restaurant ou ailleurs.

Trouvez-vous un nouveau passe-temps commun

Il y a une panoplie d’activités que vous pouvez faire ensemble pour ajouter un peu de piquant dans votre relation. Choisirez-vous le cours de tango, l’atelier de cuisine ou la salle de sport ?

Week-end d’escapade

Mettez du piquant dans votre quotidien en partant en escapade le temps d’un week-end. Réservez une chambre dans un spa ou louez un chalet à la montagne. Vous serez surpris de voir à quel point changer de décor peut donner de l’énergie à une relation qui en a besoin.

Aimez-vous en forme et en bonne santé

Être en bonne forme physique est bon pour l’estime de soi et votre partenaire sera plus qu’heureux de vous voir en bonne santé. Sans oublier que cela signifie de meilleures performances sous les draps !

N’essayez pas de changer l’autre

Acceptez votre partenaire comme il est. Toute tentative de le changer pour mieux répondre à vos besoins lui donnera l’impression que vous êtes insatisfait de la relation. Aussi, si vous voulez aider votre partenaire à se débarrasser d’une mauvaise habitude, ne soyez pas condescendant. Privilégiez plutôt une approche par étapes basée sur l’écoute.

Sortez la télé de la chambre

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les choses sont si tendues dans la chambre ? La télévision peut en être la cause. Votre chambre devrait être un havre de paix ou vous vous réfugiez après une longue journée pour reconnecter avec votre partenaire. Essayez donc de vous regarder dans les yeux au lieu de vous disputer pour la télécommande.

Faites des projets communs

Une bonne manière d’inclure votre partenaire dans les décisions importantes de votre vie est de dresser une liste des choses que vous aimeriez faire ensemble. Prenez le temps de discuter de ce que vous souhaitez tous les deux accomplir et parlez de vos buts.

 

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Masturbation, les différences hommes / femmes

Masturbation, les différences hommes / femmes

Pourquoi ces différences hommes / femmes concernant la masturbation ?

Les explications à ces différences hommes / femmes sont de deux ordres :

  • La différence anatomique peut expliquer l'accès plus facile au sexe masculin. Un garçon voit son sexe, ressent ses érections et explore naturellement ce phénomène. Une fille ne voit pas son clitoris (sauf si elle utilise un miroir), et n'en ressent pas aussi facilement l'excitation, puisqu'il est beaucoup plus discret. Il est donc moins simple pour elle de faire le lien entre ses émotions sexuelles et les réactions physiques de son corps.
  • L'autre explication tient en ce que, pour la plupart des parents, la masturbation masculine serait peut-être moins taboue, moins censurée que la masturbation féminine.

La place différente de la masturbation dans la sexualité

Chez les hommes, la fréquence de la masturbation est inversement liée à la présence de rapports sexuels génitaux. Chez les femmes, la masturbation est au contraire plus fréquente chez celles qui ont des rapports sexuels.

La masturbation joue donc un rôle de substitut à la sexualité relationnelle chez les hommes, rôle qu'elle n'a pas chez les femmes. Pour elles, la sexualité relationnelle stimule plutôt la pratique masturbatoire.

Ainsi, on peut en déduire, semble-t-il, que la masturbation masculine est plus liée à la tension sexuelle d'impulsion, compensatoire du manque de relations sexuelles de couple. Alors que la sexualité féminine serait plus une masturbation d'entraînement liée à un plus haut niveau d'excitation sexuelle général. Cela pourrait aussi expliquer la différence de découverte et de fréquence de pratique de l'auto-érotisme.

La pratique de la masturbation

La première des grandes études sur la sexualité est due à Alfred Kinsey, auteur du fameux rapport Kinsey aux États-Unis (1948). Il constate à l'époque, qu'à l'âge de 18 ans, 92,8% des hommes se sont déjà masturbés pour environ 38% des femmes.

Chez l'homme, la pratique de la masturbation semble déjà saturée à 18 ans, âge après lequel elle n'augmente plus. Chez les femmes, c'est différent : après 18 ans, le pourcentage de femmes connaissant la masturbation augmente au fil des années, et cela jusqu'à 35 ans pour arriver aux alentours de 63%. Étonnamment, la grande enquête sur le comportement sexuel des Français, bien que plus récente, aboutit à des chiffres plus bas : 16% des hommes de 25 à 45 ans expriment ne jamais s'être masturbés pour 45% des femmes.

La fréquence de la masturbation

La fréquence de la masturbation est elle aussi différente entre les deux sexes, et cela commence très jeune. Chez les garçons entre 15 et 18 ans, 35% affirment s'être masturbés dans la semaine précédente pour 10% des filles.

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Margot, 20 ans, étudiante et prostituée à Reims

Pour financer de longues études, Rose n’a trouvé d’autre moyen que de vendre ses charmes. Sous couvert d’un anonymat qui la protège elle et sa famille, elle nous confie comment elle en est arrivée là.

Mères célibataires, étudiantes, elles sont nombreuses à devoir travailler comme escort-girls pour arrondir leurs fins de mois. Une double vie qui n’est pas forcément facile à assumer. Sarah Lebas et Damien Vercaemer ont recueilli les confidences de cinq d’entre elles, dans un documentaire intitulé "Escort girls, une vie dans l’ombre"diffusé mardi 21 avril, à 20h40 sur France 5, dans "Le monde en Face".

Une enveloppe de 600 euros

Si certaines ont dû se résoudre à cette vie pour élever leurs enfants, d’autres le font pour payer leurs études. Dans cet extrait, Margot raconte son expérience d’étudiante en droit sans le sou, obligée de cumuler deux emplois pour subvenir à ses besoins.

De guerre lasse, la jeune femme a fini par s'inscrire sur un site, sur les conseils d’une amie, pour faire financer ses études par des hommes d’affaires, qu’elle accompagne lors de sorties dans des grands restaurants et avec qui elle doit se montrer "gentille". "Je me souviens du premier homme qui m’a donné une enveloppe avec 600 euros en espèces. Pour moi, c’était un mois de salaire de job étudiant", se confie-t-elle.

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Quelle est la durée moyenne d'un rapport sexuel?

Voici une question qui taraude davantage les esprits des mâles que des femmes. Quelle est la durée moyenne d’un rapport sexuel ? Celui-ci dépend de nombreux facteurs.

Trois à cinq minutes, voici la durée moyenne d’un rapport sexuel. C’est ce que déclare le gynécologue et sexologue Sylvain Mimoun dans sa chronique hebdomadaire diffusée sur Le Parisien.fr. Le spécialiste tient toutefois à nuancer ces résultats et insiste sur l’importance de ne pas chronométrer un rapport. Ainsi, plus vos tendresses seront dénuées de l’idée de performance, mieux elles seront.

Un rapport de moins de trois minutes…

En revanche, la durée du rapport peut être inquiétante si vos ébats ne durent pas plus d’une minute. Selon Sylvain Mimoun, « la définition consensuelle d’un éjaculateur précoce, c’est quand la pénétration dure moins de trois minutes voire moins d’une minute ».

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 Présenté hors compétition, "Love", le "film de sexe avec des sentiments" de Gaspar Noé ("Irréversible"), a mis le festival de Cannes en émoi. Et pour cause, le réalisateur retrace l’histoire plombante d’un amour contrarié. Impressionnant.

 
Les amoureux tourmentés du "Love" de Gaspar Noé.
Les amoureux tourmentés du "Love" de Gaspar Noé. 

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6 bonnes raisons de dormir nu

 Rien de tel que le corps à corps nocturne pour donner des envies coquines à son ou sa partenaire. C'est d'ailleurs ce qu'a confirmé une étude britannique menée par la société Cotton Usa et relayée par le site anglais Dailymail. Sur 1000 personnes interrogées, 57% de celles dormant nues ont déclaré être satisfaites de leur vie sexuelle... contre 43% de celles qui ne quittaient pas leur pyjama. Le frottement des corps libère une hormone appelée "ocytocine" qui rend le sujet propice aux rapprochements intimes, expliquent les scientifiques.

La vie sexuelle est plus épanouie

Rien de tel que le corps à corps nocturne pour donner des envies coquines à son ou sa partenaire. C'est d'ailleurs ce qu'a confirmé une étude britannique menée par la société Cotton Usa et relayée par le site anglais Dailymail. Sur 1000 personnes interrogées, 57% de celles dormant nues ont déclaré être satisfaites de leur vie sexuelle... contre 43% de celles qui ne quittaient pas leur pyjama. Le frottement des corps libère une hormone appelée "ocytocine" qui rend le sujet propice aux rapprochements intimes, expliquent les scientifiques.

Adieu les insomnies !

Abandonner le pyjama est peut-être la solution à vos problèmes d'insomnies ou de réveils nocturnes. Selon une étude publiée dans la revue scientifique Brain, avoir trop chaud active une partie du cerveau responsable de la régulation du sommeil. "En baissant simplement la température du corps de 0,4°c des volontaires, nous avons doublé leur temps de sommeil profond et le temps de sommeil global en une nuit" ont expliqué les chercheurs. Vous savez maintenant ce qu'il vous reste à faire.

Abandonner le pyjama est peut-être la solution à vos problèmes d'insomnies ou de réveils nocturnes. Selon une étude publiée dans la revue scientifique Brain, avoir trop chaud active une partie du cerveau responsable de la régulation du sommeil. "En baissant simplement la température du corps de 0,4°c des volontaires, nous avons doublé leur temps de sommeil profond et le temps de sommeil global en une nuit" ont expliqué les chercheurs. Vous savez maintenant ce qu'il vous reste à faire.
 
Maigrir en dormant c'est possible ! A condition de ne pas porter de pyjama. Pourquoi ? Selon une étude américaine, notre corps à besoin de baisser sa température la nuit. Tout ce qui empêche ce procédé entraîne alors une augmentation du niveau de cortisol. "Lorsqu'elle atteint un trop haut niveau, cette hormone provoque le stockage de la graisse dans l'abdomen" explique Max Tomlinson, nutritionniste dans son livre La guerre aux bourrelets. Fini le pyjama et le petit ventre aussi !

Dormir nu rajeunit la peau

Dormir dans le plus simple appareil serait un remède antirides naturel ! Pourquoi ? Cela aide à garder le corps à une température fraîche. Selon une étude publiée dans le journal scientifique Sleep, si le corps dépasse les 21°c, cela entrave la diffusion de la mélatonine. Cette hormone naturelle permet de lutter contre le vieillissement du corps et favorise la régénération des cellules de la peau et des cheveux.

Sans vêtements, il y a moins de risques d'infections urinaires

La moitié de la population garderait le même pyjama pendant 2 semaines, a révélé une étude britannique. Une négligence hygiénique dangereuse pour les femmes qui sont plus à risque de développer une infection urinaire. "Le tissu du pyjama se frotte à la peau qui libère des cellules constamment dessus" a expliqué le professeur Sally Bloomfield, auteur de l'étude, interrogée par le site anglais Dailymail. Si elles s'immiscent au mauvais endroit, ces cellules peuvent causer des infections urinaires ou de la peau."

Dormir nu réduit le diabète

Sans pyjama le corps reste plus frais, ce qui aiderait à maintenir un taux de diabète plus bas, selon une étude américaine. Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont fait dormir cinq volontaires dans des chambres ayant des températures différentes (19°c, 24°c et 27°c). En dessous de 24°c, le corps des volontaires a brûlé plus de graisses brunes pendant la nuit pour maintenir la chaleur du corps à une température correcte, ce qui a entraîné une baisse du niveau d'insuline. Conclusion : exit le pyjama, bonjour la tenue d'Eve.

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10 choses que les filles n’osent pas dire à leur mec au lit

Si dans la vie, on est plutôt du genre à ne pas mâcher ses mots, au lit, c’est une autre histoire. Par peur de blesser son homme ou de le mettre en rogne, on préfère la mettre en veilleuse. Florilège des choses qu’on n’ose pas lui dire au lit.

Tu pourrais être un peu plus brutal ? Évidemment qu’on adore quand il est doux, tendre et romantique. Mais parfois, un peu de sauvagerie et de brutalité, ça ne fait pas de mal ! Rien de tel pour pimenter nos ébats et nous exciter davantage.

C’est bientôt fini ? Quand on se met à regarder notre montre, ce n’est jamais bon signe. Entre l’éjaculation précoce et le rapport qui s’éternise, il y a un juste milieu. Mieux vaut faire l’amour moins longtemps et plusieurs fois dans la nuit qu’une fois pendant 45 minutes.

C’est tout ? Les hommes vont certainement penser qu’on n’est jamais contente mais trois minutes, ça ne suffit pas non plus ! On n’a même pas le temps de ressentir du plaisir. Alors, messieurs, si vous êtes vraiment sensible à ce niveau-là, zappez les préliminaires et réservez-vous pour la suite.

Euh… T’es dedans là ? Ce cas de figure arrive souvent lorsque l’on a un nouveau partenaire. Rien de pire pour blesser un homme dans sa virilité alors mieux vaut éviter.

Tu aurais pu passer au lavabo avant… Sérieusement, nous, on prend toujours le temps de passer à la douche avant pour éviter les mauvaises surprises alors ils pourraient en faire de même, par respect pour nous ! Quand ça sent le fromage ou le poisson pourri, ça ne donne pas vraiment envie…

Parle-moi mal ! Eh oui ! C’est bien mignon de nous bercer à coups de « qu’est-ce que t’es belle », « je t’aime », « demande-moi tout ce que tu voudras ma chérie ». Mais parfois, on doit avouer qu’on aimerait bien qu’il nous dise des choses plus crues afin de pimenter nos ébats.

Donne-moi une fessée Là encore, une fessée donnée au bon moment permet de décupler notre plaisir.

Et si ce soir, tu faisais Monsieur l’agent ? Imaginer des scénarios est le meilleur moyen de sortir du train-train quotidien. On aimerait parfois que Chéri se déguise en agent, pompier, pilote de ligne afin d’alimenter nos fantasmes. 

Et si on allait dans l’ascenseur ? Parfois, ça nous prend, comme ça, au beau milieu de l’acte. On a envie de tenter des trucs qui sortent de l’ordinaire. En définitive, on n’a pas vraiment de raison d’avoir peur car les hommes adorent ce genre d’initiatives.

Domine-moi ! Cela concerne même les plus dominatrices d’entre nous ! Si, dans la vie, on aime garder le contrôle sur tout, au lit c’est un peu l’inverse. L’idée de remettre notre plaisir entre ses mains est ultra agréable. Et hop, on n’a plus qu’à déguster... 

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La levrette a vraiment tout pour plaire

Une position sexuelle qui fait du bien... à tous les sens du terme

La levrette a vraiment tout pour plaire

La levrette est une position souvent très appréciée des hommes et des femmes.  Pour le plaisir qu'elle procure, mais pas seulement...

Une position qui soulage le dos

Suite à une étude parue il y a trois mois sur les positions sexuelles les moins néfastes pour le dos de ces messieurs – et dont nous vous avons parlé ici –, des chercheurs de l'université de Waterloo, au Canada, ont publié leurs résultats concernant les sujets féminins et ils semblent en accord avec ceux concernant leurs partenaires. Tout d'abord, les chercheurs tiennent à préciser que l'impact des positions dépend avant tout du type de maux de dos dont souffrent les patientes.

Les cuillères et la levrette, deux positions idéales

Pour les femmes qui ressentent des douleurs lorsqu'elles essaient de toucher leurs orteils ou après de longues périodes passées assises, les chercheurs recommandent la position des cuillères (en chien de fusil) et de la levrette, à condition que la femme s'appuie sur les mains et non sur les coudes. Par contre, celles qui souffrent de douleurs en lien avec l'extension de la colonne, quand elles cambrent le dos ou en position couchée sur le ventre, doivent se contenter de la traditionnelle position du missionnaire en plaçant un coussin sous leurs lombaires pour plus de confort.

Pourquoi la levrette est la meilleure ?

La position des cuillères a précédemment été conseillée aux personnes souffrant de douleurs lombaires (extension de la colonne), or, l'équipe de chercheurs de Waterloo est revenue sur cette pratique et conseille plutôt d'adopter la levrette pour éviter ce type de maux. "Traditionnellement, la position des "cuillères" était recommandée par les médecins à toutes les personnes qui souffraient de douleurs de dos parce qu'on pensait qu'elle réduisait la tension nerveuse et le poids sur les tissus, explique la professeure Natalie Sidorkewicz de l'université de Waterloo en charge de ces recherches. Mais nous avons examiné les mouvements de la colonne vertébrale et l'activité musculaire et nous avons trouvé que cette position pouvait être l'une des pires pour un certain type de maux de dos", précise la scientifique.

Mais comment les chercheurs en sont-ils arrivés là ?

Les chercheurs ont travaillé avec 10 couples hétérosexuels bien portants. Ils ont recouru à une technique avancée de capture de mouvements grâce à des capteurs et à des caméras avant de demander aux amoureux d'expérimenter cinq positions au lit dont celles du missionnaire (deux formes différentes), des cuillères et deux variations de la levrette (en prenant appui soit sur les mains, soit sur les avant-bras). Les données ont été analysées grâce à un logiciel en vision 3D qui a permis de créer un véritable atlas des positions de la colonne pendant les rapports, le premier du genre. À noter par ailleurs que ces analyses d'ébats du point de vue masculin montrent que la levrette serait aussi la position la plus douce pour la colonne vertébrale de ces messieurs. Par contre, les chercheurs n'ont pas pris en compte certains facteurs, comme l'utilisation de préservatifs ou la prise de traitements hormonaux, pouvant affecter la sensibilité sexuelle et avoir des répercussions sur l'acte.

 
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5 choses à savoir sur l'érection

Elle se pointe le matin involontairement, n'aime pas trop l'alcool et le surpoids et est essentielle à une relation de couple épanouie. Découvrez les petits secrets de l'érection.

Boire nuit à l'érection

Si un peu d'alcool peut libérer sexuellement, n'oubliez jamais que l'alcool est en réalité mauvais pour une bonne érection. Après avoir bu vin, bières ou cocktails en excès, l'érection est plus longue à venir, difficile à maintenir, et l'éjaculation souvent difficile à obtenir. Car, l'alcool altère la circulation sanguine dans les vaisseaux et la sécrétion de la testostérone dans les testicules.


Il existe des érections involontaires

Les érections nocturnes peuvent se produire 2 à 3 fois par nuit. La dernière étant celle du matin. L'érection matinale a lieu lors d'un réveil en phase de sommeil paradoxal (période des rêves), mais n'est pas forcément liée à des rêves érotiques. Cette érection reflexe retombe naturellement au réveil et n'aboutit pas forcement à l'éjaculation.
Les érections matinales se manifestent toute au long de la vie, mais peuvent être moins fréquentes l'âge avançant. En revanche une absence totale d'érections matinales doit être signalée à un médecin, car cette vivacité matinale est le signe d'un bon fonctionnement neuro-vasculaire du système érectile.


L'érection peut pointer dans toutes les directions

Haut, bas, droite, gauche, il n'y a pas de direction normale lors de l'érection du pénis. Elle dépend du ligament suspenseur du pénis. En revanche, avec l'âge et la vieillesse des tissus érectiles, l'érection peut être moins complète.


Le surpoids nuit à l'érection

Un taux élevé de testostérone (l'hormone sexuelle masculine) favorise une bonne érection. Or, le taux de testostérone baisse de manière significative quand le poids augmente. Les hommes obèses ont un taux moyen de testostérone inférieur de 1,50 ng/ml au taux de ceux qui ont une corpulence normale.
Attention donc à la deuxième assiette de frites si vous tenez à maintenir une bonne érection.


Une érection peut durer plus de quatre heures

Quand l'érection dure trop longtemps!

Érection persistante sans excitation sexuelle? Il peut s'agir du priapisme: un trouble de l'érection à prendre en charge le plus rapidement possible.

Le mot "priapisme" nous vient de la mythologie grecque. Priape, le dieu de la fertilité et de la chance, est en effet représenté avec un énorme pénis en érection. En médecine, le priapisme est une érection qui persiste depuis plus de 4 heures sans aucune stimulation sexuelle.

Un mauvais drainage veineux

Lors d'une érection, l'apport de sang augmente dans les corps caverneux (les deux réservoirs latéraux du pénis). En cas de priapisme, le drainage veineux des corps caverneux ne fonctionne pas, le sang ne s'évacue donc pas de ces réservoirs. Cet arrêt de la circulation du sang est considéré comme une urgence urologique. Il est douloureux et, en cas de prise en charge trop tardive, il peut altérer la fonction érectile. Après plus de 24 heures de priapisme, 60% des patients conservent des troubles de l'érection.

Plusieurs priapismes

On différencie trois types de priapisme:
> Le priapisme à bas débit: c'est le plus fréquent, il peut être dû aux injections intra-caverneuses parfois utilisées dans le traitement d'un trouble de l'érection.
> Le priapisme à haut débit: il est souvent dû à un traumatisme du siège (chute, choc...).
> Le priapisme récidivant: il s'agit d'épisodes de priapisme de moins de 3 heures pouvant évoluer vers un priapisme à bas débit. Ce type de priapisme peut aussi devenir chronique.

Quels traitements?

Le traitement du priapisme a pour but d'obtenir la fin de l'érection mais aussi d'éviter la récidive ainsi que les séquelles sur l'érection. Il diffère en fonction du type de priapisme et peut être médicamenteux (antidouleurs pour traiter les douleurs symptomatiques) ou chirurgical. Généralement, on procède à une ponction pour évacuer les corps caverneux engorgés. En cas d'échec, on crée une fistule caverno-spongieuse (une communication entre les corps spongieux et les corps caverneux pour faciliter l'évacuation). Initié dans les premières 24 heures, le traitement a en général de bonnes chances de succès. Il convient donc de réagir au plus vite.

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Pourquoi les hommes aiment la sodomie

Sondage après sondage, les femmes continuent de dire en majorité qu’elles n’aiment pas. Le désir masculin se nourrirait-il, justement, de ces réticences ? Nous avons interrogé des hommes.

Pourquoi aimez-vous sodomiser vos compagnes ? La question n’est ni évidente à poser, ni simple à entendre. Pourtant, des hommes ont accepté de jouer le jeu, et leurs réponses sont assez surprenantes. Au lieu d’évoquer des sensations ou des fantasmes débridés, ils saluent, avec une belle unanimité, le « don total » de la femme en cette circonstance.

Certains parlent même d’absolu : une femme qui parvient à surmonter sa douleur, son appréhension et, bien souvent, ses préjugés donne le sentiment de se livrer tout entière. Et cet abandon, cette confiance semblent donner tout son prix à cette pratique.

Selon une récente enquête(1), les femmes sont nombreuses à avouer leur réticence pour la sodomie : parmi les 8,7 % qui reconnaissent la pratiquer (60,1 % ne la pratiquent pas et 31,2 % ne se prononcent pas !), 52,9 % affirment « ne pas apprécier ». Pour les hommes qui ont témoigné, la résistance féminine semble être la clé de leur désir. Sans doute pour avoir le plaisir de la vaincre. « Peut-être, mais pas seulement, tempère la psychanalyste Sophie Cadalen(2). Les femmes aussi veulent arracher de l’autre une jouissance qu’il ne connaîtra qu’avec elle. La sexualité est toujours une petite bataille. Les jeux du désir et de la sexualité sont des jeux de pouvoir. Il y a toujours l’idée d’aller là où je ne suis pas invité à aller. On veut sonder la partie de l’autre qu’il ne nous ouvre pas et que, bien souvent, il ne nous autorise pas à pénétrer. C’est cette profondeur de l’autre qui nous attire. » Tant il est vrai que, ici comme ailleurs, le désir se nourrit toujours de ce qui lui échappe.

Pour vous, la sodomie, c'est...

Marc, 32 ans, ingénieur, célibataire, « … un cadeau de la femme »
« J’ai eu ce fantasme pendant très longtemps, mais depuis que je l’ai réalisé, j’y pense moins. L’aspect technique m’a un peu rebuté. Il faut une préparation. C’est un peu pénible pour la femme. Son acceptation n’est d’ailleurs pas évidente à obtenir. Le fait qu’elle accepte est sans doute plus excitant que la chose elle-même. C’est un cadeau qu’elle fait, la preuve qu’elle a vraiment envie de se donner. C’est plutôt gratifiant. Mais au niveau de la sensation elle-même, je ne trouve pas que ce soit mieux, ça glisse moins bien, du coup il faut utiliser un lubrifiant. En plus, il faut bander assez dur pour que ça marche… Tout cela fait que cela m’excite moyennement, ce n’est pas quelque chose après lequel je cours. »

 
 

René, 35 ans, employé de banque, divorcé, « … un jeu amoureux
comme un autre »
« D’abord, j’aime la sensation. Le pénis est plus étroitement enserré dans l’anus que dans le vagin. C’est très agréable. Mais, surtout, j’ai le sentiment qu’une fille se donne davantage de cette manière-là, surtout lorsqu’elle est d’abord réticente. J’aime faire en sorte que son désir devienne si fort qu’elle en oublie la douleur. C’est peut-être mon orgueil de macho qui transparaît là, mais ce qui me plaît, c’est la conquête plutôt que la domination. Pour moi, la sodomie est un jeu amoureux comme un autre. Une complicité que l’on partage à deux. Je n’ai le sentiment ni de soumettre une femme, ni de transgresser un tabou. C’est un plaisir différent, c’est tout. Si une fille s’y refuse totalement, je n’insiste pas et je ne le vis pas comme une frustration. »

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S'il se masturbe, c'est qu'il me désire moins ?

Il me semble que mon conjoint éprouve moins de désir. De plus, je l'ai surpris à se masturber... Comment dois-je le prendre ? Les réponses du Dr Catherine Solano, médecin sexologue et andrologue (hôpital Cochin, Paris).

La masturbation est une pratique universelle chez les hommes puisqu'à 18 ans, 98 % d'entre eux l'ont testée au moins une fois. Par la suite, la vie sexuelle solitaire varie beaucoup selon chacun. Certains hommes la pratiquent lorsqu'ils n'ont pas de partenaire, comme une compensation. Certains n'y ont plus guère recours après leur adolescence, et d'autres encore y ont recours régulièrement toute leur vie, même lorsqu'ils sont en couple épanoui sexuellement.... Tous ces hommes sont normaux, même s'ils fonctionnent différemment. Cette pratique sexuelle solitaire peut servir de variable d'ajustement dans le couple. Si la femme éprouve un désir sexuel moins pressant, son partenaire peut trouver son harmonie sexuelle en complétant les relations de couple par une pratique masturbatoire. La masturbation est aussi assez souvent utilisée comme anxiolytique : chez un homme stressé, elle permet de faire baisser le niveau d'anxiété de manière naturelle et extrêmement efficace. Et, elle est bien moins dangereuse que les médicaments tranquillisants, le tabac ou l'alcool !

La masturbation est un plaisir

La masturbation peut encore rassurer un homme sur son fonctionnement sexuel, sa virilité, sa capacité à être un homme. Et puis, certains hommes affirment tout simplement avoir deux vies sexuelles : l'une vécue à deux, et l'autre vécue seul. Aussi, votre conjoint peut-il pratiquer la masturbation comme une exploration personnelle, comme un plaisir, comme une détente, sans que cela présente de lien évident avec votre vie sexuelle commune.

Pourquoi votre partenaire éprouverait-il moins de désir ? Le manque de désir peut être lié à son âge. Avec les années, le désir sexuel se fait souvent moins pressant, moins impérieux. La masturbation peut aussi avoir un impact sur le désir pour plusieurs raisons. Si votre conjoint éjacule lors de la masturbation, il existe ensuite une période réfractaire (qui peut durer plusieurs heures, voire plusieurs jours chez un homme âgé) pendant laquelle il ne peut plus éprouver de désir ou d'excitation sexuelle. De ce fait, si une éjaculation se produit le soir, le lendemain matin, il peut n'éprouver aucun désir sexuel, et aucune érection n'est possible. Si votre partenaire utilise régulièrement des images pornographiques comme support de masturbation, cela peut créer des circuits d'excitation fonctionnant uniquement en présence de telles images. Si ces circuits sont stimulés très souvent, ils prennent la place des circuits plus traditionnels. Les stimulations plus naturelles deviennent alors moins efficaces. Si votre conjoint pratique la masturbation en fantasmant dans sa tête, cela peut être bénéfique pour sa libido en alimentant ses fantasmes personnels, en le rassurant et le détendant. En revanche, s'il s'avère qu'il éprouve vraiment moins de désir sexuel, un bilan médical s'impose.

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Avez-vous des fantasmes «normaux»?

Une étude canadienne s’intéresse aux fantasmes sexuels. Et si les hommes et les femmes rêvent différemment, ils le font fréquemment...

Existe-t-ils des fantasmes plus «normaux» ? C'est ce qu'ont cherché à déterminer les chercheurs québécois de l'institut Philippe-Pinel de Montréal (université de Montréal). En s'appuyant sur les témoignages de plus de 1.500 hommes et femmes (pas forcémeent représentatifs, donc), les experts espéraient faire ressortir les types de fantasmes les plus «fréquents», les plus «rares», les plus « caractéristiques » ou les plus «inhabituels».  

Les chercheurs ont, alors, demandé aux volontaires, interrogés via internet, de noter de 1 à 7 l'intensité de leur intérêt pour 55 fantasmes sexuels. Et de constater que les fantasmes les plus fréquents sont plutôt classiques et que les plus rares ne sont pas forcément exceptionnels...

Les émotions d'abord

En effet, l'étude parue dans le Journal of Sexual medecine démontre que le fantasme sexuel le plus fréquent est, à 88 % chez les deux sexes, de «ressentir des émotions amoureuses lors d'une relation sexuelle». Le sexe oral est également partagé (87 %). En revanche, le fantasme de «l'amour à trois » est plus masculin (l'option avec deux femmes pour partenaires battant tous les records) que féminin.

Chez les femmes, le second fantasme le plus fréquent est d'avoir une relation sexuelle dans un endroit romantique comme sur une plage déserte (84% ).

Seuls les hommes veulent passer à l'acte

Plus surprenant, les femmes ne seraient pas les seules à avoir des fantasmes de soumission. Classé pourtant dans la colonne «caractéristiques», ce type de fantasme est très fréquent chez les hommes. Autre fait marquant: la fréquence beaucoup plus importante que prévu de fantasmes sexuels considérés comme rares ou inhabituels, tant chez les hommes que chez les femmes, comme uriner sur son son partenaire, porter des vêtements du sexe opposé pendant l'amour ou faire l'amour avec un(e) prostitué(e).

Enfin, parmi les 55 thèmes relevés, seuls deux étaient considérés comme «rares» ou «inhabituels», parmi lesquels la zoophilie (présent tout de même à près de 2.3%). A noter également, que, concernant le passage à l'acte, seule la gent masculine aimerait passer du rêve à la réalité.

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White Bird

Synopsis : Kat Connor a 17 ans lorsque sa mère disparaît sans laisser de trace. Alors qu’elle découvre au même moment sa sexualité,  Kat semble  à peine troublée par cette absence et ne paraît pas en vouloir à son père, un homme effacé. Mais peu à peu, ses nuits peuplées de rêves vont l’affecter profondément et l’amener à s’interroger sur elle-même et sur les raisons véritables de la disparition de sa mère…

Shailene Diann Woodley est une actrice américaine néé le 15 novembre 1991 à Simi Valley, en Californie, célèbre pour son rôle dans la série La vie secrète d'une ado ordinaire. Côté ciné, elle est connue pour ses rôles dans The Descendants, The Spectacular Now, Nos étoiles contraires et Divergente.

 La jeune star hollywoodienne Shailene Woodley, 22 ans, qui sort des cartons successifs de Divergente (on la retrouvera d'ailleurs en mars 2015 à l'affiche du deuxième opus) et de Nos étoiles contraires, a pu se rendre compte de sa popularité grandissante, hier soir, à Paris. En effet, une multitude de fans attendaient la séduisante actrice à l'UGC Ciné-Cité des Halles, en plein cœur de la capitale française, à l'occasion de l'avant-première de White Bird, le nouveau film du sulfureux cinéaste américain Gregg Araki, à qui l'on doit des films aussi cultes que The Doom Generation, Nowhere, ou Mysterious Skin. La coupe de cheveux aussi blonde et courte sur le tapis rouge parisien que brune et longue dans le film qu'elle est venue présenter, Shailene était resplendissante lors de cet événement et s'est montrée disponible et charmante avec ses fans venus approcher leur idole. Si la jeune comédienne était accompagnée de son partenaire Shiloh Fernandez, l'autre star du casting Eva Green (actuellement à l'affiche de Sin City : j'ai tué pour elle) a malheureusement brillé par son absence, mais grâce à Shailene, cette avant-première ne manquait cependant pas de charme. Dans White Bird, l'actrice américaine incarne Kat O'Connor, une jeune fille de 17 ans qui voit un jour sa mère disparaître sans laisser de trace. Alors qu’elle découvre au même moment sa sexualité, Kat semble à peine troublée par cette absence et ne paraît pas en vouloir à son père, un homme effacé. Mais peu à peu, ses nuits peuplées de rêves vont l’affecter profondément et l’amener à s’interroger sur elle-même et sur les raisons véritables de la disparition de sa mère. Un film adapté du roman Un Oiseau blanc dans le blizzard de Laura Kasischke qui a débarqué sur nos écrans , et pour lequel Miss Woodley s'est littéralement mise à nu.

 On sait le cinéaste américain Gregg Araki sulfureux et provocant, n'hésitant pas dénuder ses comédiens dans ses œuvres sensuelles et folles, colorées et excitantes. Sa filmographie parle pour lui avec des films comme The Doom Generation, Nowhere, ou Mysterious Skin.

Il en sera de même avec son nouveau long métrage, White Bird, qui compte notamment à son casting les belles Eva Green (bientôt à l'affiche de Sin City : j'ai tué pour elle) et Shailene Woodley (actuellement à l'affiche de Nos étoiles contraires).

Cette dernière, ravissante actrice américaine de 22 ans vue dans The Descendants d'Alexander Payne, et surtout dans la saga Divergente adaptée des romans de Veronica Roth, avec aussi Maggie Q et Zoe Kravitz, incarne ici Kat O'Connor, une jeune fille de 17 ans qui voit un jour sa mère disparaître sans laisser de trace. Alors qu’elle découvre au même moment sa sexualité, Kat semble à peine troublée par cette absence et ne paraît pas en vouloir à son père, un homme effacé. Mais peu à peu, ses nuits peuplées de rêves vont l’affecter profondément et l’amener à s’interroger sur elle-même et sur les raisons véritables de la disparition de sa mère.

Un film adapté du roman Un Oiseau blanc dans le blizzard de Laura Kasischke qui débarquera sur nos écrans le mois prochain, et pour lequel Miss Woodley a donné de sa personne comme le prouvent ces clichés extraits du film.

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Snapchat : 100 000 photos et vidéos nues volées circulent sur le Net

SNAPPENING - Après les célébrités, au tour des internautes lambda. Environ 100 000 photos et vidéos d'utilisateurs de Snapchat ont été volée et circulent sur le Web. Problème : la moitié des membres du service sont mineurs.

Snapchat photos volées
Le service de partage temporaire de photos, Snapchat, est dans l'oeil du cyclone : 100 000 photos et vidéos ont fuité sur le Net.

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Cette autre infidélité qui monte : les couples face à des tromperies d'un nouveau genre

Dépenser 200 euros sur Internet sans prévenir son conjoint, s'ouvrir un compte en banque "secret", s'adonner de manière excessive aux jeux : pour beaucoup de couples, l'argent peut devenir une source d'angoisse voire de disputes.

Atlantico : Partager son argent avec l’être aimé est un signe de confiance et une représentation de l’intimité. Que se passe-t-il quand l’un des deux partenaires se livre au mensonge sur ce terrain ? Ce type de mensonge est-il assimilé à une tromperie ?

Michelle Boiron : On part du postulat selon lequel dans le couple il y a partage. Mais doit-on tout partager ? Depuis la brosse à dents jusqu’au lit conjugal en passant par le compte en banque et les valeurs communes. Quand il s’agit d’argent, tout devient très compliqué. On est alors dans de beaux draps !dans une dizaine de jours

L’égalité homme/femme vers laquelle la société tend à évoluer ne nous a pas débarrassé du rapport à l’argent, y compris et surtout dans le couple, même si les deux travaillent et assument. L’argent a une valeur et son usage est soumis d’une part à des conduites héritées  des parents, grands-parents, à la transmission qui est l’héritage, et d’autre part à une part archaïque en nous : l’inconscient infantile lié à la phase anale. Il renvoie à l’estime de soi, à sa valeur et aux affects qui nous débordent. C’est pourquoi lorsqu’il est question d’argent on est dans l’intime.

Si l’argent a une valeur absolue force est de constater que chaque homme et chaque femme en a une représentation différente et un « bon usage ». L’argent est par nature tabou, on n’en parle pas ou peu.

Les questions d’argent ne sont pas assez évoquées lorsque l’on décide de s’engager dans un couple, sauf chez le notaire sous forme d’un contrat de communauté ou de séparation de biens : ça en dit long sur l’accord initial mais rien sur l’évolution du couple. La question du rapport à l’argent et sa gestion dans le quotidien n’arrive que bien après. C’est souvent une source de conflit. Dans un couple, on est deux et il est souvent difficile de s’accorder sur ce sujet-là. Comme s'il y avait une bonne et une mauvaise manière de le dépenser. L’argent est sale et parfois suspect, son usage est parfois associé à un interdit. Si l’on doit rendre des comptes sur ses dépenses c’est que le deal n’est pas clair au début. Si son utilisation ne représente pas un intérêt commun ou une dépense utile, la culpabilité n’est jamais loin !

Alors compte commun ou compte à part ? La deuxième hypothèse serait un peu comme se poser la question de faire chambre à part ? A chacun donc sa façon de jouir de l’argent. Ensemble ou séparément ? Mais dans quelles proportions ?

Comme on est dans l’ère de la transparence ! Il faut être transparent. Depuis la sphère de l’intime jusqu’à son compte en banque, en passant par les pensées les fantasmes et les rêves !

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Les Français ne sont pas les Européens les plus libertins

Les Français ne sont pas les Européens les plus libertins - RelaxNews - Piotr Marcinski/Shutterstock.com

Les Français ne sont pas les Européens les plus libertins . Shutterstock.com

Contrairement aux idées reçues, les Français ne sont pas les amoureux les plus coquins et ne sont pas les champions du libertinage. Une étude Ifop, réalisée pour le site Netechangisme.com, que Relaxnews publie ce jeudi 2 octobre en avant-première, révèle que les Belges sont les plus adeptes des pratiques libertines, comme l'échangisme ou l'orgie.

Quand la moyenne des Européens ayant fréquenté un lieu échangiste s'établit à 6%, celle en Belgique monte à 9%. Les Français se situent sur la deuxième marche du podium (7%). 

La coquinerie au plat pays

Selon cette étude, les Belges seraient donc adeptes des nouvelles formes de sexualité. 7% pratiquent l'échangisme, contre 6% pour les Britanniques et 5% pour les Français. 12% ont déclaré participer à des orgies, au même titre que les Britanniques, ou 11% d'Espagnols. Les Français, eux, ont encore des choses à découvrir puisqu'ils ne sont que 8% à être concernés. Seule la pratique du triolisme fait perdre la place de "leader" aux Belges (15%), détrônés par les Britanniques (17%). Pour leur part, 11% de Français partagent des moments sexuels avec deux autres partenaires en même temps. 

Le libertinage, les nouveaux jeux sexuels du XXIe siècle

Outre les différences entre les pays européens interrogés en matière de sexualité, cette étude fait surtout apparaître la progression de ces nouvelles formes de rapports sexuels. Au cours de ces vingt dernières années, la pratique de l'échangisme a par exemple doublé en France, passant de 2,4% en 1992 à 5% en 2014. La progression de la pratique de l'orgie est quant à elle plus lente, avec 6% d'adeptes il y a 22 ans contre 8% aujourd'hui. 

Autre nouveauté, le profil des adeptes de ces jeux sexuels a peu à peu évolué, pour convenir davantage à un public plus jeune. Les adeptes sont en nombre surtout dans la tranche des 25-34 ans (6%) plutôt que chez les 35-49 ans (5%) ou les plus de 50 ans (3%).

Cette étude a été réalisée du 29 mars au 4 avril 2014 auprès d'un échantillon de 5.249 personnes âgées de 18 à 69 ans, interrogées en France, en Belgique, en Italie, en Espagne, en Allemagne et au Royaume-Uni.

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Un quart des 18-35 ans partageraient des photos d'eux dénudés sur Internet

 Menée avant le vaste piratage des photos de stars américaines dénudées, l'étude montre que beaucoup de gens acceptent de prendre des risques malgré tout.

Les épisodes réguliers de piratage de données personnelles n'empêchent pas un quart des Français de 18-35 ans d'envoyer par Internet des photos d'eux dénudés à leur partenaire, comme le révèle une étude d'OpinionWay publiée mercredi. Le sondage réalisé en juillet pour la société de sécurité informatique russe Kaspersky Lab indique qu'"un tiers des moins de 35 ans ont déjà échangé par Internet des messages écrits à caractère sexuel avec leur partenaire, et un quart (24 %) ont échangé des photos dénudées, contre 11 % et 6 % des 35 ans et plus".

Menée avant le vaste piratage, début septembre, des banques de données dématérialisées (cloud) d'Apple, ayant conduit à la diffusion de photos de dizaines de stars américaines dénudées, l'étude montre qu'en dépit d'"un sentiment de défiance vis-à-vis de la sécurité des données personnelles (...) beaucoup de gens acceptent de prendre des risques", constate Tanguy de Coatpont, directeur général France de Kaspersky Lab. En cause, selon lui, le fait qu'"une partie d'entre eux ne savent pas comment protéger leurs informations et ne sont pas informés de tous les risques encourus, quel que soit le terminal".

La semaine dernière, Apple a annoncé des mesures supplémentaires de protection des comptes de ses utilisateurs. Si la marque a répété que ce piratage n'était pas dû à des failles dans son système de sécurité, l'épisode a relancé le débat sur le stockage des données personnelles. Le sondage d'OpinionWay a été réalisé par Internet les 2 et 3 juillet auprès d'un échantillon représentatif de 1 009 individus âgés de 18 ans et plus.

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Anatomie d’un phénomène : pas besoin de voler les photos de nus de M et Mme Toutlemonde, contrairement aux stars, les anonymes en publient en masse sur internet

Si on ne sait pas combien de personnes postent des images d'elles nues, tout un chacun pourrait se laisser tenter. On sait par ailleurs que beaucoup possèdent des photos d'eux nus, qu'il s'agisse de selfies ou de photos prises par leurs partenaires. Et les femmes sont les premières concernées.

Après la publication des photos de Scarlett Johansson nue en 2011, ce sont les photos de Jennifer Lawrence qui ont fuité le 31 août 2014. Plus d’une trentaine de stars se seraient fait dérober des photos-dont certaines très coquines- sur leur téléphone portable ou leur compte iCloud. Si les stars sont généralement victimes de hackers, parmi les anonymes, combien sont-ils à s'exposer volontairement nus sur Internet ? Où trouve-t-on ces photos, sur quels types de sites ?

Christophe Colera : Les célébrités postent des photos dénudées sur des réseaux sociaux comme Twitter (comme l'avait fait Lady Gaga) ou Instagram (Rihanna récemment).

 
 

Il y a des sites spécialisés dans les images ou vidéos de célébrités nues, qui collectionnent les photos trouvées dans les journaux ou dans des films etc., certains exposant même des fausses photos qui sont des montages réalisées à l'aide de Photoshop. 

Ensuite tout un chacun peut être tenté de faire cela. Beaucoup le tentent même sur des réseaux sociaux qui interdisent la nudité comme Facebook, dans le but de briser le tabou.

Il faut distinguer (ce qui n'est pas toujours possible) les gens qui postent volontairement des photos d'eux et ceux dont leurs proches ou "ex" le font pour eux, avec leur consentement, leur demi-consentement, ou sans leur consentement du tout.

On a beaucoup parlé en 2013 du Revenge porn par exemple, les gens qui balançaient des photos ou des vidéos de leurs exs nu(e)s pour se venger. Le Daily Mail britannique racontait cette anecdote rapportée par le San Francisco Chronicle du 22 janvier 2013 à propos du site Texxxan.com : une mère de 27 ans , Kelly Hinson, aux alentours de la mi-janvier, faisait du shopping dans un supermarché Walmart quand un inconnu est venu vers elle pour lui dire "tu es Kelly n'est ce pas ?". Et il lui a expliqué qu'il a sauvegardé sur son ordinateur des photos d'elle nue prises par son dernier petit ami. Le site mentionnait son lieu de résidence et divers éléments "trash" (comme le fait qu'elle aurait tenté d'avorter "avec un cintre rouillé" -sic-). Elle est allée au commissariat de police, puis elle a consulté deux avocats, mais sa plainte n'a pas été prise en considération. On lui a expliqué qu'il n'y avait rien à faire, d'autant que Kelly Hinson ne peut même pas se retourner contre l'auteur des photos qui s'est suicidé deux mois avant leur publication (de sorte que celles-ci circulent désormais indépendamment de lui).

Quelle est ampleur du phénomène ? Et quelles sont les catégories de population qui sont concernées par ce genre de pratiques ?

Christophe Colera : On a peu d'éléments sur le nombre de gens qui postent des photos d'eux nus volontairement, car la plus grande opacité tourne autour de ce sujet - les gens ne répondent pas sincèrement aux questions des interviewers là-dessus. J'avais quand même pu faire une enquête qualitative chez des lycéennes il y a 3 ans. On voyait que la tendance à se dénuder sur des réseaux sociaux correspondait à deux profils : soit des filles timides, qui sortent peu en boîte, qui parlent peu et qui se mettent ainsi en valeur par l’image ; soit des filles qui ont un profil psychologique plus extraverti que la moyenne.

Michelle Boiron : C’est d’abord fondamentalement féminin. Aujourd’hui et de manière consentante, elles décident de se filmer nues et  diffusent les images sur Internet.

A l'heure actuelle, tout le monde peut se montrer grâce aux réseaux sociaux. Nos photos, nos images nous échappent dès qu’elles sont sur le Net.  Ce qui était réservé avant aux stars et hommes célèbres s’étend à tout le monde et donne ainsi le sentiment d’exister.

Nous sommes dans un monde où l’image prime sur tout le reste. " Le poids des mots, le choc des photos " : le slogan bien connu d’un magazine tout aussi connu! Il était précurseur à l’époque. Aujourd’hui, il reste surtout l’image, mais quelle image ? Le grand sport est de se montrer.  Où ? Avec qui ? Dans quel lieu ? Et dans quelle tenue ? Y a-t-il une limite ?

La confusion entre vie publique et vie privée s’étend à l’image. Il n’y a plus beaucoup d’intimité pour le commun des mortels; quant aux stars, c’est la traque permanente. Certains se font plus discrets que d’autres. On arrive néanmoins à leur voler quelques moments intimes.  On fête en ce moment l’anniversaire de Brigitte Bardot : elle a été en son temps assaillie et littéralement victime des photographes. En ce sens, ce n’est pas un phénomène nouveau.

Ce qui est nouveau, c’est que se généralise la diffusion de photos privées en photos divulguées sans accord. C’est dans un premier temps, en tout bien tout honneur, réalisé par les proches pour en rire et projeter ensuite sur des sites et réseaux sociaux. Cela prend de l’ampleur car l’image se répand comme une trainée de poudre sans consentement. Votre image ne vous appartient plus. 

Quelles sont les motivations de ceux qui s'exposent nus ou quasiment nus sur Internet ? Faut-il y voir une forme de transgression ?

Michelle Boiron : Avant d’être une transgression, c’est d’abord une forme d’exhibitionnisme qui est l’envers du voyeurisme. Voir et être vu. Les deux phénomènes sont complémentaires. C’est toujours une forme de provocation, d’excitation, parfois un jeu ou un pari.

 
 
 

Ce phénomène est accentué par la banalisation de la nudité qui, sur la voie publique, représente toujours un délit donc une transgression, un interdit.

Il faut distinguer selon les catégories.

Etre actrice, c’est par nature accepter de s’exhiber devant une caméra. Dès lors poser nu devant un photographe relève de la même nature qu’être pris par la caméra ; c’est une différence de degré puisque l’actrice est dans son rôle. Le cinéma utilise souvent la femme dans son rôle de séductrice, la met à nu. Pas surprenant que celles qui ont voulu devenir actrices se soient mises à nu devant un photographe. Tout autre est la motivation des femmes qui se filment aujourd’hui sur Internet.

Pour les adolescentes, c’est une manière de prendre conscience de leur corps et se renarcissiser. Elles n’avaient pas prévu que cela deviendrait public. Se montrer nu, dans son plus simple appareil, relève normalement de la sphère privée. La pudeur et les complexes empêchaient autrefois les adolescentes de se dévoiler. Ces mêmes complexes dans une société sans tabous ni limites les incitent aujourd’hui à se montrer nu pour dépasser cette phase difficile de transformation de leur corps qui génère une faible estime de soi. En s’exposant, elles pensent s’affranchir de leurs craintes. Si dans le regard de l’autre, elles sentent qu’elles existent,  elles acceptent de jouer le jeu de la nudité qui crée  la séduction et  l’excitation.

Il y a des lieux pour se montrer nus. Les camps, plages de nudistes en témoignent. ils ont toujours existé et leurs adeptes ont une philosophie qui " va avec ". C’est une décision prise, un mode de vie choisi.

Les cabarets, dont le Crazy Horse, ont fait leur renommée sur l’exposition de corps de femmes magnifiés et choisis pour signifier l’existence d’un corps parfait et représentatif de l’idéal et du fantasme du moment. En revanche, une star au demeurant très célèbre, pour ne pas la nommer, a eu le courage alors que ses mensuration n’étaient pas conformes, à s’exposer parmi ces corps de femmes idéales. Alors une provocation ? Une revanche ? Ou une simple exhibition pour provoquer le mâle?   

Christophe Colera : Les filles qui sont moins dans la dépendance à l’égard du regard d’autrui (et du regard masculin), pouvant plutôt se contenter de diffusion d’images d’elles dans des réseaux plus restreints, ou l’envoi du strip tease à leur petit ami.

Chez les femmes d'âge plus mûr, cela peut correspondre à des défis personnels, ou simplement un besoin de valoriser son corps dans un moment de déprime comme ces femmes qui vont chez des photographes d'art qui prennent des photos d'anonymes et les mettent sur la toile (j'ai préfacé le livre de l'un d'eux à Paris). Certaines en font même un combat idéologique, celui du refus du vêtement (un combat dans lequel l'affirmation de soi peut finir par effacer complètement le désir de plaire).

Les personnes dont des images circulent sur Internet ont-ils conscience du risque qu'ils prennent à s'exposer de la sorte ? Quelle est la nature de ce risque ? Avez-vous connaissance de cas qui auraient mal tournés ?

Michelle BoironJe ne pense pas que ces personnes aient conscience du risque couru car ce n’est pas directement sur Internet que ces images  sont filmées ou photographiées. Il s’agit souvent de photos privées qui ont été piratées et qui se retrouvent ensuite sur Internet, comme en témoigne cette affaire.

Les risques sont multiples, parmi lesquels, tout d’abord, l'atteinte à la réputation. Très souvent, ces photos ont été prises alors que les stars n’étaient pas connues et avaient besoin d’argent ou pensaient que ces photos les aideraient à se faire connaître ou encore, il s’agit de photos prises dans le cadre de leur vie privée.  Quand elles se retrouvent sur Internet, à un moment où la personne est " honorablement " connue, cela peut sinon ruiner sa carrière, du moins singulièrement atteindre sa réputation. Les conséquences sur l’entourage, les enfants , peuvent être très négatives.

En deuxième lieu, existe le risque de déstabilisation personnelle. Si, à un moment de sa vie, telle ou telle apprentie star ou autre, a accepté que soit pris ce type de photos, ou, encore pire, s’il s’agit de photos privées piratées, elle peut être impactée par une publication des années plus tard sut Internet. Le droit à l’oubli n’existe pas encore vraiment sur Internet. Et même si la sanction judiciaire permet de supprimer les photos de l’Internet, le mal est fait ; les photos ont circulé et ont été copiées. Les commentaires souvent outranciers, qui accompagnent ces diffusions, contribuent à accroître les risque de déstabilisation.

En troisième lieu, ceux dont les photos circulent ainsi sur Internet s’exposent à des opérations de chantage de la part de ceux qui détiennent les négatifs, ou encore de harcèlement de la part de déséquilibrés. 

La diffusion de ces photos, uniquement de femmes, inaugure un nouveau sexisme anti-femme. Il s’agit de les rabaisser, de leur faire honte.

Par exemple, l’amie du joueur de football camerounais Samuel Eto’o a été congédiée de son emploi à cause de la publication de photos d’elle nue sur Internet ; traumatisée, la jeune femme a dû être hospitalisée.

Christophe Colera : Il existe un danger pour celle qui a décidé d'offrir son image de la sorte : celui de tomber dans le cliché de la femme facile, de s'enfermer dans ce rôle. Il est intéressant de voir que même des infirmières qui avaient posé nues pour une cause avaient eu ensuite des inquiétudes sur le risque de passer pour des catins. Elles peuvent cependant compter en partie sur le développement du "droit à l'oubli" et sur le caractère éphémère des passions que déclenche Internet. Du moins pour ce qui concerne les gens ordinaires. Certaines en font carrière, comme cette étudiante argentine, filmée par son petit ami en train de montrer ses seins sur les bancs de la fac, Annalissa Santi, qui est devenue la coqueluche de la toile en 2013 et qui s'est tournée par la suite vers une carrière de modèle et dans la téléréalité. Mais bien sûr, ces cas sont les plus rares.

Qu'est-ce que cela traduit de l'évolution de notre rapport au corps ?

Christophe Colera : Si on ne sait pas combien de femmes postent des images d'elles nues, on sait en revanche que beaucoup de gens ont des photos d'eux nus, soit qu'il s'agisse de selfies, soit que leurs partenaires en aient prises.

Et l'on sait à quoi cela est dû : la diffusion des moyens de capture d'images très discrets (téléphones mobiles) et des écrans qui créent une emprise très forte de l'image sur les esprits (ce que Régis Debray appelait la "victoire de la vidéosphère sur la graphosphère") peut entrainer une obsession de la fétichisation des images des instants, et une volonté d'immortaliser chaque seconde de sa vie, un peu comme ce personnage du film Brooklyn Boogie (1995) de Wayne Wang avec Mel Gorham qui filmait le même coin de rue de son quartier en toutes saisons. Cette obsession de l'image, seule valeur pérenne face à l'agression du temps, se fixe sur l'image du "moi" avec ces gens qui photographient leur visage chaque jour de l'année pour en faire ensuite un montage en film accéléré sur leur ordinateur. Compte tenu de l'invasion de l'espace public par la nudité (une invasion qu'on remarquait déjà dans les années 1950 sur les affiche publicitaires, mais qui aujourd'hui est démultipliée sur les écrans), on comprend que le besoin de fixer l'instant se porte aussi sur la nudité, qui est devenue en soi un éloge de la jeunesse, de la beauté et de la liberté corporelle, de la fraîcheur et désir. Le fait de se photographier ou se faire photographier devient une sorte d'acte rituel au service de cette religion collective. Acte rituel qui a renforcé cette religion, ainsi que la norme apparente de la monstration de soi dans l'espace des écrans. Une religion dont des célébrités qui n'ont acquis leur célébrité que par le fait de se montrer comme naguère Paris Hilton, et aujourd'hui Kim Kardashian et Nabila, sont en quelques sortes les grandes prêtresses, qui elles-mêmes pratiquent périodiquement une monstration rituelle sur la toile qui légitime leur religion et leur rôle sacerdotal.

Cependant, nous ne sommes plus dans le polythéisme de l'Empire romain que dans le dogmatisme chrétien médiéval. Le culte de la monstration de soi, comme le culte de Mithra dans l'Antiquité si l'on veut, est un culte certes bien installé chez les consommateurs d'images suggestives sur la Toile (hommes et femmes), et dans certaines avant-gardes médiatiques, mais qui aussi suscite des agacements et de forts réflexes de rejet dans des pans importants de la société (voir le sondage Ifop-Tena de 2008 sur le nombre de femmes agacées par le fait de voir des seins et des fesses dénudées sur des affiches par exemple).

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Comment rendre les femmes accro au Sexe ?

Etre un bon coup au lit, ça s’apprend !

Comment devez-vous vous y prendre pour la faire grimper aux rideaux ? Une question à la réponse peu évidente. Pourtant, des solutions existent.
 
Comment rendre les femmes accro au Sexe ?
 

267 ! Ni plus ni moins. C'est le nombre de conseils que vous allez pouvoir découvrir pour devenir le roi au lit. Et plus exactement pour « devenir le meilleur coup de sa vie ».

Dans l'ebook du même nom, « 267 conseils pour devenir le meilleur coup de sa vie », vous allez pouvoir redécouvrir toutes les bases de la sexualité. Parce que finalement, la sexualité, c'est comme une maison : pour qu'elle évolue bien avec le temps, il faut des fondations solides.

Préliminaires, caresses, baisers : les bonnes bases
Certains de ces 267 conseils pourront donc sembler simples, voire simplistes. Pourtant, il est essentiel de les garder à l'esprit à tout moment, avec votre partenaire. Ainsi, il n'est jamais inutile de rappeler l'importance des préliminaires, des caresses et baisers : « Sans raison, habituez-vous à caresser et embrasser souvent votre femme. » Notez aussi l'importance du « sans raison ». Votre partenaire doit se sentir désirable en toute occasion.

Vous voulez jouer au serial fucker ?
Ces bases de la sexualité, les plus séducteurs d'entre vous les ont déjà. Mais cela ne suffit pas à faire de vous « le meilleur coup de sa vie ». Alors, comme ce sont sans doute les femmes qui connaissent le mieux le plaisir féminin, c'est Eve O., coach en sexualité, qui vous dévoile ici toutes ses astuces pour vous aider à collectionner les « fuckfriends ».

Serial Fucker

Comment faire un bon cunnilingus ?
A côté de ça, cet ebook rentre dans des détails beaucoup plus intimes et forcément beaucoup plus coquins. Et les questions auxquelles vous trouverez des réponses ont déjà de quoi mettre vos sens en émoi : comment faire un bon cunnilingus (un cunni pour les intimes) ? Comment assouvir ses fantasmes ? Comment savoir si elle a un orgasme ou si elle simule ?
Une fois que vous aurez acquis les réponses à ces interrogations, nul doute que vous rendrez votre copine accro au sexe et qu'elle ne pourra plus se passer de vous !

L'éjaculation précoce en question
Dans un autre registre, l'ebook permettra peut-être à certains d'entre vous de se rassurer ou, tout au moins, de mieux aborder le phénomène de l'éjaculation précoce ou prématurée.

Si les causes psychologiques de la chose ne sont pas forcément abordées, il convient de rappeler que « l'homme est conçu pour éjaculer rapidement ». Dans le même temps, la femme doit atteindre l'orgasme en 5 à 15 minutes. Inutile de vous morfondre, donc, si la pénétration ne dure pas une demi-heure !

En vous aidant à mieux maîtriser votre excitation, à connaître les positions sexuelles qui feront peu à peu monter le plaisir et en vous donnant tous les secrets (ou presque !) de l'orgasme masculin et féminin, l'ebook « 267 conseils pour devenir le meilleur coup de sa vie » a tout pour devenir votre meilleur compagnon de chevet. Enfin, on se comprend !

« J'ai presque eu du mal à me remettre de mon orgasme »
OrgasmeEt si vous pensez que cet ebook ne contient que des conseils déjà vus, peut-être les réactions des premiers lecteurs suffiront-elles à vous convaincre. Et même des lectrices, car il peut s'agir d'un bon ouvrage à lire en couple.

Nina : « J'ai acheté cet ebook il y a deux semaines, un peu inquiète de tomber sur des conseils bidons, et que mon homme refuse de le lire ! Il l'a finalement lu, pour me faire plaisir... Eh bien je peux vous dire que pour me faire plaisir, ça OUI il m'a fait plaisir ! J'ai presque du mal à me remettre de mon orgasme INCROYABLE d'hier, pour ça je vous dis MERCI ! »

Couverture Le meilleur coup de sa vie
Alors, si vous voulez devenir cet amant inoubliable que toutes les femmes rêvent d'avoir dans leur lit ou si vous souhaitez au moins perfectionner vos connaissances en matière de plaisir et de sexualité, il ne vous reste plus qu'àsuivre ces fameux 267 conseils en lisant cet ebook ! 
Bonne lecture !

 

 

 

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Près des trois quarts des femmes ont déjà simulé un orgasme avec leur mari 

De nombreux hommes (66%) avouent être incapables de savoir si leur conjointe a atteint l'orgasme lors de leur dernier rapport sexuel. Et ils ont bien raison de se poser des questions, puisque 73% de ces dames disent clairement avoir déjà simulé, indique une étude du site de rencontres extra-conjugales AshleyMadison.com.

L'orgasme féminin demeure un mystère pour les hommes selon 85% des femmes qui estiment que leurs maris sont incapables de savoir si elles ont atteint le niveau de l'extase. Une proportion à mettre en regard avec les 66% d'hommes interrogés qui partagent le même avis.
Mais la question de l'orgasme deviendrait plus limpide lorsqu'un homme ou une femme a une aventure extra-conjugale. 67,3% de ces messieurs pensent en effet que leur maîtresse a bel et bien joui lors de leur dernier ébat sexuel, tandis que 77,2% des femmes qui trompent leur mari ont bien eu un orgasme avec leur amant.

Ce sondage a été réalisé auprès de 41 967 membres du site AshleyMadison.com. 

 
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Quelle fréquence pour les rapports sexuels ?

La sexualité, entre envie et compromis

Lorsqu'on est en couple, on finit toujours par s'interroger sur la fréquence de ses rapports sexuels. La moyenne française se situe à deux-trois fois par semaine. Selon l'âge et les étapes que l'on traverse lors d'une vie à deux, ces chiffres ne reflètent que très rarement la réalité de vos prouesses sous la couette. 

Quelle fréquence pour les rapports sexuels ?
On est bien d'accord, n'est-ce pas ?
En matière de sexualité et de fréquence de rapports sexuels, on ne peut décemment pas instaurer de règles ! Deux-trois fois par semaine, c’est une moyenne : une dispute, un déplacement professionnel ou encore une petite maladie et la semaine passe sans câlins à l’horizon… Au contraire, pendant les vacances, les couples sont plus actifs sexuellement. 

Et puis, difficile de s'accorder sur une fréquence idéale, les hommes et les femmes n'évaluent pas vraiment leur vie sexuelle sur les mêmes critères.
Hommes et femmes, deux « Q » différents
Les hommes évoquent très rapidement la performance physique, basée par exemple sur la taille de leur pénis ou la durée. En ce qui concerne le nombre d'orgasmes de votre partenaire, il reste des plus aléatoires. 
Les femmes, à l'inverse, ne peuvent se contenter d'un rapport sexuel vite fait sans aucun préliminaire – enfin, pas toujours, hein ? Elles misent donc plus sur la qualité que la quantité. 

 Des premiers émois à la routine 

Des premiers émois à la routine

On se doute bien qu'un nouveau couple fait plus souvent l'amour que les couples témoignant d'un vécu plus important. L'entente sexuelle, et ce sans compter, est aussi un gage de stabilité, mais quand la routines'installe... Les préoccupations du quotidien, qu'elles soient professionnelles ou familiales, prennent régulièrement le dessus. Les compromis et de nouveaux rituels sont de rigueur ! 
Libérez la parole
Inversez donc la tendance et considérez le manque, le souvenir des draps comme un véritable moteur de désir. Il est essentiel de prendre le temps et de se montrer réciproquement à l'écoute de l'autre. Partager ses plaisirs solitaires et ses fantasmes les plus secrets est une bonne méthode pour réveiller votre instinct de mâle, tout en permettant à votre partenaire de s'abandonner plus facilement.

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